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Temps de lecture estimé : 8 mn
27/08/22
Résumé:  Après une première nuit sensuelle, le retour à la vraie est plus compliqué que prévu.
Critères:  ff fplusag collègues amour jalousie caresses intermast cunnilingu -lesbos rousse collègue
Auteur : Lesbo Lover      Envoi mini-message

Série : Ma collègue Laura

Chapitre 02 / 03
De surprise en surprise...

Résumé de l’épisode précédent :

Une quinquagénaire en instance de divorce découvre l’amour au féminin dans les bras de Laura, une jeune collègue.







Son air malicieux est certes craquant, mais ce qu’elle vient de m’apprendre me laisse sans voix. Après notre nuit hors du temps, je savais que le retour sur terre serait difficile, mais sans imaginer à quel point.

C’est au café que j’ai posé LA question qui a tout déclenché.



Je la regarde, hallucinée.



Complètement désarçonnée par cet aveu aux antipodes de mes habitudes, je n’écoute plus trop Laura qui tente de me convaincre que leur attitude est la moins hypocrite de toutes évitant ainsi nombre de divorces. Sur ce point, je ne peux que la rejoindre, mais sans toutefois accepter cette nouvelle mode de plusieurs amours en parallèle.



J’ai du mal à sourire malgré son air charmeur et ne peux que concéder que je suis perdue. Au point de me lever pour prendre congé, les yeux brillant de tristesse.



Je quitte la table sans qu’elle ne me retienne ni rajoute un mot et c’est donc en larmes que je regagne ma voiture pour rentrer chez moi.


Mon dimanche a été horrible ! Partagée entre colère inexplicable et tristesse implacable, j’ai un peu rangé et beaucoup pleurniché.

Je passais en boucle dans ma tête des films où Laura faisait l’amour avec cette fameuse Ingrid, ce que, vous l’avouerez, n’a rien fait pour améliorer mon humeur !

Mais d’un autre côté de quel droit puis-je donner des leçons de morale alors que je connaissais l’existence supposée d’Ingrid avant de succomber aux charmes d’une jeune femme en âge d’être ma fille ?

Une sensation de dégoût m’envahit même si je dois reconnaître avoir adoré notre nuit de folie qui restera peut-être seule et unique.

Qui vivra verra !



Assise à mon bureau, je tente de paraître naturelle en apercevant Laura qui salue tout le monde comme à son habitude à son arrivée le lundi matin.

Plus de bise depuis le Covid, mais des sourires amicaux que j’espère sincères.

Rien dans son attitude n’a changé depuis le vendredi précédent comme si notre parenthèse sensuelle n’avait pas existé.



Son sourire est tout sauf ironique et c’est le cœur battant que je lui réponds.



Et de repartir m’offrant le spectacle de son petit cul que je caressais la veille, mais moulé pour l’heure par jean ajusté.

Le cœur battant à toute allure je tente en vain de me concentrer sur mon travail cherchant vainement un regard de sa part, mais la belle rousse respecte, hélas, ma résolution de la veille en se comportant comme une collègue lambda.

La journée du lundi a donc été longue, comme celles du mardi, identique en tous points et celle du mercredi si intenable que j’ai finalement craqué en l’appelant sitôt rentrée chez moi.



Sa voix est enjouée comme si elle attendait mon appel, ce qui réchauffe un peu mon cœur.



Nerveuse comme pour un premier rendez-vous, j’ai fébrilement rangé mon appartement avant de me doucher et de choisir une robe légère – facile à enlever – par-dessus une parure en dentelle achetée la veille dans l’éventualité d’une nouvelle rencontre.


Un coup de sonnette plus tard, Laura, qui s’est également changée, me dépose un rapide baiser sur les lèvres en guise d’apéritif, avant d’entrer dans mon appartement que je lui fais rapidement visiter. Assises côte à côte sur le canapé, nous nous jaugeons presque.



Je frôle sa main du bout des doigts dans une approche somme toute enfantine, mais Laura répond à ma caresse en souriant tendrement.

Prenant cela pour une invite je me rapproche, mais elle refroidit involontairement mes ardeurs en une phrase.



Au bord des larmes je la dévisage partagée entre la raison et la passion. Son sourire touchant me fait prendre une décision finalement rapide.



Ma voix est chevrotante, mais mon envie si forte que je fais fi de ce qu’elle a dit l’attirant sur moi à califourchon pour un baiser amoureux. Elle ne résiste heureusement pas, riant avant de m’offrir sa bouche et sa langue comme si sa vie en dépendait.


Que c’est bon ! pensé-je avant de la serrer fort contre moi.


Son corps chaud sous la robe légère est un appel aux caresses auquel je ne résiste pas, retrouvant le plaisir de glisser ma main sous le tissu à la redécouverte de ses fesses fermes. Laura gémit doucement, dévorant ma bouche avec une passion communicative qui m’excite aussitôt.


Fait-elle de même avec Ingrid ? Je chasse cette pensée funeste poursuivant mon exploration sensuelle qui semble lui plaire, son bassin se frottant contre le mien avec une lenteur exaspérante, mais affolante.

Mes mains deviennent aussi fébriles que notre baiser qu’elle interrompt pour murmurer.



Nous parlons tout bas alors que personne ne peut nous entendre, marchant à pas feutrés vers le lit que personne n’a foulé depuis mon divorce.

Laura lâche ma main pour défaire ma robe sans me quitter des yeux.



Émue par mon aveu, Laura m’embrasse tendrement avant de faire glisser ma robe à terre, bientôt suivie par mon soutien-gorge qui libère ma poitrine tombante, qu’elle frôle aussitôt.

Son magnifique sourire est taquin lorsqu’elle constate l’état de mes pointes.



Ses doigts glissent sur mes hanches pour me débarrasser de mon shorty me laissant totalement nue et offerte à ses envies.



J’obéis, lui tournant le dos suffisamment longtemps pour m’apercevoir qu’elle s’est déshabillée lorsqu’elle colle sa poitrine nue contre mon dos.

Je me laisse aussitôt aller dans ses bras qui m’enlacent vigoureusement comme le ferait un mâle puissant. Je gémis, troublée par le contraste de la jeune femme douce et cette étreinte.



Je n’en reviens pas de ma réponse, mais mon sexe agacé par sa main me fait perdre tout contrôle, écartant les cuisses pour mieux m’offrir.

Laura en profite pour frôler ma vulve gonflée juste avant de me pénétrer de deux doigts au moment où elle mordille mon oreille. Les yeux fermés je cède totalement gémissant déjà sous ses caresses habiles qui débusquent mon clitoris sous ma toison légèrement blanchissante.


Les yeux fermés, je me laisse caresser, oubliant à cet instant mon ex-mari et sa pouffiasse et même Ingrid qui a probablement bénéficié du même traitement hier.

J’appartiens à Laura et Laura m’appartient au moins pour cette nuit !


Je gémis plus fort lorsque je devine sa bouche abandonner mon cou pour glisser lentement sur mon dos, le creux de mes reins, mes fesses larges et enfin mon sexe ouvert, me cambrant lorsque sa langue sépare mes lèvres pour déguster ma cyprine abondante.



Laura me lèche admirablement frôlant mes lèvres pour accéder à mon clitoris puis plonger dans mon sexe béant.

Je ne suis plus que gémissements et trémoussements d’autant que les seins ne sont pas abandonnés, au contraire, mes longues pointes étant délicieusement pincées à la limite de la douleur.

Je me tords maintenant sur les draps froissés sentant le plaisir croître au point où je ne pourrai pas retenir plus longtemps mon orgasme que je sens dévastateur. Ma jeune maîtresse n’a pas besoin d’autres indications que celles que mon corps lui transmet : elle sait comment jouer avec moi dans une chorégraphie bien huilée dans laquelle je parais presque légère.

Les mains sur ses boucles rousses, je me laisse dévorer, lâchant des mots incompréhensibles, mais traduisant bientôt une excitation extrême qui conduit à l’inéluctable.



Je jouis sous ses lèvres et sa langue combinées qui fouillent et aspirent mon sexe encore longtemps après la fin de ma jouissance si longue que j’en ai les muscles tétanisés. En sueur, je reprends mon souffle, les yeux clos et le corps encore tendu, frémissant une dernière fois lorsque sa bouche abandonne ma vulve sensible pour un nouveau baiser à pleine bouche. Son corps est à peine moins chaud que le mien laissant présager une pause salvatrice, mais la rousse est trop impatiente pour cela. Souriante, ses yeux émeraude brillant de désir, elle murmure.



Lascive, elle s’allonge sur le dos s’étirant au maximum pour m’offrir ainsi le magnifique spectacle de son corps sans défaut que je caresse timidement, d’abord ses seins ronds et blancs surmontés d’aréoles rose pâle que je frôle bientôt découvrant le plaisir de les sentir durcir comme les miens lorsque je me masturbe. Puis, encouragée par ses petits gémissements, je deviens plus audacieuse, oubliant mon inexpérience pour partir à la découverte de cette jeune femme qui ne demande que cela, aspirant doucement avec ma bouche inexpérimentée ses mamelons rugueux. Je les découvre si sensible que parfois elle me demande de ralentir le rythme.

Pas vexée de recevoir des conseils, je module mes hommages que progressivement je combine à des frôlements sur l’intérieur de ses cuisses qui s’ouvrent pour mieux m’offrir le passage vers le Graal.



Laura gémit dès le premier contact de mes doigts sur sa vulve trempée que je sens masquée d’une toison finement épilée. Je tâtonne un peu avant de découvrir son clitoris trapu que je câline aussi longtemps que la belle rousse le supporte. Mais bientôt nous perdons toutes deux le contrôle de nos gestes qui deviennent fébriles au point de laisser présager un orgasme proche et dans un sursaut de désir j’abandonne ses seins pour faire glisser lentement ma bouche en direction de sa toison que je découvre pour la première fois d’aussi près, aussi rousse que sa chevelure, avant de plonger dans le compas de ses cuisses pour enfin goûter cette vulve odorante.


Laura se cambre dès le premier contact agitant son bassin au point que, aussi excitée qu’elle, je perds aussitôt pied, enivrée par sa cyprine épicée qui suinte de son sexe rose pâle.



Comment résister aux imprécations de cette magnifique jeune femme qui me réclame de la faire jouir ?

Alors je fais de mon mieux, léchant, aspirant, voire mordillant cette vulve gonflée tentant de ne pas négliger non plus ses seins tendus.


Ma jeune maîtresse s’agite de longues minutes éreintantes pour ma bouche inexpérimentée avant de jouir enfin dans un long cri qui réveille ma grande chambre trop silencieuse depuis des mois.

Le silence revenu, nous nous sourions silencieuses, échangeant un regard si intense qu’il se suffit à lui-même et scelle davantage encore notre idylle atypique, mais sincère.


Laura est restée dormir ne m’abandonnant qu’au petit matin pour passer rapidement se changer chez elle avant de filer au bureau.

La soirée fut longue et sensuelle avec un nouvel orgasme partagé dans une communion émouvante.



Nues, enlacées, nous nous faisions des confidences lorsque Laura me fait cette proposition presque attendue.



Et de me raconter leur rencontre à la salle de sport où Ingrid est coach, leur flirt progressif et de leur opinion commune sur le polyamour.



Son regard pourrait paraître innocent si sa bouche ne brillait pas encore du fruit de mon orgasme lors du tout récent 69.



Elle quitte prestement le lit avant que je l’attrape, m’offrant ses fesses nues comme dernière image avant de se retrouver, plus tard, au bureau.