n° 21105 | Fiche technique | 21079 caractères | 21079Temps de lecture estimé : 12 mn | 29/08/22 |
Résumé: Un quadragénaire solitaire se morfond sur une plage naturiste lorsqu’un incident le met en contact avec deux habituées qui le prennent désormais en considération. Une complicité naît qui aboutira à une chaude soirée. | ||||
Critères: fh ffh grossexe vacances plage voir nudisme facial fellation 69 préservati pénétratio piercing humour -humour | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Comme chaque matin par ces temps de canicule, Charles posa sa serviette et planta son parasol avant de se mettre nu sur ces 500 mètres de plage naturiste entourée de « textiles ». Devenu solitaire après son divorce, ce quadragénaire avait loué un bungalow pour deux semaines dans cette station balnéaire de l’Atlantique avec l’ambition, sinon de trouver l’âme sœur, au moins de faire des rencontres érotiques avant de s’en retourner à sa vie banale de technicien en informatique dans une société parisienne. Après une semaine de séjour, son bilan se révélait maigre. Peu doué pour la drague et peu servi, il est vrai, par un physique banal, il n’avait suscité qu’indifférence, tant en boîte de nuit que sur cette plage fréquentée essentiellement par des couples d’âges divers.
Les rares femmes seules semblaient ériger autour de leur corps une espèce de rempart invisible hérissé de herses, à l’exception de thons tatoués et piercés qui donnaient plutôt envie de fuir. Finalement, les seuls à faire les yeux doux à Charles étaient les nombreux homos qui fréquentaient les lieux, espérant l’attirer vers la dune boisée à l’arrière de la plage où se devinaient quelques copulations furtives. Car si le physique de Charles était passe-partout, il présentait néanmoins un atout de séduction indéniable pour la jaquette flottante : une paire de couilles grosses comme des pomelos, assortie d’un pénis en rapport. Évidemment impossible à divulguer en boîte de nuit. Charles espérait naïvement que quelques femmes amatrices de costumes trois-pièces XXL lui adresseraient des regards de connivence, mais comme elles portaient toutes des lunettes de soleil, la probabilité restait qu’elles se rinçaient l’œil sans éveiller l’attention de leur accompagnateur mâle, qui du reste veillait au grain.
Finalement, pour le solitaire de la plage naturiste (parmi d’autres), le seul point positif demeurait qu’il s’était bronzé le cul et affichait un corps cuivré intégral à rendre jalouses les peaux trop blanches pour être légitimes en ces lieux. Ce qui ne l’empêchait pas, hélas, de s’emmerder sur sa serviette. Il la quittait de temps à autre pour déambuler sur le sable dur, ballottant de la queue et des bourses (sans grignoter des dents) dans des allers et retours interrompus par quelques bains dans une eau fraîche, matant au passage de rares beaux nichons et quelques fessiers fermes tout aussi rares.
L’évidence lui sauta aux yeux que cette plage naturiste était fréquentée en majorité par des seniors issus de la génération 68. Une de leurs défaites se révélait dans le fait que leur descendance n’était pas aussi friande de se balader à poil au soleil. Charles croisait nombre de Milleniums femelles le matin marchant d’une plage textile à l’autre en franchissant cette bande sableuse de perdition d’un pas gymnastique, en slip et soutif de bain, prenant grand soin de ne pas croiser son regard. Indifférence, mépris, gêne ? Un peu des trois sans doute, c’était selon.
Il en était là de ses réflexions moroses quand deux femmes prirent position à proximité de sa serviette. C’était une de ses rares distractions : regarder le déshabillage de l’élément féminin à son arrivée. Celle-ci était-elle à poil sous sa robe ? Celle-là ôterait-elle sa culotte assise ou debout ? Le moment le plus émouvant était quand une dame baissait son slip et que celui-ci restait collé quelques microsecondes à sa vulve. Mais une fois nues, toutes se fondaient dans une collectivité de chair sans voile perdant une bonne partie de leur attrait. Sauf exception.
Et ce fut justement le cas des deux femmes qui venaient de dérouler leur serviette et planter leur parasol tout près de lui avec une indifférence souveraine pour sa présence. Sans doute le prenaient-elles pour un homo, ou pire un voyeur. Les solitaires inquiètent, il en était conscient. S’il avait pu faire autrement…
Mais pour l’heure, il matait. Les deux femmes portaient fièrement leur quarantaine, l’une un peu plus âgée que l’autre, apparemment. Toutes les deux arboraient un corps chocolaté intégral, attestant d’une présence régulière en ces lieux. Charles ne les avait pourtant pas remarquées. Un mystère de plus sur cette plage. La plus âgée, blonde décolorée, présentait une paire de seins en forme de courges qui semblaient en suspension permanente, appelant la main de l’homme. Le bas de son corps était un peu fort, mais elle dégageait une puissance érotique indéniable. L’autre frappa Charles par sa ressemblance avec Anne Hidalgo, en plus mince et plus jeune : même épaisse chevelure brune, même nez puissant. Il se demanda si la maire de Paris avait le pubis pareillement rasé, les seins en point-virgule et un aussi beau cul, ni trop large, ni trop mince, tremblotant à chaque pas. Comparaison inopérante et vite chassée.
Une fois installées, elles se mirent à papoter comme deux copines qu’elles étaient sans doute, très à l’aise sous le soleil brûlant. C’est alors qu’un incident modifia le cours des choses. Une rafale emporta le parasol mal planté des deux brunes et s’en vint heurter de plein fouet leur voisin, la pointe venant frapper sa main présentée en protection. Il cria de douleur et se prit la main dans l’autre tandis que la femme aux seins lourds courait derrière le fugitif de toile, ses avantages en bataille. La fausse Anne Hidalgo se précipita sur Charles, le visage inquiet, lui offrant le spectacle en gros plan de son corps chocolaté et de son pubis rasé. Elle lui prit la main blessée pour observer la plaie, plutôt bénigne, s’excusa platement et lui offrit de lui poser un pansement :
Au moins, la glace était rompue. Charles se laissa soigner et quelques minutes plus tard, rapprochait sa serviette et son parasol de ses voisines devenues dès lors des interlocutrices.
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Les présentations suivirent. La plus âgée se prénommait Valérie, l’autre Anne, ce qui fit sourire Charles le Parisien.
Sa qualité de technicien en informatique intéressa beaucoup les deux plagistes, qui développèrent aussitôt leurs soucis d’ordinateur. Comme lui, elles étaient divorcées ou séparées et travaillaient ensemble dans une agence immobilière de la station balnéaire. Elles étaient donc bien locales et néanmoins en courtes vacances. D’où leur bronzage intégral, soigné tout au long de l’année. Tout en papotant, Charles se demandait : est-ce qu’elles baisent ou pas ? Mais rien ne le laissait supposer dans leur comportement. Néanmoins, deux ou trois types vinrent leur faire la bise pendant leur conversation et Charles se persuada qu’ils avaient connu le bonheur de s’exprimer entre leurs cuisses chocolatées.
La marée montante, la bande de sable devant leurs serviettes se rétrécit et le trio put voir défiler de près une bonne partie des naturistes souhaitant bronzer en marchant. Charles, Valérie et Anne commentaient mezza voce cette profusion de corps nus : la disgrâce des uns, les avantages des autres, mais toujours l’absence de complexes, étonnant chez les plus âgés. Les trois souriaient devant les peaux blanches venues prendre des coups de soleil à peine arrivées de leurs villes ou leurs banlieues. Ils persiflaient sur les piercings accrochés aux mamelons des seins ou aux grandes lèvres vaginales : « mais comment on peut supporter ça ? » se demandaient ensemble Charles, Valérie et Anne. Le trio s’amusa aussi devant d’autres faits de plage : un couple se pelotant tellement dans l’eau que l’homme en sortit avec la queue horizontale ; un coup de sifflet d’un septuagénaire chevelu à l’intention d’une fille et de deux mecs qui copulaient joyeusement sur la dune au vu et au su de toute la plage, mais aussitôt interrompu par le puritain siffleur.
Les tatouages soulevaient également moult commentaires. Anne et Valérie en arboraient un discret sur l’épaule, mais l’homme leur demanda pourquoi certaines éprouvaient le besoin de s’en faire dessiner un sur le sacrum, juste au-dessus des fesses :
Ce fut la seule allusion au sexe dans leur conversation. Du moins hétérosexuelle, car le défilé des homos, en duo ou solitaires, ne fut pas sans alimenter leurs échanges. L’un d’eux arborait une pine violacée qui fit pouffer les deux femmes.
Bref, on s’amusait bien entre deux bains rafraîchissants, ce qui permit à Charles de calmer son excitation provoquée par les deux peaux juteuses piquetées de gouttes d’eau salée. Il avait réussi à ne pas bander sur la serviette devant les mouvements proches de ses voisines, exposant leurs seins, leurs fesses et leur sexe dans le plus parfait naturel. Et quand il fut l’heure de se rhabiller, chacun convint de se retrouver le lendemain au même endroit, car le temps s’annonçait encore chaud.
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Après avoir fait tintin une fois de plus dans la soirée précédente, ignorant l’appel d’une gamine qui cherchait visiblement un lit après sa sortie de boîte, faute d’hébergement tarifé, il se présenta à la plage au même endroit. Les deux femmes arrivèrent une heure plus tard et Charles les vit avec soulagement se rapprocher de lui et installer leur campement dans sa proximité immédiate. À l’évidence, il leur avait plu.
Les conversations repartirent, à la fois sur l’immobilier, dont elles étaient spécialistes, et sur l’informatique qui était leur obsession. Cette fois, Charles surprit le regard d’Anne sur son costume trois-pièces et à sa bouche entrouverte, il supposa que l’opulence de son entrejambe n’était pas totalement indifférente à la fausse maire de Paris. Elle aborda même le sujet, à la grande surprise de l’intéressé :
Le quadragénaire rougit sous son bronzage, mais ne se déroba pas :
Il faillit demander « et vous », mais se retint. Valérie, qui avait suivi, intervint :
Anne approuva l’intervention de son amie et abonda même :
Ainsi nanti de ces satisfecit concernant son anatomie, Charles en conclut que ses deux interlocutrices de plage ne lui feraient pas opposition s’il osait franchir la ligne invisible séparant la conversation de la drague. Mais il n’osa pas, de peur de prendre un nouveau râteau.
Le comprirent-elles ? En tout cas, elles lui demandèrent si ce n’était pas trop abusé de venir à leur agence pour régler la lenteur insupportable de leur connexion sur internet, sans doute due à l’absence prolongée de nettoyage de leur ordinateur. Bien entendu, il accepta. Et après la plage, il entra en leur compagnie dans l’agence immobilière où la permanence était assurée, le temps des vacances, par une stagiaire.
Face aux deux ordinateurs du bureau, Charles put faire preuve de sa virtuosité professionnelle qui enchanta leurs utilisatrices, désormais pourvues d’un appareil rajeuni. Pour le remercier, elles l’invitèrent à la pizzeria voisine et après un dîner où il fut abondamment question de leurs vies privées passées et plutôt ratées, elles proposèrent à Charles de venir au domicile de Valérie pour déguster un alcool de poire.
À peine eurent-ils franchi le seuil de l’appartement que les deux collègues et néanmoins amies disparurent dans la chambre et en ressortirent succinctement vêtues d’un paréo chatoyant leur arrivant à mi-cuisses et noué autour des seins. Charles entama une série de déglutition seulement interrompue par la dégustation du fameux alcool de poire face à deux paréos qui auraient dévoilé bien des mystères si le visiteur ne les avait déjà connus.
Puis Anne se leva et entraîna Charles vers le balcon avec vue sur la mer. Tandis qu’il soulignait la chance de disposer d’un tel privilège, la fausse Anne Hidalgo avait glissé une main sur les fesses puis entre les cuisses de l’informaticien, soupesant délibérément ses couilles logées dans son bermuda assez lâche :
Le peloté la laissa poursuivre ses investigations qui se prolongèrent jusqu’au-devant du bermuda, désormais nanti d’une excroissance spectaculaire, soulignée entre deux doigts par la peloteuse, laquelle s’adressa à sa collègue à l’arrière :
Dès lors, le visiteur palpé ne s’appartint plus vraiment. Tiré vers la chambre par deux femelles en chaleur désormais dépourvues de leur paréo, il se retrouva sur le lit, l’une tirant sur le bermuda et le slip, l’autre sur le tee-shirt, et se partageant buccalement le mât de cocagne que les approches manuelles de la fausse maire de Paris avaient stimulé sur la terrasse. Cette série de mamours à l’intention de son corps, et particulièrement de ses parties intimes, stupéfiait l’informaticien. Soumis contre son gré à une longue diète sexuelle, il se retrouvait d’un coup l’objet d’attentions soutenues de deux pulpeuses intégralement bronzées ayant visiblement l’intention d’agrémenter leur soirée et peut-être leur nuit avec ses avantages naguère si mésestimés. Quantum mutatis ab illo, comme on disait en latin.
Un léger doute survint néanmoins entre les deux dévoreuses : avait-elle vraiment le matériel adéquat pour couvrir une telle matraque ? Valérie crut trouver le latex adapté dans un tiroir, mais elles durent s’y mettre à deux pour coiffer, s’inquiétant d’une douleur éventuelle du récipiendaire. Mais il était tellement dur qu’il en était devenu indestructible.
« Valoche » se lança la première en se positionnant avec précaution sur l’homme couché, descendant le bassin centimètre par centimètre, les dents sur les lèvres, observée avec intensité par son amie :
Puis, quand la pénétrée eut engagé l’essentiel du chibre dans son tréfonds et commencé à louvoyer, son visage crispé se détendit soudain, s’illumina même et l’informaticien eut très vite devant lui le spectacle stimulant de deux nichons en forme de courge se balançant au rythme de coups de cul de plus en plus insistants, accompagnés de jappements de joie. Un moment un peu serré, il évoluait maintenant dans le confort d’un déduit copieusement lubrifié, croisant parfois un regard extasié. Désireux de participer, il décolla plusieurs fois les fesses du lit, accentuant une pénétration déjà bien engagée et faisant monter les décibels dans la chambre. Puis en proie à un orgasme fulgurant, Valérie s’effondra sur lui en gémissant avant de se détacher dans un bruit mouillé, haletante :
Mais l’homme n’avait pas l’intention de demeurer passif. Il poussa Anne sur le lit et s’insinua entre ses cuisses. Il voulait baiser, pas être baisé. L’intéressée n’y vit pas d’objection, mais posa quand même une main sur la tige pour en maîtriser l’action préliminaire, l’autre sur le bas-ventre de l’actif. C’est pourquoi il s’enfonça lentement, observant l’expression de la pénétrée qui, comme la précédente, se détendit progressivement. Et quand il sentit ses talons posés sur ses fesses en signe d’assentiment, il put enfin creuser et obtint une volée de satisfecit aussi sonores que crus, inattendus dans une bouche aussi distinguée. De la cavalcade effrénée qui suivit, le plus dur pour lui fut de ne pas tout lâcher prématurément, d’autant que l’autre femelle lui palpait les couilles en même temps. Quand la brune eut les yeux révulsés par l’orgasme, il se retira vivement en se comprimant la queue, laissant juste perler une goutte de sperme au bout du gland.
La suite fut du même tonneau, Charles assurant avec appétit ses hommages à l’une et à l’autre comme un type qui n’a pas bouffé depuis des lustres. Et ce dans les positions les plus variées. Il s’interrompit juste pour voir les deux collègues s’offrir mutuellement un tête-bêche, preuve qu’elles étaient un peu plus que collègues. C’était la première fois qu’il voyait deux femmes faire l’amour d’aussi près. Mais sa queue commençait à lui faire mal et il accepta de bon cœur une branlette à quatre mains qui s’acheva pas une phénoménale giclée dont une partie souilla le mur d’en face, le reste maculant les visages bronzés de la brune et de la blonde qui s’enfuirent en riant vers la salle de bains. Il se sentit soudain très vide avec une bizarre sensation dans les jambes, comme si le sang s’en était enfui. Queue basse, il rejoignit ces dames sous la douche, qui lui accordèrent une toilette intime assortie de bisous de reconnaissance. Incontestablement, il avait « assuré ». Et il en fut tout fier, quasiment rédempté.
Puis chacun s’en retourna chez soi. Mais le lendemain, il pleuvait. Pas de plage. Où étaient ses partenaires de la veille ? Pas à l’agence, où une mignonne stagiaire blonde à l’air ingénu assurait la permanence. Fort de son succès antérieur, il tenta de la draguer et à sa surprise, ne reçut pas de fin de non-recevoir. Comme s’il était désormais nanti d’un fluide érotique. Il lui donna rendez-vous pour le soir même et sentit déjà sa queue renaître de ses cendres. Il ne lui restait plus qu’un jour de vacances et comme le temps restait maussade, il y avait peu de chances qu’il retrouve les deux duettistes nues.
La petite blonde ressemblait, en plus jeune, à Isabelle Carré. Après un dîner vite expédié, il la baisa dans son bungalow de vacancier, lui faisant découvrir les atouts du Grand Format dont elle se gava une bonne partie de la nuit. Elle y revint en galopant la nuit suivante, le vagin toujours aussi souple et humide, car elle avait beaucoup apprécié sa prestation et le lui avait fait savoir dans l’action, mais aussi postcoïtum. Et c’est avec des valises plein les yeux qu’il boucla la sienne le lendemain matin, regrettant juste de ne pas avoir pu saluer une dernière fois la brune et la blonde, parties sous d’autres cieux, à en croire la pétulante stagiaire. Mais peut-être était-ce mieux ainsi. En tout cas, après un début de vacances décevant, il venait de les terminer en fanfare. Trois nanas en trois jours, qui l’eut cru. Il pouvait revenir à l’informatique avec la satisfaction d’un séjour réussi.