n° 20933 | Fiche technique | 13063 caractères | 13063 2187 Temps de lecture estimé : 9 mn |
28/05/22 |
Résumé: Le soir, après le service, au troisième étage de l’hôtel, quelques membres du personnel se lâchent! | ||||
Critères: f h fff hh grp jeunes travail voir exhib fmast hmast fdanus jouet confession -mast | ||||
Auteur : Ambre D'Anot (Ambre D’Anot) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Chambres sous les toits Chapitre 01 / 09 | Épisode suivant |
Il était tard, après le service du soir. Ils étaient tous les sept réunis dans le salon du troisième étage de ce grand hôtel de la Côte d’Azur, sous le toit. C’était leur lieu de décompression après le service. Ils y avaient aussi un coin cuisine, les douches, les toilettes et leurs chambres, tout pour être indépendants. Ils occupaient les banquettes et fauteuils en sirotant une boisson fraîche. Cela a commencé quand Nora, une brune de vingt-deux printemps a regardé Giulia la serveuse de la terrasse, et fini par lui dire :
Puis elle ajouta en pouffant :
Wendy se recala dans son fauteuil. Son petit accent irlandais avait fait mouche. Elle releva la mèche de sa belle chevelure rousse. Les autres s’étaient pendus aux lèvres des trois filles et attendaient la suite.
Wendy n’abandonna pas. Sachant que Giulia n’était pas seule dans sa chambre, elle insinua :
Marie-Sophie, la douce Marie-Sophie, sortie de son écrin de famille bourgeoise, belle, mais semblant toujours fragile, s’agitait sur son coin de banquette en sirotant un coca. Elle semblait perturbée. Nora s’en aperçut et l’interrogea.
Frêle dans la simplicité de son t-shirt-leggins qui en faisait une femme enfant, Marie-Sophie sembla hésiter, puis de sa douce voix, elle avoua :
Silencieuse jusque-là, Zoé s’était levée, bougeant avec agilité son énorme popotin jusqu’au frigo d’où elle sortit une bouteille de rhum arrangé qu’elle avait ramené de son dernier voyage chez elle, à la Réunion. Puis elle commença à servir et dit :
Nora continua.
On n’avait pas encore entendu les garçons. Giulia relança la machine avec son sourire… Et un verre de rhum dans le nez !
Éclat de rire féminin généralisé. Vincent vint au secours de Yann.
La belle des beaux quartiers devint songeuse. Wendy en profita pour relancer la balle.
Nora en profita pour resservir une tournée. Zoé revint avec a un énorme gode vibro qui laissa tout le monde ébahis.
Nora était subjuguée.
Zoé les regarda tous et dit :
Tous se regardèrent, sérieusement. On sentait qu’un moment important se dessinait entre eux. Yann n’en revenait pas à l’idée que peut-être il allait assister à une branlette de quelques jolies filles. Ça le changerait de la queue de Vincent, certes jolie et juteuse, mais Wendy, Nora, Giulia et Marie-So, c’était d’un autre niveau ! Il se demandait aussi si Marie-So sauterait le pas, elle si distinguée… Et Zoé ? Pas de complexes ? Chacune de ses fesses était du volume du cul complet de Wendy. Après tout, elle aurait tort de s’en priver, surtout que le spectacle risquait d’être grandiose avec son gode en plus.
Giulia se retourna vers Marie-Sophie.
Et il se leva et retira son short.
Et il se leva et retira son short et une belle queue apparut, bien bandée, calottée juste ce qu’il faut.
On ne va pas se lancer dans des considérations de plomberie avec des cotes (comme si, au premier œil…), mais juste dire qu’elle est belle. Vous noterez qu’on indique rarement la profondeur du vagin en centimètres, l’épaisseur du clitoris en millimètres et la circonférence de nichons divers calculés au 3,14. Donc revenons à notre mât et ses conséquences.
Yann lui emboîta le pas et procéda de pair, histoire de pas se poser de questions. Son membre apparut aussi fier que celui de son pote et il ne put s’empêcher d’y mettre la main, pour faire quelques mouvements de décalottage et retour devant une assistance charmée.
Ce fut le signal chez les filles. Tout le monde se retrouva en tenue de naissance et se recala confortablement dans les fauteuils ou canapés.
Les yeux bougeaient à une vitesse vertigineuse. Tout le monde voulait voir tout le monde, faire connaissance avec les différentes intimités offertes sans pudeur. Les garçons avaient les honneurs des dames et vice-versa, mais pas que.
Nora et Wendy avaient déjà repris leur face à face habituel, la jambe relevée côté dossier du canapé et l’autre pendant au sol, comme une invitation au regard, ce dont les autres ne se privaient pas.
Marie-So semblait subjuguée par Giulia dont elle ne quittait la chatte des yeux que pour regarder la main de Yann qui coulissait maintenant en cadence, de concert avec celle de Vincent tout proche. Elle laissa couler ses doigts vers son intimité, exempte de tout poil, qu’elle ouvrit comme pour la présenter à l’assemblée, puis elle posa deux doigts pour ramener un peu de sa mouille dégoulinante vers son clitoris qui semblait réclamer de l’attention.
Zoé la matait en se malaxant les tétons d’une paire de mamelles énorme, sa chatte brune et frisée au vu de tous, ses énormes cuisses posées sur les accoudoirs du fauteuil.
Giulia se caressait doucement les seins en reluquant à la fois les filles et les garçons, essayant de profiter de toutes les composantes du spectacle. Puis elle passa aux choses sérieuses. Sa main prit le chemin d’une zone de connaissance depuis tant d’années, et elle se planta directement deux doigts dans le vagin avant de les ramener doucement vers son clitoris, et recommença le mouvement encore et encore. Marie-So avait quitté du regard les verges des deux loulous, pourtant bien sollicitées, pour se concentrer sur ce qui se passait à côté d’elle.
Nora et Wendy semblaient avoir repris leurs habitudes en dehors de ce qui se passait autour, chacune se passionnant sur ce que faisait l’autre. Ce fut un gémissement venu d’on ne sait où qui les ramena sur terre, cherchant qui avait fait ça. Déjà un orgasme ? Non, juste une satisfaction, un bonheur éphémère ! Du coup, elles entreprirent de s’intéresser de nouveau aux autres et modifièrent un peu leur position pour embrasser l’assistance. En parlant d’embrasser, il n’y avait pas d’équivoque apparente, c’était place au plaisir pour un groupe entièrement orienté vers l’extase finale, tout en profitant d’une communion amplificatrice de plaisir.
Petit à petit, les pratiques devinrent plus franches. Zoé avait maintenant trois doigts enfoncés en elle pendant qu’elle se flattait son bouton d’amour avec l’autre main. Yann avait accéléré la cadence et Vincent se palpait les bourses d’une main pendant que l’autre marquait la cadence. On voyait du précum luire par moment, et Wendy ne rata pas qu’il s’en enduisait l’index de la main gauche avant de sucer le doigt et recommencer.
Wendy avait deux doigts qui la pistonnaient et une main sur un de ses petits seins fermes.
Nora faisait des grands ronds autour de son clitoris, on sentait qu’elle voulait retarder l’inéluctable pour profiter encore et encore de ce qui se passait.
Marie-Sophie bougeait ses doigts en elle de la main gauche et posa la droite sur le siège de la banquette. Giulia sentit la paume de sa main sur sa cuisse et lui donna encore plus d’envie de se montrer. Elle releva l’autre jambe en ramenant son pied sur la banquette.
C’est Nora qui partit la première dans un long tremblement déclenché par la vision de Giulia se rentrant deux phalanges du majeur dans l’anus. Puis elle eut quelques soubresauts qui lui fermèrent les yeux dans un long gémissement que personne ne manqua.
Vincent, émerveillé par la sensualité de cet orgasme, accéléra pour tomber lui aussi sur le spectacle des mains de Giulia qui l’achevèrent. Il partit dans un râle incontrôlable et expulsa une grande giclée de sperme qui retomba sur la cuisse de Yann. Sa masturbation se ralentit, mais ne s’arrêta pas vraiment, il en restait et le plaisir continuait doucement indépendamment de l’orgasme.
Wendy suivit en se pinçant fort un sein, tout en accélérant les mouvements sur son clitoris, ce qui provoqua son explosion ainsi que celle de Zoé. Toutes deux entonnèrent un duo lyrico-orgasmique qui acheva Marie-Sophie et Yann qui jouirent de concert. Yan expulsa son sperme sur la jambe de Giulia qui le regarda dans les yeux en l’étalant sur sa jambe.
Peu à peu la pression retomba sur le groupe. On sentait une béatitude commune, les visages étaient radieux. Il s’était passé quelque chose de beau, de pas commun. Personne n’avait envie de rompre se moment.
Finalement, Wendy, d’une voix douce, prit la parole
Les autres acquiescèrent en silence.
Giulia ajouta :