n° 21099 | Fiche technique | 11632 caractères | 11632Temps de lecture estimé : 7 mn | 27/08/22 |
Résumé: Une conversation écrite d’un lecteur de Rêvebébé me donne une envie que mon compagnon m’aide à assouvir. Ce récit est un témoignage. | ||||
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Auteur : Maelys Envoi mini-message |
Nous avons choisi la Haute-Savoie pour passer nos vacances, mon compagnon et moi. Grand bien nous en a pris tant la chaleur se fait pesante en cet été 2022. Les nuits sont tellement plus fraîches quand on prend de l’altitude !
Je communique, sans le cacher à mon compagnon, c’est notre règle de vie commune, avec un homme charmant, via internet. Il me fait part de ses fantasmes à la lecture de mes textes. Il décrit si bien ses envies et ses sensations qu’en le lisant, j’ai chaque matin une envie irrépressible de me masturber nue sur mon lit, surtout quand il me décrit la manière dont il parvient à l’orgasme en pensant à moi. Mon compagnon, parfois intrigué par mon silence et le temps passé dans la chambre, prend l’habitude de me rejoindre pour m’observer. Il est toujours très excité de me voir ouverte en plein doigtage vaginal ou de stimulation clitoridienne. Il se masturbe lui aussi en me regardant faire et finit souvent par me rejoindre pour terminer ou me donner un second orgasme.
Nous nous entendons bien tous les deux, attentifs à nos désirs, nos fantasmes et en gardant une part d’indépendance s’agissant de nos envies sexuelles.
Mon charmant correspondant m’a fait part ce matin d’une scène imaginée durant laquelle je suis prise sur un capot de voiture par un chauffeur de taxi. Sa description de la situation m’excite tant, qu’à peine la lecture du texte commencée, je retire mon t-shirt et écarte les cuisses, bien décidée à calmer le feu qui s’y est déclaré.
Je me vois allongée sur un capot de voiture, jambes écartées, les talons posés sur le métal tiède, ma vulve ouverte et offerte aux yeux de celui qui va bientôt y glisser sa verge dressée vers le ciel tant son excitation de me voir ainsi à disposition est intense. Je vais dans la salle de bains attenante chercher un gode dans ma trousse de maquillage et retourne sur mon lit. J’écarte à nouveau les cuisses en grand, je ferme les yeux pour me m’isoler de la réalité et je fais glisser mon jouet dans le vagin.
C’est comme si je sentais la verge me visiter profondément. Me manque seulement la sensation des mains de mon amant occasionnel sur les cuisses pour me maintenir ouverte.
Quelques minutes durant lesquelles je fais glisser le gode jusqu’au fond de moi et j’ai un orgasme puissant aux pulsations intenses, en imaginant mon mystérieux lecteur de Rêvebébé jouissant de mon puits d’amour.
Je sursaute en constatant que mon compagnon est assis en face du lit, pantalon baissé, et en pleine érection.
Il se met à califourchon entre mes gros seins qu’il adore regarder et palper et je pose ma langue sur son gland.
Je le prends totalement en bouche ; il me pétrit les seins ; il suffit de quelques va-et-vient dans ma bouche pour qu’il lâche toute sa semence dans ma bouche ; j’avale goulûment.
Plus tard dans la matinée, il me dit qu’il est entré en contact sur le réseau libertin que nous fréquentons. Il a envie de me procurer le plaisir d’assouvir ce qui a provoqué mon excitation. Il est comme ça, mon chéri, toujours prêt à m’aider à satisfaire mes envies.
Trois jours après, un couple de la région se déclare intéressé. Ils sont pas mal sur la photo et nous avons dû leur plaire également.
Rendez-vous est pris pour vendredi soir.
Nous arrivons vers 21 h sur une aire connue pour les pratiques libertines en Haute-Savoie.
Nous patientons dans un bel état d’excitation durant dix minutes. Nous résistons à l’envie de nous caresser.
Je suis habillée légèrement. Un petit haut blanc et un gilet noir. Finalement, j’ai mis une parure blanche. Je porte des bas résille qui me font de belles jambes bien galbées.
Une voiture verte vient se garer à quelques mètres de nous. Un homme sort de la voiture, la trentaine, brun, assez athlétique.
Mon compagnon sort de la voiture. Ils discutent. Un échange lui permet de vérifier qu’il s’agit de nos partenaires.
Il s’appelle Melvin. Il invite son épouse, Clara, à sortir de la voiture. Une très belle femme, très blonde, y compris des sourcils, assez typée scandinave, vêtue d’une robe sage marron à pois blancs qui tombe au-dessus du genou. Je sais tout de suite que Marc est sous le charme. Elle a des formes et il aime cela. Il va passer un bon moment.
C’est à mon tour de sortir de la voiture. Melvin me dévore du regard, l’œil pétillant. Il me plaît !
Marc emmène Clara dans notre voiture. Melvin me prend la main et m’emmène dans la leur. Un sur-siège est installé à l’arrière. Ils ont au moins un enfant !
Je m’assieds à la place passager. Il me rejoint à la place du conducteur. Il ne me laisse pas le temps de me poser la question de savoir si je dois prendre l’initiative, puisqu’il se tourne vers moi et empoigne mes seins en me disant :
Je le retire avec envie. Je sens mes tétons déjà tout dressés. Sans me demander quoi que ce soit, il prend les commandes, passe ses mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge.
Il s’empare de mes seins en les soupesant. Le contact de ses mains me fait frissonner. Mes tétons se dardent instantanément. Ses mains se font plus insistantes et pétrissent mes seins à pleines mains. C’est délicieux. Un coup d’œil vers son short me permet de constater que je le fais bander.
Je le laisse me caresser et il profite pleinement de mes gros seins. C’est délicieux et nous pourrions nous contenter de cette caresse exploratoire et gourmande pour aller jusqu’à une éjaculation sur mes seins, si tel était son désir, me contentant juste de me caresser pendant cette branlette espagnole.
Mais son « envie de faire connaissance » était complète et il détourna ses mains de mes deux seins fièrement dressés pour tirer vers le haut ma petite jupe et caresser mes cuisses. Sa demande de placer mes talons sur le siège me confirma que mon entrejambe allait faire l’objet d’une découverte attentive, confirmée par le fait qu’il retira ma petite culotte blanche pour avoir un accès facile et complet à ma vulve.
Il me caressa les grandes lèvres délicatement, sans appuyer, laissant ma fente s’entrouvrir, ce qui lui permit de constater que je mouillais comme une folle. Il prit la serviette posée à côté du rehausseur et la plaça sous mes fesses. C’est un habitué de la baise en voiture, car il sait combien il est difficile de se débarrasser des taches de mouille sur un siège.
Il parcourut ma fente de ses doigts bientôt imbibés de mon abondante cyprine et entreprit une incursion digitale dans mon vagin qui n’attendait que cela.
Il sortit de la voiture pour ouvrir ma portière. Je jetai un coup d’œil vers notre voiture. Impossible d’y distinguer quoi que ce soit dans la pénombre naissante.
Je fis un quart de tour et lui présentai ma chatte, les cuisses très écartées. Il plongea sa tête entre mes cuisses. Il parcourut ma chatte de sa langue curieuse, me suça, me lécha et goûta ma cyprine abondante.
J'étais tout ouverte, abandonnée. Je me livrais totalement au plaisir que Melvin me procurait. J'aurais pu le laisser faire très longtemps, mais c’est lui qui ressentit le besoin de passer à autre chose.
Il se releva, je sortis du véhicule pour m’installer sur l’avant du capot encore un peu tiède et j’écartai les cuisses. Il baissa son short et son slip. Je découvris une belle verge, bien que moins longue que celle de mon compagnon, mais courbée vers le haut.
Comme il le demandait, je m’installai sur le capot en offrant ma croupe. J’écartai un peu les jambes pour faciliter l’accès à ma vulve, la lui offrir totalement soumise à ses envies.
Je n’attendis que quelques instants, le temps qu’il enfile un préservatif, avant de sentir sa verge me pénétrer. Il me donna de violents coups de boutoir et mes hanches resteront un peu douloureuses plusieurs jours, en contact direct avec l’aile de la voiture.
Me sentir ainsi offerte et sa résistance – malgré le rythme rapide de ses coups de reins et la forme de sa verge courbée – m’amenèrent à gémir, tant le plaisir montait. Je poussai un petit cri en jouissant, anéantie d’avoir été prise ainsi à la hussarde.
Il retira son préservatif, se colla contre moi. Il haleta en se masturbant et grogna en éjaculant dans la raie de mes fesses. Je sentis son sperme s’écouler entre elles et glisser le long de mes cuisses.
Délicat, il m’apporta une serviette pour que je me nettoie. Nous rentrâmes dans la voiture une dizaine de minutes, dans l’attente de nos compagnons respectifs. Il me proposa un doigtage pour patienter, mais je déclinai, totalement comblée et anéantie par sa virilité.
Mon compagnon sortit. Il me raconta comment cela s’était passé pour lui, combien Clara était désirable. Elle était bien d’origine nordique, suédoise en l’espèce. Il l’avait baisée sur notre banquette arrière. Il ne lui avait pas retiré sa robe, la troussant à la taille, ôtant ses bretelles, son soutien-gorge et son slip. Il avait adoré ses seins presque aussi gros que les miens aux aréoles roses et il déclara avoir été très excité par sa toison pubienne blonde comme la paille aux poils presque raides et une vulve toute rose et finement ciselée.
Il l’avait prise en tenant ses cuisses un peu potelées et la ramonant jusqu’à la jouissance.
Nous sommes rentrés repus de sexe et heureux de ce délicieux moment dans notre villégiature d’été.