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Temps de lecture estimé : 9 mn
01/10/22
Résumé:  Mon ennuyeuse carrière de serveur connaît un apogée inattendu lorsque je retombe sur une ex délurée. Elle n’est autre que la femme du patron du plus grand groupe pétrolier du pays…
Critères:  fh extracon nympho -occasion -bourge
Auteur : Saphyxj      Envoi mini-message

Série : La femme du boss

Chapitre 01
La femme du boss

Chemise blanche, cravate noire et pantalon sombre… c’est reparti pour une soirée de service !


Dix ans que je fais le pingouin dans des soirées guindées où l’odeur de l’argent est plus forte que celui des petits fours (pourtant fort délicieux) que je distribue parmi les convives. Ce soir, le patron a été clair, c’est LA soirée de l’année. Talto met son drink annuel :


• 1500 convives, la crème de la crème, dont le big boss de la firme ;

• 100 serveuses et serveurs, les meilleurs a priori ;

• des centaines de bouteilles de Veuve Clicquot.


Bref, LA soirée !


Récompense de mes années de service, j’aurai l’honneur de servir le patron de Talto et ses plus proches conseillers. À défaut d’être drôle, la soirée annonce de beaux pourboires et quelques rinçages d’œil car c’est souvent dans ces soirées-là que ces dames enfilent leurs plus beaux apparats.


Après le deuxième passage auprès du pétrolier en chef, je constate qu’il n’a pas daigné m’accorder un seul regard. Par contre, j’ai remarqué la petite blonde qui était à ses côtés. Elle doit mesurer un mètre soixante-cinq, elle est fine, la coupe au carré, elle a un joli postérieur et un décolleté discret très mignon. Mais au-delà de la beauté de la dame, c’est son visage qui me dit quelque chose. Je reste à réfléchir en la regardant de loin quand Omar me sort de ma rêverie :



Omar, c’est le genre de mec sur lequel les femmes se retournent : grand black d’un mètre quatre-vingt-dix, des épaules de déménageur, un sourire à la Omar Sy et des mains de pianiste d’une dextérité incroyable.


« Putain, c’est Caro ! » me dis-je.


Oui, c’est elle. On était dans le même lycée. À l’époque, elle avait une réputation de chaudasse sous ses airs de catho coincée. On lui aurait donné le Bon Dieu sans confession, mais en fait, c’est elle qui prenait les queues sans concession.



Je repars le plateau plein alors que le patron entame son discours. Tous ses affidés se mettent aux premières loges pour boire ses paroles. Caro, elle, se tient plus à l’écart avec d’autres épouses de responsables (ha, oui, le secteur pétrolier doit être l’un des plus conservateurs qui soient). Je m’approche, les sers toutes avant de me tourner vers elle :



Elle a manifestement bien du mal à me reconnaître, mais j’insiste :



Le franc semble tomber. Il fallait bien vu qu’on avait eu quelques petites aventures ensemble. Caro n’a pas été mon premier émoi, non, mais elle constituait ma révélation. On avait 16-17 ans, peu d’expérience, mais elle avait une passion sexuelle débordante et insatiable. Ma première pipe, c’est elle ! Première levrette, encore elle ! Premier 69, toujours elle ! Avant Caro, le sexe n’était qu’une suite d’éjaculations sans préliminaires ni honneurs. Cela se pratiquait dans le noir et sans découverte du corps. Sa rencontre fut platonique, certes, mais une véritable révolution sexuelle.


Elle avait une réputation (et j’avais la mienne : « bite intéressante, mais ne sait pas s’en servir ») qui m’excitait terriblement. On était dans la même classe et elle n’ignorait pas que je la regardais sans cesse, elle devait se douter qu’elle était l’objet de mes fantasmes nocturnes. Combien de fois n’avais-je pas rêvé d’elle, la bite à la main ? J’étais alors évidemment doué et la faisais jouir en la prenant contre le tableau noir.


Je savais aussi qu’elle aimait qu’on lui parle directement. Alors un jour, entre deux cours, j’y allais franco, mon courage à deux mains mais une bite bien en berne pour l’occasion.



Elle a d’abord bien rigolé. Puis a répondu :



Nouveau rire. Elle m’avait alors embarqué dans une toilette du 2e étage au bout d’un couloir peu fréquenté. Elle m’avait plaqué au mur, baissé le pantalon avant de me branler doucement.



Elle me susurrait à l’oreille. Le doux son de sa voix et sa main qui me caressait lentement étaient une exquise damnation.



Ces quelques mots m’avaient achevé. C’était alors le plus gros jet de ma courte expérience sexuelle. Elle m’avait ensuite embrassé :



Les choses étaient claires.


Les mois passaient et je comprenais progressivement ce qu’était la nymphomanie. Et alors qu’elle commençait à me parler de plan à trois ou de sodomie, mes parents m’ont parlé de déménagement…



Retour à la réalité. Et à Caro qui se tient là devant moi. Avec une beauté et une élégance toute bourgeoise.


Je lui propose d’aller griller une cigarette sur le balcon de l’étage pour discuter tranquillement. Du moins, aussitôt qu’une pause se profilera.



Elle n’hésite pas et m’emmène en tirant sur la manche de mon costume. Je manque de faire tomber mon plateau mais, dix ans de service, ça vous apprend à gérer les situations délicates. Discrètement, j’appelle Omar et lui demande de me remplacer cinq minutes, le temps d’une cigarette, donc.


L’étage est vide, seuls les serveurs viennent ici pour se changer, déposer leurs affaires et leurs sacs. Il y a un grand salon avec quelques divans. Il donne sur un grand balcon derrière une double porte vitrée.


Caro est vraiment séduisante ! Son rouge à lèvre rouge vif est une invitation au baiser ; son mascara, un appel au tête-à-tête ; son chemisier rouge décolleté, une convocation à lui empoigner les seins.


Elle me tend une cigarette :



Elle tire une taffe, une grande inspiration et commence un récit qui sent le regret. Manifestement, le gars était séduisant au début. Elle était heureuse, en vie et au lit, elle travaillait comme avocate au début puis il lui a demandé d’arrêter pour mieux s’occuper de la maison. Elle a accepté par amour, elle a rapidement regretté mais aujourd’hui elle n’ose pas le divorce, sa situation serait financièrement compliquée et redevenir avocate après six ans d’arrêt s’annonce très difficile.



Elle retrouve le sourire.



Et là, ça sort tout seul :



Oups… je me rends compte de ma gaffe. Mais, ouf, elle éclate de rire et m’adresse un clin d’œil.

Pour mieux compatir, je lui demande :



Manifestement oui, les rapports sexuels (elle commence par là) sont passés de plusieurs fois par jour à une fois par semaine, puis par mois, puis très rares. Monsieur Talto serait devenu ennuyant au fur et à mesure de sa progression dans sa boîte.



Comme un con, je lui réponds :



Elle rigole :



Elle me regarde droit dans les yeux. Elle s’approche et me roule une pelle monumentale.



Je me sens à nouveau ado, perdu devant l’immensité d’une femme fatale. Mon cœur bat plus vite, plus fort. Des années d’expérience en plus n’ont rien changé, Caro est restée pour moi l’idéal féminin. J’en reste tellement bouche bée que c’est elle qui prend les choses en main.


Elle a manifestement très faim et la ceinture est vite retirée, le pantalon à mes chevilles, le tout toujours en me regardant droit dans les yeux. Elle n’a rien perdu de sa dextérité légendaire.



Elle ne perd pas plus de temps et me branle. Doucement d’abord, d’une main pendant que l’autre retire ma cravate et déboutonne ma chemise. Elle plonge à nouveau sa langue dans ma bouche avant de descendre, d’embrasser un téton (elle a toujours su que c’était mon point faible) et de gober ma queue. Sa langue me lèche, part de mes couilles pour finir au sommet du gland puis redescendre. Elle avale ensuite littéralement mon gland, sa main droite suit son mouvement de tête.


Il m’aura fallu quelques instants pour reprendre conscience, pour ne plus juste l’admirer mais participer.



À l’époque déjà, elle aimait les mots crus.


Je place mes mains derrière sa tête et augmente l’amplitude de son mouvement, la force contre mon bas-ventre et la sens à la limite d’étouffer. Je relâche la prise, sa langue tourne autour de mon gland, son index droit s’aventure au tour de la raie de mes fesses. Elle sensibilise mon trou. À ce rythme-là, je ne tiendrai pas !


Soudain me voilà sauvé par le gong, c’est son téléphone qui sonne. La sonnerie attribuée à son mari visiblement. Elle lâche ma queue.



Caro se redresse, fait quelques pas vers son sac pour saisir le téléphone. J’ai l’air con, la bite à l’air, hyper excité. C’est l’occasion de reprendre des forces.


Caro est appuyée contre le mur, répond tout en levant les yeux au ciel l’air de dire : « Même quand je baise, il m’emmerde, celui-là ! »


La situation me fait sourire. J’en profite pour m’approcher, faire glisser sa jupe le long de ses cuisses et commence à lui caresser les jambes. Chacune de mes mains monte depuis ses chevilles jusqu’à ses fesses, avant d’empoigner son cul. Son tanga rouge rejoint sa jupe. Et à mon tour, comme un mort de faim, je me jette sur son mont de Vénus. Son excitation augmente, elle mordille sa lèvre inférieure, ses phrases se font plus courtes et pendant qu’elle promet à son mari d’arriver après s’être refait une beauté aux toilettes, j’aspire son clito. Elle raccroche, laisse tomber son téléphone et m’ordonne :



Je sens que sa respiration s’accélère. Elle est hyper chaude, cette salope, quel abruti, son mec ! Son clito est hyper gonflé et sensible, au moindre passage de ma langue je sens son bassin se cambrer.



Elle n’en peut plus d’attendre. Et ce que madame la patronne exige, madame la patronne obtient. Je lui obéis, me relève, fouille dans la poche de ma veste pour une capote.



Serveur jusqu’au bout… je la place face au mur et viens vite la pénétrer par-derrière.


Je place une main sur sa bouche pour qu’elle évite de crier et d’attirer l’attention. Mon autre main masse sa poitrine au travers du chemisier et du soutien. Je sens que ça vient déjà, je ralentis, relâche ma proie.


C’est elle qui prend alors les choses en main, me pousse sur un divan et vient s’asseoir sur moi. Elle saute sur mon chibre. Je lui administre une magnifique fessée :



Elle a de plus en plus de mal à parler, ses yeux se ferment, elle se concentre sur son plaisir. Ses ongles sont en train de martyriser mes épaules. Je lâche la purée.



Pas le temps pour elle de rester pour une deuxième cigarette.



Elle se lève et se rhabille avec élégance. Il est déjà loin l’animal qui me sautait dessus.

Elle enlève alors sa culotte pour la fourrer dans la poche de mon pantalon de costume.



Elle rigole, m’adresse un clin d’œil et repart en exagérant le mouvement de ses hanches.

Je me resape vite fait. Faut absolument que j’en touche un mot à Omar. C’est peut-être le meilleur service de ma carrière…



À continuer… ?