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10/07/22
Résumé:  Rencontre inattendue sur une plage naturiste : celle de la maire d’une commune importante avec un de ses administrateurs tout aussi nu qu’elle. Ce qui va modifier leurs relations habituelles.
Critères:  fh fhh fplusag couple extraoffre candaul collègues vacances plage nudisme cunnilingu pénétratio fsodo -occasion
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
La vie sexuelle de Catherine F.





Sébastien déambulait sur la plage naturiste après avoir pris un bain de mer dans une série d’aller-retour afin à la fois de se sécher et de regarder les autres baigneurs faire de même dans une espèce de rituel. Si on se parle peu sur ce genre de plage, on s’observe beaucoup, comme pour vérifier les corps des autres pour le comparer au sien. À force, le côté érotique finit par se banaliser car une masse de corps nus sera toujours moins excitante qu’un corps nu esseulé. C’est pourquoi Sébastien bandait rarement dans cette situation.


Néanmoins, un événement imprévu bouleversa ce petit rituel innocent. Un couple s’avançait vers lui, main dans la main. Il reconnut Catherine F., la maire de sa ville, dont il était l’un de ses administrateurs. La situation était légèrement embarrassante. « Sa » maire à poil devant lui qui l’était également, c’était une confrontation inattendue et en même temps inévitable. Il ne pouvait pas faire semblant de ne pas l’avoir vue, c’était limite insultant. Et après tout, ils étaient à égalité.



Au moins, elle dédramatisait la situation. Il est vrai qu’ils étaient éloignés de leur région et se retrouvaient comme de simples vacanciers amateurs de soleil au naturel. Il se retint de parcourir son corps du regard mais avait reçu de manière incontestable la confirmation qu’elle était sacrément bien gaulée et que l’homme qui l’accompagnait ne devait pas s’embêter au lit. Jusqu’alors, Catherine F. lui avait exclusivement montré son visage anguleux, pas vraiment beau mais original, son épais casque de cheveux châtains, son large sourire et ses grands yeux verts. C’étaient, cette fois, ses seins fermes et bien accrochés, ses hanches en amphore et un pubis brun soigneusement taillé. Et un bronzage intégral. Il surprit son coup d’œil rapide posé sur sa queue, comme quoi elle aussi cherchait des informations inédites. Bien pourvu en la matière, au moins avait-il passé cet « examen » avec un probable succès.


Elle lui présenta l’homme prénommé Blaise mais Sébastien savait que ce n’était pas son mari. Plus âgé qu’elle, grisonnant, il ne se souvint pas de l’avoir rencontré et il supposa qu’il évoluait dans le milieu des affaires. Ils devisèrent au soleil en quelques banalités de circonstance. Elle indiqua avoir ses habitudes sur cette plage tandis qu’il la découvrait. Elle s’informa de sa position et lui proposa de venir la rejoindre :



S’allonger à poil à côté de celle qui était, d’une certaine façon, sa patronne, et dans le même état, le fit sourire intérieurement. Elle ne semblait pas dérangée d’étaler son corps au regard de son subordonné, et le compagnon, qui aurait pu s’en offusquer, pas davantage. Ils parlèrent de choses et d’autres comme ils l’auraient fait devant un diabolo menthe à la terrasse d’un bistrot dans la cité balnéaire voisine. Elle se retournait parfois pour son bronzage, montrant ses belles fesses dans le plus parfait naturel. Regardait-elle son pénis derrière ses lunettes de soleil ? Il ne pouvait le dire. Mais tout portait à croire que c’était le cas, au moins par curiosité féminine…


Ils se retrouvèrent le lendemain pour un après-midi parfaitement comparable, échangeant quelques commentaires sur leurs voisins de plage, parfois sans aménité pour quelques tatouages trop voyants ou quelques corps très dégradés, ou à l’inverse pour quelques plastiques agréables, masculines comme féminines. Elle savait que des couples restaient parfois tard pour faire l’amour sur la plage et le dit avec une petite bouche gourmande qui laissait supposer qu’à défaut d’une expérience personnelle, au moins n’y serait-elle pas hostile elle-même. Et d’embrasser son compagnon, qu’elle caressait parfois d’une main légère, y compris sur ses parties intimes.


Au deuxième jour, elle lui annonça qu’elle souhait l’inviter à dîner. Elle souhaitait connaître son avis sur quelques dossiers chauds de sa municipalité. Il accepta et se rendit le soir-même à son invitation dans la maison louée pour les vacances.


Elle l’accueillit vêtue d’un simple paréo sous lequel elle était probablement nue, n’ayant plus rien à cacher à son hôte. Son compagnon s’affairait à la cuisine et elle lui offrit l’apéritif, assise devant lui, exposant sans souci son sexe dans ses mouvements de jambes. Il commençait à avoir la gorge sèche et du mal à se concentrer sur la conversation municipale qu’elle lui imposait. Puis ils passèrent à table et il dut assister au pelotage de ses deux hôtes, ayant appris que leur liaison n’avait qu’un an d’âge. À la fin du repas, il était évident qu’ils allaient faire l’amour en suivant. Mais il fut sidéré quand elle lui dit :



Le mari approuva. Il fut invité à les suivre dans la chambre « conjugale » où elle entra nue, le paréo ayant échoué dans le couloir. L’homme la rejoignit sur le lit et elle invita Sébastien à les rejoindre. Ainsi donc, il était tombé dans un « plan à trois ». Avec sa patronne qui plus est. Inimaginable.


Elle commença à sucer son homme, cuisses écartées, et il comprit qu’elle attendait de sa part un cunni. Il y plongea avec volupté et sa main posée sur sa nuque lui indiqua qu’il avait vu juste. Elle aimait ça. Au bout d’une longue séance de lèche, il se redressa, le mufle bien humide de son jus, et elle lui tendit un préservatif. Il allait donc passer au stade supérieur, celui de non-retour. Il devenait son amant. Sa queue rigide et tendue contrastait avec celle, un peu molle, du compagnon de la dame en dépit d’une fellation frénétique. Elle saisit la matraque de Sébastien à pleine main et la dirigea vers sa cible béante. Elle ne suçait plus Blaise, concentrée sur la pénétration imminente de son partenaire sexuel. L’entrée massive et résolue lui arracha un cri de gorge. Et voilà, Sébastien la baisait. Et pas question de la décevoir. Entre deux options, la fouille peinarde et progressive et le pilonnage en règle, il joua la seconde, estimant que si elle l’avait mis entre ses cuisses, ce n’était pas pour avoir un deuxième mollasson mais un vrai tringleur. Bonne pioche. Ses pieds, ses mains, son ventre se mirent en mouvement pour accompagner ses coups de queue sur fond de râles, de soupirs et d’encouragements. Le compagnon se branlait en les regardant baiser et il en fut ainsi tout au long de leurs ébats et de leurs positions variées. Il lui demanda juste si elle prenait son pied et elle opina du chef tout en couinant. Il se retint plusieurs fois d’éjaculer, soucieux de prolonger leur plaisir mutuel, jusqu’au moment où Blaise ordonna :



Il n’aurait pas osé sans cette injonction. On n’encule pas sa patronne sans demande. Mais son cul harmonieux avait tout pour l’inspirer et il entra entre ses fesses avec délectation, sans trop de difficulté, d’autant qu’elle vint à sa rencontre, manifestant ainsi son adhésion. Mais quand elle glissa sa main entre ses jambes pour atteindre ses couilles pendant qu’il limait, ce fut plus fort que lui : il gicla. Mission accomplie. Le faux mari embrassa sa femme au sortir de son orgasme tandis que Sébastien retirait son préservatif rempli à ras bord. Elle courut aux toilettes et dans la salle de bains, très gracieuse après l’amour et visiblement satisfaite. Il l’imita un peu plus tard, et tout le monde se retrouva au salon en tenue d’Eve et d’Adam pour un rafraîchissement. Avant une séparation que Sébastien savait forcément provisoire.


Catherine F. était donc une femme à double face. Face A : c’était la maire d’une commune importante, directive, pugnace, parfois autoritaire. Face B, une femelle aimant le sexe, la volupté, la nudité. Sébastien avait découvert que son tempérament de femme à poigne se transmuait au lit en celui de baiseuse, inventive, insatiable, volcanique. Une sacrée révélation. Il ne croyait pas qu’une quinquagénaire puisse aimer autant la bite. Inconscience de la jeunesse !


Ayant passé avec succès l’examen de la plage et du plumard, il fut invité à accompagner le couple jusqu’à la fin de leur séjour. Il eut donc le temps de faire le tour de la question avec sa tempétueuse patronne, jusqu’au moment où elle revint à sa mairie, le laissant seul en vacances avec sa queue un peu endolorie, ce qui le dissuada de faire des conquêtes. Et vint le temps du retour au boulot.


Il l’appréhendait un peu. Comment le recevrait-elle ? Il la retrouva telle qu’en elle-même avec sa tenue irréprochable et ses lunettes, son air un peu distant, ses propos parfois cinglants. Mais lors d’une réunion de son conseil, elle informa la cantonade que Sébastien devenait son conseiller spécial tout en accomplissant ses anciennes fonctions. Cette promotion inattendue suscita quelque étonnement mais personne n’osa contester la patronne. Et c’est ainsi que Sébastien hérita d’un bureau contigu à celui de la maire, l’ancien occupant étant invité à vider les lieux, ce qui lui déplut fortement.


Sébastien comprit vite l’intention de madame la maire. Il s’agissait surtout de rester le soir alors que la mairie s’était vidée pour la détendre de ses servitudes par quelques coups de bite bien sentis. Elle avait fait entrer un divan dans son bureau, soi-disant pour se reposer mais en fait pour baiser quand l’envie lui en prenait. Sébastien avait alors intérêt à être à la hauteur.


Tout se passait pour le meilleur entre les deux amants jusqu’à la fatale soirée. Particulièrement en verve, Sébastien avait si bien honoré sa patronne en la pliant en portefeuille qu’elle n’avait pu maîtriser un orgasme particulièrement sonore. Or, une secrétaire s’était pointée au même moment pour récupérer ses lunettes oubliées. Cette dame était de nature curieuse. Ayant compris de quoi ce cri était le nom, elle s’était planquée sous un escalier pour observer la sortie du bureau de la maire. Elle ne fut qu’à moitié surprise de constater que le conseiller était aussi l’amant, ce dont beaucoup se doutaient à la mairie. Un baiser fougueux avant la séparation confirma l’évidence. La secrétaire ayant été réprimandée à plusieurs reprises par la patronne, elle ne se gêna pas pour diffuser la nouvelle en catimini, laquelle passa du stade de la rumeur au fait avéré et donc au scandale car l’opposition s’en était emparée avec délectation, d’autant que les élections n’étaient plus très éloignées.


Bien entendu, les intéressés nièrent les faits, surtout Catherine F. qui argua de « rumeurs infondées dans l’intention de nuire en période électorale ». Sébastien fut invité à rejoindre son ancien bureau. L’humeur de la maire s’en ressentit et ce ne fut pas bon pour sa campagne. Elle accumula les impairs et fut logiquement battue par son adversaire femme, une mère de famille nombreuse ne tolérant pas les incartades amoureuses. Catherine F. se retrouva dans l’opposition mais démissionna assez vite, aspirant à « retrouver sa liberté ».


C’était moins une liberté politique que sexuelle. Sébastien la retrouva brûlante de désir et put à nouveau virevolter entre ses cuisses sous le regard de Blaise, qui se mêlait en même temps à leurs jeux. Le ménage à trois s’institutionnalisa jusqu’au jour où le démon de la politique reprit Catherine F. Elle envisageait de se présenter à la députation. Mais se sachant observée, elle mit fin au trio et se débrouilla pour orienter sa future attachée parlementaire, une blonde plantureuse prénommée Sylvia, vers le lit de Sébastien. Elle pouvait ainsi contrôler la situation. Estimant, peut-être avec un peu trop de confiance, qu’un jour ou l’autre, son jeune amant la ferait à nouveau crier de plaisir comme aucun homme avant lui ne l’avait réussi.