n° 21040 | Fiche technique | 33550 caractères | 33550Temps de lecture estimé : 19 mn | 05/08/22 |
Résumé: Une fois de plus, Gilles, mon cher mari et aussi gros profiteur devant l’Éternel, n’est jamais à court d’idées… | ||||
Critères: fh fhh hplusag fplusag extraoffre parking caresses intermast fellation pénétratio -libercoup | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Collection : Blitz Stories |
Cette petite série propose des récits courts et indépendants les uns des autres, avec le même couple comme point commun.
Ces histoires relatent des événements libertins plutôt rapides, éclairs (d’où le titre).
Dans cette histoire, il n’y a pas de grosse scène de sexe dans ce court texte…
Bonne lecture : )
En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, je suis en général une personne assez prude dans mes élans affectivo-sexuels, je ne m’offre pas comme ça à n’importe qui, mais parfois j’ai mes coups de cœur, ou plutôt de queue.
Les enfants étant partis du nid, mon mari et moi, nous nous offrons des extra ci et là. Depuis bientôt trente ans, je vis avec Gilles, mon mari. Je suis une Italo-Allemande, ce qui explique mon physique très méditerranéen et aussi ma grande taille. Mon germanique de père m’a prénommé Sandra et j’aime mon prénom, à prononcer à l’Allemande, c’est-à-dire « sann-dra », avec la première syllabe qui rime avec Anne.
Aujourd’hui, ce sera une anecdote plus récente. Installez-vous une fois de plus confortablement, que je vous raconte rapidement tout ça.
Une fois de plus, Gilles, mon cher mari et aussi gros profiteur devant l’Éternel, n’est jamais à court d’idées :
Il me capture dans ses bras :
Mon mari soupire :
Je recentre la conversation :
Ah, mon mari augmente un peu le curseur. Nous avons fait beaucoup de trios ces derniers temps (je ne déteste pas), ce n’est pas mal de changer un peu la donne. Quoique dernièrement, nous avons eu droit à deux fois deux couples, ce qui est très bien. Curieuse, je questionne :
Je sais que je ne saurai rien de plus, mon mari sait être muet comme une tombe. Et inutile de fouiller ses affaires, tout est dans sa tête ou dans son smartphone dont il ne se sépare jamais. Et puis, pourquoi irais-je fouiner ? Je sais que je peux lui faire confiance, il a toujours su réussir nos petites affaires.
Le jour suivant, j’attends fébrilement l’heure de sortie. Comme convenu, mon mari vient me chercher au pied de l’immeuble. Je suis assez excitée par ce qui va bientôt arriver. Mais je sais que je peux y aller les yeux fermés, Gilles sait très bien planifier nos petites folies. Une fois la portière refermée et le bisou de circonstance fait, j’annonce, mutine :
Mon mari sourit :
Peu après, notre automobile s’engage ensuite sur le périphérique.
Quelques minutes plus tard, à la limite du centre-ville, près d’un parc assez connu, Gilles se poste devant une grille qui semble mener dans le parking souterrain d’une résidence privée assez huppée. Intriguée, je demande à mon chauffeur :
Il le pointe vers la borne. Le voyant faire, je m’exclame :
En effet, la porte s’ouvre, puis mon mari descend dans le deuxième sous-sol. Je constate que les lieux sont très propres. Étrangement, la moitié basse des murs est peinte en violet. Je murmure :
Je traduis :
Sachant visiblement où il doit se rendre (je pense que c’est lié aux lettres sérigraphiées sur le sol), Gilles tourne à divers endroits, puis nous arrivons dans un cul-de-sac doté de quatre places, dont deux qui sont libres…
Nous nous stationnons au numéro que mon époux vient d’annoncer. Gilles abaisse nos vitres à fond. Je me demande bien pourquoi, peut-être pour aérer un peu et rafraîchir.
Soudain, des pas désynchronisés résonnent dans le parking, lentement mais sûrement. Le son semble venir de toutes les directions, c’est étrange. Levant l’index vers le plafond, Gilles me regarde en disant avec un accent déplorable mais compréhensible :
Les pas se rapprochent, sonores. Mon mari sort de la voiture, j’en fais de même. Deux silhouettes s’approchent, venant vers nous. Je distingue mal, car le parking reste plongé dans une certaine pénombre. Les deux formes s’avancent encore plus, émergeant dans la faible lumière.
J’ouvre de grands yeux :
Ah Antoine, mon horloger gentleman style anglais ! J’ai batifolé quelques fois avec lui après l’épisode de la montre à gousset. Puis quelques mois plus tard, il a fermé boutique, il y a maintenant une bonne année, voire deux, préférant prendre sa retraite, car le loyer de son magasin avait quasiment doublé, à la suite d’un changement de propriétaire.
Je pensais que la boutique était à lui, mais non. De ce fait, il a migré dans le Sud comme beaucoup de personnes du même âge, j’avais de temps à autre de ses nouvelles au téléphone, mais surtout par Guillaume son cousin, avec qui je batifole parfois, car la nouvelle compagne (dénichée sur place) d’Antoine le surveille de très près. Visiblement, Antoine vit fort bien sa retraite, je le trouve même rajeuni.
Je lui saute au cou, il me presse fiévreusement contre lui, je lui offre un petit bisou sur les lèvres qu’il apprécie beaucoup. L’homme qui l’accompagne ouvre de grands yeux étonnés. Celui-ci lui ressemble beaucoup, son fils assurément. Il est un peu plus jeune que moi, mais pas de beaucoup. Antoine me le présente :
Toujours pressée contre Antoine, je souris :
Amusé, il ne répond rien. Manifestement très intéressé par ma personne, Julien s’approche un peu plus de moi, puis il s’incline légèrement :
Antoine éclaire un peu ma lanterne :
Julien s’exclame fortement :
Antoine se tourne vers moi :
Néanmoins, quelque chose m’intrigue :
L’explication tombe aussitôt, très généraliste :
Réajustant ses petites lunettes rondes, Olivier énonce sentencieusement :
Même Antoine n’est plus un jeune homme depuis bien longtemps, il possède encore une sacrée force dans les bras ! Sans parler de quelque chose assurément en bronze dans son pantalon ! Je constate avec plaisir qu’il est vraiment très content de me revoir !
Comme déjà mentionné, Julien est aussi très intéressé par ma petite personne, mais il est visiblement plus timide que son père, et ne sait pas exactement quoi faire. Je reconnais que la situation est assez étrange, il est rare qu’un père emmène son fils venir faire un petit coucou à une inconnue qui a été sa maîtresse, sachant que ce n’est pas précisément pour causer avec elle du temps qu’il fait.
Je décide de prendre les choses en main :
Je mets les pieds dans le plat :
Gêné, ne s’attendant pas à une confirmation si spontanée et directe, Julien ne dit plus un mot. C’est son père qui vient à sa rescousse :
Antoine sourit légèrement :
Un bref silence s’installe. C’est mon mari qui reprend la parole :
En entendant cette dernière phrase, je m’étonne :
Je me tourne vers Antoine :
Il se met à rire :
Je regarde Julien dans les yeux, tandis que je m’assieds sur le capot avant de la voiture. Je peux me le permettre, la carrosserie de notre voiture est faite d’une tôle plutôt épaisse, et ce n’est pas la première fois que l’avant est sollicité de la sorte.
Lentement mais sûrement, je remonte le bas de ma jupe, révélant d’abord des bas, puis les attaches d’un porte-jarretelles, et enfin la blanche peau de mes cuisses. Je m’arrête à temps au niveau stratégique. Julien n’en revient pas. Ça doit être la tempête dans son cerveau. Non, je ne suis pas une pute professionnelle, je suis simplement une femme libérée, et tout ceci m’amuse.
Ce Julien me plaît bien, il est mignon, et je ne déteste pas servir d’initiatrice, en quelque sorte, bien qu’il soit loin d’être puceau. Mais j’aime dévergonder les hommes. Quant à son père, je suis en effet très contente qu’il soit revenu dans la région. Une fois de plus, mon mari a tapé dans le mille !
Subjugué, Julien admire mes gambettes gainées de soie, ainsi que le commencement de ma chair entourée de jarretelles. Pour le reste de ma tenue, c’est fort simple : un chemisier sans rien en dessous, et un petit gilet. Du prêt à l’emploi, simple mais efficace. Puisque j’ai droit à une mini-pause avant les agapes, j’en profite pour faire tomber le gilet, puis réajuster quelques mèches de ma longue chevelure.
Poussé dans le dos par son père, Julien s’approche. J’attends qu’il soit plus près.
Quand il est à portée de main, je lui dis :
Timidement, Julien tend sa main pour venir caresser mes jambes par-dessus mes bas, puis il s’enhardit à monter de plus en plus haut, venant frôler la bande de chair dévoilée. Il a l’air d’apprécier ce contact. Sa main enrobe de plus en plus ma cuisse, devenant de plus en plus possessive. Puisque je suis assise sur le capot d’une voiture, je crois que Julien est comme un diesel, il lui faut du temps pour se lancer. Et tant pis, si ce n’est pas une comparaison très écologique !
Durant ce temps, Julien s’enhardit un peu plus, puisqu’il caresse le haut de mes cuisses, sans toutefois oser explorer ce qu’il y a sous ma jupe. Je lui souris, il rougit un peu, c’est attendrissant. Mais tu n’es pas arrivé au bout de tes peines, mon petit ! Je relève un peu plus le tissu de ma jupe dévoilant encore plus de cuisses dénudées encadrées par des jarretelles, sans toutefois aller trop haut, il faut savoir ménager ses effets.
Julien continue de caresser le haut d’une main, tandis que l’autre s’occupe de la partie gainée de soie. Bonne initiative. Je le laisse faire quelques instants avant de demander :
Je relève la totalité de ma jupe, révélant au grand jour que j’ai royalement oublié de mettre une petite culotte ou un string. À cette vue fort glabre, Julien marque un petit temps d’arrêt avant de continuer à me caresser :
Ses doigts explorent à présent le haut de mes jambes, remontant jusqu’au porte-jarretelles sombre dont une partie reste cachée sous le tissu. Mon abricot est totalement lisse, sauf une minuscule petite touffe en forme de petit cœur, une fantaisie que je me suis offerte, il y a peu de temps, à l’aide d’un cache et d’une tondeuse adéquate.
J’ai mes périodes avec poils et d’autres sans poil, c’est selon mes humeurs. Avec ou sans, il y a, à chaque fois, des avantages et des inconvénients. Parfois, je coupe la poire, ou plutôt la pêche en deux, en laissant un petit quelque chose en haut de ma fente bien dégagée.
Une fente bien dégagée que Julien commence à taquiner du bout des doigts. Voyant que je ne mords pas, il s’engage dans son exploration, déposant parfois des bisous sur mon pubis ou en haut de mes cuisses. Il s’y prend doucement, méthodiquement. Ça doit être de famille.
Tiens, en parlant de parenté, comme l’excitation monte inexorablement, je tends ma main vers le père, je cherche sa belle verge au travers de son pantalon. Je la trouve aisément, tellement que son propriétaire bande déjà. Le désir m’envahit de plus en plus, je me laisse glisser le long d’un voluptueux toboggan…
Une fois la verge d’Antoine extirpée, je me fais un plaisir de la choyer du bout des doigts. Je commence à bien la connaître, cette colonne de chair, ni trop ni pas assez, avec le bon diamètre. Sans oublier le fait que son propriétaire sait s’en servir ! Ce qui est très important !
Caressée et bisoutée plus bas, une belle verge en main, deux hommes qui sont presque les mêmes, rien que pour moi, pourquoi devrais-je me plaindre ? Les yeux mi-clos, je me laisse flotter durant de longs moments.
Se relevant, Julien ouvre alors son pantalon, puis, verge à l’air, il s’approche de moi, toujours assise sur le capot resté tiède. Je suis très émoustillée, je m’empare sans hésiter de cette nouvelle queue que je ne connais pas encore, mais qui ressemble fortement à celle que j’ai déjà en main. Du changement dans la continuité. Sans aucune hésitation, je l’enfourne entre mes lèvres voraces, puis je le suce avec gourmandise, tandis que son propriétaire continue de me caresser l’entrejambe afin de m’offrir en quelque sorte la réciproque.
Julien soupire d’aise de se sentir ainsi choyé dans ma bouche toute chaude et humide. Je m’active autour de ce pieu de chair, déployant ma science en la matière. Sans être outrageusement fière de moi, si je participais à un concours national de pipeuse, je ne terminerais certainement pas dans les dernières !
Mon mari le sait très bien, lui qui bénéficie de mes aptitudes en la matière depuis bien des années. Sans compter mes divers amants qui sont loin de détester cette mise en bouche…
En parlant de le savoir, Antoine se rapproche de moi, sa belle colonne rose en avant. Je comprends vite le message : m’occuper alternativement le fils et le père, à moins que ce ne soit l’inverse. Comme je suis une grosse coquine et une sacrée suceuse, j’exauce cette petite fantaisie, m’occupant successivement de ces deux verges qui se ressemblent, une bite dans une main, un vit dans l’autre.
Telle queue de père, telle queue de fils !
Telle une bonne grosse salope que je sais être quand je m’en donne la peine, avec un bâton palpitant dans chaque main, passant de l’un à l’autre avec ma bouche et ma langue, je les suce avec envie, avec frénésie, je me laisse aller, je me laisse glisser, je les branle, je les enfourne, je lape leurs boules, je leur fais des trucs bien cochons !
Toujours bien raides, leurs tiges palpitantes et nervurées me remplissent l’une après l’autre la bouche, et ça dure un certain temps, jusqu’à ce que je sente que Julien est au bord de l’implosion, son père sachant mieux résister. Cessant de lécher quelques instants, d’une voix suave, je m’adresse au fils :
Après ces bonnes paroles, je le remets en bouche afin de le sucer et de le pomper à nouveau, mais je n’ai pas longtemps à attendre, un premier jet fuse sur ma langue. D’autres suivent immédiatement, plus longs, plus copieux. Julien gémit longuement de plaisir, largement soulagé de son trop-plein. J’ai la curieuse impression que Julien ne s’est pas vidé de la sorte depuis un certain temps. Il faudra que je me renseigne sur les soucis qu’a pu traverser cet homme, dixit son père.
La verge mollit peu à peu entre mes lèvres, les palpitations s’atténuent, c’est un moment que j’apprécie, la preuve évidente que l’homme a tout donné, et qu’il a joui de moi, en moi et pour moi. Tandis que je continue à caresser la tige flasque, j’entends au-dessus de ma tête :
Au moins un homme qui sait reconnaître mes aptitudes (autre que mon mari, bien sûr) ! J’ai souvent constaté que ce sont les plus âgés qui sont les plus aptes à concéder ce genre de chose. Mis à part les puceaux, les jeunots pensent souvent que tout leur est dû et que tout est normal : comme ils ont la verge, les femmes sont juste des poupées dans lesquelles se vidanger ! Enfin, pas tous les jeunots, mais un gros lot !
Puis j’abandonne la verge épuisée, voyant qu’elle est momentanément hors service.
Sans prévenir, Antoine me plaque sur le capot. Puis, se présentant sur le côté, il me donne sa verge à branler ce que je fais illico. Vu la position, il aura pu me redonner sa queue à sucer, mais il désire sans doute changer un peu les plaisirs. Chose qu’il fait aussitôt, puisqu’il met facilement à nu ma poitrine en enlevant les boutons de mon chemisier, pour ensuite commencer à jouer avec mes seins et particulièrement les pointes dressées de mes tétons.
Un petit choc électrique vient de m’envahir : plus bas, Julien est en train de lécher soigneusement mon clitoris, c’est très bon, je gémis doucement, tout en continuant de branler la puissante pine du père. Oui, je suis une belle salope en train de se faire bouffer la chatte dans un parking désert par le fils, tout en branlant soigneusement le père, le tout sous les yeux de mon mari !
Oh oui, ça me rend complètement dingue ! Je dois être joliment pervers pour aimer ce genre de situation biscornue !
Soudain, la voix de Julien perce le brouillard de plaisir dans lequel je me vautre avec délectation :
Aussitôt, j’ouvre grandes les cuisses, ma jupe toujours bien relevée, totalement ouverte et offerte.
Alors, je sens deux mains agripper mes cuisses et me tirer vers l’avant de la voiture. Puis Julien vient se placer posément entre mes jambes relevées. Son regard est visiblement pointé vers ma fente luisante de sa salive, mais pas que… Il hoche la tête :
Son sexe vient frotter contre le mien, sur mes lèvres intimes. Je comprends vite à la sensation qu’il a mis un préservatif. Bonne initiative, du moins au début. On ne se montre jamais assez prudent. Mais si par la suite, nous continuons à nous voir, et que je sais qu’il n’y aura pas de souci, je préfère sans. Remarquez, je ne suis pas très logique, car il y a quelques minutes, je l’ai sucé et j’ai même avalé tout son sperme.
Mais c’est comme ça.
Julien continue son petit jeu, n’oubliant pas de continuer à titiller son clitoris en feu du bout de son gland qui se charge peu à peu de cyprine. Oui, je mouille, je ne m’en cache pas. Ne suis-je pas dans ce parking pour justement en profiter un max ?
Tout en branlant Antoine avec application, je souris à mon nouvel amant. Je pense que je vais le revoir, mais attendons la suite des événements pour savoir si le fils est du même niveau que son père. Je pense que le fils n’est pas la copie du père en plus jeune, qu’il a ses qualités et ses défauts, mais que globalement, c’est un bon cru.
Peut-être l’expérience psychologique en moins…
La belle verge s’enfonce sans effort entre mes lèvres intimes. Je ferme les yeux, goûtant cette tige qui se plante centimètre par centimètre en moi. Arrivé à la moitié, Julien commence un lent et délicieux pistonnage. Coup de reins après coup de reins, il s’enfonce de plus en plus en moi, bien décidé à me faire jouir de la sorte, je le vois à son visage.
Soudain, il se retire, pour se frotter vicieusement le long de mon clitoris. Je me cabre sous le choc électrique que me procure ce frottement pervers. Mes doigts s’agrippent comme ils le peuvent, j’ouvre la bouche et les yeux. Je murmure :
Puis il replonge en moi, ce qui déclenche instantanément ma jouissance. J’emprisonne mon amant entre mes jambes, le forçant à s’enfoncer en moi, à rester rivé en moi, au plus profond. C’est dingue, c’est bien l’une des premières fois que je jouis ainsi, par une simple pénétration !
Soudain, mettant ses mains sous mes fesses, Julien me soulève, me collant contre lui, m’empalant encore plus sur lui. Ce redressement provoque une autre vague qui me fait décoller encore plus loin, plus haut. Mes seins écrasés contre son torse, ventre contre ventre, mes bras autour de son cou, ses lèvres voraces contre les miennes, me pistonnant sans relâche, Julien se déchaîne carrément.
À moitié hagarde, sous tous ces assauts conjugués, je continue à décoller tellement haut que j’ai presque peur de ne jamais remettre les pieds sur terre !
Après cette puissante et dévastatrice jouissance, nous avons continué nos délicieux petits jeux, mais j’avoue que j’étais un peu ailleurs, et honnêtement, je ne me souviens plus de tous les détails. Mais je sais de façon certaine que j’ai fait jouir plusieurs fois le père et le fils, et que je n’ai pas été laissée sur le bord du chemin.
Quant à Gilles, je l’ai un peu sucé, mais sans plus. Il faut dire que ce gros cochon abuse de moi presque tous les jours, et qu’il faut en laisser aux autres, n’est-ce pas ?
Cependant, je suis un peu inquiète intérieurement : comment Julien a-t-il réussi à me chambouler de la sorte ? D’accord, il n’est pas moche, et une fois qu’il est en route, il sait s’y faire, mais ça ne justifie pas le fait que j’ai vécu un véritable feu d’artifice ! Une histoire de phéromones ?
Il faudra que je tire tout ça au clair prochainement…
Tout le monde est à présent rhabillé, reprenant son souffle. Je suis à nouveau présentable, ayant bien remis ma jupe et reboutonné mon chemisier. Le gilet gît toujours sur le capot de la voiture, il ne faudra pas que je l’oublie. Soudain, sans que je comprenne pourquoi, Julien me prend posément par la main :
Voyant que mon ravisseur cherche ses mots, mon mari explique :
Gilles sourit :
Mon mari me répond sur un ton doctoral :
Je proteste :
Coupant court à notre échange, Antoine pose ses mains sur mes épaules :
Comme il s’agit d’une blitz story (consultez vos dictionnaires), la seconde partie sera pour une autre fois. Mais je peux vous assurer qu’elle ne fut pas triste…