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Temps de lecture estimé : 11 mn
19/07/22
Résumé:  Alors qu’Adam est parti pour une séance de plaisirs solitaires, Julia le rejoint dans sa chambre. Après une première séance d’amour entre les deux protagonistes, Julia doit s’éclipser. Après le retour de leurs amis, la journée finit en beuverie.
Critères:  fh
Auteur : Pascal L'arc  (Pascal L’arc)      

Série : Julia

Chapitre 02 / 06
Julia rejoint Adam dans sa chambre

Résumé de l’épisode précédent :

Notre héros Adam, en vacances, surprend au cœur de la nuit deux amis, la belle Julia et Côme, infidèles chacun à leur conjoint respectif. Pensant avoir été à son tour surpris pendant sa séance de voyeurisme, Adam bat rapidement en retraite.

Le lendemain la belle Julia tire les vers du nez d'Adam venu travailler au bord de la piscine de la villa. Une fois rassurée sur son intention de garder sa découverte pour lui, elle sème le trouble dans la séance de travail du héros qui finit par regagner sa chambre.








– 3 –


À peine entré dans ma chambre, je m’allonge sur le couvre-lit de jacquard satiné écru et commence à me branler. Aucun support visuel n’est nécessaire, l’objet de mes fantasmes est tout trouvé : Julia. La proximité de sa plantureuse poitrine, la vulve fendue par le maillot de bain, la chaleur de son souffle et son cul entièrement dénudé me font crever d’envie. Je masse mes couilles de la main gauche tout en branlant ma verge raide et douloureuse de la droite. Soudain, on frappe à ma porte. Je n’ai pas verrouillé en entrant. Je n’ai que le temps de me redresser légèrement avant que Julia se glisse dans la chambre, un sourire aux lèvres.



Couché sur le lit, je n’ai rien à portée de main pour cacher mon sexe, tendu comme une barre de fer. J’ai jeté à terre mon short de bain et mon tee-shirt en entrant. L’objet de mes fantasmes est tout sourire, se mord la lèvre inférieure en faisant le tour de la chambre, sans me quitter des yeux.



La jeune femme semble loin d’être surprise de me trouver dans cette position. Je suis pour ma part embarrassé, nu. Elle a désormais l’initiative et en profite. Elle s’amuse à me torturer. Ses yeux pétillent. Il faut que je reprenne l’avantage. Je décide d’accepter la situation sans me braquer, pour voir jusqu’où cela va nous mener. Jouant le jeu, je me recouche sur le lit, adossé aux oreillers, bras croisés dans le dos. Ma longue queue excitée est bien en évidence sur le bas de mon ventre. Après avoir exploré ostensiblement les différents coins de la chambre, Julia s’approche finalement du lit. Elle a remis son haut de maillot. Observer ses jolies fesses dévoilées par son string brésilien rend encore plus douloureuse mon érection. La belle s’assied finalement sur le lit à côté de moi, proche de l’une de mes jambes. J’imagine le contact de sa peau veloutée contre mon sexe. Elle me demande directement :



Julia, assise là, presque contre moi, ne dit plus rien pendant de longues secondes. Mais son sourire va d’une oreille à l’autre. Si elle file après ça, je vais devenir fou. Elle annonce :



D’un bond souple, elle m’enjambe et s’allonge sur moi. Contact brusque, inattendu. Son parfum envahit mon espace, fait palpiter mes narines. La caresse de sa peau contre la mienne est un délice. Ses lèvres chaudes viennent soudain se coller aux miennes et lors de ce premier baiser je découvre sa bouche, au goût aqueux, avec des pointes sucrées. Nos langues se rencontrent pour la première fois, se caressent, échangent. Sa peau est divinement douce, sent encore le chlore. Je la serre dans mes bras, pose mes mains dans son dos. Je lui souffle :



Ses seins sont contre ma poitrine nue. Mon sexe est recouvert par le bas de son ventre qui le maintient au chaud. Elle me répond :



Est-ce que je devrais être dérangé ? Je n’en sais rien. Ce n’est pas ce que j’éprouve. J’ai plutôt aimé ce que j’ai vu. Je ne me sens aucun droit d’être jaloux. Et j’ai follement envie d’elle, de la prendre, de la faire jouir, de la faire crier, de venir en elle, de lui pousser ma queue au fond du ventre, de la prendre par le cul.



Pour toute réponse, elle m’embrasse fort, aventure ses mains dans mes cheveux, passe sur mes oreilles, dépose des baisers sur mon front, mes lèvres, mes joues. Elle murmure :



Je la sens bien ainsi, couchée de tout son long sur moi. Je perçois toute l’activité dans son corps, les frissons qui parcourent sa peau, son désir, sa chatte lourde et gorgée. Elle est un peu remontée sur moi pour mieux m’embrasser. Plus bas, collé au niveau de sa vulve, mon prépuce caresse désormais le doux tissu du bas de son maillot, en particulier la ficelle mais aussi ses grandes lèvres dépassant de part et d’autre. Je lui dis :



Elle me sourit, étouffe un rire, m’écrase davantage, bloque mes bras de ses coudes et me dépose un doigt sur le nez avant de répondre les yeux dans les yeux :



Elle marque une pause et je sens qu’elle abaisse un peu son bassin pour augmenter le contact entre sa vulve et ma queue. Puis elle reprend :



Elle se moque de moi, évidemment. Je ne pense qu’à les caresser depuis qu’elle est apparue sur le bord de la piscine cet après-midi. Julia se redresse et je suis son mouvement. Je positionne deux oreillers dans mon dos contre le mur et pose enfin mes mains sur sa poitrine. Elle est chaude et douce, terrible, sensuelle. Julia m’observe profiter d’elle. D’un geste des deux pouces, je fais sauter les frêles bouts de tissu retenant encore ses seins. Sa poitrine s’échappe, bondit, révélant les deux magnifiques et larges mamelons bruns qui me font tant envie. Je l’agrippe de mes deux bras, mains croisées dans son dos, l’étreins pour l’approcher davantage de moi. Ma bouche s’abat enfin sur son sein droit. Je lèche du bout de la langue son aréole brune, enregistre le grain sensuel des petits boutons à la racine du téton bien dressé, que je suçote ensuite. Je renouvelle l’opération pour son jumeau. Les caresses prodiguées, la chaleur et l’humidité de ma bouche l’excitent. Je le sens à la chaleur qui se dégage au niveau de nos sexes toujours en contact. Quelques minutes s’écoulent ainsi, à me repaître de ses seins. J’apprends à la stimuler, varie mes caresses et succions par rapport à ses soupirs de contentement. Finalement, je plonge mon regard dans le sien. Je lui propose :



Le visage de Julia se transforme, des rougeurs apparaissent sur ses pommettes, ses yeux pétillent. Sans me répondre, elle accentue la pression de sa vulve sur ma queue. Je comprends le message. Ma main se pose sur sa cuisse et remonte jusqu’à sa hanche pour trouver le nœud de son bas de maillot. Alors que je tente de le défaire, elle m’arrête. Je la regarde, interdit. Incompréhension de ma part, ai-je mal compris ? Suis-je allé trop vite ? Julia me susurre :



Suivant son conseil, j’aventure donc une main jusqu’à son entrecuisse, en suivant la face avant du maillot. Mes doigts se retrouvent bientôt entre ses petites lèvres, déjà trempées. Je me sens euphorique de l’exciter ainsi. Je lui demande :



Elle sourit en réponse. Ce n’est plus un fantasme, Julia me veut, maintenant, moi. En tirant légèrement sur le tissu, j’extrais la ficelle qui fendait sa vulve jusque-là et la repousse sur le côté de sa grande lèvre. Ce faisant, ma main passe sur son pubis, doux et lisse. Comme elle a remonté son bassin pour me faciliter la tâche, j’en profite pour la caresser d’un doigt. Le coquin explore d’abord l’extérieur, caressant les chairs de sa large fente de bas en haut. Ses petites lèvres sont adorables. Julia n’émet pas d’objection à cet effleurement, ne me quitte pas des yeux, devinant ce qui va suivre. Bientôt trempé par sa mouille, mon majeur se dresse et s’aventure doucement à l’intérieur de son vagin. Lorsqu’elle sent le doigt s’enfoncer en elle, Julia émet un petit son semblable à ceux que j’ai entendus la nuit précédente, d’une intensité bien moindre néanmoins pour l’instant. Mon doigt va et vient en elle, s’agite de haut et bas. Rassuré sur sa réaction, je pousse plus profondément. La jeune femme laisse échapper des petits « Ah… Ah… Adam… » comme pour m’encourager à continuer. Mon doigt désormais bien enfoncé explore son vagin, long et confortable, brûlant. Après quelques minutes de ce traitement, je retire mon doigt et le porte à ma bouche, pour découvrir le parfum de son intimité. J’apprécie immédiatement le goût de sa mouille, crémeuse, intense.


Je positionne alors ma queue pour la pénétrer, le haut de mon gland s’aventurant entre ses petites lèvres. Il glisse encore calotté en elle, dans sa chatte préparée. Je l’embroche sans difficulté, glissant entre ses lèvres désormais proéminentes à l’intérieur de son vagin gluant. Alors que ma bite découvre la douceur humide de sa chatte, ma bouche est de nouveau sur sa poitrine. Pendant que Julia active les mouvements de son bassin pour bien m’absorber et faire progresser ma queue en elle, je lui suce les seins plus fort et retiens en bouche ses mamelons. Ils dardent, offerts à mes lèvres joueuses. La sensation de ma bite qui l’empale, de ses seins dans mes mains et en bouche me font oublier la torture subie plus tôt au bord de la piscine. Je sens Julia très réceptive aussi, sensible, depuis le moment où elle m’est montée dessus. À chaque fois que je soulève mon bassin pour la pénétrer plus profondément, un brusque frisson la parcourt. Néanmoins, elle est à la manœuvre, impose le rythme, me chevauche effrontément. La jeune femme est magnifique, dressée sur ses genoux, poitrine en avant, les yeux troublés par le désir et le plaisir. Je m’amuse par moment à la déranger dans son galop, me redressant soudain d’un coup de rein pour planter ma bite au plus profond de son vagin, ce qui lui procure un tremblement perceptible à chaque fois. Et je la laisse reprendre, de nouveau soumis à son rodéo. C’est lors d’une de ces poussées que, de façon brusque, Julia vient d’un coup, sur moi, frissonne de la tête au pied, en criant mon nom :



Alors qu’elle s’immobilise sur moi, un moment amollie, je l’embrasse sur la bouche, place des baisers sur ses yeux et ses joues. J’aspire quelques gouttes de sueur qui perlent à ses tempes, liqueur au goût salé, aigre-doux. La jeune femme, vidée, molle, se repose sur moi, récupère. C’est à mon tour d’afficher un grand sourire, fier.


Après quelques minutes à la laisser souffler, mon sexe est toujours en elle, rigide, insatisfait. Je lui murmure :



Dans un lent effort, elle redresse sa nuque jusqu’alors alanguie au creux de mon cou et plonge son regard dans le mien.



Nous basculons sur le côté, moi sur elle. Julia me porte la main au visage tandis que je me positionne bien entre ses cuisses. Elle est magnifique, ses longs cheveux rejetés sur un côté sous sa tête, ses beaux yeux s’adonnent à l’étude des expressions de mon visage. C’est intense. L’une de mes mains malaxe ses seins aux beaux tétons excités. Bloquant ses fesses avec mes hanches, j’expose sa belle vulve coulante dont les lèvres ont été rougies par les frottements du précédent assaut. Mes deux bras plantés de part et d’autre de ses côtes, j’enfonce de nouveau ma queue raide en elle et maintiens une de ses cuisses relevées. Dans cette position, la pénétration est longue, brûlante. Je sens mes bourses inondées quand elles tapent contre sa vulve. Julia mouille abondamment. Une grimace d’effort au visage, Julia tente de se redresser pour m’attraper ou varier l’angle de pénétration. Mais je suis à la manœuvre, intense dans mes mouvements. Je me dresse sur la pointe des pieds, le bassin et les jambes tendus. Je l’emboutis, la pilonne, creuse en elle mon sillon. Elle se défend, me saisit le visage, les hanches, attrape mon cul. Je la sens de nouveau partir, trembler. Deuxième orgasme. Elle glapit, me supplie de jouir :



Pendant que ma queue va et vient en elle, je l’embrasse sur la bouche et nos langues s’entremêlent tandis qu’une de mes mains joue toujours avec son sein. C’est l’instant précis où mon orgasme se déclenche, mon sexe raidi crache dans son ventre ma semence alors que je me suis immobilisé, bloqué au plus profond d’elle. Je lui murmure :



Pendant que je bredouille, mes muscles pelviens continuent leur ballet, finissent d’expulser mon sperme en de multiples convulsions. Je ne suis plus vraiment moi-même, hors de mon corps, faune effaré, entre adoration et incompréhension face à la violence de la jouissance éprouvée. La jeune femme me laisse finir de jouir, amusée, caresse ma nuque, me parle doucement :



Je lui avoue :



Son visage prend soudain un air surpris, presque choqué puis s’apaise de suite. Sans un mot, la jeune femme me serre contre elle, aspire mon odeur. Je fais de même. Je suis toujours en elle, mon sexe encore au fond de son vagin confortable. Nous restons un long moment comme ça. La chaleur de son corps me donne des idées sensuelles que j’espère pouvoir exécuter bientôt avec elle. Tout en me caressant les cheveux, Julia finit par murmurer :



La grimace de déception qui se dessine sur mon visage est à peu près la réaction qu’elle attendait. Mais je me calme rapidement, je sais que nous allons bientôt avoir d’autres occasions. Je passe encore cinq minutes à profiter d’elle plus tendrement avant que Julia finisse par se relever, m’embrasser et quitter la chambre, à mon grand regret.



– 4 –


Le reste de la journée est beaucoup plus calme. Une heure après que Julia et moi nous sommes quittés, nos amis rentrent, le coffre plein de bonnes bouteilles de vin. Dès l’heure de l’apéro, une dégustation s’improvise. Elle finit tard dans la nuit. Face à la côte et à la mer, de nouveau plongées dans l’obscurité, nous finissons une bouteille avec Côme et Marc. Saoul, je suis affalé dans un transat. Marc finit par annoncer :



Et c’est en titubant qu’il s’éloigne pour regagner sa chambre. Les filles nous ont quittés une heure avant, complètement saoules, elles aussi. Les quatre femmes présentes étaient magnifiques, chacune en robe légère d’été. Clémence, bras nu, portait un nouveau tatouage aux couleurs vives, faisant forte impression sur sa peau laiteuse immaculée. Mais je n’avais d’yeux que pour Julia. Apercevoir certaines parties de son corps comme le nu de ses épaules ou le galbe de ses seins me remémoraient les événements de la journée, encore vifs dans ma chair. Côme me tire de ma rêverie pour m’interroger sur les activités de demain, je réponds :



Côme se penche vers moi, lève la bouteille pour me proposer de remplir mon verre. Nous échangeons encore quelques banalités. Côme est très beau, ses yeux gris troublés par l’alcool, chemise en lin ouverte laissant admirer une chaîne en or ainsi que sa puissante musculature. Les filles ont chuchoté plus d’une fois ce soir en le regardant à la dérobée. Les yeux dans le vague, mon regard s’attarde sur la statue de l’Hermaphrodite endormi, aux formes sensuelles, installée au milieu de la pelouse du jardin, éclairée en permanence la nuit. Côme reprend :



Malgré que j’ai bu toute la soirée, c’est dans une gorge sèche que je tente d’avaler ma salive tout en réfléchissant à quoi répondre. Côme, avec un demi-sourire, finit son verre d’un trait.



Il se lève alors, difficilement, titube, et malgré mon trouble je l’aide à se stabiliser, en le tenant par le coude et l’épaule. Posant à son tour sa main sur moi, il me fixe alors un instant, avant de lâcher un énigmatique :



Puis il commence à regagner la villa en titubant. Je le regarde s’éloigner, puis mes yeux se fixent de nouveau sur la statue désormais floue, brumeuse, transformée par ma perception alcoolisée. Je pense à demain, mais surtout à Julia.