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n° 21178Fiche technique35120 caractères35120
Temps de lecture estimé : 20 mn
27/09/22
Résumé:  La première fois que ma femme a sucé la bite d’un autre homme que moi, ça remonte à quelques années, mais je m’en souviens comme si c’était hier.
Critères:  fh fhh inconnu voir exhib caresses fellation pénétratio init -candaul
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Aveuglement

NDLR :

Nous publions ce texte avec des réserves,

pour illustrer les limites qu’il ne faut pas dépasser.


En effet, dans ce scénario, il y a clairement abus de confiance. Le mari laisse penser à sa femme qu’il ne s’agit que d’une exhibe alors qu’il la livre à son insu à un autre homme qui profite d’elle sans aucune protection…


Inutile donc de nous soumettre d'autres récits du même type.






Souvenirs



La première fois que ma femme a sucé la bite d’un autre homme que moi, ça remonte à quelques années, mais je m’en souviens comme si c’était hier. On se souvient souvent très bien de ses premières fois, même celles des autres.


Sucer pour commencer…

L’appétit vient en mangeant, dit-on. Mais pour tout ça, j’avoue que c’est ma faute.


Cet autre homme était un total inconnu pour elle. J’avais préféré miser sur quelqu’un que nous ne connaissions pas, plutôt que sur un ami ou un copain. C’est plus facile pour couper le cordon. Toujours prévoir la suite, on ne sait jamais.


Avant de continuer, asseyez-vous confortablement, que je vous narre la chose depuis le début. Je vous rassure, je ne vais pas en faire des tonnes ni trente-six pages. Je vous rassure, je ne m’appelle pas Proust ou Balzac.


Bien installé(s) ? Très bien, revenons à ce fameux jour, ou plutôt à ce fameux soir. Voilà, fermez les yeux, et faites virtuellement dérouler le film comme si vous y étiez.




Bénédicte



Samedi soir sur la terre, quelque part dans l’Hexagone.


Après une certaine attente, Bénédicte revient vers moi, ayant terminé de se changer. Elle est vêtue d’un top bleu électrique bras nus et d’une jupe noire avec de la lingerie par-dessous, c’est-à-dire un petit soutif très échancré et un ensemble bas plus porte-jarretelles couleur ébène. Autour de son cou, une chaînette en or double rangée. À ses pieds, des chaussures assorties avec des talons aiguilles de taille moyenne. Plus haut, ma femme a noué ses cheveux en une sorte de chignon d’où s’échappent quelques mèches folles. L’ensemble est fort plaisant, c’est indéniable.


Avant de quitter la maison, pour être certain qu’il n’y a pas de zones d’ombre, je débriefe à nouveau mon épouse sur la suite des événements :



Elle soupire, mais elle a toujours souscrit à mes petits jeux. Depuis le début de nos activités ludiques un peu spéciales, petit à petit, je fais monter la température, en évitant d’aller trop vite, même si ça me chagrine que ce soit si lent pour gravir la colline.


Bénédicte soupire :



Limite, c’est beaucoup dire. Ma femme a fait pire, il me semble. Mais je reconnais que c’est la première fois que ça se passera chez un inconnu, et en plus, avec les yeux bandés. Cherchant à détendre l’atmosphère, je lui confie :



Elle ne répond pas, elle doit sans doute se demander si elle n’est pas en train de faire une grosse bêtise en m’accompagnant chez un inconnu, les yeux bandés, même si les précédents petits jeux se sont bien déroulés, bien qu’ils furent assez corsés.




Gérard, étape 1



Peu après, nous arrivons à destination. Je m’engage dans une allée, puis je gare la voiture qui est maintenant à l’abri des regards de la rue. Aussitôt, mon contact vient nous ouvrir, je guide ma femme devenue aveugle jusqu’au salon, puis je la fais s’asseoir sur un canapé.


Gérard me ressemble un peu, c’est pour cette raison que je l’ai choisi. Sagement assise, ma femme entend des verres tinter puis un liquide être versé ; elle demande :



Bénédicte marque une courte pause, puis elle demande :



Ma femme semble accepter la situation. Elle boit d’un trait la coupe que je lui donne en main. Je vois qu’elle est tentée d’ôter son bandeau, mais qu’elle se retient. Il faut dire que mes petits jeux se sont toujours bien déroulés, car j’essaye de palier à tout, essayant de couvrir les diverses options. Je m’arrange pour que tout se passe en pleine sécurité. C’est pour cette raison que Bénédicte sait qu’elle peut me faire confiance, même si souvent, elle aurait préféré dire non.


Une fois le jeu terminé, elle avoue la plupart du temps que ce fut une agréable expérience. Pas forcément tout de suite. Parfois, il lui faut une bonne semaine pour lâcher cette confidence. Telle est ma femme…


C’est comme la fois où elle a fait un petit câlin avec une autre femme. Il lui a fallu un certain temps pour admettre du bout des lèvres qu’elle avait trouvé ça bien. Elle a insisté une paire de fois sur le fait qu’elle n’était pas lesbienne, comme si c’était une tare !



À peine son verre en main, Bénédicte le vide d’une seule traite, signe évident qu’elle n’est pas rassurée. Les autres fois aussi, elle n’était pas très tranquillisée, mais ce soir, son appréhension me semble plus forte que d’habitude. Le fait de ne rien voir, je suppose.


Il serait bon d’entrer dans le vif du sujet. Je m’adresse à ma femme :



Oui, elle doit être très stressée, mais elle joue le jeu en conservant le bandeau sur les yeux. Elle boit sa troisième coupe en deux temps. Quand son verre est vide, je le retire de ses mains. Une petite pause, puis elle se lève en soupirant :



Tandis qu’elle se tient debout, se stabilisant en l’absence de vision, je fais un petit signe à l’adresse de Gérard, la musique retentit. Bénédicte s’en amuse :



Quatre coupes, elle abuse un peu ! Mais bon, je comprends son état d’esprit. Je lui offre ce petit plaisir qu’elle vide une fois de plus d’un seul trait. Puis se fondant avec la musique, elle ondule légèrement pour commencer. Peu après, le champagne aidant, elle finit par se laisser aller, se trémoussant beaucoup plus.


Puis, lentement, elle remonte son top, dévoilant d’abord son nombril, puis la base de son soutien-gorge, puis tout le haut. Elle lance au hasard son vêtement. Gérard se met à applaudir, une bonne façon de contourner mon interdiction de parler. Ma femme comprend à la provenance du bruit que ça ne vient pas de moi. Elle sourit timidement.


Telle une liane, elle continue de se déhancher sur la musique, faisant ballotter ses mignons seins toujours couverts de tissu, ainsi que sa chaînette en or. Un murmure approbateur émane de l’endroit où est assis Gérard. Ma femme semble apprécier qu’on l’apprécie.


Le champagne aide beaucoup, il me semble, mais je crois l’avoir déjà dit…


Bénédicte jette ses mains derrière son dos, et en un rien de temps, son soutien-gorge valse à travers le salon, révélant deux seins libérés qui s’agitent sous les mouvements de danse de ma femme. Gérard applaudit à nouveau. Je reconnais que le spectacle vaut le déplacement, même si ça fait des années que je profite de la poitrine de Bénédicte.


Ma femme ondule ostensiblement en direction de précédents applaudissements, mettant ouvertement ses seins en valeur. Gérard apprécie la dédicace muette.


Soudain, Bénédicte se tourne vers moi et demande :



Je cède et je dépose entre ses mains une nouvelle coupe de champagne. J’en profite pour demander à Gérard de remettre au début la chanson. Peu après, ma femme reprend sa danse, encore moins inhibée. Après quelques ondulations, c’est la jupe qui choit au sol. Je m’en saisis prestement pour qu’elle ne marche pas dessus. C’est alors que je constate que son slip en satin ne cache finalement pas grand-chose. Gérard applaudit franchement.


Un refrain plus tard, c’est ce même slip qui s’évanouit sous les ovations manuelles de notre hôte. Ma femme sourit une fois de plus. C’est quasiment nue qu’elle se pavane devant un inconnu, lui faisant alternativement admirer le côté pile comme le côté face, uniquement vêtue de ses bas, porte-jarretelles, sans oublier son collier.


Néanmoins, la prestation de ma femme commence à se dégrader, ses gestes manquent parfois de coordination, elle titube parfois un peu. Je sais que la fin de la chanson s’approche. Je me lève, lui saisissant le bras, et je l’invite à s’asseoir sur le canapé, en face de Gérard.


Quand elle est assise, Gérard se met à l’applaudir longuement. Un peu pompette, esquissant une révérence hasardeuse, ma femme le remercie :



Puis dans un petit rire cristallin, elle s’affale en arrière, cuisses largement écartées, offrant une splendide vision panoramique sur sa chatounette au petit bosquet bien taillé à notre hôte qui est pile-poil dans le bon axe.


Devant cet adorable spectacle, l’homme bande joyeusement, je le comprends parfaitement. Je lui fais signe de venir, il s’approche, sans quitter des yeux ma femme. Je sors une petite ardoise magique de ma poche, puis j’y écris de façon volontairement grossière :



Étonné, il hausse les sourcils. S’emparant de mon ardoise, il écrit à son tour :



Je fais signe oui de la tête. Alors, avec un grand sourire, ravi de participer, il s’approche de ma femme et s’exécute, s’accroupissant entre les cuisses avenantes de ma femme. Aussitôt, Bénédicte entremêle ses doigts dans ses cheveux. Visiblement, elle ne détecte pas la substitution. Il est vrai que l’homme que j’ai choisi possède beaucoup de points communs avec moi, surtout si on ne voit pas. Gérard possède la même chevelure que moi, la même forme de visage, et j’en passe…


Bien sûr, auparavant, Gérard a été dûment chapitré afin que la supercherie ne soit pas éventée, du moins, pas trop vite. Ce sera le monde du silence, pour éviter les impairs. De plus, nous sommes habillés de la même façon, portant le même parfum.


Je sais, certaines personnes à cheval sur les conventions diront que c’est une trahison, mais il faut savoir donner des petits coups de pouce au destin, sinon on fait du sur-place la plupart du temps.


En tout cas, les coups de langue de mon remplaçant sont efficaces, ma femme frémit, ondule, gémit. Quelques minutes plus tard, car il lui faut un certain temps pour monter en puissance, Bénédicte halète, sans toutefois repousser la bouche qui la lèche.



C’est le signal que j’attends depuis le début. C’est quasiment toujours par ces trois syllabes que ma femme indique que la vague de plaisir est juste à sa porte et qu’elle va déferler sur elle, en elle.



Cette fois-ci, elle repousse la tête nichée entre ses cuisses. Gérard donne néanmoins quelques derniers coups de langue avant de se retirer, contemplant en même temps que moi ma femme en train de jouir de tout son saoul. Mon remplaçant est visiblement content de lui, il ne m’a pas menti quand il m’a affirmé lors de nos échanges qu’il savait faire jouir une femme, et pas uniquement avec son cinquième membre.




Gérard, étape 2



Je ne pense pas que Bénédicte se soit rendu compte de l’échange. Ou bien, elle le cache bien, faisant comme si c’était bien moi. Peut-être s’en est-elle rendu compte, mais qu’elle mettra un temps fou à admettre qu’elle s’est quand même faite papatouiller par un autre homme. Néanmoins, je ne crois pas trop à cette éventualité.


Puis nous passons dans la chambre d’amis de notre hôte. Je fais asseoir ma femme sur le rebord du lit, puis je m’installe à côté d’elle. Je dégrafe ensuite mon pantalon, extirpant ma verge déjà bien raide :



Elle marque une furtive hésitation, elle lance sa main, puis ayant capturé ma verge à tâtons, elle commence un doux mouvement de va-et-vient. Ce n’est pas la première fois que ma femme me branle devant un public, elle l’a déjà fait quand nous avons mis les pieds dans un sauna et aussi dans un club. D’après ce que j’ai cru comprendre, c’est un plaisir qu’elle accordait assez facilement à ses petits amis dans son adolescence.


Du fait d’une certaine expérience acquise lors de divers travaux pratiques, Bénédicte sait vite faire monter la sève. Si elle continue ainsi, moi aussi, je vais avoir un souci de geyser dans quelques instants. C’est pourquoi je temporise :



Je me redresse, je fais signe à Gérard de prendre ma place, à condition que son pantalon et son caleçon soient ôtés. Il ne se fait pas prier pour venir s’allonger à côté de ma femme, la queue bien dressée. À la fois ravi et inquiet, il attend la suite des événements. Durant ce temps, ma femme recule dans le lit pour être au bon niveau. Je glisse ma tête à côté de la sienne pour ordonner :



Sans un mot, Bénédicte lance sa main pour tenter de capturer l’objet du délit. Gérard s’empare de son poignet pour guider ma femme vers sa verge. L’ayant trouvée, elle s’empare de la colonne de chair de Gérard et commence à nouveau son mouvement de va-et-vient. Elle s’active comme elle sait si bien le faire en alternant la prise de la colonne à pleine main ou du bout des doigts. Gérard respire de plus en plus vite. Je lui demande muettement de ralentir, car ça risque de nous trahir. Il m’obéit.


Me positionnant au mieux, je glisse à l’oreille de ma femme :



Bénédicte dodine de la tête :



Une brève hésitation, un geste incertain, puis Béné ne se fait pas trop prier. Elle s’empare de cette verge bien raide et commence une fellation très attentionnée et appliquée. Au bout d’une minute, elle demande :



Avec entrain, cette salope se met à lécher, sucer, pomper mon remplaçant d’une façon que j’ai rarement vu de la part d’une femme, même dans la plupart des pornos. Et cette fois-ci, ce n’est pas ma queue, ce n’est pas sur écran, c’est vraiment ma femme en pleine action sur la bite d’un autre homme qu’elle ne connaît même pas !


Gérard est ravi, je le comprends. Au départ, il devait être juste un simple voyeur, et maintenant, il participe. Un cuni contre une fella, c’est un honnête marché.


Je me demande si ma femme sait que ce n’est pas ma verge qu’elle est en train de sucer, ou si elle pense que c’est bien la mienne. Après tout, le sexe de mon remplaçant est quasiment pareil au mien. Peut-être est-elle excitée de me sucer devant quelqu’un d’autre. Je me souviens que ça avait été le cas lors de l’un de nos précédents jeux dans un sauna libertin. L’effet « public » avait joué.


Je m’aperçois que le fait de ne pas savoir si elle sait est à la fois excitant et exaspérant.


En clair, est-ce que, dans son esprit, ma femme est en train de s’occuper de moi, ou est-ce que, sciemment, elle suce un autre type. Dans le premier cas, c’est une honnête femme qui accepte quelques jeux coquins ; dans le second, c’est une fieffée salope. Ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Une fieffée salope, oui, mais avec une énorme aide de ma part…


Sa succion devient de plus en plus bruyante, sa salive dégouline lentement.


Par diverses grimaces, Gérard me fait comprendre qu’il a de plus en plus de difficultés à se retenir. Ça m’arrangerait qu’il jute dans cette bouche vorace, mais ça risque de compromettre la suite. Ma main repousse la tête de ma femme :



Je fais comprendre à mon remplaçant qu’il doit se lever. Désirant poursuivre l’expérience, j’ordonne :



À tâtons, elle s’exécute. Durant ce temps, j’écris sur mon ardoise :



Aussitôt, Gérard s’empare de ma tablette :



Je m’assieds sur le bord du lit, commençant à caresser les jambes gainées de soie de ma femme. S’approchant vers nous, Gérard porte ses mains au col de sa chemise, je l’arrête dans son geste. Puis j’écris rapidement :



Il me fait signe qu’il a compris, il reboutonne même partiellement le haut. Il se dirige vers sa table de chevet, puis s’arrête. Il revient vers moi, s’empare de la tablette pour y écrire :



Aie, je n’avais pas trop fait attention à ce détail. Il est vrai que je ne pensais pas aller jusque-là, du moins, je n’y croyais pas trop. Je réfléchis fugacement, puis j’écris :



Tandis que je caresse à présent les blanches cuisses de ma femme, il rédige rapidement :



J’hoche la tête pour lui signifier que je le crois. Ainsi ma femme va être souillée par le sperme d’un autre homme. Comme elle porte un stérilet, je sais qu’il n’y aura pas de soucis, d’autant qu’elle va avoir ses règles dans quelques jours. Savoir que Béné va être pénétrée puis remplie me procure un sentiment étrange et diffus, mais jouissif.


Dieu que l’âme humaine est étrange !




Gérard, étape 3



Un qui ne se pose pas de question, c’est Gérard ! Il est tout fébrile à l’idée de s’envoyer en l’air avec ma femme, même s’il est censé se faire passer pour moi. Entre rien et baiser, le choix est vite fait. Je rédige un petit texte sur mon ardoise pour l’avertir :



Il répond par écrit :



Écrivant d’une main, sans oublier de caresser Bénédicte de l’autre, j’explique à notre hôte en quelques mots la marche à suivre pour mieux se faire passer pour moi. Je n’avais pas prévu ce genre de chose, il faudra que j’écrive sur ordi un mode d’emploi pour une prochaine fois.


En rédigeant cette rapide notice explicative en style télégraphique, je me demande si, ayant moi aussi les yeux bandés, j’aurais apprécié qu’une autre femme me fasse l’amour à mon insu. La politique du fait accompli permet de progresser mais elle peut se révéler à double tranchant.


D’autant que je me pose toujours la question si ma femme se doute de quelque chose.


Ah fichu doute ! C’est bien ma veine de me tourmenter de la sorte. Mais je souhaite que ma femme se dévergonde petit à petit, et aujourd’hui sera une grande étape. Je me suis posé la question de prendre des photos de cette soirée, mais j’ai estimé que c’était trop dangereux pour diverses raisons. Peut-être suis-je en train de faire une grosse connerie. Peut-être pas. L’avenir me le dira.



Elle se contente de sourire, elle n’est pas censée savoir que j’ai un peu menti. Précisément, Gérard vient de se décalotter, exhibant une verge bien raide, car son rôle est plus important que le scénario ne le prévoyait initialement.


Volontairement, je m’agite sur place, tout en caressant à présent les seins de ma femme, afin de permettre l’échange. Je me lève prestement, Gérard prend aussitôt ma place, cajolant à son tour la poitrine de Béné. Je constate qu’il s’y prend de la même façon que moi, ayant vu comment je m’y prenais. À moins que ce ne soit aussi son propre style…


Intriguée, ma femme demande :



Gérard imite scrupuleusement comment je me suis occupé de ma femme. Puis quelque temps après, il s’enhardit posément, sa verge se frottant contre le haut de la cuisse, sans oublier de patiner ma femme avec une certaine avidité contenue. Je sens bien que mon remplaçant se freine dans ses élans, car s’il s’écoutait, il dévorerait carrément ma femme.


À ce propos, il est en train de taquiner un téton érigé du bout de sa langue. Puis sans transition, il le croque délicatement. Bénédicte frémit. Sa respiration s’accélère un peu plus.


Mettant ma tête à côté de celle de Gérard afin de faire illusion, je décrète :



À nouveau, ma femme frémit, ce qui ne l’empêche pas d’écarter un peu plus les cuisses. Après quelques caresses appuyées, Gérard se relève, se plante debout face au lit, fait quelques mouvements avec ses bras comme pour se détendre, puis il se positionne posément entre les gambettes soyeuses. Il pose sa verge sur le petit bosquet, et ses bras de part et d’autre du corps de Bénédicte qui tressaille légèrement.


En appui sur ses mains, il frotte plusieurs fois son gland à l’orée de la fente.


Comme ça arrive souvent en pareil cas, ma femme agrippe les bras qui l’encadrent, pour s’y river. La chemise limitera les dégâts si elle enfonce éventuellement ses ongles. J’en sais quelque chose, j’ai déjà dû cacher ce genre de marque en plein été avec une chemise à manches longues.


Se décidant à passer à l’étape finale, Gérard enfonce son gland dans la fente, ma femme soupire, crispant ses doigts autour des bras de celui qui est en train de la baiser. Ma tête toujours à côté de celle de mon remplaçant, je gronde :



Après quelques va-et-vient, Gérard sort pour se refrotter sur le clitoris exacerbé, puis replonge voluptueusement entre les lèvres intimes et humides. Avec application, il refait plusieurs fois ce petit manège. Ma femme gémit :



Je réponds à la place de mon remplaçant :



Obéissant à ma place, Gérard ne se fait pas prier d’envahir à nouveau la chatte offerte. Ainsi investie, Bénédicte apprécie :



Peu après, il la besogne avec conviction et efficacité. Pour preuve, les soupirs de ma femme :



C’est bien l’une des premières fois que ma femme est si bruyante en public ! Peut-être est-ce dû à ce qu’elle ne voit pas les autres regards posés sur elle. C’est une éventualité fort possible, il faudra que je creuse la question.


Question creusée, Gérard creuse son trou comme on dit. Il est flagrant qu’il apprécie le rôle que je lui ai donné. Puisque c’est moi le metteur en scène, autant en profiter :



Néanmoins, elle s’exécute à toute vitesse, une fois que Gérard s’est retiré. À présent, c’est en levrette que ma femme se fait investir par cette autre queue. Elle se laisse aller sous le pistonnage féroce que Gérard lui inflige, dont les mains sont fermement rivées à ses hanches toutes blanches. Visiblement elle apprécie, et lui aussi. Moi, je suis spectateur de la scène, comme si je regardais un film, mais en mieux.


Peut-être que ce sera le cas de la télévision du futur qui sera plus immersive…



J’essaye d’y mettre un maximum de conviction :



En tout cas, en ce qui concerne la conviction, Gérard est à fond dedans. Du coin de l’œil, je vois à ses grimaces qu’il s’empêche de parler. En contrepartie, il grogne de temps à autre, ce que je fais moi-même en pareil cas.


Oui, l’illusion reste parfaite.


Bénédicte agite furieusement ses doigts sur son clitoris en feu, tout en poussant de nombreux gémissements. Derrière elle, Gérard donne le meilleur de lui-même. Lequel des deux cédera en premier ?



N’en pouvant plus, tétanisé, ses mains toujours rivées aux hanches pleines, Gérard se vide en grandes saccades dans ma femme qui l’accompagne presque aussitôt dans la jouissance.



J’ai la curieuse et fugace impression que mon remplaçant est en train de marquer son territoire en envahissant complètement ma femme, la possédant entièrement, elle rien que pour lui, en expulsant un tsunami de sperme pour tapisser les moindres recoins du vagin offert.




Conclusion



Gérard profitera encore deux fois de ma femme, qui se laisse faire sans complexe, comme s’il n’y avait pas de spectateur. Bien qu’au départ elle n’était pas chaude, devenue bouillante, Bénédicte jouit totalement de la situation dans tous les sens du terme.


Toujours cette double question qui me tarabusque de temps à autre :


•  Ma femme pense-t-elle qu’elle baise avec moi ?

• Baise-t-elle consciemment avec un autre homme, profitant de mon accord ?


Il commence à se faire tard, la séance a duré un peu plus que prévu. Je ne vais pas me plaindre. D’ailleurs, Gérard et Bénédicte sont du même avis que moi.


Comme le dit la maxime bien connue, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. De ce fait, comme il va bientôt être l’heure de partir et comme il convient aussi de revenir à la normale, je lève l’interdiction qui plane depuis le début de cette soirée :



Puis j’ajoute précipitamment à l’adresse de ma femme qui lève les mains :



Puisqu’il peut à présent parler, Gérard en profite pour féliciter ma femme :



Malgré le bandeau qui cache une partie de son visage, il est flagrant que ma femme rougit :



La phrase est assez ambiguë, je suis certain que Gérard l’a fait exprès. Revient alors le doute : si ma femme ne sait pas, ça reste un compliment sur l’exhib qu’elle a fait ce soir. Si ma femme sait, cette félicitation prend un tout autre sens.



Connaissant ma femme, elle vient d’avouer à mots couverts : moi, ça me plairait bien. Du moins, c’est comme ça que je l’interprète. Mais peut-être que je m’avance trop…


Après avoir dit bonsoir à Gérard, ma femme lui ayant fait la bise, nous sommes revenus à la maison. Avachie sur son siège, les yeux toujours bandés, Bénédicte n’a rien dit durant tout le trajet, comme perdue dans ses propres pensées, partie dans un autre monde, à moitié somnolente. De mon côté, j’étais à la fois ravi et déçu.


Ravi que ma femme se libère, ce qui offre bien de nouvelles perspectives, de lendemains et surtout de nuits enchanteresses. Vivre avec une salope, c’est… comment dire… libérateur…


Déçu, sans savoir mettre exactement le doigt sur le pourquoi du comment. Le fait que ma femme s’est vraiment lâchée avec un inconnu ? Le fait d’avoir concrétisé quelque chose qui me faisait fantasmer depuis si longtemps ? Le syndrome du cosmonaute ?


Arrivés à bon port, je n’ôte toujours pas le bandeau des yeux de Bénédicte, j’empêche même ma femme de le faire :



Je conduis Bénédicte directement dans notre chambre, puis c’est à mon tour de m’envoyer en l’air avec ma femme, ma nouvelle salope de femme, elle qui vient de franchir un nouveau pont pour aller s’aventurer dans une terre inconnue dans laquelle je me ferais un plaisir de la dévergonder encore plus.


Car c’est mon fantasme depuis si longtemps…