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n° 20924Fiche technique11045 caractères11045
Temps de lecture estimé : 7 mn
23/05/22
Résumé:  Nous étions un jeune couple dans les années 80 et mon désir de partager mon épouse était très fort.
Critères:  fhh couple extraoffre candaul copains voiture fellation pénétratio sandwich fdanus fsodo -couplea3 -candaul
Auteur : Motard  (Quelques souvenirs de ma vie ainsi que de mes phantasmes.)      Envoi mini-message
Une soirée tant rêvée






Cette histoire est réelle, elle fait partie de ma vie et de mes expériences.


Elle avait vingt ans et j’en avais vingt-trois quand nous nous sommes rencontrés, en 1976. Elle était magnifique avec ses 1,60 m, ses 55 kg et de beaux cheveux noirs qui lui arrivaient en bas du dos, elle avait de plus un cul magnifique. Il était sûr pour moi que cela serait la femme de ma vie et la mère de nos futurs enfants. Nous étions saisonniers, l’hiver à Morzine et l’été à Cannes, d’où nos nombreux amis qui, comme nous, étaient dans la restauration. Notre vie sexuelle était, dirons-nous, normale… si évidemment la normalité existe. Pour moi, il me manquait toujours quelque chose… ce quelque chose qui vous procure une excitation au bas du ventre.


Les années passèrent ainsi avec leurs hauts et leurs bas. De notre union allaient naître deux garçons dans les années 1980. Nous étions donc un couple heureux et exerçant toujours le même métier. Nos amis restaient les mêmes, en particulier un qui s’appelait Gilles. Je savais qu’il avait le béguin pour mon épouse et j’avoue que la jalousie me tenaillait un peu, mais au fond de moi, cela m’excitait.

Je pense que mon épouse avait également une petite attirance pour lui, mais elle ne le montrait pas.

Lorsque nous faisions l’amour, souvent, je lui glissais à l’oreille qu’il y avait un autre homme avec nous, elle me disait d’arrêter mais cela ne m’empêchait pas de continuer. Je me mis donc en tête de provoquer les choses.


Côté physique, elle n’avait pas changé, ses deux grossesses n’avaient pas altéré sa taille, et ses fesses toujours aussi rebondies me donnaient toujours autant de plaisir. Comme je travaillais avec notre ami, je lui proposais une sortie avec Monique, chose qu’il accepta volontiers pendant notre jour de congé. Nous fîmes donc garder nos deux chères têtes blondes par notre voisine de palier, mon épouse, elle, se prépara sans se douter de mes intentions… je n’avais pas osé lui en parler.

Elle avait mis une jupe tout à fait convenable ainsi qu’un chemisier, rien de provocant pour une sortie entre amis. Le taxi arriva, nous étions à une petite demi-heure du resto mais, avec la circulation de Nice, cela mit plus de temps. Mon épouse était entre nous deux, je mis ma main sur son genou, chose courante, et je ne fis rien de plus jusqu’à notre destination.


Le repas fut bon et agréable et l’alcool aida Monique à se détendre un peu plus. Le repas fini, nous reprîmes notre taxi pour rentrer à la maison. De nouveau, elle se retrouva entre nous deux, comme à l’accoutumée, je mis ma main sur son genou. Alors que le chauffeur se débrouillait dans la circulation, je tentai de descendre ma main plus à l’intérieur de ses cuisses, qu’elle resserra immédiatement, m’empêchant d’aller plus loin et me regardant d’un air disant que nous n’étions pas seuls. Gilles, pendant ce temps-là, regardait en coin et, alors que je tentais de remuer mes doigts, il vint frôler avec sa jambe la jambe de mon aimée. Elle se tourna vers moi, j’en profitai pour l’embrasser, et elle laissa ma main remonter un peu plus haut, mais alors que je pensais toucher au but, elle stoppa net ma progression.

Gilles quant à lui essayait toujours de toucher la jambe de mon épouse avec la sienne. Sur ce, nous arrivâmes à destination, c’était raté pour cette fois ! Gilles s’éclipsa après nous avoir remerciés pour cette soirée et dit bonsoir… Nous restâmes sur notre faim !


Nous rentrâmes chez nous, elle ne me dit rien. Nous fîmes l’amour et, à vrai dire, je la trouvai plus excitée que d’habitude. Par la suite, je l’interrogeai :



Elle me regarda, dubitative.



Fin de la discussion…


Lors de nos rapports, je continuai à lui faire imaginer un autre homme avec nous et elle accepta de plus en plus ce scénario, je trouvai même qu’elle s’excitait de plus en plus… et moi donc ! Quelque temps après notre soirée, je lui demandai :



Sur ce, elle partit travailler.


Dans la soirée qui suivit, alors que nous allions aller nous coucher, elle me dit :



Chose dont j’allais évidemment m’occuper… Enfin, je touchais peut-être au but !


Le lendemain, je proposai à notre ami s’il voulait venir boire un verre en fin de semaine, chose qu’il accepta évidemment… nous avions tous deux la même idée en tête, je ne lui en avais pourtant jamais parlé.


Le jour J arriva, les enfants furent déposés chez la voisine et notre invité arriva en fin de journée. Nous avions préparé les amuse-gueule et autres charcuteries pour le repas. Mon épouse avait mis une petite jupe ample et un petit haut, elle était superbe ! Notre petite soirée commença, un peu de musique meublait une ambiance conviviale. Gilles complimenta ma femme à plusieurs reprises, lui disant qu’elle était ravissante.


Monique et moi étions assis sur le canapé, Gilles nous faisait face. Nous discutions de choses et d’autres, l’alcool détendit pas mal l’atmosphère et je me dis qu’il était peut-être temps de provoquer un peu le destin, je sélectionnai une séance de slows, Gilles en profita pour inviter ma douce, et elle accepta enfin. Gilles se frottant à elle, je la voyais un peu reculer pour éviter que son bas-ventre touche trop le sien.

Je me décidai à les rejoindre. Je pris la taille de mon épouse et me collai contre elle, elle se tourna en ma direction, son regard était noir, je lui dis simplement :



Elle me sourit et continua à danser entre nous. Gilles avança son visage sur elle et elle mit sa tête sur son épaule. Pendant ce temps, mes mains qui étaient sur ses hanches descendirent vers son bas-ventre, elle se colla alors contre celui de notre invité alors que mes doigts passèrent sur son sexe que je caressai. Notre petite danse continua ainsi quelques minutes puis nous retournâmes nous asseoir sur le canapé.


Il y eut un petit flottement, elle était assise entre nous, je m’approchai d’elle et je l’embrassai tout en lui caressant les seins. Notre invité lui mit la main entre les cuisses qu’elle ouvrit, l’invitation était claire, elle cédait au plaisir. Tout en me regardant, elle se laissa doigter, je lus sur son visage le plaisir de l’instant présent. Ma main descendit également sur sa chatte. Les cuisses grandes ouvertes, deux hommes lui fouillaient le vagin.


Je lui demandai de se lever pour enlever cette petite culotte qui nous gênait, Gilles, toujours assis, avait sorti son sexe. Elle s’agenouilla devant nous et prit ma bite dans sa main, je pris son autre main pour la mettre sur l’autre bite. Tout en me regardant dans les yeux, elle commença à nous branler. J’empoignai sa tête des deux mains et l’attirai vers ma queue bandée, elle la prit et commença à me sucer lentement.


Après quelques instants de cette délicieuse fellation, je la guidai sur l’autre bite tendue. Elle hésita un instant et me regarda à nouveau, l’air de dire « si c’est ce que tu veux ? » et elle le prit en bouche pour le sucer avec plaisir. J’étais aux anges, mes souhaits se concrétisaient.


Peu de temps après, nous passâmes dans la chambre. Là, sur le lit, mon ami et moi la regardâmes se déshabiller. Dès que sa jupe ainsi que son petit haut eurent disparu, elle vint nous rejoindre. Elle se remit entre nous et fut de nouveau à la merci de nos mains et de nos bouches. Je descendis sur son bas ventre et lui suçai son bouton d’amour tandis que mon doigt fouillait son sexe humide. Gilles quant à lui s’était approché de nouveau de son visage et se faisait sucer de côté, il tenait la nuque de mon épouse pour lui labourer la bouche avec sa queue.


Nous changeâmes de position, elle se mit en levrette et je la pris avec force tandis que Gilles continuait de se faire sucer. Voir ainsi mon épouse décupla mon désir et, alors que je la pilonnais, je mis un doigt dans son cul… Chose qu’elle avait jusqu’alors refusée, mais là, nous avions franchi un cap.


Elle finit par se mettre sur Gilles et se laissa prendre en s’enfonçant sur son sexe, jamais une queue autre que la mienne n’avait pu explorer cette chatte qui, aujourd’hui, se permettait tout. Moi toujours derrière, je continuais de la sodomiser avec mon doigt. Pendant qu’ils continuaient leur baise, je partis prendre le lubrifiant dans la salle de bain. De retour, j’en enduisis deux doigts pour la pénétrer en douceur. Je la sentis se cambrer après plusieurs va-et-vient dans ce cul magnifique. Je me mis en position… une première. J’essayai de la prendre, mais eus du mal. Elle se cambra un peu plus en embrassant Gilles à pleine bouche, et là, je pus mettre le bout de ma bite dans cette grotte tant rêvée et toujours refusée. Le lubrifiant aidant, je réussis à entrer de quelques millimètres, elle cessa de bouger sur l’autre bite pour me permettre de la pénétrer.


Enfin entré, je commençai tout doucement à la prendre, mes mains tenant ses hanches. Elle s’empala à fond sur l’autre queue et me laissa la besogner avec passion. Elle fut prise de jouissance, je ne reconnus plus ma femme, elle, la mère de mes enfants. Elle se laissait vraiment baiser et se lâchait en poussant des cris de jouissance. Gilles finit par éjaculer… moi également. Nous nous écroulâmes tous les trois.


Peu après, elle se leva et disparut dans la salle de bain. Mon ami me remercia pour ce moment, il me dit qu’il en avait rêvé et que maintenant, c’était bon. Elle se recoucha entre nous et nous nous endormîmes tous les trois… il faut dire qu’il n’était pas loin de cinq heures du matin… nous nous étions bien éclatés. Gilles repartit le matin comme si de rien n’était et la vie reprit son rythme, cependant, lorsque je lui en parlai par la suite, elle me dit que cela avait été très bien.