Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20993Fiche technique42092 caractères42092
Temps de lecture estimé : 25 mn
09/07/22
Résumé:  Je fais la connaissance d’une jeune femme complexée avec laquelle je me lie d’amitié. Peu à peu, cette relation devient sensuelle.
Critères:  fh hplusag grosseins groscul magasin telnet collection voir exhib caresses fellation cunnilingu pénétratio init -initiat
Auteur : Marcdumans            Envoi mini-message
Ophélie




Ophélie est une jeune femme que j’ai rencontrée par hasard.

Vendeuse dans un magasin de fringues que j’aime bien, elle m’a toujours bien conseillé.

Au bout d’un certain temps, elle me reconnaissait et nous avions lié, si ce n’est une amitié, en tout cas, une relation de confiance.

Il faut dire que l’on me considère comme quelqu’un de très sociable. Il est vrai que j’échange facilement et donc que l’on se confie aisément à moi. C’est comme ça. Même si c’est sans arrière-pensée, ça m’a valu des opportunités de rencontres féminines très intéressantes.

Cela faisait un an et demi que je la croisais régulièrement dans le magasin. Je lui donnais presque la trentaine ; elle avait 25 ans.

Ce n’était pas un canon. Un peu enrobée, mais agréable à regarder, la fin du port du masque m’avait permis de découvrir un visage charmant. Sa taille fine et sa poitrine opulente (Moi et les gros seins ! Une passion depuis mon adolescence) étaient très agréables à envisager.

Un jour que j’étais venu pour renouveler mes chemises, elle m’avait aidé à les choisir avec goût, plutôt cintrées, et elle m’avait confié presque rougissante qu’avec mon torse musclé, ce n’était pas difficile de trouver des vêtements me mettant en valeur.

Je lui avais retourné le compliment sur le fait que sa jupe au-dessus du genou lui allait à ravir et que cela permettait de voir ses jolies jambes. C’était sans arrière-pensée, juste pour lui faire plaisir, mais elle semblait avoir apprécié, les yeux presque humides, manifestement émue. Personne ne lui faisait ce type de compliment, m’avait-elle confessé.

Évoquant le fait que son compagnon ou son mari devrait remarquer plus souvent ses efforts vestimentaires, son visage souriant s’était éteint, empreint d’une certaine tristesse. Cela m’avait attristé d’avoir provoqué cela.


Un mois plus tard ou trois semaines, difficile de me souvenir, j’étais venu remplacer un pantalon gris trop usé à mon goût. Elle m’avait accueilli avec joie, vêtue de la robe en dessous du genou noire, très élégante, puis son visage s’était éteint. Était-ce ma maladresse passée qui avait rompu le charme de ces rencontres épisodiques ?

Malgré un maquillage soigné, je voyais bien qu’elle semblait fatiguée, voire triste. Sans doute même avait-elle pleuré.

Comme à son habitude, elle me trouva la perle rare, un magnifique pantalon gris souris. Toute seule dans le magasin (il était à peine 10 h et il venait d’ouvrir) elle s’occupa de l’encaissement.

Après avoir réglé, je m’inquiétais de son état de santé, sincèrement. Elle en fut touchée et fondit en larmes.

Je suis très empathique et j’avais envie de la serrer contre moi, mais voulais éviter toute situation ambiguë.

Elle semblait avoir envie de me parler, quand une cliente entra dans le magasin.

Elle sécha ses larmes. Je lui demandais à quelle heure elle terminait et lui donnait rendez-vous à 19 h dans le café au coin de la rue.


À 19 h 15, je la vis arriver. Elle s’assit et nous commandâmes, moi un demi pression et elle un café.

Malgré un sourire, presque forcé, je sentais bien que quelque chose n’allait pas pour elle. Elle me remercia pour ce moment de détente après le travail.

Pour lever tout malentendu, je lui demandais si ma précédente visite était la cause de sa tristesse, si j’avais commis une gaffe, un conjoint qui la trompait ou pire, décédé. Elle me rassura en me disant que je n’y étais absolument pour rien.

Rassuré, je pris le parti de discuter avec légèreté de l’actualité culturelle, de la météo et de fringues, si bien, qu’au bout d’un moment, elle avait retrouvé sa gaieté. Cela faisait presque une heure que nous devisions de choses et d’autres quand elle me questionna sur ma vie, ce que je faisais, mes 40 ans passés que je ne faisais pas, mes passions. Non, je n’étais ni marié ni en couple. Oui, j’avais des frères et sœurs.

Nous discutions comme deux amis de longue date. Il était déjà 20 h 30 et j’étais, comme elle, ravi de ce moment, au point que je lui proposais de dîner, si elle n’était pas attendue, bien sûr, ce que hélas me dit-elle, elle n’était pas. Petit restaurant sympa à deux pas de là.

Je ne me souviens guère de ce que nous mangeâmes. Nous passâmes du vouvoiement au tutoiement. Notre discussion amicale continua jusqu’à évoquer sa vie et sa tristesse soudaine.


Elle eut un temps d’hésitation. Pouvait-elle ou non me faire confiance ? Une prise de risque qu’elle accepta.



Elle marque un temps d’arrêt puis reprit :



Et puis, il y a eu hier soir…



Les larmes se mirent à couler et elle sanglota.

Je la pris par la main et au bout d’un moment, elle s’apaisa.



Je règle la note et nous nous promenons dans les rues de Paris, quasi désertées à cette heure-là.

Après une centaine de mètres de marche, elle reprend :



Elle s’arrête, ne sachant pas comment dire les choses.



Il m’a alors dit qu’il voulait jouir en me regardant me doigter en levrette, voir mes belles fesses.

Je me suis mise à quatre pattes, enfin tu imagines, bien cambrée, le sexe ouvert et je me suis offerte en me doigtant de mon majeur, en me caressant le clito.



La situation qu’elle me décrit me choque. Je me rends compte que je me suis pris d’affection pour cette jeune femme. J’avoue que je bande aussi, non pas à l’idée de ce qui lui est arrivé, mais plutôt à cause de ce qu’elle me décrit, le fait de l’imaginer totalement nue et ouverte en train de se masturber. Il commence à se faire tard. J’ai une longue journée le lendemain. Je la prends par l’épaule et la réconforte tant que je peux.



Je la prends dans mes bras, je l’embrasse sur les deux joues et nous nous quittons.


La semaine suivante, je passe acheter quelques vêtements juste avant la fermeture. Elle sort de la boutique après l’avoir fermée et nous nous rendons chez elle, quelques pâtés de maisons plus loin. Cet immeuble haussmannien dont elle occupe un appartement très cosy situé dans les combles. C’est charmant, aménagé avec beaucoup de goût.

Elle a préparé quelque chose de léger. Elle a ouvert une bouteille de rosé, qui n’est pas mauvais, même si ce n’est pas le vin que je préfère.

Nous n’avions pas osé entamer la conversation. Je l’ai trouvée moins peinée que la dernière fois que je l’avais vue, comme apaisée d’avoir pu me parler, mais quand même grave et résignée.



C’était l’époque du lycée. J’étais vraiment en surpoids l’époque, beaucoup plus qu’aujourd’hui. Malgré tout, je sentais bien le regard des garçons sur mes formes. Je pensais qu’ils avaient malgré tout envie de moi, même si j’étais un peu grosse. Je côtoyais un groupe avec d’autres filles. Quand on discutait, j’apprenais qu’une telle n’était plus vierge. Elles expliquaient comment ça s’était passé. Elles donnaient des détails sur ce que les garçons avaient fait, la petite douleur qu’elles avaient ressentie puis le plaisir de la pénétration. De soirée en soirée, j’ai fini par être la seule à ne pas avoir été baisée.

Déjà, à l’époque, je me masturbais beaucoup, mais j’avais vraiment envie de ne plus être la seule vierge du groupe. Lors de nos soirées, j’avais vu un garçon que je ne laissais pas indifférent. Il ne manquait pas une occasion de regarder mes jambes, de jeter un œil sous ma jupe lorsque l’occasion se présentait et il matait mes seins tant qu’il pouvait.

Un soir, en fin d’année, une copine nous avait invités pour une soirée qui fut un peu arrosée et après plusieurs danses durant lesquelles ce garçon m’avait passablement pelotée, nous nous sommes embrassés. C’était chaud, il avait bien caressé mes seins et tenté une incursion sous ma jupe, et même posé sa main sur ma vulve. J’étais chaude, bouillante et j’avais vraiment envie de me donner à lui. Voyant qu’il ne prenait pas l’initiative, c’est moi qui l’ai pris par la main et nous nous sommes rendus dans la chambre de l’amie qui nous avait invités.


Sur le lit, nous avons repris nos caresses. Il a ouvert sa braguette, déboutonné son pantalon, et j’ai pu caresser mon premier sexe masculin. Il bandait très fort. Je pensais vraiment que j’allais perdre ma virginité. De son côté, très intéressé par mes gros seins, il avait rapidement enlevé mon petit haut et mon soutien-gorge. Il palpait mes seins avec gourmandise. C’était vraiment très agréable.

Je mouillais énormément et j’avais vraiment envie qu’on passe au moment décisif. J’ai retiré son pantalon et son slip puis j’ai enlevé ma jupe et ma culotte et, comme je pensais qu’il fallait que je fasse, je me suis allongée et ai écarté les cuisses. J’étais totalement offerte, disponible. J’étais prête à donner mon sexe à ce garçon pour qu’il me pénètre. Ma chatte était tout ouverte et dégoulinante de cyprine.

À ce moment, je ne sais pas ce qui s’est passé. Alors qu’il bandait quelques instants avant en me pelotant les seins, son sexe a perdu de la vigueur et bientôt il avait totalement débandé.


Il n’a rien dit, il s’est rhabillé et il est sorti de la chambre puis a quitté la soirée. Je me suis retrouvée seule, à poil, sans rien comprendre à ce qu’il se passait. Je me suis rhabillée. Quand je suis revenue dans la pièce principale que j’avais quittée alors que tout le monde dansait et s’amusait, j’ai bien vu qu’un grand nombre de garçons et deux filles présentes avaient compris qu’il s’était passé quelque chose.

Les bruits vont vite. Je ne sais pas ce qu’a dit ce garçon. Le fait est que les semaines suivantes je fis l’objet de moqueries au lycée. J’étais devenue la grosse que personne ne voulait baiser et qui faisait débander les mecs.

Cela fait huit ans que cela s’est passé et depuis je n’ai jamais réussi à charmer un homme. J’espérais tant de cette relation virtuelle qui devait devenir réelle et je me suis retrouvée une fois de plus humiliée.

J’ai vraiment l’impression d’être juste une grosse, juste bonne à aider les hommes à se masturber, mais pas digne d’être baisée.



Le silence se fait quelques instants. De mon côté, je suis un peu gêné par la crudité des propos d’Ophélie qui ne m’a rien caché de sa sensualité, de ses envies et de ce qu’elle a pu vivre. J’avoue aussi m’être fait des images qui m’ont fait bander au moment où elle les racontait.

De son côté, j’ai l’impression qu’elle réfléchit, qu’elle a envie de demander quelque chose. J’espère qu’il ne s’agit pas que je lui fasse l’amour. Je n’ai pas envie de m’engager, elle est vierge et a besoin d’une première fois pleine de tendresse avec peut-être une relation qui dure un petit peu pour se convaincre qu’elle peut rencontrer quelqu’un dans sa vie.

Elle finit par rompre le silence.



Je réfléchis longuement. Je ne veux surtout pas entreprendre une relation avec elle, remplacer celle que j’ai déjà, à savoir une amitié naissante. D’un autre côté, je la sens en plein désarroi et si je peux l’aider à reprendre confiance en elle, je pense que je peux lui rendre ce service.



Je suis très ému à l’idée que cette jeune femme de 25 ans encore vierge va me montrer son corps.

En ce qui la concerne, je la vois rougir et ses gestes trahissent sa nervosité.


Je quitte mon pantalon et retire mon boxer. Je ne suis pas prude ! Tant s’en faut, mais me déshabiller devant une femme à sa demande, ce n’est pas habituel ! Je vois son regard se tourner vers ma verge encore placide. Au repos, elle n’est pas exceptionnelle, mais donne bien une idée de la taille relativement conséquente qu’elle peut atteindre quand j’ai envie de baiser.

Le moment est venu pour elle de constater l’effet potentiel qu’elle peut faire sur les hommes.

Comme pour retarder ce moment, elle retire un à un les petits boutons sur le devant de son haut blanc.

Elle le retire face à moi et je vois apparaître son soutien-gorge blanc dentelle qu’elle a dû prévoir pour cette occasion.

Oui c’est vrai, elle est ronde. Sa taille est néanmoins très marquée et son 95 E agit sur moi comme un déclencheur. Elle a vraiment de gros seins. J’ai une envie folle de lui retirer son soutif et de palper ses seins.

Ma verge commence à se dresser et prendre de la longueur.

Elle la dévore des yeux. Je lui dis combien sa poitrine est somptueuse, qu’elle me fait bien envie.

Comme si elle était soulagée, je la sens se détendre. Elle peut faire bander un homme. En doutait-elle vraiment ? Peut-être.

Elle quitte son jean. Petite culotte blanche dont la partie supérieure est en dentelle. Je vois ces quelques poils bruns apparaître grâce à la transparence de sa dentelle. J’irais bien lui ôter sa petite culotte et fouiller sa touffe.

Je l’incite à se tourner, lui signifiant que j’aimerais bien voir ses fesses. Elles sont conséquentes, mais bien fermes et hautes et je ne peux m’empêcher m’imaginer la prendre en levrette. Elle doit être divine dans cette position avec un cul qui appelle les caresses. Elle regarde par-dessus son épaule, ma verge quasiment à la verticale, qui palpite d’envie.

Elle est ronde, mais la finesse de ses jambes au niveau des genoux et la largeur de ses hanches agit comme un catalyseur sur ma verge. Elle est jolie et ses formes sont pleines de charme. Elle me fait vraiment envie. J’ai réellement envie de lui faire l’amour.

Comme si cela relevait de la magie pour elle, elle sourit, satisfaite de l’effet qu’elle peut produire.

Les yeux toujours rivés sur mon 23 cm, je sens qu’elle a envie de toucher. J’ai vraiment envie de la baiser, mais je sais que je dois résister. Elle n’a pas besoin d’un mec qui va la consommer, mais de tendresse pour une première fois et je n’ai pas envie de profiter de la situation. De toute façon, ce n’était pas ce qui était entendu.

Elle place ses mains sur l’attache de son soutien-gorge et s’apprête à le dégrafer. Un moment, je suis tenté de la laisser faire pour pouvoir admirer ses gros seins naturels, mais je suis un homme, et si comme je le pense, ensuite elle retire sa culotte, je pense que je ne saurais me retenir et consommerai son corps comme une gourmandise. D’un signe, je l’arrête en lui signifiant qu’elle a déjà la preuve que je la trouve désirable et que l’on va peut-être s’arrêter là.

Comme cela était convenu, je me rhabille. Elle fait de même, comme à regret.


Comme deux amis que nous sommes, nous prenons un café.



Nous finissons notre café, nous nous embrassons et nous nous quittons. Une fois rentré chez moi, je ne résiste pas à la tentation de me masturber en me rappelant de son corps quasi dénudé. Je parviens au plaisir en imaginant mes mains sur ses seins et ma queue la pénétrant, elle, à quatre pattes, ouverte, moi lui tenant les hanches pour la besogner.


Je ne donne pas signe de vie pendant un mois, n’ayant rien d’ailleurs à acheter dans le magasin de vêtements dans lequel elle travaille. J’ai espoir qu’elle a repris confiance en elle et qu’elle a enfin réussi à vaincre son complexe. C’est plein d’espoir, que je retourne dans son magasin. Elle m’accueille avec un grand sourire. Je suis arrivé à l’ouverture et je suis son premier client, son seul client pour l’instant.



Toute la journée, mon esprit vagabonde. J’aime les femmes qui ont des formes, et Ophélie en a singulièrement. Le mâle que je suis a vraiment envie de la posséder, la déguster, la consommer, jouir de ses formes.

L’ami, le confident que je souhaite demeurer a vraiment des craintes de créer une relation de dépendance qui l’empêcherait de vivre sa vie de femme.

Finalement, c’est le mâle qui l’emporte et je vais la chercher à la sortie du magasin plutôt pour l’emmener au restaurant.

Aussi impatient l’un que l’autre, nous mangeons rapidement, pressés de faire l’amour. Nous ne parlons quasiment pas, si ce n’est pour commenter tel ou tel plat, mais nos propos n’ont pas une grande conviction. Nous n’avons chacun qu’une idée en tête, moi de la baiser, elle de perdre sa virginité et de sentir sa queue en moi.


Après le restaurant, nous rentrons chez elle.

Dès la porte fermée, je m’approche d’elle, l’embrasse dans le cou. Je veux vraiment avoir confirmation qu’elle est prête et qu’elle veut toujours que je sois sa première fois.

Elle me susurre un petit « oui », la gorge serrée, pleine d’émotions. Comme pour me confirmer son accord, elle quitte sa jupe noire. Sa culotte couleur chair, échancrée, met bien en valeur ses hanches larges. Elle a vraiment de très jolies cuisses rondes dont la vue me fait déjà bander. J’imagine le moment où elle va les écarter pour moi.

Je lui caresse la nuque et l’embrasse sur la bouche. Elle répond à mon baiser de façon très tendre.

Mes mains caressent son corps par-dessus son haut, je lui caresse doucement les seins, tendrement. Toujours en l’embrassant, je lui retire son haut. Son soutien-gorge couleur chair apparaît.

Je ne brusque pas les choses. Toujours en l’embrassant sur la bouche, je lui caresse les épaules, son petit ventre rond et sa taille. Je la sens réagir. Prête à s’abandonner, elle se colle à moi.

Elle sent bien que je suis en train de bander, collée qu’elle est contre moi, presque blottie.

Je la regarde dans les yeux et pose sa main sur sa poitrine. La sienne caresse mon avant-bras. Ma main parcourt tendrement son visage et son cou. Elle ferme les yeux d’aise.

Tandis qu’elle s’accroche à mon cou, elle dégrafe son soutien-gorge. La vision de ses gros seins ronds agit comme un appel sur moi. Je m’agenouille et entreprends de lui lécher les tétons tandis qu’elle me caresse la nuque. Je pétris sa poitrine avec désir. Ils sont doux, ils sont gros et j’adore les grosses poitrines. Je les palpe, je les malaxe et les déguste complètement. Ils sont vraiment magnifiques, tellement féminins.



Elle se mord les lèvres et j’entreprends de descendre peu à peu lui prodiguant des petits baisers sur le ventre, jusqu’à atteindre la lisière de sa culotte couleur chair, mes mains parcourant ses cuisses. Je la caresse du genou jusqu’à l’entrecuisse en prenant bien soin d’éviter sa vulve. Elle a quelques frissons, je prends le temps de la faire languir, mais je sens bien qu’elle a envie que j’aille visiter sa chatte.

Je tire vers moi sa culotte et découvre qu’elle s’est fait totalement épiler pour l’occasion. Dommage, car j’aime les chattes poilues, mais aujourd’hui, les femmes pensent que c’est une obligation de s’épiler.

Je découvre sa vulve, unique comme celle de chaque femme. Son mont de Vénus est bien prononcé et ses grandes lèvres sont charnues, pas encore totalement gorgées. Des petites lèvres roses dépassent. Elles ont le droit à un petit coup de langue, ce qui ravit ma partenaire.

Je pose sa bouche sur sa fente toute lisse. Elle se touche les seins, tandis que ma langue, curieuse, parcourt le sillon excitant de son intimité. J’aime le goût de sa chatte, légèrement salé.

Je mets une main sur ses fesses pour plaquer sa chatte contre ma bouche.

Je relâche le sous-vêtement et remonte sur son ventre rond avec ma bouche. Je la prends par la taille en voyageant vers ses seins que je reprends en bouche. Elle me caresse la main avec une douceur identique à celle que je m’applique à lui donner. Ses tétons durcissent sous l’action de ma langue qui les titille. Elle gémit et s’occupe de l’un de ses tétons tandis que je lèche l’autre.

Nous sommes à l’unisson. J’ai envie de lui donner tout le plaisir qu’un homme peut donner à une femme. Je la sens gourmande, demandeuse.

Je retourne à l’exploration buccale de sa vulve, mais en abaissant sa culotte pour être plus à l’aise, plus précis.

Je lèche et prends dans ma bouche son clitoris, une main sur ses fesses rebondies, mais si fermes. Elle passe ses mains dans mes cheveux, m’encourageant à continuer.

Je passe à la vitesse supérieure en lui dévorant la chatte à la fois humide de sa salive et de sa cyprine.


Je me lève et la prends par la main, la fais tourner sur elle-même et me plaque contre elle. Je lui embrasse le front et lui caresse le ventre, tendrement, puis empoigne ses seins majestueux durcis par le désir.

Elle incline la tête, réclame un baiser sur la bouche, tandis que j’investis son sexe de la main. Nous passons un temps important comme cela, prenant le temps, une main sur un sein et l’autre sur sa vulve.



Toujours habillé, mon sexe est tendu et elle sent assurément mon membre durci plaqué contre elle.

Je m’accroupis ensuite pour lécher ses fesses et passer ma langue dans la fente. Son bassin ondule d’envie. Elle m’offre sa croupe en se cambrant.

Il est temps de l’emmener dans sa chambre. Je l’accompagne en la tenant par la main, elle, toute nue avec ses formes désirables.

Je retire tous mes vêtements ne quittant pas des yeux son regard qui parcourt mon corps, musclé, et ma verge, dressée, pleine du désir de la posséder.

Je l’allonge sur le lit, l’embrasse et reprends mes caresses buccales.



Elle écarte largement les cuisses et j’installe entre pour continuer un cunnilingus qui la détend totalement. Je veux qu’elle soit totalement prête à me recevoir. Le fait de voir son hymen est à la fois excitant et intimidant. Je n’ai jamais fait l’amour à une femme vierge.

Mes mains sur son ventre, elle gémit, continue d’onduler du bassin, malaxe ses seins, toute à son plaisir. De temps à autre, elle redresse la tête et me regarde dévorer sa chatte en la tenant par la taille.

Je la sens totalement prête à s’abandonner et m’éloigne d’elle pour me placer entre ses cuisses en vue de la pénétrer en missionnaire.


C’est alors que contrairement à ce que j’avais prévu, elle me désarçonne en se retournant sur le ventre. La première idée qui me vient à l’esprit est qu’elle ne veut plus que je la prenne, qu’elle n’a plus envie de perdre sa virginité. Ou peut-être veut-elle être sodomisée pour la garder.

Je m’allonge à côté d’elle ma tête près de la sienne et je lui susurre intimement :



Elle me répond sur un ton presque gêné, comme si elle avait honte de son désir :



Je n’ai jamais fait l’amour à une femme vierge et je m’étais attendu, mais c’est sans doute un poncif, qu’elle souhaite que je la prenne de façon classique.


Je me place à ses pieds, lui prodigue de doux bisous de ses chevilles jusqu’aux genoux, puis l’intérieur de ses cuisses. Elle relève son bassin en écartant légèrement les cuisses. J’accède à sa grotte que ma langue pénètre. Elle a tendu ses bras devant elle et j’entends à nouveau ses doux feulements de plaisir. Je baise ses fesses, son anus et l’intérieur de ses cuisses, sa vulve dégoulinante du désir d’être investie. Je pétris ses fesses imposantes et j’ai terriblement envie de la prendre dans cette posture d’abandon, presque de soumission.



Ma bouche poursuit sa course, vers sa chute de reins, son dos, ses épaules et son cou.

Je place ma verge sur sa vulve trempée et la fais glisser sur l’ensemble de sa fente, avec douceur remontant entre ses fesses. Progressivement, j’insiste en poussant un peu plus sur son vestibule, sur son hymen, sans pour autant forcer la pénétration, y renonçant chaque fois pour glisser entre ses fesses dont le sillon est maintenant aussi enduit de cyprine. Ma queue est ainsi lubrifiée sur toute sa longueur. Je suis prêt à renoncer au moindre geste de refus de sa part. J’amadoue son sexe avec toute la douceur possible.


Je me penche sur elle en lui chuchotant un « Toujours sure ? » auquel elle répond positivement par un hochement de tête.

Je place ma verge sur son vestibule jusqu’à rencontrer la résistance de son hymen. Délicatement, j’augmente la pression et je sens que je l’ouvre. J’entre en elle, millimètre par millimètre. C’est sans doute un petit peu douloureux, malgré tout car je sens ses fesses se serrer un petit peu. Je finis de m’enfoncer en elle d’un coup, petit cri de sa part et je reste au fond d’elle un long moment, en l’embrassant tendrement.

Mes va-et-vient, lents d’abord, s’accélèrent. Elle agrippe les draps et gémit. Je la laboure profondément, intensément.

Sa respiration s’accélère et elle m’encourage à glisser entre ses fesses, dans sa grotte d’amour par des « Oh oui ! C’est bon ! plus vite ! Je vais venir… ».

J’ai envie de tout lâcher en elle, mais je veux que sa première fois soit totalement réussie et je me contrôle pour ne pas céder au plaisir que la chaleur et la pression de son vagin exercent sur ma verge.

Quelques minutes suffisent pour que je la sente se crisper et prononcer un « Oh, oui ! » final. Je sens ses contractions, ses pulsations enserrer mon membre au plus profond d’elle. Je me relâche, inonde son sexe de mon foutre et reste allongé sur elle, la serrant contre moi et l’embrassant.

Quand nos respirations sont revenues à un rythme normal, je m’extrais d’elle. Mon sperme, abondant, en a fait autant et macule ses draps.


Je m’installe contre elle et la câline tendrement, l’embrassant et lui caressant les cheveux.



Ce moment de tendresse se prolonge et je sens le sommeil me gagner. C’est sans compter avec le désir d’Ophélie de rattraper le temps perdu.

Quand elle glisse sa main sur ma verge, il ne faut pas longtemps pour réveiller le mâle en moi. Je bande à nouveau et quand elle se place entre mes jambes pour me sucer, faire sa première fellation, je suis totalement opérationnel. Elle s’y prend si bien, tentant de m’engloutir sans totalement pouvoir le faire avec mes 23 cm que je suis au bord de l’éjaculation.

Je me dégage de sa redoutable caresse et la fais s’allonger pour la prendre en missionnaire, la labourant en lui pétrissant les seins.

Sachant que je ne pourrais tenir très longtemps comme cela, je place ses jambes sur mes épaules et la doigte tout en glissant en elle profondément.

Elle ferme les yeux et crie de jouissance tandis que j’explose au fond d’elle.


Nous avons continué à nous voir, à la suite de cette soirée torride, elle me faisant part de ses aventures d’un soir, d’autres plus durables et il m’est arrivé de la contenter durant les quelques périodes où aucun amant n’était présent pour contenter ses besoins sexuels grandissants.

Je me souviens d’une fois où je l’ai prise dans la réserve du magasin où elle travaille, bien souvent désert à l’ouverture. Le plaisir de l’impromptu, de l’interdit, de la prise de risque, combiné au fait que j’avais juste enlevé sa culotte et retroussé sa robe pour la prendre par derrière contre un mur est l’un des souvenirs sensuels les meilleurs.

Elle vit aujourd’hui en couple et nous sommes très complices quand nous nous rencontrons durant mes achats vestimentaires et que nous prenons un pot ensemble.