n° 20950 | Fiche technique | 15913 caractères | 15913Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/06/22 |
Résumé: Juste un rêve. | ||||
Critères: fh exhib photofilm lingerie -revebebe -rencontre | ||||
Auteur : Koubael Envoi mini-message |
Je me levai doucement en tirant un foulard de soie de ma poche de chemise.
Elle me prit la main en hochant la tête d’approbation, tout en confiance. Je cachai ses jolis yeux bruns clairs du foulard noir qu’elle trouva doux et soyeux, puis je lui susurrai à l’oreille, d’une voix suave en lui reprenant la main :
Nous montâmes des escaliers puis traversâmes un palier jusqu’à nous arrêter. Elle entendit une porte s’ouvrir en grinçant légèrement, puis sentit une chaleur plutôt élevée en la franchissant. Quand soudain le foulard glissa lentement sur son nez aquilin, elle ouvrit les yeux. La pénombre régnait, éclairée par-ci par-là par des cierges dans des bougeoirs individuels. Elle vit une baignoire remplie de mousse recouverte de pétales de roses.
Abasourdie, elle décida de profiter de ce moment pour elle et commença à se dévêtir. Elle retira les bretelles de sa mini-jupe plissée qui glissa au sol, puis elle déboutonna lentement sa chemise et la retira. Elle était en sous-vêtements dans la salle de bain de son meilleur ami, et pas n’importe lesquels : une combinaison blanche toute en dentelles vraiment sexy. Elle s’en défit finalement, dévoilant à elle seule ses petits seins blancs, ses abdos superbement dessinés et son mignon ticket de métro fraîchement épilé, puis elle finit par se glisser dans la baignoire bien chaude.
Pendant cinq minutes, elle se relaxa en pensant à l’incongruité de la situation avec un petit sourire aux lèvres quand elle entendit, à travers la musique, quelqu’un frapper très légèrement à la porte.
Entendant ces mots, j’ouvris la porte et en franchis le seuil, poussant une desserte à roulettes sur laquelle elle vit une bouteille de champagne, une flûte vide, une coupelle remplie de fraises fraîches coupées en deux, et un gros pétard reposant sur un cendrier. Puis, levant les yeux, elle m’aperçut, et un éclat de rire retentit… Je portais un déguisement de serveur sexy composé d’un faux col blanc à nœud pap', de deux tours de poignets blancs, et d’un string doté d’un triangle blanc avec nœud pap' pour cacher mes bijoux de famille. La surprise et l’hilarité la gagnèrent.
J’avais bien conscience du ridicule de mon allure, me tenant là, debout, quasi nu avec mon ventre proéminent et poilu, ma barbe épaisse et taillée, mes cheveux mi-longs attachés en mini queue de cheval, mais je ne me désarçonnai pas et demandai :
Elle prit de tout, et moi je restai debout à côté d’elle, à lorgner sur les bouts de peau de la Dame qui se dévoilaient au fur et à mesure.
J’attrapai une éponge et, sans un mot, la trempai dans l’eau pendant qu’elle se pencha en avant, collant sa menue poitrine contre ses genoux repliés. Je posai l’éponge sur sa nuque et commençai à descendre lentement le long de sa colonne vertébrale tout en faisant des mouvements circulaires avec l’éponge. Arrivant aux frontières du fessier, je n’allai pas plus bas et entamai des mouvements de droite à gauche en remontant dans le dos. Toujours sans la moindre parole, de ma main libre, je lui pris l’épaule pour la tirer en arrière doucement. Quand son dos toucha la baignoire et qu’elle tendit ses jambes, j’aperçus trois choses : la première fut qu’elle était en totale détente, les yeux fermés ; la seconde et la troisième étaient ses deux seins qui sortaient de l’eau, d’où se dressaient fièrement les tétons pointant au sommet de ses deux petites mandarines. Je continuai à la frôler avec l’éponge, d’abord sur les bras, puis partant des pieds, une jambe après l’autre, du bout des orteils jusqu’en haut de ses cuisses bien fermes après des heures de fitness, mais sans jamais m’approcher de ses seins ni de son pubis. Ce spectacle magnifique fit se réveiller ma verge qui commença à tendre le cache-sexe. Heureusement qu’elle n’ouvrit pas les siens à ce moment-là.
J’épongeai ses bras. Pour cela, je les levai un à un et fis descendre l’éponge en partant par la main, enchaînant par le bras, puis à peine un effleurement de l’aisselle et du galbe de son sein pour s’arrêter à la hanche. Et ce qui dut arriver se produisit : elle ouvrit lentement les yeux et me regarda comme jamais elle ne l’avait fait, sans aucun préjugé, profondément de la tête aux pieds, mais à mi-chemin elle vit quelque chose qui la fit sourire.
Elle sortit sa main de l’eau lentement et la dirigea vers mon string tandis que moi, je restai planté sans bouger, le bec cloué. Elle empoigna ma bite délicatement pour la juger au toucher.
Elle la sortit délicatement de son écrin de coton et ne la laissa pas se dresser sauvagement, mais commença à la caresser lentement par de longs va-et-vient. De son autre main, elle vint savonner ma verge bandée et la rinça. Puis, après un coup de langue plein de promesses, elle me demanda de sortir de la pièce avec comme dernier service de lui rapporter son sac avec son linge de nuit, ce que je fis, encore muet de surprise.
Après lui avoir ramené son sac, je quittai mon déguisement de serveur et enfilai à la place un caleçon en soie pourpre. Je me dirigeai vers le salon, tranquillement, dégustant encore mentalement cette branlette/lavage rapide suivie de la léchouille. Sentir un piercing sur une langue lors d’une gâterie était pour moi une première. D’y repenser me fit bander encore plus fort. Posé sur le canapé, je préparai un bon film d’horreur comme elle les aimait, en espérant qu’elle se réfugie dans mes bras au moindre moment effrayant, ainsi qu’un bédot pour détendre l’atmosphère.
La dame prit son temps, mais toute bonne chose se fait attendre.
Une dizaine de minutes passèrent avant que j’entende du bruit à l’étage. Comme un enfant pris en faute, j’essayai de camoufler ma trique du mieux possible en tirant le plaid un peu plus haut sur moi. Quand je tournai la tête vers la porte, elle y apparut telle une divine vision. Elle portait une chemise de nuit blanche en soie également, une imitation de chemise d’homme, celle-ci s’arrêtait au ras des fesses et laissait apparaître ses longues jambes nues. Seulement trois boutons étaient fermés, laissant un décolleté plongeant accessible à tout regard.
Le flash commença à crépiter… Madame alternant les poses dont elle avait l’habitude lors de ses défilés de miss fitness.
Elle rit encore et, sans rien dire, se mit à suivre mes directives. En changeant d’angles de vue, je réussis à apercevoir la naissance d’un sein dans l’échancrure de la chemise, un téton qui pointait. Même un peu de dentelle se fit voir au niveau de l’entrejambe lors de changements de position.
Moi, tout content, je passai l’appareil photo en mode mitraillette pour ne pas en perdre une miette. J’eus le droit à un effeuillage torride, de plus de cinq minutes juste pour la voir sans chemise. Enfin, sa menue poitrine était entièrement dévoilée, fière, droite, les tétons pointant comme des missiles.
Sa culotte était un string tout en dentelle, sauf la ficelle qui était comme un collier de perles passant entre ses jambes. Voyant ça, je cessai les photos, posai mon smartphone et avançai en tendant la main gauche vers ses seins si appétissants.
Seulement un regard et un hochement de tête vertical en réponse, alors je posai délicatement ma main autour d’un sein, le téton entre mon pouce et mon index. Je penchai ma tête pour prendre le second en bouche, et alternai succions et coups de langue sur le deuxième téton. Ma main droite la saisit fermement par la hanche pour la coller contre mon corps. Ma bouche quitta son téton turgescent pour aller l’embrasser fougueusement sur la bouche, nos langues se mélangeant frénétiquement.
Je m’arrêtai, à regret, pour lui demander dans un murmure si elle consentait à m’accompagner dans une chambre. Elle répondit faiblement :
On monta les escaliers main dans la main, Ju juste devant moi me laissant profiter de la vue de son petit cul musclé nu qui se balançait. À l’étage, l’excitation nous fit rentrer dans la première chambre que l’on trouva. À l’intérieur, elle se mit à genoux sur le lit et commença à embrasser mon torse et mon ventre.
Ju qui prenait les devants… je devais rêver… Surtout, ne te réveille pas !
Elle s’amusa à me donner des frissons et à faire tressaillir mes muscles. Ma peau était électrique et réagissait au moindre stimulus. Sa bouche était chaude et tendre, mon corps d’homme se réveillait. Elle passa sa main sur mes fesses et mordilla ma peau. Mon bas-ventre picotait et se réchauffait. Mon corps était à l’affût de la prochaine sollicitation. Ses pouces baissèrent mon sous-vêtement, ma verge se déployant d’un coup.
Ju se mit à quatre pattes sur le lit et lécha ma hampe de sa base au gland, puis repartit en sens inverse. Elle déposa des bisous tendres qui intensifièrent ma respiration et me mirent complètement au garde-à-vous.
Je sentais la chaleur de sa bouche envelopper mon bout rose, le sourire qui m’habitait s’accentuait sous le plaisir. Mon amie me suçait délicatement, en prenant son temps, je trouvais cette expérience délicieuse.
Les sensations physiques étaient au rendez-vous, pourtant elles furent supplantées par un plaisir plus cérébral. Il y avait tant d’amour et de tendresse dans son geste que ce fut un bonheur difficile à retranscrire.
La vision que j’avais d’elle à quatre pattes, son cul éclairé par la lune, était divinement érotique.
Elle me garda un long moment dans la chaleur divine de sa bouche. Elle faisait tournoyer sa langue, insistait parfois sur l’extrémité sensible de ma verge tout en me branlant avec ses longs doigts fins.
Je soupirai et grognai en fermant les yeux. Je sentis mon orgasme proche, avant qu’il ne m’envahisse, je la repoussai gentiment.
Je m’allongeai sur le lit et l’invitai à me chevaucher. Avec un sourire, elle s’assit sur moi et frotta son intimité à la mienne. Sa cyprine inonda ma virilité. Ju gémit et ferma les yeux. Ce fut un réel plaisir de constater son excitation et de sentir son désir.
Elle prit mon pieu et le fit disparaître dans ses replis chauds. Elle ondula son corps, adapta l’angle de pénétration et chercha son plaisir en aiguisant le mien. Mes mains caressèrent ses deux seins offerts juste devant moi.
Elle accéléra, mes gestes devinrent plus virils, mes caresses plus appuyées, avant que mes mains ne se fixent sur ses hanches. Nos yeux se trouvèrent et ne se lâchèrent plus. Je voyais sur son visage la flamme du désir, j’adorais ça.
Elle s’allongea sur moi et m’embrassa. C’était le pied… J’imposai à son bassin des mouvements plus secs, plus profonds, plus intenses. Sa bouche quitta la mienne, elle avait besoin d’air.
Le plaisir arriva mais je me contrôlai en respirant profondément, pour une fois que mon amie se lâchait, je ne voulais pas tout gâcher en la privant d’un bel orgasme. Ses muscles se contractèrent autour de moi, je sentis sa reddition proche. Son visage grimaça, sa bouche respirait bruyamment, ses doigts se crispèrent sur les draps.
Ma sève monta le long de mon sexe et explosa en elle, Ju jouit en étouffant son cri contre mon cou. Ses spasmes me massèrent délicieusement, j’avais l’impression que son corps voulait aspirer chaque goutte de ma semence.
Cela faisait une éternité que je n’avais pas vécu un orgasme simultané avec quelqu’un, j’avais presque oublié cette impression de ne faire qu’un, cette union des corps et des sens.
Elle se laissa retomber tout contre moi, attrapa ma tête, la tourna vers elle et m’embrassa fougueusement, nos langues dansèrent l’une avec l’autre dans un ballet torride,
Puis elle posa sa tête sur mon torse et je profitai en silence de ce moment merveilleux.
Je ne sais pas combien de temps cela prit, mais on s’endormit dans cette position jusqu’au petit matin.