n° 20974 | Fiche technique | 22939 caractères | 22939Temps de lecture estimé : 15 mn | 27/06/22 |
Résumé: Un soir en bord de mer, un couple va passer une soirée inattendue. | ||||
Critères: fh vacances caférestau amour voir caresses fellation pénétratio jouet tutu -couple -lieuxpubl | ||||
Auteur : Uneplumedansunebulle Envoi mini-message |
Le ciel est noir, la mer est démontée et à l’intérieur de la maison on entend le vent souffler. On vient de se balader main dans la main sur la plage, profitant des derniers rayons de soleil, le vent dans les cheveux…
L’air est chaud, comme un soir d’été…
Avant de prendre un verre et de sortir au restaurant, direction la salle de bain. Je te déshabille délicatement en passant mes lèvres sur ta peau moite. Mes mains caressent tes épaules et, doucement, je fais tomber un à un tes vêtements. Tu es nue contre moi, mes mains caressent ton corps et mes lèvres couvrent de baisers ton visage. Je cherche ta bouche, tes lèvres déposent des baisers d’abord légers, avant de jouer avec ma langue…
Ma bouche découvre ton cou, tes épaules… Tu commences à avoir froid. ! Tu te glisses sous la douche et tu me regardes me déshabiller. Je m’amuse à te faire un strip-tease… Avant de te rejoindre. Au fur et à mesure que je me déshabille, tu constates que mon envie monte…
Tes mains viennent se coller sur ma peau, ton corps humide vient se colle au mien… Hummmmm, cette sensation ! Mon sexe se tend entre nous et je sens ta main qui vient le chercher, le caresser. Tes yeux, ton regard jouent avec moi. Tu me pousses contre la paroi et tes mains se baladent sur mon corps, jouent avec moi, avec mon sexe… Tu ne veux pas que je te touche… Tes lèvres se collent sur mon torse…
J’aime quand tu es comme cela devant moi. Ton regard me donne du plaisir, ton sourire me met le feu, tes mains m’électrisent, ta bouche me fait frissonner…
Doucement, tu t’écartes et te rapproches de moi. De temps en temps, tes mains se promènent sur ton corps pour bien me faire envie, et me montrer ton envie de moi. Toujours sans bouger, je profite de te regarder, tu es belle, tu souries. Je te veux. À chaque fois que tu te rapproches de moi, mon corps se tend vers toi comme aimanté… Tu l’esquives, l’effleurant, le caressant du bout des doigts, du bout des lèvres.
Tu me fais patienter… Alors ta main vient se poser sur ton sexe. Tu te caresses devant moi… Je sens tes doigts se poser sur ma verge… Tu me caresses au même rythme que toi… Hummmmm… Tes doigts remontent vers nos bouches. Je les goûte, chargés de ton envie pendant que tu goûtes la mienne… Nos bouches se mélangent comme pour préparer nos corps à une fusion inéducable… je frissonne de plaisir.
Ta bouche descend le long de mon torse et vient me prendre… ton regard dans le mien… je suis à deux doigts de défaillir tellement c’est bon… Profondément, je suis en toi.
Sans cesser de me regarder, ta bouche, ta langue parcourent mon sexe… Tu me manges profondément, tu joues avec ta langue sur le bout. Mon plaisir monte fort, vite. J’ai envie de baiser ta bouche, de la faire mienne… Tes yeux me font chavirer…
Doucement, tu te décales afin de me montrer que ton autre main s’applique au même rythme sur ton sexe… je sens ton plaisir au travers de ton souffle, de tes gémissements étouffés par mon sexe… Mon plaisir monte… Tu arrêtes de te caresser et tes doigts dans ma bouche je goûte ton plaisir, pendant que le mien s’écoule en toi. Je jouis dans ta bouche. Tes doigts chargés de ton plaisir dans la mienne…
Doucement, tu reviens vers moi, tes lèvres sur les miennes, nos langues se mélangent… Hummmmm, nos plaisirs se mélangent…
Je te sens très excitée. Je t’effleure les seins, ils pointent vers moi et t’arrachent un petit râle de plaisir… Mais tu ne veux pas que je te touche plus… Tu vas rester comme cela… Hummmmm, c’est bon de te sentir excitée…
J’ai envie de te donner du plaisir et en même temps de te laisser patienter… Mes mains viennent te caresser, profitant de l’excuse du savon, de la serviette, de se croiser… Dès que j’effleure ta peau, tu es électrique…
On se prépare pour aller au restaurant… sans que tu le saches, je ne mets pas de sous-vêtements. J’adore la sensation, j’adore le moment où tu t’en rends compte.
Je te regarde t’habiller. Tu as choisi des bas, une jupe et un haut qui moule ta poitrine. La pointe de tes seins est bien visible. Dès que je te vois, je ne peux m’empêcher de jouer à travers le tissu. Tes seins pointent franchement, preuve de ton excitation. Ton écharpe rouge les cache de la vue de tous… mais moi je les sens gorgés d’envie… Je veux les faire rouler sous ma langue… Au moment de partir, je te regarde, tu es belle. Mais je ne peux pas te laisser partir comme cela. Je remonte ta jupe. Je me mets à genoux devant toi. Hummmmm, tu es belle, ton string, tes bas mettent en valeur tes jolies jambes, tes fesses… Je fais glisser le string sur le côté pour que ma langue te goûte enfin… D’abord juste en effleurant tes lèvres puis doucement le bout de ma langue écarte tes lèvres… Je voudrais de faire partager le moment de plaisir que tu m’as donné tout à l’heure. Mais je veux te faire patienter. Je joue avec tes lèvres. Ma langue te pénètre profondément… Comme je suis libre dans mon pantalon, une douce sensation s’installe en moi… Ma langue trouve enfin ton clitoris, mais rapidement. Je le laisse comme cela… gorgé de plaisir… À la place, je glisse ce jouet que l’on vient de s’offrir. Je vais pouvoir avoir le contrôle sur toi, tu sentiras mes caresses à distance.
Au moment de passer la porte, j’en profite pour glisser dans ton sac les menottes… Ton regard est interrogatif. J’aime quand tu ne sais pas ce qui va se passer. Direction le restaurant, une douce vibration se fait sentir en toi… Je te sens chargée d’envie. Moi aussi j’ai envie de toi. Je te sens hésitante, entre l’appréhension et le laisser-aller.
Tu redoutes le moment où tu vas rentrer dans le restaurant et où je vais jouer avec toi au travers du sex-toy. Tu sais que je vais abuser de la situation, te porter au bord du plaisir pendant le repas, te faire languir, te faire sentir mon envie, et profiter de la nappe pour glisser mes mains sur tes cuisses nues.
Mais ce que tu n’oses pas imaginer c’est pourquoi les menottes…
Tu traverses le restaurant pour aller t’installer en suivant le serveur, le jouet vibrant en toi, je te vois le pas hésitant. Cette situation m’excite beaucoup.
Nous nous installons à une table en demi-lune sur une banquette l’un contre l’autre.
Tu es dans mes bras. Je prends ta main, je la guide sur moi, pour faire glisser tes doigts entre les boutons de mon pantalon. Tu constates que j’ai envie de toi et que je ne porte rien dessous. Discrètement, tu défais deux boutons et je sens tes doigts glisser et me caresser pendant que tu feuillettes le menu.
Je prends beaucoup de plaisir à sentir tes caresses et j’actionne le jouet un petit peu plus fort pour te partager cette sensation.
Je sens tes doigts se crisper autour de mon sexe, je te vois déconcentrée, la bouche entrouverte essayant de masquer tes émotions. Tu es à moitié concentrée sur le menu. Le serveur arrive en te surprenant. Les joues toutes rouges tu t’excuses de ne pas encore avoir choisi.
Moi je lui dis que je sais ce que je veux goûter, mais ce que ce n’est pas à la carte… Le blanc qui suit te fait rougir encore plus.
Je mets le jouet en mode aléatoire ; il se fait oublier quelques minutes puis démarre seul sans prévenir par des vibrations qui peuvent être douces, ou au contraire très puissantes. C’est bon de te voir interrompre une conversation et devoir te concentre pour ne pas crier ton plaisir.
Je te rappelle régulièrement que tu ne dois pas prendre ton plaisir dans ce restaurant. Toi, tu continues à me caresser et me masturber de temps en temps… je me colle à toi, je profite d’un baiser pour glisser mes doigts entre tes cuisses, toucher ta peau nue, effleurer ton sexe humide. Je sens que tu as très envie, ça m’excite beaucoup.
Mes mains quittent la table régulièrement pour venir caresser tes cuisses.
Tes doigts franchissent régulièrement la barrière de mon jean et caressent mon sexe… Tu me sens durcir sous ta main. Je me penche à ton oreille pour te faire partager mon ressenti, te dire que si tu venais à faire tomber ta serviette, j’aimerais sentir tes lèvres autour de moi. Je te fais partager mes sensations de tout à l’heure dans la salle de bain, comme j’ai aimé être au fond de ta gorge, prendre tes lèvres, baiser ta bouche, et me laisser caresser par ta langue. En disant cela, ta main s’active sur moi… Je te veux…
Maintenant que nous allons partir je te propose d’aller aux toilettes d’enlever le jouet et le string qui le retenait de façon à être complètement nue sous ta jupe.
Je te regarde revenir avec ton sac à main bien rempli, tu t’installes à côté de moi pour prendre un dernier café et je contrôle que tu sois bien accessible. J’en profite pour glisser mes doigts en toi, te caresser et constater que le jouet t’a fait beaucoup d’effet. Je fais rouler ton clitoris sous mes doigts. Tu te cramponnes à moi en me suppliant du regard de ne pas continuer.
Une fois dehors, on se dirige vers le centre-ville. Le bord de mer est un petit peu frais pour la tenue que tu portes. On visite le centre historique, les passants sont de plus en plus rares et au détour d’une porte cochère j’en profite pour te plaquer contre le mur, t’embrasser langoureusement, glisser mes mains le long de tes bas et remonter vers tes cuisses nues. À chaque nouvelle porte, mes mains vont de plus en plus loin et s’approchent de plus en plus de ton sexe que je sens tout chaud.
Enfin, nous trouvons une ruelle un petit peu isolée, extrêmement jolie… Des petites appliques au format de lampadaire éclairent, avec une ambiance tamisée, cette ruelle digne d’un Londres des années 1800.
Un coin d’ombre apparaît… La lampe du lampadaire est grillée. Nous nous dirigeons vers cette zone d’ombre qui va devenir notre terrain de jeu, mais tu ne le sais pas encore.
Je te demande de me donner ton sac à main. Je te prends dans mes bras, je dégage tes épaules. Ton haut ne tient plus que par le fait qu’il soit moulant, je devine que la situation commence à te faire de l’effet, car le bout de tes seins pointe à travers le tissu.
Nos lèvres se trouvent, tu caresses mon visage et les yeux dans les yeux je te demande de me faire confiance.
Je sors les menottes de ton sac et les passe à tes poignets…
Arrivés dans notre coin d’ombre, nous avons la confirmation que ce lieu va être notre terrain de jeu, les renforts de ce mur en pierre nous cachent d’une visite inattendue, ce qui semble de plus en plus improbable. Le risque est quand même là, tu le sais. Dans ta position, tu sens que tu seras à la merci des regards indiscrets.
Le lampadaire grillé a été placé là pour nous ! Il est juste à la hauteur de tes bras et à la petite ferronnerie de décoration j’accroche les menottes…
Tu es belle ainsi contre ce mur les bras en l’air… Pour finaliser la scène, je sors de ma poche un petit bandeau que je place sur tes yeux. C’est dommage, j’aime ton regard quand on fait l’amour, mais je veux te faire ressentir des sensations fortes.
Maintenant que tu es prête, je commence à couvrir ton visage de baisers, mes mains caressent tes joues, tes lèvres, mes doigts jouent avec ta langue…
Seulement mes baisers se déplacent vers tes épaules, les caresses restent sur tes lèvres, jouent avec ta langue.
Doucement, les baisers descendent vers ta poitrine en entraînant le tissu vers le bas je découvre avec mes lèvres tes seins chargés d’envie, chacun leur tour je l’ai emprisonne pour jouer avec eux. Je sens que tu te retiens de ne pas faire de bruit, tu commences à bouger, retenue par tes menottes. Ton bassin ondule sous mes caresses… j’adore…
Tu te détends, tu es moins à l’affût des bruits de la rue qui nous parviennent régulièrement. Tes seins sont gorgés de plaisir et avec ma langue je les torture avec délicatesse, aspirant, suçant tout le plaisir qu’ils peuvent t’offrir. Je me régale à les goûter délicieusement.
Ton haut est enroulé sur ton ventre, offrant ta poitrine à toutes mes caresses. Je m’écarte de toi pour te regarder, comme si nous étions observés ; tu es belle. Je sens que tu cherches mes caresses, je sens que tu cherches où je suis. Mes mains viennent de se plaquer au-dessus de tes genoux et remontent tout doucement vers la dentelle de tes bas. Tu te tortilles sous l’envie de sentir mes mains sur ton corps. Je sens que tu me veux sur ton clitoris, en toi. Je glisse ma main sous ta jupe, découvre cette partie de chair nue qui te fait frissonner.
Mes mains montent sur tes fesses, caressent tes cuisses, tournent autour de ton sexe ; je sens que celui-ci m’appelle.
À genoux devant toi je dépose un baiser surprise sur une de tes cuisses nues. Tu n’as pas senti arriver ma bouche près de ton sexe et je sens l’effet de surprise. Ton bassin ondule à la recherche de ma bouche… Ton petit cri de surprise est renvoyé par les murs de la ruelle, comme si la ruelle prenait du plaisir avec nous.
Je tourne autour de ton sexe, souffle de temps en temps sur ton clitoris et sur tes lèvres qui vibrent sous ma respiration. Je te fais languir, je sens en toi la tension monter… Je glisse un doigt le long de tes lèvres, que je remonte vers ta bouche pour que tu sentes combien la situation t’excite.
Ma langue vient remplacer mon doigt pour un baiser fougueux et je me colle contre toi pour te faire sentir tout l’effet que tu me fais.
De mes mains libres, je roule ta jupe sur tes hanches, tu es complètement nue, à la merci des regards curieux !
Je te tourne face au mur, mes mains descendent sur ta poitrine et tu te cambres au maximum que tu peux pour venir offrir ton sexe à mes caresses. Tes hanches ondulent et tu me sens durcir contre toi. Je me mets accroupi derrière toi et dépose des baisers sur tes fesses que j’écarte fermement de mes mains. Ainsi tu es complètement offerte à moi et à ma langue…
Avant de glisser sur tes lèvres et t’apporter ce que tu attends tant, ma langue joue avec tes fesses en faisant des rondes de plus en plus serrées pour venir te titiller…
Ton esprit est pris entre ces caresses incongrues, l’attente sur ton sexe de caresses pour la libération de ton plaisir et cette situation où quelqu’un peut te voir ainsi dans cette position indécente.
Pendant que ma langue joue avec toi, tu sens mes doigts venir caresser et écarter doucement tes lèvres, remonter jusqu’à l’origine du plaisir et caresser ton clitoris. Cela a pour effet de te faire cambrer plus fort, ma langue rentre doucement en toi. La ruelle nous renvoie l’écho de nos râles.
De plus en plus envie de toi, je sens aussi que ton clitoris va te faire défaillir. Je réduis mes caresses pour te faire patienter encore un peu.
Je m’écarte encore de toi pour te regarder, tu es belle… les lumières de la ville dessinent des reflets sur ton corps… La ville dort, tu n’entends que le bruit de ma ceinture qui se défait, je passe tes jambes de chaque côté de mes hanches, sans difficulté je m’enfonce profondément en toi. Posée sur moi, tu bouges ton bassin, je sens le plaisir monter vite, très vite. Je sens que ton plaisir monte très vite aussi. Nos mouvements deviennent de plus en plus violents, ton bassin vient claquer contre le mien. Notre plaisir est sauvage, intense, profond… Notre plaisir retentit, amplifié par cette ruelle.
Le plaisir a été tellement intense dans cette ruelle que la nuit a été sage. Tu t’es réveillée avec ce sourire que j’aime. Je t’ai prise dans mes bras et comme nous nous sommes endormis hier soir, plein de douceur, de tendresse et de délicatesse, je t’ai caressée tendrement.
Des images de cette nuit me reviennent, ton corps offert à mes désirs, tes seins tendus de plaisir, tes jambes tremblantes d’envie…
Nous faisons l’amour avec tendresse, mon corps profite enfin de tes mains, de ta bouche, je me délecte de sentir tes doigts se promener sur ma peau, ta bouche parcourir mon torse pour aller chercher mon sexe et l’emprisonner. Libre de tes mouvements, tu bascules sur moi pour donner ton rythme alternant des caresses avec ta bouche, ta peau, tes mains, tes lèvres et ton sexe…
Contrairement à hier soir où tu subissais mes assauts, ce matin c’est toi qui joue la partition au rythme de tes hanches.
Ton regard de feu contraste avec tes yeux bandés de la veille et procure sur moi un plaisir différent, mais tout aussi fort… Après une journée à profiter du soleil, à chauffer nos corps quasiment nus sur une jolie plage, nous prenons un dîner. Puis à la fin du repas, nous décidons d’essayer de retrouver cette ruelle qui nous a tant plu la veille. Après de nombreux allers-retours, nous la retrouvons. Tout comme dans nos souvenirs, elle est discrète, élégante, peu fréquentée. Le lampadaire grillé trône toujours au milieu. Chauffés par la journée au soleil, et les souvenirs, les sensations nous reviennent. Nous commençons à nous embrasser, nous caresser à l’entrée de cette ruelle, dans un autre coin que nous n’avions pas remarqué la première fois.
Mes mains trouvent rapidement ta peau sous cette robe d’été et nos caresses deviennent rapidement sensuelles, notre envie recommence dans cette situation où l’on pourrait se faire surprendre à tout moment.
Je dégage ton string, gobe ton clitoris et le prends dans ma bouche. J’entends un râle porté par l’écho. Comme hier, je trouve l’acoustique de cette ruelle étonnante. Je glisse mes mains le long de tes jambes et remonte vers ton string, que je transgresse allègrement invité par une humidité naissante. J’entends ton souffle s’accélérer, renvoyé par les murs en pierre.
Je te retourne, te fais poser les mains sur le petit muret devant toi, je soulève ta jupe et me glisse à l’intérieur de toi… Je bouge en toi tout doucement, car nous constatons tous les deux l’étrange reflet dans la zone d’ombre où nous étions la veille. Sans bouger toujours en toi, ma main sur tes lèvres, nous voyons un couple en train de faire l’amour exactement là où nous étions la veille, exactement dans la même position… Nos Yeux s’habituant à l’obscurité, nous pouvons sans distinguer les détails, voir la femme nue, les mains liées et que l’homme est à ces genoux.
C’est trop similaire à celle que nous avons vécue la veille pour être une coïncidence, et les échos étranges que j’entendais la veille me font comprendre que le couple nous a observés en train de faire l’amour. Ils nous ont vus dans la même position, toi offerte, moi profitant de tes charmes, me délectant de ton sexe, te caressant à genoux devant toi.
Maintenant, la situation est inversée. Ils ne savent pas que nous sommes là. Avec la plus grande discrétion, je continue à garder ma main sur ta bouche, mes doigts jouent avec ta langue, mon bassin continue à onduler doucement au creux de tes reins. Nous bougeons sans bruit, sans sons, rythmés par les sons ambiants de la ruelle, suivant du coin de l’œil l’évolution des ébats…
Comme je te l’ai fait hier, le monsieur retourne sa compagne face au mur et toujours à genoux lui donne du plaisir. Pour ne pas faire de bruit, mes doigts jouent toujours avec ta langue pendant que mon autre main vient caresser tout doucement ton clitoris, ton bassin bouge doucement. Je te sens te décontracter, je sens que tu te tiens cambrée pour me sentir au plus profond de toi. Alors que l’homme se relève, on devine que celui-ci se positionne à l’entrée de ses fesses et qu’avec beaucoup de précautions il entre en elle. Après un temps d’adaptation, il commence à bouger doucement. Tu regardes ce couple prendre du plaisir alors qu’il est au fond d’elle.
Mes caresses augmentent, la situation m’excite, je sens que ton clitoris roule sous mes doigts, mon bassin accélère… mon envie augmente rapidement et je te sens très excitée par la situation. Le couple est trop occupé… mes coups de reins sont plus profonds. Mes doigts délaissent ton clitoris pour venir se positionner dans ta bouche… Hummmmm, tu les avales avec plaisir… j’aime cette sensation… Ta bouche trouve la mienne, ma langue remplace tes doigts… mon bassin ondule rapidement, j’ai envie de toi… j’attrape tes cheveux, ce qui a pour effet de te faire cambrer plus et je te tire vers moi au rythme de mes hanches…. Tu es là, habillée, la robe sur tes fesses et nous faisons l’amour en regardant un spectacle…
Pour que tu me sentes mieux, j’écarte tes fesses avec mes mains, j’aime te voir ainsi, offerte et vulnérable… tu sais que je vais jouer avec ton petit trou, que je vais le forcer. Je te dis à l’oreille que j’ai envie de te prendre par là. J’ai envie que tu me donnes du plaisir avec tes fesses… je te caresse, mes doigts jouent autour, le titille pendant que je rentre en toi fort ou doucement. Mon pouce vient s’appuyer dessus, forçant légèrement l’entrée. J’aime cette sensation, je t’observe, je te sens te cambrer, m’offrant tes fesses. Avec délicatesse, mon pouce progresse en toi. Cela a pour effet d’augmenter la pression sur mon sexe, de te sentir encore plus… À l’oreille, je te dis que tu vas me donner du plaisir, que j’ai envie de t’en donner avec ton petit trou que je prendrai avec délicatesse, mais fermeté. Tu tournes la tête vers moi et après un baiser fougueux je t’attrape par les cheveux, mon bassin tape fort contre le tien… nos plaisirs montent… tu es cambrée devant moi, la tête en arrière, mon pouce en toi, nos sexes unis pour un plaisir simultané et violent…
Nous nous réajustons et quittons cette ruelle où ce couple est en train de prendre du plaisir. Nous nous réfugions un peu plus loin pour nous retrouver dans les yeux.