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Incartades sexuelles

Je suis en couple depuis presque cinq ans. Je suis plutôt du genre fidèle, mais je commence de plus en plus à conceptualiser l’idée d’aller voir ailleurs. La sexualité dans mon couple est très bonne, mais très peu fréquente et mon appétit pour la chose n’est clairement pas rassasié. Je fantasme donc beaucoup sur les autres femmes. Je passe beaucoup de temps à m’astiquer le sexe en regardant du porno. J’ai aussi développé un certain intérêt pour les modèles webcam. Je suis devenu membre d’un site web qui m’assure une discrétion totale, sur lequel je peux payer de jolies femmes pour des appels vidéo. Je m’y montre rarement, mais j’adore discuter avec elles et les voir me teaser de leur intimité.

Cela dit, ça ne suffit plus et je m’autorise aussi parfois quelques incartades avec des professionnelles. J’ai vu quelques escortes pour le simple plaisir de pouvoir toucher d’autres corps. Et aussi, je dois l’avouer, pour nourrir ma passion pour les énormes seins. Je n’ai jamais eu de relations sexuelles complètes avec elles, par crainte pour ma santé, mais je caresse leurs corps jusqu’à plus soif et me laisse masturber de leurs mains agiles.

Cet été, je traverse une terrible crise avec ma conjointe. Nous frôlons la séparation, si bien que je dois quitter la maison pour plusieurs semaines, car nous n’arrivons plus du tout à nous entendre. Je sombre rapidement dans une spirale d’excès : alcool, cigarette, sexe. Je n’attends pas longtemps avant de flirter avec des femmes, mais aussi de me rendre dans des clubs de danseuses, des salons de massage ou encore chez des prostituées. Je me souviens du premier soir où j’ai flanché. Je suis entré dans un bar de danseuses assez chic. J’y ai commandé une bière au bar et ensuite, je me suis rapidement engouffré dans une cabine avec une magnifique jeune femme à la peau douce. Assis sur la banquette à la regarder, j’ai eu une grande montée d’excitation quand elle s’est mise debout pour mettre ses fesses à la hauteur de mon visage. Vêtue d’un petit string me laissant tout voir, elle s’est mise à se dandiner devant mon visage. J’avais empoigné ses fesses en espérant pouvoir y glisser ma langue, tout en me retenant. Je sentais l’odeur de son entrejambe et mon érection était spectaculaire. Je lui ai alors demandé s’il était possible d’aller plus loin avec elle, mais elle a été assez ferme pour ne pas dépasser certaines limites, comme elle en était à ses premiers soirs dans ce bar.

J’ai réalisé à ce moment-là que j’avais besoin de plus. J’ai rapidement quitté l’endroit et me suis dirigé vers un salon de massage que j’avais déjà fréquenté quelques années auparavant. J’y ai rapidement fait mon choix sur une belle jeune femme noire avec des seins de taille moyenne et des fesses bien rebondies. Nous avons passé un moment très sensuel, rempli de caresses, tous les deux étendus sur la table de massage. Je l’ai fait jouir avec mes doigts, la caressant une quarantaine de minutes avant de me laisser couler entre ses mains.

Cette soirée-là ouvrait la porte à de multiples explorations sexuelles durant l’été, en parallèle à ma crise de couple qui s’étirait.

Ce soir, je décide d’aller explorer un club libertin. Ça fait plusieurs années que j’en rêve sans oser franchir le pas. Je vais enfin me l’autoriser. Je me dirige vers cet endroit que je connais, dans le nord de la ville. Je m’y suis déjà présenté un soir, mais beaucoup trop tard. On m’avait invité à revenir un peu plus tôt la prochaine fois. Je m’y présente donc cette fois vers 22 h, vêtu d’une chemise propre. Je dois payer une carte de membre, très onéreuse, mais je décide que peu importe les dépenses, j’ai un fantasme à réaliser. Il faut dire qu’en stationnant ma voiture, j’ai vu dans mes phares un couple se diriger vers le club. La femme était très grande et mince, dans une robe ultra moulante qui descendait à peine plus bas que ses fesses charnues. Son mari la serrait contre lui, comme fier de pouvoir aller l’exhiber aux regards des curieux. Ça m’a convaincu que l’expérience en vaudrait la dépense.

Une fois à l’intérieur, je me retrouve dans un état d’excitation assez intense. Je ressens toujours une certaine vague de bonheur dans un endroit où il est assez clair que tout le monde y est pour les mêmes raisons. J’y sens une ouverture sexuelle débridée qui me fait me sentir à ma place quelque part dans ce monde en tant qu’obsédé sexuel, et ça fait du bien.

Quelques jolies femmes accompagnées par des hommes sont au bar. Les serveuses sont habillées de manière très suggestive. Je ne manque pas de leur envoyer des sourires coquins en commandant une bière. Après un moment, je me décide à monter à l’étage, où l’action a lieu, selon ce qu’on m’a dit. Je monte l’escalier et je découvre un monde… plusieurs petites pièces, des fenêtres partout, permettant de regarder les gens en action. Quelques personnes s’y prêtent déjà. Une femme assez âgée et pas très jolie est en train de sucer ce qui semble être son mari. Autour d’eux, deux ou trois hommes se masturbent en les regardant. Je continue ma route.

Plusieurs personnes ne font que regarder. Je croise quelques femmes que j’aimerais voir se faire baiser. Je fais le tour de l’étage à quelques reprises, excité à l’idée de croiser de nouvelles personnes qui voudraient se faire voir. Je m’imagine me masturber à côté de la jolie femme aperçue dans le parking.

Je redescends prendre une autre bière, mais remonte rapidement, excité et soucieux de ne rien rater. Je sens que tout est une question de momentum. Je marche à nouveau sur l’étage. Je remarque quelques attroupements. J’essaie de m’approcher pour voir aussi. Parfois un couple en action, ici un groupe de quatre personnes. Mais toujours plusieurs hommes massés devant la porte, ce qui rend le voyeurisme un peu difficile.

Je croise le couple aperçu dehors et j’ose leur dire que j’aimerais beaucoup les regarder s’ils le désirent. Ils me répondent, souriants, que c’est très gentil de l’offrir. Je comprends qu’ils ne sont pas rendus là dans leur soirée.

Je commence à sentir que j’ai un peu gaspillé mon argent quand je redescends pour commander une dernière bière. J’aperçois à l’autre bout du bar une belle femme noire qui me regarde de manière assez frontale. Je ne sais pas si elle cherche la même chose que moi, mais je décide de soutenir son regard et de lui envoyer un sourire. Elle sourit aussi, baisse les yeux, me regarde à nouveau. En temps normal, j’aurais probablement cessé ce petit jeu-là, intimidé. Mais cette fois, je décide de me diriger droit vers elle. Elle me sourit en me voyant marcher vers elle et m’accueille. Elle est plus vieille que je croyais, mais elle est très charmante. Elle semble avoir la mi-quarantaine et est aussi plus ronde que je l’avais cru. Ça tombe bien, j’ai un gros faible pour les femmes noires enrobées. Elle semble avoir des cuisses, des fesses et une poitrine très généreuses, ce qui me charme beaucoup. Elle porte des bijoux et une robe rouge très attrayante. J’ai un peu l’impression d’être dans un rêve, tellement la situation est en phase avec mes fantasmes. Je me présente. Elle est anglophone, elle vient de New York et elle est de passage à Montréal. Nous discutons très peu et elle me laisse entendre rapidement qu’elle aimerait bien visiter l’étage avec moi. Je n’ai aucune idée de ce qu’elle veut y faire, mais ça m’excite beaucoup.

Elle est avec une belle femme mince. Une blanche aux cheveux noir très foncé qui, elle, porte des bas résille, un top noir très moulant, et une jupe très courte qui laisse voir des cuisses d’une blancheur et d’une douceur invitante. Elle lui chuchote quelque chose à l’oreille et je comprends à cet instant qu’elles sont en compagnie de deux hommes. Elle chuchote aussi à l’oreille d’un des deux hommes. Il semble assez âgé, bedonnant, et les cheveux blancs. Il me lance un regard en souriant et lui fait signe que oui de la tête.

Elle s’approche de mon oreille et me dit :

• — This is my husband. He will watch us upstairs with my friends. This is OK.

Je la regarde, surpris, excité, j’ai du mal à croire à ce qui m’arrive. Nous nous dirigeons vers l’étage. Son mari se présente rapidement, puis me tend la main de sa femme avant de marcher derrière nous. Sa femme se colle sur moi et je l’enlace en montant l’escalier. Elle est très charmante et me sourit de manière très coquine.

Une fois en haut, elle me dit de choisir un endroit où nous pourrons nous amuser. Nous marchons un peu et je vois un lit encerclé de barreaux, comme une grande cage où tout le monde pourra nous regarder. Nous y pénétrons, rieurs, et nous commençons rapidement à nous caresser. Je lui murmure à l’oreille que je ne veux pas aller trop loin, car je suis en couple. Soudainement, le fait de ne pas devoir payer pour du sexe me fait réaliser que je trahis ma partenaire… mais en même temps, tout est si intense et charnel que je ne peux résister à repousser mes limites. Elle me sourit et me dit qu’il n’y a aucun problème.

Son mari est debout juste à côté de la cage. Il est souriant, il semble adorer voir sa femme dans ce genre de situation. Il discute avec son ami, regarde autour.

Elle m’embrasse dans le cou, j’empoigne son corps charnu, ses fesses, ses seins. Elle retire rapidement sa robe et se retrouve en sous-vêtements. Un soutien-gorge et un string rouge. J’empoigne et masse ses fesses. Elle est à genoux devant moi et je la tripote. Elle défait son soutien-gorge et je plonge sous son corps pour caresser ses seins. Elle les écrase dans mon visage et je commence à les sucer et les lécher. Je malaxe et tète ses énormes miches. Je tripote ses fesses, ses cuisses, son ventre. Ma main effleure son sexe à travers sa culotte et elle frémit. Je lui chuchote que je ne suis pas prêt à aller plus loin. Elle me sourit, très compréhensive. Elle pose sa main sur mon sexe à travers mon jeans et me regarde.

• — Can I touch you a bit ?

Je la laisse faire, sans enlever mes vêtements. Après un moment de ce jeu de caresses, je réalise que plusieurs hommes entourent notre cage. Ils sont huit ou neuf à nous regarder. La plupart d’entre eux ont extirpé leur queue hors du pantalon et se masturbent à quelques pouces de nous deux. Elle sourit en regardant toutes ces queues dures pour elle. Elle me dit qu’elle aimerait me sucer. Je réfléchis un peu et lui demande si elle a envie de sucer une des queues autour de nous. Elle me dit :

• — What do YOU want ? Do you want this ?
• — Yes, I want this.

Elle sourit et elle me dit :

• — You choose which one.

Je fais un rapide tour d’horizon et je vois lequel semble en avoir le plus envie. Elle lui fait signe de s’approcher. Il reste en dehors de la cage, mais approche sa queue et elle commence à le sucer à travers les barreaux en me regardant. Elle le fait pour moi, pour mon plaisir plus que pour celui de cet homme. Ils sont plusieurs maintenant à glisser leurs mains dans la cage, en demandant s’ils peuvent la toucher. Je fais signe que oui. Ils tripotent ses fesses, ses cuisses en se masturbant de l’autre main. Rapidement, je lui ordonne de sucer un autre des gars, ce qu’elle fait sans rechigner.

À ce moment, je sors ma queue de mon jeans et commence à me masturber en la regardant manger les queues autour d’elle. Je caresse ses fesses en même temps et ma queue est incroyablement dure. Je sens soudainement que ces autres hommes sauront mieux la combler que moi alors je m’approche d’elle et lui dis que je vais la quitter. Elle m’enlace et fourre mon visage entre ses deux seins. Je les mange avec appétit avant de sortir de la cage. Soudainement, je sens sa main glisser sur mon sexe. Mon jeans est encore ouvert et elle en profite. Elle presse encore plus fort ses seins sur mon visage, comme pour me garder prisonnier, et elle tire d’un coup sec sur mon pantalon et mon boxer. Je me retrouve le sexe nu, dressé. Elle l’empoigne fermement et commence tout de suite à le branler. Je suis au comble de l’excitation.

Elle libère mon visage et me regarde dans les yeux.

• — Can I make you cum ?
• — Y… Yes. Please.

Elle plaque sa bouche sur la mienne et nos langues se mélangent sensuellement. Elle me masturbe frénétiquement. J’empoigne ses grosses fesses douces dans mes mains et m’abandonne à ses caresses. Le lieu est tellement excitant. L’éclairage pornographique. Elle me masturbe mieux qu’on ne m’a jamais masturbé. Je sens le jus monter le long de ma queue, mais je me retiens pour faire durer le plaisir. Elle relève la tête, je suis assis devant elle. Elle s’accroupit par-dessus moi et enserre ma queue entre ses deux énormes seins. Je flanche, en quelques secondes, le mouvement de va-et-vient de ma queue blanche entre ses grosses miches noires me fait juter abondamment. Deux heures à jouer avec mon excitation dans ce lieu culminent avec cette masturbation incroyable. Elle sourit et masse longuement ma queue même après l’éjaculation, jouant avec le sperme et l’étalant sur mon gland et sur ses seins.

Les hommes autour n’ont cessé de se masturber. Elle m’embrasse et me demande quel homme peut venir la baiser. Je pointe du doigt un grand black qui semble être le plus endurant pour lui donner autant de plaisir qu’elle m’en a donné. Je me rhabille. Elle fait signe au black de la rejoindre dans la cage. Je retire son string et glisse ma langue sur son anus pour lui dire au revoir. Elle se cambre sur mon visage en gémissant, me regarde du coin de l’œil et me souffle un baiser.

Je quitte la cage, la regarde un moment avec l’autre et je rentre me coucher, heureux d’avoir osé.