n° 20946 | Fiche technique | 31948 caractères | 31948Temps de lecture estimé : 19 mn | 04/06/22 |
Résumé: Un notable fait appel à son homme à tout faire pour lui demander un service très spécial. | ||||
Critères: fhh hplusag hagé couple amour pénétratio jeu init -candaul | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
Une fois la grille franchie, Grégoire commence à voyager spirituellement. Il a pourtant l’habitude d’arpenter cette grande allée qui mène au domaine du « bois des hirondelles », mais à chaque fois, il est en extase devant la magie des lieux. Ce large chemin qui serpente à travers les arbres est suffisamment long pour laisser le temps au cerveau d’avoir l’impression de changer d’époque. La grosse épaisseur de graviers impose aux chauffeurs une conduite lente et douce pour ne pas faire énormément de bruit, voire même de perdre le contrôle.
Après vingt-cinq ans de travail dans diverses entreprises, d’abord comme apprenti, puis ouvrier, et enfin technicien dans des domaines très différents, il a décidé à quarante ans de changer de vie. Depuis cinq ans, il travaille pour son compte comme « homme à tout faire ». Il n’a pas eu de mal à se créer une bonne base de clients, car il réalise tous les petits travaux que les artisans – et encore moins les entreprises – ne veulent pas faire parce qu’ils ne sont pas assez rentables, mais surtout pour la qualité de son travail. Le bouche-à-oreille a fait le reste.
Comme il touche à tout ou presque, le propriétaire de ce manoir le contacte très souvent pour tous types d’interventions. Il a déjà fait des travaux de maçonnerie, menuiserie, charpenterie, couverture, de l’électricité, de la plomberie, du carrelage, mais aussi beaucoup d’interventions extérieures pour entretenir les espaces verts. Pour ces raisons, il connaît parfaitement le manoir, le parc et ses dépendances.
Les lieux appartiennent à Charles, dit « Monsieur le baron » dans le canton. À soixante-cinq ans, il est l’héritier en titre des biens de la famille avant de les transmettre à ses enfants dans quelques années. Sa fortune est importante. En plus de cette demeure, il y a l’usine du coin spécialisée dans la fabrication de cartons recyclés qui est aujourd’hui dirigée par son fils de vingt-deux ans, mais aussi, la plupart des terres louées aux paysans du coin et beaucoup de maisons, d’appartements et de fonds de commerce dans les alentours. C’est sa fille du haut de ses vingt ans qui gère la SCI pour faire fructifier le capital.
Ho ! Ils ne sont qu’intérimaires pour l’instant, car le « vieux » n’est pas facile, il ne leur donne pas tout comme ça, ils doivent gagner leurs places. Avant d’arriver là, ils ont été apprentis dans ses entreprises durant toutes leurs études, puis employés. Ils connaissent la notion de travail.
Le baron a laissé la direction de ses affaires à ses enfants depuis quelques mois, contraint et forcé, suite à un AVC. Aujourd’hui, il va beaucoup mieux, plus de séquelles, visible en tout cas, mais comme tout fonctionne aussi bien sans lui, voire même mieux, il a décidé de prendre du recul. Attention, il supervise quand même… pour l’instant, il reste le « boss ».
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Pour comprendre pourquoi ses enfants sont si jeunes, il faut faire un retour en arrière de trente-cinq ans. À l’époque, et malgré les connivences de ses parents pour le caser avec un bon parti, il n’a jamais trouvé l’amour de sa vie. Il y a bien eu quelques rencontres, mais aucune n’a résisté bien longtemps. Il avait trente ans quand son père a hébergé dans une petite maison du parc un de ses employés avec sa fille.
Cette femme subissait régulièrement les coups de son mari sans rien laisser paraître jusqu’au jour où elle est arrivée avec des traces sur le visage. Elle a bien tenté de masquer la vérité, mais personne n’a été dupe. Maryse a donc changé d’emploi. Elle est passée de l’usine au domaine où elle a pris la fonction d’intendante qui était libre. Comme elle logeait sur place, sa fille de huit ans, la tourbillonnante Mathilde, est vite devenue la clown de service.
Mathilde et Charles sont devenus complices avec le temps. Il l’aidait dans ses devoirs et elle voulait tout savoir de ses activités. Malgré leur différence d’âge, ils se comportaient comme frère et sœurs.
Quand la petite est devenue jeune fille, son corps a changé pour devenir superbement proportionné. Charles n’était pas insensible à ses charmes, mais il n’a jamais eu de gestes déplacés.
Les parents du baron sont décédés dans un accident un an avant que la jeune femme atteigne sa majorité. Charles s’est retrouvé à la tête de la fortune donc les deux amis avaient moins de temps pour se chaparder, mais ils profitaient encore plus quand ils pouvaient retrouver leur complicité.
Avec l’accord de sa maman, le baron a organisé une surprise pour les dix-huit ans de Mathilde. La superbe fête organisée dans le parc et sur les terrasses en plein mois de juillet a en même temps permis de fêter le bac de la jeunette et de ses amis. Tout l’après-midi et la soirée, Mathilde a été la « reine » dans sa petite robe blanche boutonnée sur le devant. À cause des fines bretelles, de la chaleur et surtout par envie, elle n’avait pas mis de soutien-gorge au grand dam de sa mère. Et encore, celle-ci ne savait pas qu’en dessous sa fille ne portait qu’un fin string pour la première fois de sa vie. Mais elle était maintenant majeure, donc elle prenait ses décisions. C’est à la fin de cette soirée que tout va basculer.
Il devait être trois heures du matin, tout le monde était reparti quand Mathilde s’est accrochée au cou de Charles pour le remercier de cette splendide journée. Comme il n’avait qu’une fine chemisette, il n’a pas pu que sentir deux tétons tout fiers contre sa poitrine. Ajouter à ça le gros baiser très, trop, près de ses lèvres, il n’a pas réussi à contenir un début d’érection. Elle avait beau être vierge, sa maman l’avait bien préparé à la vie, elle a tout de suite compris ce qui se passait entre leurs deux corps.
Alors que tout le monde le vouvoyait et l’appelait « Monsieur le baron », elle, non. Il l’avait laissé faire depuis le premier jour, surprenant tout son monde, et depuis, rien n’avait changé.
Elle se colle encore plus contre l’homme qu’elle convoite, grimpe sur la pointe des pieds et pose ses lèvres sur les siennes. Et voici les premières secondes de leur grand amour. Moins de six mois après, ils se mariaient le jour des quarante ans du « baron » et elle perdait sa virginité durant sa nuit de noces. Elle lui donnera deux enfants rapidement, l’âge de monsieur faisant, ils ne voulurent pas perdre de temps.
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Ils s’installent confortablement dans deux canapés face à face, il lui propose un café avec des gâteaux, « maisons » bien entendu. Ils discutent de tout et de rien, les chantiers en cours et à venir, le temps, le prix du carburant… Après le café, la bouteille de cognac est de sortie. Grégoire tente bien de refuser, mais il est obligé de céder devant l’insistance du baron. Sa journée est finie et au pire, comme il vit seul, il sait qu’il peut dormir ici, ce ne sera pas une première.
Grégoire s’étouffe avec une gorgée du fort breuvage alcoolisé qu’il venait de prendre en bouche.
Un blanc s’installe, les deux hommes profitent de leurs breuvages. Grégoire a bien du mal à répondre, mais entre hommes, il se doit d’être solidaire.
Une nouvelle fois, le temps se suspend. Les deux hommes ne se regardent pas, ils ont le nez dans leurs verres. Charles propose une nouvelle rasade à son interlocuteur, rompant ainsi le silence.
Les deux hommes discutent une bonne partie de la nuit en s’épanchant de très bons alcools et en dégustant un sublime souper apporté par une employée de la maison.
Avec un naturel déconcertant, Charles détaille leurs pratiques sexuelles sans tabou ou presque pour démontrer que sa femme n’est pas une frigide opportuniste comme ce qui se dit dans le pays. Plus la conversation avance, et moins Grégoire trouve d’arguments pour s’opposer au projet, son cerveau ne fonctionne plus bien. Ils vont se coucher s’engageant à se retrouver demain matin à neuf heures sur la terrasse de la cuisine.
L’alcool aidant, Grégoire s’endort rapidement et fait un bond quand son téléphone annonce l’heure du réveil. Il passe sous la douche et grâce à son kit « baise-en-ville » toujours présent dans sa camionnette, il arrive frais et pimpant sur la terrasse, retrouvant le maître des lieux. Le café est excellent et les produits variés. Les deux hommes, face-à-face sur la table ronde en fer forgé, discutent de tout et de rien, mais surtout pas du sujet d’hier quand Mathilde arrive en petite nuisette courte très sexy. Elle se colle dans le dos de son homme et l’embrasse tendrement et se câline longuement avant de prendre place entre les deux hommes saluant l’invité d’un « Bonjour, Grégoire ».
C’est la première fois que Grégoire voit cette femme autrement que dans ses tenues strictes qu’elle porte habituellement pour diriger la maison. Il ne peut cacher son trouble devant le spectacle. De son côté, Charles est content du tour qu’ils sont en train de lui jouer, car tout ce qui se passe actuellement a été préparé soigneusement. La femme agit comme si de rien n’était alors qu’elle est pratiquement nue sous le soleil déjà bien haut qui accentue la transparence du tissu.
Elle se penche plus qu’il ne faut vers lui, pour attraper une tartine lui dévoilant presque entièrement un sein. De l’autre côté, son mari peut profiter d’une vue agréable sur une de ses fesses. Comme elle attend sa réponse, elle le regarde bien dans les yeux, un léger sourire aux lèvres. Il finit par bafouiller une réponse.
Elle continuera son spectacle durant tout le repas parlant de tout et de rien, puis subitement, elle se lève et quitte la terrasse sans un mot.
Les deux hommes vont encore discuter un moment pour finalement s’accorder sur un scénario. « Battre le fer tant qu’il est chaud », pense le baron, et il impose de son autorité naturelle revenue soudainement :
Grégoire essaye bien de discuter, mais en vain, le « boss » a parlé ! donc il rentre chez lui la tête pleine de questions, mais en même temps le corps tout excité. Seul dans sa voiture, il passe les doigts dans son caleçon pour constater que l’extrémité de son gland est toute gluante. Il doit avouer qu’elle l’a bien allumé, la dame, et qu’il a maintenant très envie d’aller plus loin avec elle. Mais en même temps, la situation est quand même bien spéciale.
À l’heure convenue, il arrive sur place, il est accueilli par le couple en tenue très cool, comme convenu, un short jusqu’aux genoux pour lui et juste sous les fesses pour elle, ainsi qu’une chemisette avec manches courtes pour lui et sans manches pour elle. Malgré un décolleté envoûtant et l’absence de soutien-gorge, Grégoire regrette un instant la nuisette de ce matin.
La soirée se passe simplement, presque banalement entre amis qui se régalent de gourmandises légères et d’un rosé excellent. Le soleil montre ses premières faiblesses quand une employée de maison informe la maîtresse des lieux :
Les deux hommes lui retournent la politesse en la regardant quitter la scène avec professionnalisme. Elle n’est pas toute jeune, sa tenue est de rigueur, mais elle dégage un certain charisme. Charles se permet de préciser :
Pendant que les garçons dissertent, Mathilde se lève refusant toute assistance, fait deux ou trois aller et retour pour débarrasser les derniers verres et déclare d’une voix suave.
Il y a déjà plusieurs minutes que les deux hommes ont fini leur café bien calés dans leur fauteuil quand madame fait son apparition en s’exclamant théâtralement.
Elle est magnifiquement belle dans son petit peignoir, les doigts agitant ses cheveux encore humides. En quelques secondes, la tension dans la pièce monte d’un cran. Après sa longue démonstration, elle passe derrière son mari et avec une infinie tendresse lui caresse la tête et le visage. Leur amour et leur complicité sont indéniables. Après des gestes d’amour, elle se penche sur son épaule, dévoilant à Grégoire se trouvant en face une bonne partie de sa poitrine, et chuchote à l’oreille de son homme, assez fort toutefois pour que les deux hommes entendent :
Elle fait le tour du salon telle une chatte, pour se positionner dans le dos de l’invité. Posant ses mains sur ses épaules, elle commence un tendre et délicieux massage. Grégoire, surpris par ce premier contact, lâche un frisson incontrôlable et un petit gémissement tout aussi impossible à contenir. Elle ne laisse rien paraître, mais c’est la première fois de sa vie qu’elle touche un autre homme que le sien avec autant de sensualité. Elle ne lâche pas du regard « son » baron, tout en provocation, convaincue qu’il va craquer.
Mais il ne bouge pas, donc elle continue en déboutonnant la chemisette de l’homme qu’elle tripote avec de plus en plus de douceur et d’affection, espérant enfin une réaction d’opposition. Passer les premiers boutons, elle doit se pencher pour continuer, se faisant, elle pose ses seins sur le crâne devant elle, mais pour autant ses yeux restent figer dans ceux de son mari. Elle tire sur le tissu pour le sortir de la ceinture du short afin de finir d’ouvrir et écarter les pans. Aucun des hommes n’ose bouger, la pièce est immensément silencieuse, la tension est à son comble !
Elle refuse de céder, alors pour la première fois, elle commence à caresser un autre torse que celui de son homme, mais pire encore, elle le fait devant lui les yeux dans les yeux.
Grégoire se rend compte que ce n’est pas ce qui était prévu, mais pour autant, il n’arrive plus à retenir son émotion qui commence à déformer son bas-ventre. Charles s’en rend compte et sourit amoureusement à sa femme qui à son tour jette rapidement un coup d’œil vers la bosse à portée de main. Elle tente de l’atteindre, mais impossible, son bras est trop court. Alors elle se redresse pour enlever son peignoir et passe sa poitrine d’un côté de la tête de sa proie. Un de ses bras est maintenant suffisamment long pour atteindre sa cible, mais la main reste à faire des allers-retours sur le ventre à la lisière du short.
Charles est ravi de l’initiative de sa femme. Il comprend qu’elle fait tout pour le provoquer. Il ne sait pas si elle veut qu’il l’arrête, il ne veut pas intervenir, mais elle, qu’est-ce qu’elle attend de lui ?
Sortant de ces questionnements, il doit se rendre à l’évidence, il se passe quelque chose… dans son caleçon une réaction, disparue depuis longtemps, commence à se manifester. Rapidement, il se décide, il est hors de question qu’il intervienne. Le spectacle est grandiose et à son grand étonnement, il ne ressent aucune jalousie. L’amour l’emportant, il se convint qu’elle fait tout ça par amour pour lui et qu’elle espère lui rendre toutes ses capacités. Ces derniers doutes envolés, il ouvre à son tour sa chemisette et se caresse en imitant les gestes qu’il admire en face de lui.
À son tour, Mathilde comprend que non seulement il n’interviendra pas, mais en plus qu’il lui donne son consentement même si elle n’a pas respecté le scénario prévu. Il était convenu qu’elle arrive en peignoir, pour inviter leur ami à la suivre dans une chambre préparée pour la suite, mais à vouloir provoquer son mari pour le faire intervenir, elle se retrouve prise à son propre piège. Maintenant en regardant son mari se caresser, elle s’imagine que peut-être il commence à retrouver des sensations. Elle décide de continuer son spectacle, d’autant plus qu’elle doit reconnaître qu’elle n’est pas insensible à ce qui se passe. Ce visage nouveau contre son sein, cette odeur d’homme qu’elle découvre et son mari qui s’exhibe l’excitent et elle peut sentir ses fluides internes bouillir. D’une main, elle tourne la tête de Grégoire pour diriger la bouche sur un de ses tétons. Elle attrape l’une des grosses mains et se caresse l’autre sein avec.
Grégoire n’ose pas prendre d’initiative, mais il commence à se détendre et à bien apprécier la situation. Elle le dirige et il se laisse faire. Maintenant, elle plaque son sein sur sa bouche et elle insiste. Il ouvre la bouche pour profiter de l’offrande. Petit à petit, il commence à prendre les choses en main, en particulier ce sein qu’il tient maintenant fermement. Il attrape le téton, le pince légèrement, tire dessus progressivement. Il est ravi de constater qu’elle lâche de tout petits gémissements.
Le traitement que la poitrine de la femme subit est bien différent de ce qu’elle a l’habitude, mais pour autant elle apprécie et en récompense, elle reprend ses caresses sur son ventre. De nouveau, elle relève les yeux vers son mari pour constater qu’il est aux anges. Ses yeux sont rougis, mais comme il affiche un sourire amoureux, elle comprend qu’il aime ce qu’il voit. Fort de ce constat, elle déboutonne le premier bouton du short de Grégoire, Charles, en miroir, en fait autant. Les boutons se décrochent les uns après les autres, puis, rapidement, la main plonge dans le boxer pour attraper la queue qu’elle convoite. Elle n’en peut plus, ses jambes commencent à trembler, mais elle n’arrive pas à ses fins, alors elle demande de l’aide à Grégoire :
Sans attendre, il s’exécute, ses envies ont dépassé ses craintes. À peine est-il déculotté qu’elle reprend la même place et l’oblige à reprendre ses succions et ses caresses. Elle empoigne une belle tige. Elle ne semble pas aussi grosse que celle de son Charles qui est bien équipé, mais elle en apprécie la texture et la forme. Elle en a vu de toutes les formes, tailles et couleurs lors de certaines de leurs vacances, elle peut donc apprécier agréablement ce qui lui est proposé. Et dire que ce n’est que la deuxième qu’elle touche !
Elle restera de longues minutes à contempler sa main aller et venir décalottant un gland qui se gorge de plus en plus. Elle sent ses seins être de plus en plus fermes, ses tétons de plus en plus sensibles. Elle ne peut non plus ignorer sa vulve qui coule comme rarement. Elle aime branler, elle y trouve une grande fierté, elle se sent puissante. Au bout d’un long moment, elle repense à son mari, mais elle n’ose pas lever les yeux ne sachant ce qu’elle va trouver. La curiosité finit par l’emporter.
Charles est en extase de voir sa femme s’occuper d’un autre. Il ne sait pas pourquoi, mais il adore. Il ne ressent aucune jalousie, aucune gêne, il apprécie le spectacle. Quand il a proposé à sa femme de prendre un amant, il s’était convaincu que de la savoir avec un autre déclencherait une réaction de jalousie chez lui qui lui redonnerait ses capacités. La réalité est tout autre, il retrouve ses capacités, mais par amour de ce qu’il voit. Quand de nouveau elle le regarde, il est aussi « bite » à l’air. Il se branle en respectant le même rythme que sa femme impose à son ami. Son sexe est dur comme il y a bien longtemps que ce n’était pas arrivé. De voir son homme ainsi, Mathilde ne peut retenir ses larmes. Son mari s’en rend compte et intervient tendrement :
Elle contourne le canapé, s’approche de son mari, l’embrasse en caressant son gland qui sort de la main qui l’empoigne. Le baron l’incite à retourner auprès de leur ami.
Elle comprend que c’est le spectacle qu’elle lui propose qui lui a redonné ses capacités et décide de continuer et de profiter.
Elle embrasse passionnément son mari comme seuls deux amoureux peuvent le faire. Puis, tout en le regardant, elle fait le tour de la table en marche arrière très prudemment, écarte les jambes de chaque côté de celle de l’autre homme, se baisse pour attraper la tige qu’elle a branlée et vient s’empaler en s’assaillant. Elle ne peut contenir un énorme gémissement libérant la tension accumulée en elle depuis un bon moment maintenant. Elle commence à monter et à descendre de plus en plus vite et de plus en plus fort. De la tête, elle incite son mari à se caresser. Ce qu’il fait naturellement tout en l’invitant à son tour à faire la même chose.
Alors elle pose une de ses petites mains sur un sein et attend, il fait de même, elle se caresse, lui aussi. De son autre main, elle branle son clitoris, il attrape son gland.
Grégoire n’en peut plus, il la tient par les hanches pour tenter de la faire ralentir, mais rien n’y fait, elle ne veut plus attendre, au contraire elle accentue ses mouvements. Il se crispe subitement.
Bien que ce soit un homme différent de celui qu’elle chevauche depuis longtemps, elle comprend que la limite est dépassée. Les grosses mains de l’homme lui maintiennent les hanches la bloquant pendant que de grosses giclées viennent l’inonder. Elle s’écroule sur le torse de celui qui vient de la faire jouir, mais elle ne lâche pas son mari pour autant.
Au bout de quelques secondes, elle se lève, laissant des mélanges de fluides coulés le long de ses jambes. Elle se rapproche du gros étendard fièrement dressé devant elle et vient s’empaler dessus dans un double gémissement. Ils s’enlacent, ils se caressent, ils s’embrassent. Ils font l’amour comme ils n’avaient plus fait depuis trop longtemps.
Discrètement, Grégoire se retire.