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Temps de lecture estimé : 18 mn
05/09/22
Résumé:  Une nouvelle vie se dessine outre Atlantique.
Critères:  fh fhh extracon candaul vacances hotel double portrait -candaul
Auteur : Younes      Envoi mini-message

Série : Séduite au premier regard

Chapitre 04 / 04
Bienvenue à Babylone

Résumé de l’épisode précédent :

Carine et Lucas ont cédé à leurs pulsions candaulistes. Que leur réserve l'avenir ?








Voilà seize mois que nous avons posé nos valises à Big Apple. Nous vivons tels les Américains de la classe aisée avec un revenu mensuel de plusieurs dizaines de milliers de dollars. Et comme nous bénéficions tous les deux de l’appartement de fonction et de la mutuelle très avantageuse de Carine, nous n’avons pas de poste de dépense obligatoire particulièrement onéreux.

Ma femme est toujours aussi belle et si notre relation a évolué depuis notre départ de Paris, nous sommes plus complices que jamais.


Ma chérie a désormais son black bull attitré. Prénommé Arthuro, il dirige une concession automobile à Brooklyn. Tous les mardis soir, Carine va le rejoindre dans son quartier où ils dînent ensemble avant de gagner notre appartement pour forniquer une bonne partie de la nuit dans le lit conjugal.

Arthuro est le troisième bull régulier de mon épouse. C’est un homme noir à la peau plus claire que la moyenne des Afro-Américains. Je le trouve assez sympathique et je l’apprécie avec la distance nécessaire à ce genre de trio amoureux pour limiter les risques de conflits dommageables entre époux.



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Je me souviens parfaitement du jour où Carine a rencontré son premier bull. Depuis l’événement que j’avais organisé pour fêter notre anniversaire de rencontre, elle n’avait pas eu l’occasion de coucher avec un autre homme que moi. Nous avions longuement débriefé sur l’oreiller après cette soirée et la réalisation de ce fantasme n’avait nullement altéré la confiance réciproque que nous avions l’un pour l’autre. Nous faisions toujours l’amour très régulièrement et le plaisir de voir la femme de ma vie jouir dans mes bras contribuait largement à mon bonheur. De son côté, Carine n’avait à aucun moment manifesté le désir de prendre un amant ponctuel ou régulier et notre vie de couple semblait lui convenir autant qu’à moi. Il est vrai qu’elle devait acquérir les compétences liées à l’exécution de son nouveau poste et cela ne lui laissait guère de loisir d’autant plus que nous consacrions la plus grande partie de notre temps libre à organiser notre nouvelle vie.



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Nous étions donc installés à New York depuis près de quatre mois. Nous prenions peu à peu nos marques dans cette ville démesurée. Et les prémices d’une vie sociale nouvelle se mettaient en place. C’est par ce biais que nous avions été conviés à une somptueuse party organisée par l’épouse francophone d’un richissime marchand d’art. Le lieu de la fête était à la démesure de Big Apple. Un magnifique roof top avec une gigantesque terrasse luxuriante située en haut d’un gratte-ciel de Manhattan.

Parmi les invités, il y avait de nombreux couples mixtes et les femmes, entre trente et quarante ans pour la plupart, rivalisaient de tenues suggestives. Évidemment, l’alcool coulait à flots et les relents d’herbes plus ou moins légales embaumaient dans toutes les pièces.


Carine était absolument rayonnante et nombreux étaient les mâles qui se pressaient autour d’elle pour tenter d’établir un contact. C’est ainsi qu’elle se fit aborder par Tyrone, un black d’une trentaine d’années. Le type, qui mesurait pas loin de deux mètres, était bâti comme une armoire à glace.

Ma chérie flirta une bonne partie de la soirée avec le colosse noir et je les vis à plusieurs occasions danser collés l’un contre l’autre, jusqu’à ce que je les surprenne enlacés dans un recoin de la terrasse en train de s’embrasser à pleine bouche.

Mon épouse m’aperçut alors et elle me fit un clin d’œil que j’interprétai comme une invitation à aller me promener un peu plus loin. Visiblement, Carine tenait à profiter de la soirée à sa guise et vers deux heures du matin, elle vint m’annoncer que Tyrone lui proposait de terminer la nuit chez lui. Elle ajouta sur un ton parfaitement détaché que les picotements provoqués par le mâle débordant de virilité au niveau de son intimité l’avaient convaincue de répondre favorablement à son invitation.

L’aveu de ma chérie provoqua illico une raideur fort agréable dans mon caleçon de soie et je lui donnai bien sûr ma bénédiction. Je ne la revis pas avant l’heure du déjeuner, le lendemain.



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On a bien raison de dire que tout est plus grand et plus gros en Amérique. C’est la première phrase que prononça Carine à son retour, après m’avoir embrassé.



Telles furent les dernières paroles prononcées par Carine avant de se glisser sous les draps en tenue d’Ève et de s’endormir quelques secondes après.


Quelques jours plus tard, Carine m’avoua que Tyrone l’avait recontactée et qu’elle avait très envie de le revoir. Avec mon accord, elle l’invita le jeudi soir suivant à la maison. Le type plutôt détendu et sympathique n’en était pas à sa première expérience candauliste et c’est ainsi qu’il devint le bull attitré de mon épouse pendant quatre mois.

Au début de leur relation, j’assistai systématiquement à une partie de leurs ébats que je filmais consciencieusement.

Puis je finis par me lasser d’assister passivement aux gémissements de plaisir de Carine. Et je fis le choix d’aller voir jouer les basketteurs des Knicks au Madison Square Garden au lieu de mater un type taillé comme un basketteur sauter ma femme.

Sans ma présence à ses côtés, Carine trouva ses parties de jambes en l’air avec Tyrone beaucoup moins plaisantes et mit un terme à sa liaison peu de temps après.



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Cette période d’« abstinence » dura peu car, lors de nos étreintes amoureuses dont la fréquence n’avait jamais faibli, nous remettions régulièrement le sujet sur le tapis. Nous avions compris que ces échanges sur l’oreiller étaient, pour Carine comme pour moi, des stimulants presque indispensables à l’obtention d’orgasmes dignes de ce nom.

Et force est d’admettre que le sel apporté par les étreintes extra-conjugales de mon épouse nous manquait.


Je réfléchis donc à un moyen d’y remédier et je finis par proposer à Carine de recruter sur Internet des bulls prêts à être filmés en train de s’envoyer en l’air avec elle afin que je mette les vidéos à disposition sur un site porno bien connu.


Bien sûr, Carine me traita de fou irresponsable lorsque je lui parlai de mon projet mais j’avais imaginé un certain nombre de garde-fous pour préserver l’anonymat de mon épouse et éviter les conséquences fâcheuses à ce genre d’exposition.

Le premier filtrage concernait naturellement les critères physiques. Je comptais sur les photos fournies par les candidats pour proposer à ma belle les spécimens les plus à même de lui plaire. Une fois le contenant validé par Carine, j’avais prévu de m’entretenir avec le postulant via un échange anonyme en visioconférence (i.e. caméra du PC désactivée de mon côté) pour m’assurer d’une part que les clichés fournis n’étaient pas celui d’un usurpateur et d’autre part pour évaluer le niveau intellectuel du type.

Dans le cas où le candidat franchissait l’étape avec succès, j’avais prévu que ma chérie échange à son tour avec lui et qu’ils décident ensemble des suites de la « négociation » qui, dans le cas le plus favorable, se limiterait à un rendez-vous unique dans une chambre d’hôtel choisie par mes soins.


Il était bien sûr hors de question que ma chérie ne dévoile à aucun moment son visage devant la caméra et les élus étaient prévenus qu’elle porterait un loup à voilette tout au long de leurs ébats.


Je n’avais pas négligé l’aspect hygiénique de l’affaire m’arrangeant pour obtenir un certificat médical fiable de la part du candidat et imposant bien sûr l’usage de la capote lors des rapports sexuels sans oublier de rappeler que je serai évidemment présent pour assister aux ébats et les filmer.


Lorsque je lui ai exposé les modalités détaillées de mon projet, Carine s’est détendue. Elle a compris que je ne voulais surtout pas la mettre en danger. Et que c’est bien mon côté voyeur et cette excitation incontrôlable, et d’ailleurs incompréhensible pour la plupart des maris (notamment canadiens), qui motivaient mon désir de transformer mon épouse en starlette. D’autant plus que je supposais que ses penchants exhibitionnistes, qu’elle refoulait de moins en moins depuis notre installation à New York, allaient la pousser à accepter mon petit jeu.


J’eus en effet peu d’efforts à faire pour convaincre définitivement Carine et, dès qu’elle me donna son accord, j’ai aussitôt créé un compte sur un site spécialisé et mis en ligne une annonce décrivant notre recherche agrémentée de photos du corps sublime de ma chérie en prenant bien soin que son visage soit invisible ou totalement méconnaissable.

Tous les soirs en rentrant du bureau, Carine me questionnait pour connaître les résultats de mes investigations et j’eus ainsi l’occasion de lui faire découvrir quelques spécimens d’afro-américains particulièrement à son goût sur le plan physique.

Elle se montra notamment très excitée en découvrant un jeune mulâtre de vingt-cinq ans au visage d’ange doté d’un pénis plus épais qu’une canette de bière. Et la longueur de sa tige me procura quelque doute sur la capacité de Carine à accueillir ce pieu géant.


Néanmoins, la découverte de cette colonne de chair irréelle bouleversa tant ma chérie que pour la ramener sur terre, je dus la branler sur le champ en faisant coulisser pas moins de quatre doigts dans son intimité.

Une fois calmée, je lui appris que Peter, c’était le prénom du type, trouvait son corps absolument magnifique mais qu’il voulait aussi voir son visage avant d’accepter de la sauter et que s’il était d’accord pour fournir son sperme pour un certificat de santé, il refusait de mettre une capote pour baiser ses reines blanches.

Ces conditions donnèrent lieu à une discussion animée entre Carine et moi. Car le physique du mâle l’impressionnait à tel point qu’elle s’avéra encline à faire quelques concessions. À court d’arguments, je lui proposai d’appeler le type et de se baser sur son ressenti avant de prendre une décision.

Après une discussion plutôt trash, Carine souhaita finalement se donner un délai de réflexion avant de rencontrer Peter.


Le premier bull validé par Carine pour participer à mon projet fut Jackson, un étalon musclé et blagueur d’une quarantaine d’années très attentif au plaisir féminin.

C’est lui qui me suggéra de demander à Carine de porter un faux tatouage afin que les internautes, même s’ils ne voyaient pas son visage, puissent l’identifier sur les différentes vidéos que j’allais mettre en ligne.

Nous passâmes un petit moment avec ma femme pour concevoir le motif – un cœur marqué du libellé « French Slut » en lettres cursives – sur un logiciel de dessin et je passai commande dans une boutique spécialisée de Brooklyn qui me fournit rapidement les exemplaires nécessaires afin que je puisse apposer le faux tatouage juste au-dessus de la raie des sublimes fesses de Carine avant sa rencontre avec Jackson.


In fine, les trois vidéos, réalisées à l’occasion d’autant de rencontres, que je déposai, sous le pseudonyme imagé de « French Slut N.Y », sur le site porno bien connu connurent un franc succès et elles engrangent toujours des vues et des commentaires.



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Mon épouse appréciait certes ces cinq à sept avec des mâles aussi vigoureux qu’endurants mais elle m’avoua assez vite que l’anonymat de ces relations éphémères la gênait.

Elle décida donc de mettre fin à notre petit jeu après ses ébats avec Jess, le troisième étalon que je sélectionnai pour son bon plaisir.



Je pris acte de cette décision et Carine rencontra son second chevalier noir new-yorkais peu de temps après avoir fait connaissance avec Rebecca qui allait rapidement devenir sa meilleure amie et sa complice.

Carine fut d’ailleurs très élogieuse lorsqu’elle me parla de cette belle femme brune au tempérament de feu qu’elle croisa à l’occasion de soldes privés dans un grand magasin très chic de Manhattan.

Un mois et demi après cette rencontre, un vendredi aux alentours de vingt heures, si je me souviens bien, j’eus la surprise de découvrir mon épouse, sortant de notre chambre attifée telle une « slut » en chaleur pendant que je dégustais un vieux Bourbon dans le salon. Carine m’annonça qu’elle attendait Rebecca qui avait promis de la conduire dans une boîte réputée pour faciliter les rencontres entre étalons noirs et bourgeoises blanches en quête d’émotions fortes.

Je compris alors que ma chérie était à nouveau prête à entamer une liaison avec un bull séduisant et très bien monté.


Lorsque Rebecca appela Carine pour lui signifier que son taxi approchait de notre immeuble, ma tendre épouse prit à peine le temps de m’embrasser avant de quitter l’appartement. Je ne la revis pas avant le surlendemain lorsqu’elle m’avoua qu’elle avait succombé au charme de Malcolm, qu’elle me décrivit comme un mâle élancé fort vigoureux dont les traits fins et le look « bad boy » la troublèrent suffisamment pour qu’elle accepte qu’il profite de son corps sans retenue.

À l’issue de ce week-end au cours duquel ma belle put apprécier plusieurs facettes des talents de Malcolm, Carine accepta de le revoir et il ne tarda pas à devenir son second bull attitré et à lui faire profiter de ses performances au lit plusieurs fois par semaine pendant près de cinq mois.

Jusqu’au jour où mon épouse mit brutalement fin à sa liaison lorsque Malcolm évoqua son désir de la partager avec une demi-douzaine de ses copains.



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Du point de vue de Carine, Arthuro, son bull actuel, est un amant très attentif qui la comble à chacune de leurs rencontres. Et puisque j’ai eu maintes occasions d’assister aux ébats de ma femme avec ses bulls successifs, j’ai pu constater de visu que c’est aussi celui qui possède en érection le membre le plus épais des trois.

Je ne me risquerais pas pour autant à tirer des conclusions sur la relation entre le diamètre de la queue de ses amants et le plaisir qu’ils procurent à ma chérie, même si je dois avouer que la satisfaction masochiste à la voir et à la savoir toujours plus remplie est une source intense d’excitation pour moi.


Carine a poussé récemment la coquetterie à se faire tatouer, à la naissance de sa cuisse droite, le prénom des trois étalons noirs qui ont eu le bonheur d’avoir une relation intime suivie avec elle depuis notre installation à New York.

J’avoue que j’apprécie que mon épouse, que j’ai connue plutôt pudique à l’époque de notre rencontre, adopte certains comportements dignes d’une salope assumée.


Dans deux semaines, elle ira s’éclater pendant une dizaine de jours dans un resort des Caraïbes en compagnie de Rebecca, son amie quadragénaire qui vit avec son mari Robert dans un loft de Greenwich.

Robert, qui dirige une petite société plutôt prospère, est un candauliste convaincu depuis quinze ans. Pour sa part, Rebecca est une décoratrice d’intérieur fort réputée.

Pour convaincre Carine de l’accompagner dans son île de stupre, elle lui a longuement vanté l’endurance et les attributs sexuels des mâles qui s’occuperont d’elles sur place.

La complice de ma chérie ne m’a d’ailleurs pas caché la teneur des événements dont elle-même et Carine seront les héroïnes obligées.



Bien entendu, l’idée que ma chérie va prochainement se faire prendre en même temps par deux étalons à la peau noire m’excite beaucoup et je regrette vivement de ne pouvoir être présent pour assister à cette première en direct.

Pour patienter, je me dis que ce n’est que partie remise et que lorsque ma chérie rentrera à New York, elle m’offrira ce spectacle.


Après cette révélation fort stimulante, Rebecca poursuit son exposé sur le déroulé du séjour qu’elle va partager avec Carine :



La déclaration de Rebecca me choque. Je me dis que je dois connaître l’avis sur le sujet de son mari, avec qui j’ai sympathisé après que Carine m’a présenté son couple.

Il est vrai que suite à cette rencontre, nous avons eu en effet diverses opportunités d’échanger avec Robert à propos de la passion de nos épouses pour les Big Black Cocks.



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Ce soir, avant que Carine s’éclate dans notre chambre avec Arthuro, mon ami candauliste m’a invité chez lui pour m’expliquer les raisons qui motivent son épouse à vouloir concevoir un enfant avec un des Caribéens qu’elle va prochainement rencontrer.

J’apprends ainsi que Rebecca est beaucoup plus exclusive que Carine au niveau de sa sexualité. Robert m’explique notamment que l’as de pique avec un « Q » majuscule tatoué sur sa cheville indique que Rebecca a acquis le statut de « Queen of Spades ». Et que le message « BBC Only » tatoué au-dessus de la vulve de sa femme interdit à son mari légitime de la pénétrer.

J’ai du mal à croire que Robert puisse accepter cette contrainte sans sourciller mais je ne perçois aucun ressentiment lorsqu’il m’en fait part.

Après ces premières révélations, il n’hésite d’ailleurs pas à me donner son point de vue sur le dernier objectif de Rebecca.



Bien que la révélation de Robert me laisse pantois, je me garde de faire quelque commentaire que ce soit.



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Le lendemain de l’arrivée des femmes dans leur hôtel de luxure, Rebecca m’envoie quelques photos de ma chérie s’apprêtant à aller profiter du buffet installé pour le dîner. Carine se tient debout entre deux colosses d’ébène entièrement nus qu’elle enlace par le cou. Elle est vêtue d’une étoffe blanche découvrant ses genoux et masquant à grand peine ses tétons arrogants. La « robe » est maintenue autour du cou et de la taille par deux fines chaînes dorées. Et une photo prise côté pile permet de constater que le dos et la croupe de Carine sont offerts à la vue et à la disposition des deux mâles qui sont visiblement en train de pétrir, avec leurs grosses mains inquisitrices, les fesses bien fermes de mon épouse.

La légende ajoutée par Rebecca en bas de l’image m’indique que Leroy et Alfred, les deux malabars qui sont bien entendus exagérément membrés, passeront la nuit avec Carine et la prendront simultanément à plusieurs reprises pour lui faire découvrir le bonheur d’une double pénétration particulièrement festive.



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Ces quelques messages sont les seuls que je reçois des deux amies pendant leur séjour. Lorsque je m’en inquiète auprès de Robert, il m’explique que c’est la manière habituelle de pratiquer de Rebecca depuis qu’elle s’offre ce genre de vacances et qu’il me faudra, de ce fait, attendre le retour de ma belle pour avoir droit à du matériel plus consistant.


Robert étant pris par ses obligations professionnelles, c’est donc moi qui ai la charge d’aller récupérer les deux amies à JFK.

Carine est absolument sublime dans une robe d’été assez courte qui met magnifiquement en valeur son hâle doré.

Je l’imagine intégralement bronzée et cette idée me procure une légère érection.

Ma chérie, qui porte des sandales ouvertes à très hauts talons, a les ongles des mains et des pieds vernis.

Je remarque aussitôt le tatouage en forme de pique sur sa cheville ainsi que la fine chaîne dorée qui repose sur sa malléole délicate. Une petite plaque est attachée à la chaînette mais je ne parviens pas à déchiffrer le mot qui y est gravé.


Après avoir déposé Rebecca qui nous a invités à venir visionner les films du séjour le lendemain soir, nous rentrons à l’appartement. Je laisse le temps à Carine de ranger ses affaires, et me déshabille pour la rejoindre sous la grande douche à l’italienne où elle se lave pour effacer les stigmates du voyage.

En plus du pique marqué d’un Q qu’elle arbore sur la cheville, je remarque immédiatement deux nouveaux tatouages sur le corps de ma belle. Le premier situé au-dessus de son pubis affiche le message « BBC Property ». Le second plaqué sous son sein gauche est le prénom « Joshua » que j’ai déjà aperçu sur la chaînette que Carine a posé sur la double vasque avant de se doucher.

Ce tatouage posé sur le cœur de mon épouse m’étonne et me perturbe.



C’en est trop pour moi et je sors de la douche pour m’essuyer en me demandant si Carine n’a pas abusé de la ganja lors de son séjour.



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Les vidéos filmées lors des ébats de nos deux épouses sont d’excellente qualité et je distingue parfaitement le plaisir ressenti par ma chérie lorsqu’elle se fait posséder par ces colosses noirs et leurs phallus géants.

La première double pénétration avec Leroy et Alfred est plutôt jouissive et lorsque Joshua baise ma femme avec sa queue qui est sans doute la plus imposante du groupe d’hommes qui se sont occupés de Rebecca et de Carine, je peux constater le bonheur qu’elle ressent.

Je vois au fil des vidéos Carine tomber sous l’influence du mâle alpha et ne lui refuser aucune des pratiques qu’il lui impose : double vaginale, double anale, triple pénétration, bukake, fellations multiples. Joshua ne lui épargne rien, et pourtant, Carine semble jouir plus intensément à chaque nouvel accouplement.


Robert me jette des coups d’œil fatalistes tandis que nos deux femmes se pâment en découvrant leurs exploits dans les bras des Caribéens.



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Déjà trois semaines que Carine ne m’a pas permis de la toucher. Chaque jour, elle se rend à son travail en tailleur, sous lequel elle ne porte qu’un porte-jarretelles et des bas, et dont le décolleté plongeant laisse parfois entrevoir le tatouage situé sous son sein.

Systématiquement, elle met sa chaîne de cheville pour me rappeler que son corps appartient dorénavant à Joshua. Je ne peux pas prétendre que la situation me satisfasse. D’autant plus que Carine est toujours fort distante à mon égard.

Heureusement, si ma vie intime a subi un tsunami, professionnellement c’est grand soleil. Je commence à me faire une petite réputation parmi les experts en cybersécurité et je sais fort bien que s’il me venait l’idée de tirer un trait sur mon couple, ce ne sont pas les opportunités dans la Silicon Valley qui manqueraient pour me permettre de refaire ma vie.

Dans quelques jours, Joshua, le bull alpha de mon épouse sera peut-être installé à demeure dans mon lit.

Même si je le voulais, je ne pourrais m’y opposer puisque l’appartement que nous occupons est un des avantages attachés à la fonction de Carine. En revanche, si je m’inquiète pour elle, je ne suis pas le seul. Byron, son VP avec lequel j’entretiens des relations de confiance depuis notre rencontre en Normandie, m’a contacté. Il a du mal à comprendre ce qui arrive à sa plus brillante collaboratrice dont les performances semblent décliner significativement depuis son retour de congés.



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Bien sûr, je continue à me confier à Robert et je ne manque pas de lui faire part de mes doutes concernant l’avenir de mon couple.

Il ne peut guère me donner de conseils car il y a bien longtemps que Rebecca est totalement libre de ses actes et qu’elle dirige la vie sexuelle de leur foyer. Robert se sait incapable de satisfaire la sensualité exacerbée de son épouse mais il l’aime comme au premier jour et accepte sans rechigner de la voir se faire prendre par des étalons blacks qui profitent de son lit et de son hospitalité au-delà des règles normales de la bienséance.


La confiance et la franchise sont les deux piliers qui permettent à un couple de franchir les épreuves. Ma confiance envers Carine a été sérieusement ébranlée par sa décision de ne plus accepter ma présence dans son lit. Et je doute qu’elle ait l’envie d’une discussion franche avec moi sur le sujet.

Je suis néanmoins prêt à accorder une ultime chance à notre couple si mon épouse adorée se reprend lorsque Joshua débarquera à New York. Dans le cas contraire, les trois mille miles séparant New York de San Francisco devraient constituer une distance suffisante pour me permettre de me construire une nouvelle vie.