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n° 20957Fiche technique11478 caractères11478
1989
Temps de lecture estimé : 8 mn
11/06/22
Résumé:  Pour se venger de son mari qui la quitte, Agnès sollicite un collègue pour enregistrer une sextape à destination de son ex. Mais rien ne se passe comme prévu.
Critères:  #vengeance fh fplusag extracon collègues grosseins groscul exhib vidéox anulingus pénétratio fsodo
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Telle est prise qui croyait prendre




Stanislas, dit Stan, était toujours tombé sur un mur lorsqu’il avait voulu draguer Agnès. Réputé tombeur, cet athlétique barbu à queue de cheval avait fini par accepter son échec, bien qu’il ait eu toujours envie de sauter cette petite brune pulpeuse d’à peu près son âge, la quarantaine. Il est vrai que si lui était un célibataire endurci, elle était mariée et mère de famille, et n’avait visiblement nulle envie de céder comme certaines de ses collègues féminines aux desiderata de ce mâle très sexué qui partageait leur « open space » d’entreprise. C’était à la fois un mouvement d’orgueil (pas question de passer derrière elles) et une certaine conception de la fidélité conjugale. Elle voyait bien tous les ragots qu’avait provoqués la faiblesse de telle ou telle collègue lorsqu’elles avaient capitulé devant la drague de Stan. Et ce n’est pas parce que certaines avaient loué mezza voce la virilité de l’homme à la queue de cheval qu’elle était décidée à franchir le pas à son tour.


C’est pourquoi le gaillard tomba des nues le jour où Agnès demanda à lui parler en privé devant un café, pour lui tenir ce langage :



À ce stade, Stan se demanda quel diable de service sa collègue pouvait lui demander. Il se voyait mal jouer les conseillers conjugaux pour tenter de rabibocher le couple. C’est en gros le discours qu’il lui tint, non sans s’étonner qu’on puisse tromper une femme comme Agnès. Mais celle-ci répondit :



Stan en fut muet de surprise, au point qu’Agnès ne put s’empêcher de sourire.



Stan approuva vigoureusement du chef. Pouvoir palper les gros nichons d’Agnès et entrer dans son cul joufflu, il en rêvait depuis belle lurette.



Stan la rassura. Il avait bien une go pro et il s’en était servi avec certaines de ses partenaires particulièrement « exhib ». Et rendez-vous fut pris pour le samedi suivant.




**********




Elle débarqua pour la première fois chez Stan dans une petite robe qui moulait son buste et découvrait ses cuisses. Pour une fois, c’est lui qui était tendu alors qu’elle semblait très relax. Comme si elle était heureuse par avance du bon coup qu’elle allait jouer. Il lui offrit à boire et elle demanda un alcool fort histoire de se désinhiber un maximum. Lui se contenta d’un soda, car l’alcool risquait de le faire débander prématurément. Ils échangèrent dans son salon et assis face à elle, il aperçut son slip. Elle l’interrogea sur sa vie privée. Avait-il une petite amie ? Il lui assura que non, ce qui la rassura. Elle lui avoua qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis plusieurs semaines, « et encore, c’était moche ». Il lui demanda si elle avait vraiment du désir, condition importante pour la réalisation de sa sextape :



Réponse qui stupéfia l’intéressé. D’autant qu’elle ajouta :



Mis devant le fait accompli, le « macho » baissa son pantalon et libéra un pénis plantureux qui avait déjà réjoui bien des femmes. Agnès plissa les yeux et s’humecta les lèvres :



Il lui fit découvrir la chambre et la go pro posée sur son trépied, dans le prolongement du lit. Il lui assura qu’il pouvait la déplacer et même la sortir de son socle au besoin. Et elle lui dit :



À moitié déculotté, Stan se sentit raidir. Elle avait vraiment envie de se faire sauter, Agnès, quoi qu’elle en dise. Il ne fut pas surpris de la voir prendre sa robe par le bas et de la faire passer par-dessus sa tête, dévoilant un soutif pigeonnant d’où ses seins lourds débordaient largement, et d’un mini-slip qui se perdait dans la raie de ses fesses potelées. Elle s’en débarrassa dans la foulée et s’allongea à poil sur le lit, exposant sans complexe un pubis brun et fourni.



Hors champ, il se débarrassa à son tour de ses vêtements et apparut sur le lit, la bite déjà bien érigée. Agnès regarda la caméra d’un air mutin et, tout en gardant un œil sur l’objectif, saisit le membre viril de deux doigts et le porta à sa bouche, assortissant sa succion de « mmmhh » gourmands et même d’un léger massage de couilles de l’homme à genoux. Stan avait prévu un angle suffisamment grand pour que rien ne puisse échapper au voyeur obligé. L’épouse délaissée, après avoir bien pompé son étalon et produit une spectaculaire érection, s’adressa alors à la caméra :



Ainsi dirigé, Stan se glissa, dûment capoté, entre les cuisses bien ouvertes d’Agnès et la pénétra sans difficulté, aussitôt cerné par ses mollets. Il roula savamment des hanches, rabotant les parois vaginales, creusant le déduit, et la pièce s’emplit des cris de plaisir d’Agnès, aussitôt enregistrés par la caméra, bien centrée sur le cul poilu de Stan. La réalité de la pénétration ne pouvait pas échapper au mari.


Après s’être bien fait talonner les reins, Stan se détacha pour enfiler Agnès par-derrière. C’est elle-même qui choisit de se mettre en travers de lit, ce qui obligea le vidéaste à modifier l’emplacement de la go pro. La pénétration rectiligne, vigoureuse, massive, accompagnée de coups de cul d’Agnès et de ses nichons en bataille, fut filmée de profil. Elle poussa de surcroît le vice à fixer l’objectif en manifestant sa jouissance.


Il éprouva le besoin de faire une pause, car l’enthousiasme sexuel de sa partenaire menaçait de le faire éjaculer prématurément. Il prit la caméra en main et filma son cunnilingus avec gros plan alterné sur sa langue et sur le visage rayonnant de la pulpeuse brune. Touchée par un fulgurant orgasme, elle se cabra et il faillit en lâcher la go pro, le plan devenant juste un peu chaotique. Elle considéra alors l’érection intacte, la flatta, la suçota amoureusement, comme un objet rare.



Et de lui imposer une position couchée avant de s’empaler sur lui, la caméra ayant retrouvé son trépied. Cette fois, c’est son cul mouvant que le voyeur obligatoire put considérer. Pas de doute possible : elle baisait. Elle se mit sur ses pieds pour allonger la bite et retomber sèchement en poussant de petits cris avant de se remettre sur ses genoux et de faire aller ses hanches dans un mouvement de rotation qui la fit jubiler.


Mais le meilleur était encore à venir. Elle se retourna et s’empala à nouveau, cette fois face à l’objectif. Son visage crispé par le plaisir devait se voir plein écran, au-dessus de ses seins lourds en mouvement. Tantôt penchée en avant, tantôt redressée et même penchée en arrière, découvrant totalement les deux sexes joints, elle était l’image même du plaisir sexuel féminin. Elle eut un orgasme qui la fit trembler et elle s’immobilisa avant de se détacher et de s’adresser à la caméra :



Agnès jubilait intérieurement en imaginant la tête du voyeur. Mais elle jubilait aussi extérieurement, car elle était bien obligée de reconnaître que le « macho » la régalait comme elle l’avait rarement été. Face à l’objectif, elle se cambra pour accepter l’enculade, gémit un peu au début puis le plaisir irradia ses traits. Le claquement des peaux envahit la chambre, et l’enregistrement ne pouvait que les répercuter.


Stan prit alors l’initiative de la pénétrer alternativement par les deux trous, l’anal et le vaginal. On ne lui avait jamais fait ça, à Agnès. Elle ouvrit grand les yeux et la bouche. Son corps, déjà bien échauffé, entra franchement en ébullition. Elle perdit totalement les pédales, bredouilla des onomatopées seulement intelligibles par une série de « encore », et surtout en oublia la go pro. Elle ne pensait plus qu’à cette bite qui la faisait se sentir femelle comme elle ne l’avait encore jamais été.


Conscient de la transformation de sa partenaire, qui ne jouait plus un rôle, mais baisait avec ferveur, Stan, les mains rivées sur ses hanches rondes, approfondit et accentua sa pénétration, s’enfonçant jusqu’au pubis avec frénésie tandis qu’Agnès bramait à s’user les cordes vocales. Il se pencha en avant pour lui palper les nichons dans un corps à corps qui manqua de peu de la faire défaillir. Il se redressa pour rester dans le champ de l’objectif, car il voulait qu’Agnès découvre quel orgasme il lui avait fait connaître.


Elle eut alors un mouvement de cul qui emporta les dernières résistances du mâle et il gicla dans sa capote en grognant, suscitant sur le visage d’Agnès un ravissement inédit à la fin de ses ébats sexuels. Après quelques minutes, le couple se détacha, Agnès, encore haletante, reprit son souffle et saisit le visage de Stan pour l’embrasser avec passion en lui disant simplement : « merci ». C’est seulement alors qu’elle se rappela l’existence de la go pro. Et elle éclata de rire.




************




Comme elle l’avait prévu, elle transmit la vidéo en pièce jointe à son ex-mari qui, à sa grande surprise, ne manifesta pas une violente réprobation, mais une simple remarque : « si tu avais baisé comme ça avec moi, on serait peut-être encore ensemble ». Mais cela importait finalement peu à Agnès, car elle était tombée vraiment amoureuse de Stan. Elle ne le voyait plus comme un « macho », mais comme un amant hors pair qui la conduisait systématiquement à l’orgasme, qui lui avait révélé son corps, qui l’avait fait rajeunir.


Son comportement s’en ressentit. Elle était devenue à la fois plus sexy et plus ouverte aux autres. Au lit, elle était plus inventive, n’hésitant pas à prendre des initiatives pour garder son amant. Du coup, celui-ci ne draguait plus et lui aussi changeait. Ils finirent par se mettre en couple de la manière la plus classique. Mais de temps en temps, ils sortaient la go pro pour enregistrer leurs tumultueux ébats, désormais sans capote. Mais cette fois, pour leur vidéothèque privée. « Pour nos vieux jours », disait Agnès, qui voyait loin.