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Massage qui dérape...

C’est la fin de la semaine… Pause entre midi et deux chez ma masseuse, comme tous les vendredis. La dernière séance avait déjà été forte en émotions. Je suis déjà bien excité sur le trajet jusque chez elle.

Elle m’accueille comme toujours avec un sourire malicieux à faire fondre la banquise… Elle me fait entrer dans une pièce au fond du salon que je connais par cœur. Je me déshabille et m’installe sur le matelas king size à même le sol au milieu de la pièce. Elle frappe à la porte pour savoir si je suis prêt. Elle entre à pas feutrés et baisse la lumière jusqu’à n’avoir qu’une ambiance tamisée propice à la détente.

Une musique d’ambiance se met à raisonner dans de petits haut-parleurs invisibles. De ma position allongée, je ne vois que ses jambes et ses pieds, mais j’entends ses mouvements et le bruit du tissu lorsqu’elle laisse tomber son peignoir pour se mettre à l’aise. Elle saisit la fiole d’huile et en verse une bonne quantité au creux de mes reins. La sensation de l’huile chaude est un vrai plaisir. Elle commence le massage par des gestes lents, tout en douceur, mais avec une certaine fermeté. Les épaules, le dos, les bras… tout y passe. Puis elle saisit à nouveau la fiole d’huile chaude et en verse sur mes fesses. Je sais que cela marque le début d’un nouveau plaisir…

Ses mains commencent une douce caresse sur les deux globes. À chaque passage, elle écarte de plus en plus mes fesses. Je sais qu’elle a maintenant une vue parfaite sur ma rondelle fraîchement épilée.

Nouvelle rasade d’huile sur mon sillon fessier.

Je ne peux retenir un râle de plaisir lorsque l’huile coule le long de ma raie. Un doigt passe alors sur ma rondelle… d’abord léger comme une plume, puis de plus en plus inquisiteur. De son autre main, elle pétrit mes cuisses et me force à écarter encore plus les jambes.

Je suis maintenant jambes écartées, fesses offertes à son regard et la tête dans le matelas pour ne pas hurler de plaisir. Les caresses reprennent de plus belle. Elle me connaît par cœur et elle sait comment s’y prendre avec moi.

Une première petite fessée tombe et je pousse un petit cri de surprise et de plaisir.

Deuxième fessée… je sens une douce chaleur sur mes fesses…

Me voilà totalement ouvert et soumis à ses désirs à elle. C’est elle qui mène le jeu et je ne suis que sa chose.

Je sens sa perversité monter à chaque claque sur mon cul. Elle se penche alors à mon oreille :

• — Tu aimes ça, bébé ?
• — Oui…

Elle attend à peine ma réponse et reprend le massage de ma rondelle. Ses doigts se fraient un chemin vers ma rondelle et elle pousse de plus en plus jusqu’à m’ouvrir lentement. Bien huilée, ma rondelle s’ouvre sans problème.

Un doigt, puis deux… puis trois… Ça y est, je suis ouvert…

Tandis qu’elle me travaille le cul, elle saisit ma queue tendue et commence une lente masturbation.

Mon cock ring me donne une érection maximale. Je peux sentir les battements de mon sang jusque dans mon gland. Elle récupère la première goutte de plaisir qui sort et me la fait lécher du bout du doigt. J’aime le goût de mon sperme. J’en raffole et elle le sait.

Mon excitation est à son comble. Le cul ouvert et la queue tendue, je suis à sa merci. Elle se penche à nouveau à mon oreille :

• — Tu as apporté ce que je t’ai demandé ?
• — Oui.

Je sors alors un gode noir de belle taille que j’ai apporté et le lui donne. Elle le prend et se repositionne derrière moi. Elle met un oreiller sous mon ventre pour surélever mes fesses. Mon cul est tout à elle.

Elle frotte alors le gland du gode sur ma raie. Je remue les fesses… à chaque passage, je pousse les fesses vers cette queue de plastique, cherchant le contact du gland. Comprenant mon état, elle pousse le gode… le gland appuie sur mon œillet qui s’ouvre immédiatement. Elle pousse encore… mon cul avale le gode en entier.

Elle commence à me limer le cul doucement tout en me branlant, puis de plus en plus fort. Je peux sentir les couilles en plastique taper sur mon cul à chaque fois. Je ne peux retenir un nouveau cri de plaisir plus bruyant que je l’aurais voulu.

Moins d’une minute après, je vois la porte s’entrebâiller. Un homme nous regarde. De style méditerranéen, il est nu et je comprends qu’il s’agit d’un client du salon qui a été attiré par les bruits. C’est un homme mûr, avec un peu de ventre, mais avec une très belle queue déjà tendue. Il se branle en nous regardant.

Nos regards se croisent. Le mien descend vers sa queue gonflée…

• — Tu le veux ? me demande ma masseuse à l’oreille…

Je fais un oui de la tête. Elle fait signe à l’homme d’entrer. Il entre et referme derrière lui. Je suis hypnotisé par sa superbe queue et j’ouvre naturellement la bouche en tirant la langue… il comprend mon envie et vient s’asseoir face à moi. Je passe la langue sur son gland et le gobe directement. Je le sens très excité et il pose vite une main sur ma tête pour m’obliger à le pomper à fond.

Ma masseuse continue à me défoncer pendant que je suce cette bite hors norme.

• — Je vais te prendre le cul, ma salope !

L’homme devient autoritaire. Je ne réponds même pas… et qui ne dit mot consent…

Ma masseuse se lève et laisse la place à l’homme pour venir devant moi. Elle ouvre largement les cuisses et m’offre sa superbe chatte rasée à déguster. Sans attendre, je plonge vers cette offrande déjà humide et la déguste.

Pendant que je me délecte de son jus, je sens la queue de l’homme se frotter sur ma rondelle. Il finit par présenter son gland qu’il appuie sans ménagement. D’une seule poussée, il m’ouvre et introduit sa queue au fond de mon cul. Je pousse un râle de plaisir. Il se met à me pilonner. Il va et vient au fond de mes entrailles.

• — T’es vraiment une bonne salope, toi ! Je vais te remplir !

Ma masseuse plaque ma tête sur sa chatte pour que je continue à la lécher. J’ai du jus partout sur le visage. Soudain, elle se lève et passe une main sous mon buste en direction de ma queue prête à exploser. Elle me branle à nouveau tout en frottant le gode sur ma queue. Je suis au bord de l’explosion.

• — Je vais jouir !

Elle me branle encore plus fort et je lâche une énorme dose de foutre sur le gode. Elle me présente alors le gode couvert de mon sperme et me l’enfonce dans la bouche. Je suce le gode et déguste mon foutre…

Devant ce spectacle, l’homme se manifeste lui aussi :

• — Tu es prêt ? Moi aussi je vais jouir !

Sa phrase à peine finie, je sens sa queue exploser et son foutre chaud se déverser dans mon cul. Il se retire doucement et vient devant moi, la queue toujours raide et gonflée :

• — Tiens, petite salope ! Nettoie !

Il enfonce sa queue dans ma bouche et m’étouffe presque. Je suce et lèche comme je peux.

Il se retire et s’éclipse sans un mot. Ma masseuse aussi s’éclipse. Je suis seul, allongé et épuisé par le plaisir.

La porte s’ouvre à nouveau. C’est l’homme qui s’avance et me tend un papier avec un numéro de téléphone.

• — Appelle-moi quand tu auras encore envie de ma queue.

Je me rhabille sans vraiment comprendre ce qui vient d’arriver. Ma masseuse m’apporte un verre d’eau et me dit de sa douce voix :

• — Je te réserve une séance spéciale pour la semaine prochaine…

Je quitte le salon et retourne au boulot. Vivement la semaine prochaine…