n° 21128 | Fiche technique | 15040 caractères | 15040Temps de lecture estimé : 9 mn | 07/09/22 |
Résumé: Jogging au bois… tout commençait bien, jusqu’à ce que… | ||||
Critères: hh hhh hbi inconnu grossexe forêt hsoumis trans hmast intermast fellation hsodo gangbang confession -transsex | ||||
Auteur : Yoyo75008 Envoi mini-message |
Le printemps est là. Je vais enfin pouvoir reprendre le sport et aller transpirer un peu pour éliminer les excès de l’hiver. Je finis ma journée de boulot et rentre vite me changer pour aller courir.
Mes baskets aux pieds, je prends la direction du Bois de Boulogne. Je retrouve vite mes sensations et le plaisir de transpirer. Le soleil décline et les lampadaires se mettent en marche sur la grande avenue qui traverse le bois. Je décide d’emprunter les chemins dans les bois pour éviter les nombreux coureurs qui encombrent l’avenue. Déjà une heure à courir et je suis en nage. Je décide de m’arrêter devant un banc pour reprendre mon souffle et faire mes étirements. Mon tee-shirt me colle à la peau sous l’effet de la transpiration.
Soudain, j’entends du bruit derrière moi et je me retourne. Je découvre une femme habillée d’un manteau qui sort du sous-bois. Elle s’approche et s’assoit sur le banc en m’adressant un grand sourire.
Je reprends mes étirements comme si de rien n’était. Du coin de l’œil, je la vois sortir une cigarette et l’allumer. Elle fume tranquillement en m’observant.
Tout à coup, je la vois croiser les jambes et je les découvre magnifiques, gainées dans des bas noirs. Je reste de marbre et continue mes activités.
Sur ces mots, je m’exécute et enlève mon tee-shirt pour me retrouver torse nu.
À peine a-t-elle prononcé ces mots qu’elle ouvre son manteau. Je reste bouche bée. En dessous, elle ne porte qu’un ensemble de lingerie composé d’un porte-jarretelles, d’un string et d’un soutien-gorge en dentelle noire.
Elle sourit en voyant ma réaction.
Répondant à l’invitation, je m’assois sur le banc à côté d’elle. Aussitôt, elle pose sa main sur ma cuisse et me masse doucement.
Sa main me masse alors ma cuisse de bas en haut. Elle remonte à chaque fois de plus en plus haut et vient rehausser mon short à chaque passage.
Je me lève et baisse mon short sur mes chevilles. Me voilà en boxer, assis sur un banc dans le Bois de Boulogne avec une femme qui me masse… Il y a pire pour finir une longue séance de running.
Elle vient se mettre à genoux entre mes jambes et ses deux mains reprennent leur massage. Elle monte toujours plus haut sur mes cuisses et je sens ses doigts effleurer mon sexe qui commence à se réveiller. Il faut que je vous avoue que je porte toujours un cock-ring, donc, mon érection devient assez visible.
Ma masseuse me jette un regard sulfureux et de ses ongles manucurés elle commence à griffer ma queue à travers mon boxer.
Pour toute réponse, je bascule la tête en arrière et pousse un léger souffle, vaine tentative pour essayer de contrôler une érection de plus en plus visible.
Je sens alors sa main s’insinuer sous mon boxer et venir taquiner ma queue. Ça y est. Je ne contrôle plus rien et ma queue durcit sous l’effet de la caresse et du cock-ring qui la compresse. Elle la libère par l’ouverture avant du boxer et la prend à pleine main. Je lève les yeux vers elle et la vois passer sa langue sur ses lèvres.
Toujours en me fixant du regard, elle se penche vers ma queue, je sens la chaleur de ses lèvres englober mon gland et pousse un râle de plaisir. Sa bouche monte et descend alors que sa langue joue avec mon gland. Sa technique est terriblement efficace.
Sa voix s’est faite plus dure, il s’agit plus d’un ordre qu’une invitation. Après seulement cinq minutes de ce traitement, je me cabre et enfonce ma queue au fond de sa bouche pour y lâcher une énorme dose de foutre.
Sa bouche enserrant ma queue, elle ne perd pas une goutte de mon jus, puis elle se relève et se penche sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. J’ouvre la mienne machinalement à mon tour et nos langues se mélangent, je déglutis pour avaler mon propre foutre.
Tout en parlant, elle se redresse devant moi en écartant son manteau. Je tends mes mains pour venir caresser ses jambes gainées et remonte vers ses fesses. Elles sont bien fermes. Je joue avec la ficelle de son string en direction de sa rondelle. Elle met alors sa main sur ma tête et m’attire. J’ai le nez dans son string et je sens une bosse dure contre ma bouche. Je dépose de légers baisers sur cette protubérance à travers le sous-vêtement. L’odeur est divine. L’odeur de la dentelle et du sexe… D’une main, elle écarte son string et une magnifique queue se dresse devant mes yeux.
Son regard ne me lâche pas. J’ouvre la bouche et j’avale cette offrande. J’attrape la base de sa queue et commence à la branler tout en la suçant. Décalottant son gland, je le lèche abondamment. Il est gonflé comme un fruit mûr. Les premières perles de jus arrivent et je m’en délecte…
À son tour, elle prend sa queue et vient la frapper sur ma langue.
Sur ces mots, elle pousse sa queue au fond de ma bouche. Je sens son gland buter au fond de ma gorge.
Sa queue entre et sort de ma bouche à un rythme de plus en plus rapide. Elle me baise littéralement la bouche.
Je ne peux que faire un signe de la tête pour approuver.
Je m’exécute. Me voilà à genoux devant sa queue tendue qu’elle branle activement. Après deux minutes, elle pose son gland sur ma langue et de puissants jets de foutre chaud coulent directement dans ma gorge.
J’avale consciencieusement chaque goutte de ce nectar. C’est chaud, épais et gluant, mais je me régale.
Elle remballe sa queue, referme son manteau, sort une carte de visite et me la tend : Jennifer – 06…
Elle s’en va, me laissant torse nu sur mon banc. Je me rhabille et rentre chez moi.
Une bonne douche et je pars me coucher. Impossible de trouver le sommeil. Je ne peux m’empêcher de repenser à cette superbe créature et à son engin de rêve. Je bande à nouveau au simple souvenir de ce moment.
Le lendemain, retour au boulot. Journée bien remplie, mais je n’arrête pas de repenser à ma rencontre de la veille. Je prends la carte et j’envoie un texto :
Séance de sport ce soir à 20 h. Même endroit.
La réponse arrive dans la foulée :
OK bébé. Ne mets rien sous ton short cette fois-ci !
19 h, je quitte le boulot et je fonce me changer.
20 h, je suis au rendez-vous. Dix minutes se passent avant que je voie Jennifer arriver en voiture. Elle me fait signe de monter.
Je suis un peu étonné, mais je monte et me laisse conduire sans savoir où nous allons. Après quelques minutes de trajets, nous rentrons dans Paris et nous garons devant une devanture tout à fait banale.
Une porte blindée avec une sonnette. Jennifer me précède et sonne. La porte s’ouvre sur un black à la carrure impressionnante qui nous laisse passer.
Nous entrons dans une pièce illuminée d’un simple néon rouge. Une autre porte s’ouvre devant nous. Je suis Jennifer et nous voilà dans une autre pièce dans laquelle se trouvent déjà quelques personnes. En regardant bien, je m’aperçois que toutes ces personnes sont des femmes et qu’elles sont toutes en petite tenue. Avec mon short et mes baskets, je fais vraiment tache.
Jennifer m’attrape par la main et m’entraîne vers une porte dérobée sur laquelle il est écrit : VESTIAIRES.
Et elle me laisse comme un imbécile au milieu d’un vestiaire dans un endroit que je ne connais pas.
Je me déshabille et me dirige vers les douches. Une fois propre, je prends une serviette et l’enroule autour de ma taille. Jennifer revient me chercher après quelques minutes et m’entraîne vers la salle principale. Une musique lounge et une lumière très tamisée donnent une ambiance assez intimiste. De grands canapés sont installés un peu partout et sont presque tous occupés par des filles en train de siroter une coupe.
Jennifer me prend la main et m’emmène derrière un grand rideau au fond de la salle. Je découvre un grand lit circulaire avec des coussins rouges. Ici aussi, la lumière est très tamisée et je ne distingue rien d’autre que le lit.
Je me dirige vers le lit et m’allonge en plein milieu. Après deux minutes, je suis rejoint par Jennifer qui m’enlève la serviette et la jette au loin.
Je sens alors un liquide chaud couler sur mon dos, mes fesses et mes jambes. Une délicieuse odeur des îles envahit la pièce. Les mains de Jennifer commencent à s’activer et je plonge dans une douce torpeur sous l’effet de ses caresses.
Elle est assise sur moi et chaque fois qu’elle se penche, je peux sentir sa queue dure buter sur mes fesses. Elle reprend de l’huile chaude et inonde littéralement ma raie. La sensation de l’huile chaude coulant entre mes fesses et jusqu’à mes bourses est divine.
Je sens alors que Jennifer utilise son énorme queue pour me masser. Elle la tient fermement et frotte son gland sur mon cul. La pression augmente au fur et à mesure que le gland passe entre mes fesses. Elle commence à concentrer ses caresses sur mon œillet huilé et pose son gland à l’entrée de mon cul. D’une légère pression, je sens son gland forcer mon petit trou et entrer tout doucement. Elle marque une pause pour laisser le temps à mon cul de s’habituer au diamètre de sa queue. L’huile et le massage ont déjà bien détendu ma rondelle et comme je commence à remuer le cul dans sa direction elle pousse doucement sa queue de plus en plus loin.
Elle est maintenant allongée sur moi et me murmure à l’oreille :
Son énorme queue va et vient dans mon cul tout doucement. J’écarte mes fesses à deux mains. Son membre est gonflé et je le sens coulisser de plus en plus loin. La tête dans les coussins, je suis concentré sur mon cul, mais je crois entendre Jennifer parler. Tout à coup, je lève la tête et je vois deux autres femmes devant moi.
Ces deux beautés sont en lingerie et chacune tient une énorme queue à la main qu’elle branle doucement. Elles s’approchent de moi et me présentent leur sexe à sucer.
Me voilà avec une queue qui me défonce le cul et deux autres à sucer à tour de rôle. Je deviens vraiment chienne et je me laisse aller aux bons désirs de ces trois déesses. J’alterne la branlette d’une queue pendant que je suce l’autre. Elles sont tellement grosses que je ne peux en faire le tour avec ma main. Je lèche et suce les glands gonflés, gobe les couilles pleines qui pendent devant moi.
Jennifer leur laisse la place et chacune vient me prendre le cul sans ménagement. Les coups de queue s’enchaînent et je ne sais même plus qui m’encule, qui je suce ou qui je branle. J’ai l’impression qu’elles me violent plus qu’elles ne me baisent.
Sur ce, je sens une explosion m’inonder le cul. Une autre queue prend aussitôt la place et me pilonne à nouveau.
Seconde explosion au fond de mon cul. Le foutre chaud coule le long de mes cuisses. Mon cul est ouvert comme jamais. La troisième présente sa queue devant mon cul ouvert, mais, au lieu de m’enculer, elle se branle et éjacule sur ma rondelle ouverte. Mon cul déborde de foutre chaud.
Ma queue tendue est déjà très sensible et il ne me faut que quelques secondes à me branler pour venir éjaculer sur la belle queue de Jennifer que je recouvre avec soin. Je m’agenouille alors et commence un nettoyage en règle de sa tige. Je pompe sa queue toujours tendue et me régale de chaque goutte de mon propre sperme.
Je suis mort de fatigue. Jennifer m’apporte un verre d’eau, puis disparaît avec ses copines. Je rentre chez moi à peine lavé et le cul encore plein du foutre de mes déesses.