n° 21198 | Fiche technique | 40649 caractères | 40649Temps de lecture estimé : 25 mn | 03/10/22 |
Résumé: Rencontre avec une travestie | ||||
Critères: hh hbi jeunes hépilé hotel lingerie hféminisé travesti trans hsodo québec -travesti | ||||
Auteur : Uncut Envoi mini-message |
J’ai 56 ans mais je ne fais pas mon âge. Je suis marié à une femme extraordinaire, elle comble ma vie à tous les points de vue. Sauf, que je suis bisexuel, et comme un vampire qui a besoin de sang, moi j’ai besoin de ma dose de sperme.
Évidemment, je ne baise pas souvent avec des hommes. Manque d’occasion, et trouver un partenaire marié ou en couple qui soit bisexuel n’est pas évident. Avec l’internet, je peux soulager mes fantasmes en regardant des sites pornos. Ma femme le sait, mais elle ne sait pas que je visite plus souvent les sites gay.
Voilà comment débute mon histoire incroyable. Je suis souvent seul à la maison, ma femme travaille souvent le soir, et là, je découvre un chat avec rencontres. Je m’abonne, c’est gratuit. On peut échanger avec d’autres hommes bisexuels et faire des rencontres. Je me suis rendu compte que je n’étais pas le seul homme avec des aventures homosexuelles. On peut échanger des photos et même se voir avec des caméras.
À 56 ans, je suis en forme, je vais au gymnase régulièrement, pour me tenir en forme certes, mais aussi pour y voir des gars nus. Quand j’avais la trentaine, dans un gym, j’avais rencontré un gars. On a été amant durant deux ans, lui aussi étant marié, c’était le match parfait, mais ça, c’est une autre histoire.
Un peu plus tard, j’avais la quarantaine, et j’avais été dans un sauna pour hommes. Je n’avais pas trop aimé, alors je n’y ai jamais retourné. Avec ce chat, je pouvais raconter ma vie et mes expériences. Mon expérience dans le domaine homosexuel est longue puisque j’ai commencé dès ma puberté avec des garçons et aussi des hommes.
Chose intéressante, sur le chat, mes chateurs avaient bien souvent eux aussi débuté jeunes. Était-ce vrai ? Peut-être pas, mais l’intensité de la conversation me permettait de bander et d’éjaculer, même deux fois de suite. C’est vrai, et sans me vanter, j’ai une forte libido.
Mon travail consiste à rencontrer des clients un peu partout dans la province, donc je suis souvent sur la route et je couche dans des motels et hôtels. J’ai toujours mon ordinateur portable avec moi, c’est utile pour mon travail et aussi pour mes conversations de clavardage dont je suis devenu addict.
Un soir que je suis chez moi, je clavarde avec un habitué avec lequel on se masturbe virtuellement. Je reçois un message d’un nommé PO, je clique et je lis le message :
Bonsoir ! J’ai lu ton profil et tu m’intéresses !
Je réponds :
Parfait ! Viens me rejoindre en privé !
Notre conversation va bon train, j’apprends qu’il est étudiant et qu’il vit à Québec pour l’instant car il est de Nantes en France. J’apprends que lui aussi il a commencé à sa puberté avec les garçons. Il me dit aussi qu’il aime les hommes d’âge mûr aux cheveux poivre et sel, en forme, c’est-à-dire sans bedon, c’est tout à fait moi. Je lui confie des choses intimes me concernant, surtout mes débuts quand j’étais adolescent, et il me dit :
Notre conversation se termine avec l’éjaculation de part et d’autre. Avait-il éjaculé, peut-être, mais moi je me souviens d’avoir éjaculé très fort ce soir-là. Chaque jour ou presque, on clavarde tous les deux, on échange nos expériences sexuelles et il m’avoue ceci :
Me voilà un peu perplexe, je me dis « bon ! En v’la un autre ! » >Mais, je suis curieux et je l’interroge.
Je suis encore plus perplexe, mais à la fois excité et intrigué. Un de mes fantasmes est de baiser avec une « shemale » ou une « lady boy » comme il en existe en Thaïlande. Des beaux jeunes à peine adultes au corps féminin avec de belles fesses toutes bombées.
Je reçois un fichier, j’ouvre le fichier et c’est une photo qui montre un corps des épaules aux genoux. La peau est claire, lisse et imberbe, de beaux petits mamelons rose foncé, il a une taille fine, des hanches arrondies, un piercing qui montre un petit bijou au nombril et je vois un sexe en érection d’au moins 18 à 20 centimètres avec un prépuce qui enveloppe un gland bien dessiné sous la mince peau claire et qui montre seulement la petite fente du méat. Ses cuisses sont fuselées et serrées l’une contre l’autre. Mon cœur bat la chamade.
Je lui envoie une photo de moi du nombril aux genoux que je garde dans un fichier secret.
Je reçois un autre fichier de lui. J’ouvre et c’est une photo du bas du dos aux genoux. C’est à s’y méprendre, on aurait dit des fesses de femmes.
Je me masturbe tout en lui échangeant des promesses que je vais lui faire subir. Je suis profondément excité et je veux que cela arrive à tout prix. J’ai éjaculé deux fois ce soir-là en clavardant avec lui ! Avant que je quitte l’ordinateur, il me dit qu’il sera difficile de le rejoindre durant la semaine, car il doit travailler et étudier.
Durant la semaine, chaque soir je regardais les photos de mon nouvel amant, enfin, peut-être, que je me disais. Je craignais qu’il me pose un lapin. Je lui avais dit que j’étais pour être dans un hôtel du centre-ville vers midi et que j’étais pour lui indiquer le numéro de ma chambre par courriel.
Je suis enfin arrivé à mon hôtel et je m’empresse de lui envoyer le numéro de ma chambre qui était une petite suite vraiment bien avec un grand lit. Je ne reçois pas de message, j’attends et je sens la frustration monter en moi « je me suis fait berner ! » Puis, le son que fait mon ordinateur quand je reçois un message retenti. « C’est lui ! » Eh non, c’était mon bureau. « Merde ! » Je reçois un autre message.
Coucou c’est moi ! PO, je suis tout près, j’arrive !
Je ne tiens plus en place, je marche, je fais les cent pas. J’ai le visage rouge, mon cœur palpite, je me regarde, je me peigne, j’enlève ma cravate, puis non, je la remets, ma queue prend la place dans mes culottes, je ne suis pas bandé, mais presque. Le temps me semble interminable, j’ouvre une des bouteilles de vin rouge, qui doit coûter une fortune, mais je m’en fous.
Après de longues minutes qui n’en finissaient plus, on frappe délicatement à la porte. J’ouvre et un jeune homme se tient là, avec un petit sourire qui montre des dents blanches et parfaitement disposées comme les publicités de dentifrices. Il doit mesurer 1,80 m comme moi, il porte un blouson de cuir, un chandail noir à col roulé et un jeans noir. Il a les épaules étroites, un visage mince, une chevelure noire bouclée, des yeux azurés habillés de longs cils, il a des pommettes saillantes qui lui servent de joues, un petit nez fin en trompette et des lèvres pulpeuses. Il me tend une main fine et étroite.
Je le fais passer devant moi et je referme la porte. Je remarque ses petites fesses rebondies dans son jeans serré. Il semble aussi mal à l’aise que moi. Je passe devant lui et je tape les côtés de mes cuisses en disant :
Il me dévisage avec son splendide sourire et dit :
Il pose son sac à dos sur le lit et prend la coupe qu’il cogne à la mienne. Il regarde la chambre en buvant sa coupe et moi je le regarde de la tête aux pieds. Il a de longues jambes, de dos, on dirait une femme. On boit nos coupes sans rien dire, puis il dit :
Il se lève et il s’approche de moi. Il me regarde droit dans les yeux, je suis figé. Il penche la tête et pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue douce et fraîche tournoie lentement autour de la mienne, son corps se blottit contre le mien. Le court baiser m’électrocute, il décolle ses lèvres et il me regarde avec son splendide sourire et dit :
Il prend son sac à dos et il me regarde avant de disparaître dans la salle de bain. Je me verse une autre coupe dont je bois d’un trait. Je ferme les rideaux et j’ouvre la télé et une petite lampe dans le coin de la pièce. Encore une fois, je ne tiens plus en place, je pense à ma journée de travail et je décide de canceller mon rendez-vous et le souper. Je ne sais pas quoi faire, je me déshabille et je me couche à poil sur le lit ? Ou, j’attends la suite sagement ? J’attends.
Je passe ma main entre mes cuisses, je suis bandé et je pense à ses fesses. J’entends la douche couler, je marche de long en large, tout vibre en moi, je me dis « calme-toi ! Tu es au bord de la syncope ! Tout va aller bien ! Sois toi-même ! Ce n’est pas la première fois que tu vas coucher avec un mec. » Et je pense à ma jeunesse et aux aventures que j’ai eues, et la façon dont je me comportais avec les hommes. J’ai toujours été confiant et fier de moi, mais là, j’avais des doutes.
Je me dis « mais qu’est-ce qu’il fait ? Ça fait une demi-heure qui est là-dedans ! » Je frappe doucement à la porte de la salle de bain.
On aurait dit ma femme qui me dit toujours « cinq minutes ! » En réalité cinq minutes c’est quinze minutes. Je retourne m’asseoir sur le lit et je regarde la télé sans vraiment prêter attention. Puis, la porte s’ouvre, je vois une femme, une grande femme, je suis sur le cul, je suis bouche bée, sans mot. Il porte une perruque noire avec des cheveux aux épaules, il est maquillé avec des ombres à paupières, ses pommettes sont encore plus saillantes, des lèvres encore plus pulpeuses, couleur de fraise. Son cou est élancé, je ne l’avais pas remarqué avec son col roulé et il a un choker noir autour du cou.
Il porte une nuisette noire transparente qui laisse voir un soutif noir avec sûrement des prothèses car je n’avais pas remarqué s’il avait des seins. Sa taille est fine et je vois briller un petit bijou à son nombril. Il a une mince culotte en dentelle noire, je distingue son sexe camouflé entre ses belles et longues cuisses qui sont habillées de bas noirs avec un porte-jarretelles. Il a aux pieds des souliers à talons aiguilles qui allongent ses jambes à n’en plus finir. Elle est magnifique, enfin, il est magnifique.
Je suis muet et je vois dans son regard une interrogation.
Son sourire éclatant revit et ses yeux brillent. Il se retourne dans un mouvement lent et très efféminé, comme s’il posait. Je vois que sa petite culotte n’est qu’un string qui met en valeur ses belles fesses bombées et délicieusement charnues.
Elle s’approche dans une démarche féline et se place entre mes jambes. Je mets mes mains sur ses cuisses et je caresse le nylon.
Je suis excité mais un peu inquiet, son regard n’est plus le même, il est différent. Seules les femmes ont ce regard qui transperce l’âme, je suis encore plus intimidé. Sa sœur l’habite vraiment, cela fait peur, mais à la fois c’est exaltant. Je n’ai pas un homme devant moi, mais une femme, même si je vois son sexe qui a pris du volume et qui ne demande pas mieux de se déplier.
Je mets mes mains sous la nuisette et je caresse sa taille et avec mes pouces je caresse son bas ventre.
Je soulève la nuisette et je bécote son bas-ventre en lui caressant les fesses.
Je me lève et elle est plus grande que moi à cause de ses talons. Je l’enlace dans mes bras et la presse sur moi. Je sens son sexe dur juste au-dessus du mien et je l’embrasse d’un fougueux baiser. À part de son sexe que je sens, j’ai vivement l’impression d’embrasser une femme. Ça me fait tout drôle, car je n’ai pas l’habitude d’embrasser les hommes, et du même coup, je n’ai pas l’impression de tromper ma femme avec une autre femme.
Je m’assois de nouveau sur le lit et je lui fais enlever sa nuisette. Je suis ébloui par la beauté de son corps, ses hanches sont rondes et harmonieuses, une vraie femme. Je vois sa queue qui s’est libérée de son entrecuisse, elle est sur le côté soulevant un peu la petite culotte de dentelle. Je bécote son sexe et je sens la douceur de sa peau au travers de la dentelle. Je suis si émerveillé que je n’ose pas baisser sa petite culotte. Puis, doucement, elle met ses pouces de chaque côté de la mince petite culotte et elle la baisse tout doucement.
J’entends le froissement que fait le petit vêtement sur sa peau lisse et parfumée. Son sexe se dresse sous mon nez, j’ouvre la bouche et j’avale les 19 centimètres de chair pâle qui me sont offerts. Son gland se décalotte au fond de ma gorge et mon nez s’écrase sur son pubis. Elle fait « hôôôô ! » Je retire doucement sa queue de ma bouche en étirant la peau de son prépuce par la succion. Je soulève sa queue et je lèche et suce un à un ses fragiles testicules dans un petit sac de chair rosé.
Je la couche sur le lit en la retenant et je la dépose. Je me déshabille devant elle qui espionne du regard mes gestes. Elle ouvre les cuisses et elle se caresse sans gêne devant moi. Je suis nu devant elle et elle m’invite entre ses cuisses. Elle m’enfonce sa langue dans ma bouche et j’embarque sur elle. Nos queues s’amusent à se caresser, mais je dois me soulever car je suis au bord de l’éjaculation, ce qui fait sourire Mimi.
Je suis debout au pied du lit et elle s’assoit tout en demeurant les cuisses écartées. Elle saisit ma queue et avec son bout de langue tout rose, elle s’introduit dans mon long prépuce.
Elle avale ma queue et elle aussi elle est une adepte de gorge profonde. Mon gland se décalotte dans sa gorge, je sors de sa bouche, ma queue vacille, je suis au bord de l’éjaculation ce qui la fait sourire.
J’embarque dans le lit et je me couche sur le dos, sans hésiter, elle enfourche mon torse me laissant voir son magnifique cul sans poil, elle se place et elle est déjà à l’œuvre, elle me bouffe les couilles. Je la prends sur le côté de ses cuisses pour l’approcher de ma bouche, je vois le fond de sa raie profonde, elle est épilée là aussi, son anus rose est ouvert, c’est trop invitant, je loge ma langue dans le doux sillon de chair. Ma queue se fait bouffer, elle écarte d’une main un lobe de fesse, j’introduis ma langue dans le chaud orifice anal. Elle me suce plus fort, elle roule des hanches pour bien savourer ma langue dans son joli cul.
Étrangement, elle me fait penser à moi quand j’étais adolescent et jeune homme. Je me dandinais comme ça sur la langue de mon partenaire sexuel. Mais, même si c’est excitant de lui bouffer le cul, je l’invite à me présenter sa queue que j’avale. Je glisse mon majeur dans sa chair et elle m’en fait autant. Autant elle que moi, nous sentons la sève monter, on se suce à s’arracher la queue. Puis, on se lamente tous les deux. Je ne sais pas si c’est elle ou moi qui ai éjaculé le premier, du moins, on se suivait d’une fraction de seconde. Elle avalait tout aussi gloutonnement que moi la sève crémeuse de nos fluides de mâles.
La tempête de jouissance passée, elle dit en me bécotant la queue :
Voilà la différence d’âge, jeune j’étais comme lui, insatiable et toujours bandé. Ma queue n’était pas tout à fait débandée, mais je la sentais plus molle.
Il se retourne et me regarde avec un large sourire et des yeux scintillants. Je crois que je venais de lui faire plaisir.
Elle descend de moi pour se mettre à plat ventre sur le lit tout en faisant bomber ses fesses. Ses reins sont creusés, mettant en valeur ses fesses d’une rondeur parfaite. Je place un oreiller sous ses hanches, c’est comme ça que je me faisais bouffer les fesses, c’est plus confortable. Elle est tout écartelée, je suis entre ses cuisses et je flatte ses fesses comme si c’était un trésor.
Je me mets à bécoter ses fesses ne laissant aucun centimètre de peau que mes lèvres n’aient bécoté. Puis, je lèche les rondeurs fessières comme on lèche le fond d’une assiette. Pour ma part, dans l’acte sexuel, c’est ce que je préfère, bouffer une belle paire de fesses, que ce soit un homme ou une femme. Je lèche de toute la largeur de ma langue, sa raie si profonde et si largement écartelée par mes mains qui saisissent à plein ses belles petites fesses toutes rondes.
Je prends mon temps pour bien humecter et titiller du bout de ma langue la petite fente plissée et d’un rose tendre. Je glisse mon visage plus bas et je lèche sa queue qui est sous lui bien étendue et bien disposée entre ses cuisses. Du pointu de ma langue, je torture de plaisir les contours de son gland. Je reviens entre ses fesses et j’embrasse de plusieurs bécots mouillés son anus qui s’ouvre comme une fleur.
Je ne sais qui de lui ou de moi est le plus excité. Je le vois saisir à pleine main les draps du lit et relever les fesses comme une chatte en chaleur. Je l’entends geindre dans des sons de plaisir étouffés dans l’autre oreiller. Je ne sais pas combien de temps j’ai torturé de plaisir cette belle paire de fesses. Le temps m’importait peu et je crois que pour lui aussi, enfin elle.
Tout en lui roulant des patins dans son cul, je pensais que ce jeune homme avait des problèmes de dédoublement de la personnalité. Était-il vraiment habité par sa sœur jumelle décédée, ou bien ses parents en avaient-ils fait une fille ? Je ne sais pas, mais là, j’en profitais et j’avais bien l’intention que cette nouvelle relation perdure.
Elle se met à quatre pattes sur les genoux m’offrant encore plus son beau petit cul. Je frotte mon gland sur son anus et je demande :
Elle se retourne et se couche sur le dos, tout écartelée, et elle défait son soutien-gorge. Évidemment, il n’y a pas de seins, mais elle se caresse la poitrine comme font les femmes. Je suce et je mordille chacun de ses petits mamelons roses. Je vais chercher le tube de lubrifiant qui est juste sur la commode. J’enduis son trou sous ses couilles et, en soulevant ses fesses, mes deux doigts entrent facilement dans l’antre chaud. Je m’étends sur lui, enfin elle, nos queues se cherchent et se touchent. Nos bouches se soudent l’une à l’autre, et allongeant sa main sous moi, elle saisit ma queue et la guide entre ses fesses relevées. Mon gland s’enfonce dans un écrin de velours et arrête sa course bien au fond. Elle fait un long « mmmmmmmmmmm ! ».
Je commence ma fornication, sa bouche suce ma langue et elle a ses deux mains bien empoignées sur mes fesses. Elle (il) bouge autant que moi, son excitation est exaltante à vivre. Je la sens jouir, elle a la bouche ouverte, elle ne me suce plus la langue. Je sens une chaleur sur mon ventre, et c’est le coup de grâce pour moi, je jouis et je me vide dans son ventre. Tous les deux, nous sommes aux prises avec un violent orgasme, on n’en finit plus de jouir.
Excité et fidèle à moi-même, je me glisse la figure entre ses cuisses et je lèche le sperme qui s’écoule de son anus d’amour. J’ai toujours aimé faire ça, j’adore la saveur de mon sperme qui sort d’un trou, soit d’une chatte ou soit d’un anus. Ma femme me dit que je suis un dépravé et je suis très d’accord avec elle. Je lèche maintenant son sperme qui est étendu sur son tendre petit ventre.
Je continue mon nettoyage surtout entre ses fesses, elle tient sa queue en l’étirant et elle me regarde faire en souriant. Tout en continuant à lécher, je lui demande :
Elle se lève et va vers la petite table ronde pour récupérer le menu aux chambres. J’ai une vision de rêve, elle est dos à moi avec son porte-jarretelles et ses bas noirs. Sa taille fine comme un mannequin de mode, ses fesses rebondies encore luisantes de ma salive, jamais je n’oublierais cette image.
Elle me regarde avec un air inquiet.
Elle se lance à genoux dans le lit.
Elle rit d’un rire doux et charmant.
Trente minutes plus tard, elle sort de la salle de bain. Elle a remis son soutien-gorge avec ses faux seins et son col roulé, elle avait une petite jupe courte en cuir noir laissant voir ses longues cuisses habillées d’un bas noir et ses talons. Elle avait retouché son maquillage, elle était magnifique.
On quitte la chambre et on marche en direction de l’ascenseur. Elle est plus grande que moi, mais ça ne me dérange pas. On se voit dans une glace et elle dit :
Je ne dis rien, sauf que je souris.
Dans l’ascenseur, elle me dit qu’elle est super nerveuse et elle me fait toucher à ses mains qui sont moites. La porte s’ouvre, on est au lobby et on se dirige vers le restaurant qui est tout au fond du lobby. On marche et elle regarde furtivement les gens. Elle me dit à l’oreille :
Je perçois une rougeur qui tint ses joues. On arrive devant le restaurant et un homme se tient devant un lutrin. C’est le maître D qui dit :
Je hoche la tête et on nous indique une table tout au fond du restaurant près de la fenêtre qui donne sur la rue. On s’assoit et Mimi fait cela avec une grande féminité. On nous donne les menus et le maître D retourne à son lutrin.
Il y a des yeux qui nous scrutent mais sans plus, pour moi, je suis avec une très belle jeune femme et je dois faire l’envie de beaucoup d’hommes. Une serveuse arrive et nous demande si on veut boire quelque chose. Je dis :
Je vois les yeux de Mimi scintiller de joie. La serveuse repart et Mimi se penche en me tenant la main :
On boit le champagne et on mange un poisson et je me souviens qu’elle n’avait jamais mangé du doré. On termine le repas et on repart pour la chambre. Mimi est un peu pompette et rit en éclat d’un rire clair. Dans l’ascenseur, je lui dis :
Elle ne dit rien mais elle m’embrasse d’un fougueux baiser. Je passe ma main sous sa jupe et je sens la dureté de sa queue repliée entre ses cuisses chaudes.
On entre dans la chambre et elle me dit :
Ma queue gonfle dans mon pantalon. Je me fous à poil et je me glisse sous la couverture et j’attends. La porte de la salle de bain s’ouvre et je vois Pierre-Olivier sortir. Il est en string blanc et il se place au pied du lit et il me regarde et il voit mon air décontenancé.
J’ouvre la couverture et je me montre tout nu avec une queue tout à fait splendide. Il vient se coucher à côté de moi et il vient pour enlever son string. Je stoppe son geste et je bécote sa bosse. Je hume son sexe au travers du fin tissu, je me gave les narines des effluves intimes. Lentement, je baisse la mince culotte, il soulève les fesses et je glisse le petit string hors de ses pieds. Je vois sa queue gonflée, couchée paresseusement sur le côté de son pelvis, le gland habillé de cette délicate peau qui lui sert de prépuce. Il monte un genou tout en écartant ses cuisses.
Il ne le savait pas, mais j’aurais toujours voulu un neveu à chérir, mais seulement en fantasme. Je me lance bouche ouverte sur le petit sac de chair rose. Je suce et lape ses délicieuses petites noisettes de chair. Il se soulève le bassin en s’écartelant au maximum. Ma langue glisse dans ce sillon qui m’est offert, c’est si excitant que je veux son sperme, et j’embouche sa queue. Je suce frénétiquement, je veux le faire jouir, je veux sa jouissance. Sa queue est dure comme une barre de fer, son gland va exploser, il ne me ralentit pas, il veut jouir.
Voilà, le sperme jaillit dans ma bouche, douce liqueur âpre, salée et poivrée à la fois, ses jets sont encore puissants quoiqu’il ait éjaculé plusieurs fois aujourd’hui, quelle merveille cette jeunesse effrontée. Il a tout juste terminé de jouir et moi de tout lécher et tout avaler, qu’il se déplace et me couche sur le dos. Il se place entre mes cuisses et il se met à me lécher les couilles. Il aime cela autant que moi et il me dévore les valseuses.
Sa langue est d’une douceur déconcertante. Je me soulève le bassin et il n’en fallait pas plus pour que sa langue pénètre mon intimité. Puis, il s’amuse à me mordiller ma longue peau de prépuce, il taquine la sensibilité de cette peau aux terminaisons électrisantes. Pour les non-circoncis, c’est une divine caresse. Voilà mon gland au fond de sa gorge, il me regarde avec ses yeux azurés, je vois ses lèvres pulpeuses roulées de bas en haut sur mon manche de chair aux veines bleutées et gonflées.
Je mets ma main sur sa tête et j’enfonce mon gland loin dans sa gorge et fornique sa bouche avec des coups de reins. Il le sent, il sait que je vais jouir et il est fébrile. « Hann ! » J’éjacule, il va et vient plus vite avec sa bouche et il aspire et boit mon jus d’amour. Il lèche ma queue qui se couche sur mon ventre, je me calme et je reprends ma respiration normale et il dit :
Je souris et pour jouer le jeu je réponds :
On rit tous les deux et on a parlé de Mimi, sa sœur qui l’habite. Il me disait comment il était heureux de se produire en femme et qu’il avait hâte de le communiquer à sa mère. Il m’a appris aussi qu’il devait retourner en France dans quelques mois, car il aurait terminé ses études ici. J’avais un petit pincement au cœur, mais je lui ai demandé s’il était d’accord pour continuer notre relation et il en était ravi.
On a dormi ensemble, lui avec ses petites fesses dures et fermes aux creux de mon bassin. Au matin, je me fais réveiller par Mimi. Elle avait remis perruque, maquillage et porte-jarretelles avec bas.
Elle est à cheval sur moi et elle me bécote le visage.
Je vais donc soulager ma vessie et quand je reviens, elle est à quatre pattes sur les genoux, cuisses largement écartelées, les fesses bien bombées. Je vois que son sexe est bien tendu sous elle. Je vais derrière elle et je lèche son cul qui est déjà distendu et ouvert comme une petite bouche. Je mets du lubrifiant et sans trop la faire attendre, j’entre ma queue dans la splendeur de ses fesses offertes. Elle se redresse et s’assoit sur mes cuisses avec ma queue bien au fond d’elle. C’est elle qui mène la cadence, je lèche le creux de son cou et je prends en main sa queue toute raide. Elle est haletante et gémissante, je sens qu’elle va jouir et moi aussi. Elle bouge bien en roulant ses hanches, elle va me faire jouir. C’est ce qu’il arrive, je jouis dans sa chair et je sens sur ma main la chaleur se son sperme qui s’écoule. Je la pousse par avant pour qu’elle se replace à quatre pattes et je mets mon visage entre ses fesses. J’aspire mon jus et je lèche tout en me masturbant vivement et rapidement. Je jouis de nouveau, en fait c’est la continuité de ma jouissance.
Après une douche commune, je fais venir un petit déjeuner à la chambre. On se quitte en se promettant de se revoir. Eh bien, on s’est revu et bien souvent. Je voulais profiter au maximum de cette étrange aventure. Mimi sortait plus souvent, je lui ai même acheté des robes, des souliers et des dessous affriolants. C’était drôle de voir les regards des vendeuses, je ne crois pas qu’elles se doutaient que c’était un homme, mais le fait qu’un homme aux cheveux poivre et sel accompagnait et payait pour une aussi jolie jeune femme. Parfois, elle s’asseyait au bar de l’hôtel et je la draguais, et évidemment, je partais avec elle sous les regards des hommes envieux.
Quant à Pierre-Olivier, on continuait à jouer au rôle d’oncle et de neveu incestueux. C’était amusant et très bandant. On se faisait des scénarios, comme je l’aidais à faire ses devoirs et il faisait tout pour me charmer. Une fois, il m’a sucé la queue dans ma voiture près d’un parc, comme si je l’avais incité à faire cela contre son gré. Bref, je vivais des beaux moments avec le frère et la sœur.
Comme il me l’avait annoncé, il retourna chez lui en France. Je suis demeuré en contact avec lui et elle de nombreux mois. Soudainement, plus de nouvelles, plus de contacts, plus rien. Je ne sais pas s’il est toujours vivant, j’étais inquiet pour sa santé, pour sa santé mentale surtout.
Je n’avais jamais vécu une telle chose, quand il me disait qu’il était habité par l’esprit de sa sœur j’étais incrédule. Peut-être que sa mère s’était aperçue de la chose et, pour ne pas interner son fils, a tout simplement encouragé cet esprit à vivre au travers de Pierre-Olivier, et je crois fermement que Mireille habitait le corps de Pierre-Olivier.