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Temps de lecture estimé : 20 mn
03/10/22
Résumé:  Quand une discussion sur l’achat d’un bien immobilier entraîne les protagonistes dans une soirée inoubliable.
Critères:  f h fh hh fhh hbi couple voir exhib lingerie ffontaine fmast caresses intermast fellation anulingus fist fdanus -occasion
Auteur : Lovefurs            Envoi mini-message

Série : L'agence immobilière

Chapitre 01 / 03
Un after-work inoubliable

Mes études d’ingénieur en travaux publics terminées depuis maintenant deux ans, je suis désormais cadre dans le groupe où j’ai effectué mon stage de fin d’études à Aix-en-Provence. Avec un salaire confortable pour un jeune homme de 25 ans, je profite pleinement de ma vie de célibataire. Ce célibat n’est pas un choix mais me convient très bien. Je ne m’interdis aucune relation. Que ce soit une amourette avec une étudiante, un coup d’un soir avec une fille rencontrée en boîte ou un cinq à sept avec l’assistante de ma DRH délaissée par son mari, tout est bon à prendre si tout le monde y trouve son compte. La dernière citée m’a d’ailleurs laissé entendre que mon mètre quatre-vingt-cinq à l’allure sportive, mes cheveux bruns et mon regard vert ne laissent pas indifférentes les mères de famille qui travaillent au siège de mon entreprise…


Sport, voyages aux quatre coins du monde, soirées plus ou moins sérieuses rythment mes temps libres. C’est d’ailleurs lors d’un after-works partagé avec des amis que j’ai fait la connaissance de Rodolphe. Rodolphe est un bel homme, la cinquantaine juste passée. Ses tempes grisonnantes ne font qu’accentuer son élégance naturelle. Son style jean, chaussures italiennes, chemise bleu ciel et veste de costume le rendent visuellement sympathique. Assis juste derrière moi et accompagné d’un couple de trentenaires, il n’a pu s’empêcher de m’interpeller en m’entendant parler de l’une de mes passions avec l’un de mes camarades : l’immobilier.


En effet, un héritage m’a permis de devenir propriétaire très jeune d’un bel appartement dans le centre d’Aix et mes revenus bien au-dessus de la moyenne des jeunes de ma génération m’invitent à réfléchir sérieusement à investir dans la pierre.



Afin de discuter de manière plus aisée, M. Keller et le couple de clients de celui-ci m’invitèrent à les rejoindre autour de leur petite table et m’offrir un cocktail de manière très conviviale. Après une bonne demi-heure à expliquer à Rodolphe Keller mon intention d’investir dans des locations de standing voire de luxe dans des destinations touristiques, celui-ci me confirma que si je le souhaitais, son agence immobilière était prête à travailler avec moi. M. et Mme Parissé, jusqu’ici plutôt discrets dans la conversation, insistèrent sur le fait que DRK Immobilier était une agence très sérieuse et le personnel aux petits soins pour les clients.


La soirée avançait, mes amis étaient déjà partis. J’allais prendre congé de mes hôtes en les remerciant de leur accueil à leur table lorsque Mme Parissé m’interrompit :



Xavier Parissé acquiesça en regardant son épouse puis en se tournant vers nous pour confirmer l’invitation. Rodolphe Keller déclina l’offre à regret en prétextant un rendez-vous très matinal le lendemain. Je m’apprêtai à répondre également par la négative quand Monsieur Parissé insista avant même que je n’aie pu dire un mot.


Rodolphe s’éclipsa en nous saluant et en me tendant sa carte de visite. Puis le couple Parissé et moi nous dirigeâmes vers le vestiaire. Dans l’obscurité du bar lounge, je n’avais pas fait attention à la beauté extraordinaire de Sonia Parissé. Je m’étais bien évidemment rendu-compte que cette grande métisse était très jolie mais son élégance et la classe de sa combinaison-pantalon noire et dorée la rendait véritablement très sexy. Je dois bien avouer que la regarder déambuler jusqu’au vestiaire ne me laisser pas indifférent. Et ce n’était rien comparé au moment où elle enfila le petit blouson en lapin blanc immaculé qu’elle venait de récupérer au vestiaire. Je m’empressai d’ailleurs de la complimenter sur son élégance et notamment son manteau de fourrure. Elle me sourit pour seule réponse.


Nous marchions dans la rue en discutant. Xavier et Sonia me racontaient leur achat et faisaient toujours plus d’éloges sur RDK Immobilier. Seul le claquement des hauts talons de Sonia venait perturber le silence des rues aixoises en ce début de nuit de décembre. La lueur des lampadaires venait jouer tour à tour avec la fourrure de son blouson dessinant des ombres dans lesquelles j’avais envie de plonger mes mains.


Au bout d’une quinzaine de minutes de marche, le couple s’arrêta devant un vieux bâtiment en disant :



Je restai bouche bée, l’air idiot. Le bâtiment ressemblait plus à un entrepôt ou un garage automobile qu’à un immeuble de standing…


Avec un petit sourire, Xavier ouvrit un rideau métallique derrière lequel un ascenseur apparut. Il était d’ailleurs plus question de monte-charge que d’ascenseur. Je me demandais encore quel était cet endroit mystérieux lorsque Xavier nous fit signe de le rejoindre. Son épouse se précipita dans ses bras et n’attendit même pas la fermeture du rideau pour l’embrasser tendrement. La montée dura une minute pendant laquelle ils s’étreignirent comme si je n’étais pas là. Leurs langues se mêlaient l’une à l’autre alors que les mains de Xavier se perdaient dans le lapin de Sonia comme j’avais rêvé de le faire quelques minutes plus tôt.


Le monte-charge se stabilisa et avant d’actionner l’ouverture du rideau, Xavier prit la parole :



Le rideau métallique s’ouvrit et je restai scotché. Le couple m’invita à entrer dans son immense loft. Tout était immaculé comme le blouson de mon hôte de la soirée. Des meubles laqués, des canapés en cuir hyper modernes, des statues en marbre, tout était d’un blanc éclatant. Le luxe de cet appartement provenait de ses volumes, ils me firent faire le tour. Je les complimentais sur le superbe loft qu’ils avaient conçu dans ce bâtiment qu’on penserait tout juste bon à démolir.


Xavier et Sonia m’invitèrent à m’installer dans un des fauteuils du salon. Je remarquais en m’asseyant que de superbes tapis de fourrure étaient disposés au sol. Ils ouvrirent un magnum de champagne et s’assirent dans le canapé d’en face. Nous trinquâmes à leur nouvel appartement et discutâmes de tout et de rien. De temps en temps, Xavier déposait un baiser dans le cou de Sonia, ils se chuchotaient à l’oreille puis reprenaient le cours de la conversation avec moi. Au bout d’une bonne heure, prétextant l’inconfort de sa tenue, Sonia s’éclipsa vers une pièce que j’imaginais être le dressing ou la salle de bain. Je profitais de son absence pour complimenter délicatement Xavier sur l’élégance de son épouse. Il me sourit et m’indiqua qu’il avait remarqué que leur couple ne me laissait pas indifférent, notamment lorsqu’il avait caressé sensuellement le blouson de fourrure de Sonia. Je me sentis mal à l’aise et c’est le bruit de l’ouverture d’une porte qui permit de couper court à cet échange.


Pensant, naïvement, voir Sonia revenir en jogging ou du moins en tenue décontractée, je fus totalement subjugué lorsqu’elle sortit de l’obscurité du couloir et apparut dans la lumière du salon emmitouflée de la tête aux pieds dans un énorme manteau de renard blanc et toujours perchée sur ses hauts talons.



En finissant sa phrase, elle fit un tour sur elle-même pour mettre la fourrure en mouvement. Je ne sus que lui répondre. Ma béatitude lui suffit certainement. Le contraste entre les couleurs de son manteau et de sa peau était un émerveillement. Le rouge à lèvres carmin invitait au baiser. J’étais hypnotisé par tant de sensualité. Totalement immobile dans mon fauteuil, j’avais peur de briser ce moment magique si je bougeais.


Xavier se leva, s’approcha d’elle, la prit par la main et la fit tourner une nouvelle fois sur elle-même pour l’admirer puis déposa un baiser sur sa main. Il se colla derrière elle, posa ses mains sur son ventre puis posa ses lèvres dans son cou. Sonia bascula la tête en arrière, cherchant ses lèvres. Ils s’embrassèrent un instant. Je ne savais pas si je devais partir ou rester. Un éclair de lucidité me fit dire que s’ils avaient voulu que je parte, ils me l’auraient fait comprendre.


Ils me fixèrent droit dans les yeux. Seule l’imposante table basse en marbre me séparait d’eux. Une tension sexuelle était omniprésente dans la pièce sans que je sache quelle serait la suite de la soirée. J’allais rapidement être fixé. Sonia brisa le silence :



Pendant ce temps, Xavier reprenait ses baisers sensuels dans le cou de Sonia qui me fixait toujours dans les yeux. Une bosse commençait à se former dans mon jean et j’imaginais celle de Xavier qui lui était blotti tout contre l’imposante fourrure de son épouse. Ses mains qui, jusqu’à présent, étaient posées au niveau du ventre de Sonia, remontaient maintenant vers ses seins. Il les caressait à travers ses vêtements et notamment la fourrure. Mon sexe commençait à manquer de place dans mon pantalon, je le sentais durcir de plus en plus. Sonia gémissait légèrement à chaque caresse de son mari sur ses seins. Les mains de la belle, parfaitement manucurées, glissaient sur la fourrure à hauteur de ses cuisses. Ses longs ongles, ornés du même rouge que ses lèvres, se perdaient dans le renard blanc. L’une de ses mains passa sous l’un des pans du long manteau sans que je puisse en voir plus. Elle gémit au rythme des mouvements de sa main et la ressortit quelques instants plus tard. J’étais une nouvelle fois ébahi par ce qui se passait à quelques mètres de moi. Les doigts de Sonia ressortirent luisants du manteau. Elle les porta à sa bouche et me dit :



C’est à cet instant que Xavier qui était toujours derrière son épouse délaça délicatement la ceinture de l’imposant manteau de renard blanc. Il l’ouvrit tout doucement en prenant garde que je n’en rate pas une miette. Les mains de Sonia glissèrent derrière elle, je les imaginais caressant la bosse de son mari à travers son pantalon.


Ce qui se cachait sous le manteau était tout simplement fantasmagorique. Moi qui pensais, encore une fois naïvement, que Sonia était habillée sous son manteau, je n’étais pas près de faire redescendre la pression qui habitait mon sexe.


Sonia ne portait en effet qu’un magnifique ensemble de lingerie rouge qui tranchait entre la couleur claire de son manteau et le marron de sa peau qui semblait si douce. L’absence de culotte me permettait de comprendre la facilité avec laquelle elle avait eu accès à son puits d’amour qui perlait d’excitation. Seul un magnifique porte-jarretelles retenait de jolis bas de soie. En haut, un soutien-gorge demi-balconnet mettait admirablement en valeur ses mignons petits seins ornés de tétons qui semblaient déjà tout excités.


Cette vision me troublait au plus haut point. Sonia me fit signe d’approcher. Je me levai et me présentai face à elle. Son parfum me troublait tout autant que la proximité de son corps si joliment mis en valeur par cette lingerie et ce formidable manteau. Elle prit ma main et la posa sur la manche de renard. Je tremblais d’intimidation. Une sensation de bien-être incroyable m’envahit à l’instant où mes doigts s’enfoncèrent dans l’épaisse fourrure.



Pendant ce temps, Xavier faisait rouler les tétons de Sonia entre ses doigts pour les faire grossir. Rapidement, de jolies framboises brunes s’érigèrent et contrastaient avec la petitesse de ses seins.


Sans un mot, Xavier s’approcha du fauteuil en cuir pour le recouvrir de superbes plaids en chinchilla et me fit comprendre sans un mot de m’y installer. Il fit de même sur le canapé et la table basse. D’un geste, il enleva son polo et se retrouva torse nu. Même s’il n’était pas bodybuildé, une impression de puissance émanait de cet homme. Il rejoignit son épouse qui était toujours debout dans son manteau de renard blanc ouvert sur une lingerie rouge classe et aguichante. La main sur sa joue, il l’embrassa lascivement. La paume de sa main frôlait un à un ses tétons afin de les garder dans un état d’excitation élevé. Puis il se plaça à côté d’elle et lui prit la main. Il la dirigea vers sa vulve surmontée uniquement d’une petite langue de poils taillée très finement. Il lui fit faire quelques va-et-vient pendant qu’il l’embrassait de nouveau dans le cou. Elle frissonnait de quiétude. Quand les doigts de son épouse furent dégoulinants de son excitation, il les porta à sa bouche et les suça un par un en me regardant :



Je pensais que mes hôtes allaient prendre place sur le canapé afin de continuer à coquiner mais c’est sur l’imposante table basse en marbre recouverte de fourrure que Sonia décida de se positionner à quatre pattes. La voir dans cette position et surtout dans cette tenue si proche de moi fit monter ma température corporelle de quelques degrés. Son manteau était tellement imposant que je ne voyais rien de son anatomie, les pans ouverts descendant jusqu’au plateau de la table. Je trouvais ce moment d’un érotisme phénoménal. Xavier vint se mettre debout au bout de la table, juste devant sa partenaire. Elle avança son visage pour le frotter contre la bosse qui déformait le pantalon de son mari depuis de longues minutes. Elle le mordilla à travers le tissu en soupesant l’incroyable paquet avec sa main. Ne tenant plus, Xavier dégrafa un à un les boutons de son jean laissant jaillir un sexe glabre qui confirmait la belle taille que la bosse suggérait. Déjà excitée depuis un bon moment, Sonia prit les testicules de son homme dans sa main en les massant délicatement. Afin de rendre la caresse encore plus douce, elle remplit sa paume de salive. La queue de Xavier se dressait devant elle mais elle le connaissait bien et savait que sa bite pouvait gonfler encore et devenir aussi dure que le marbre de la table sur laquelle elle était à quatre pattes. Elle sentait les caresses de son mari sur son dos. Elle savait que le contact de la fourrure pouvait l’exciter autant qu’elle. Elle sentit les mains fortes remonter sur ses épaules puis les doigts se perdre dans son épaisse chevelure frisée de métisse. Les doigts se crispaient de plus en plus. Elle leva la tête pour regarder Xavier dans les yeux, lécha son sexe tendu du bout de la langue puis l’introduisit doucement dans sa bouche. Ses lèvres ourlées semblaient aussi douces que les fourrures étalées partout dans la pièce. On voyait que Sonia prenait beaucoup de plaisir à sucer son mari. Elle ne le faisait pas uniquement pour lui faire plaisir. La vision de cette pipe baveuse à seulement quelques centimètres de moi m’excitait, je me caressais à travers mon pantalon. Sans même m’en apercevoir, je blottissais mon visage dans les étoles de chinchilla disposées sur le fauteuil. À mon tour, je me mis torse nu afin de sentir encore plus la fourrure contre ma peau puis je libérai mon sexe de l’emprise de mon jean. Je caressais ma queue à travers mon boxer. J’ai toujours aimé sentir la douceur des tissus sous mes doigts lorsque je me donne du plaisir.


Tout en continuant à sucer Xavier, Sonia lui caressait l’intérieur des cuisses avec le grand col de son manteau. Il ne restait pas insensible à cette sensation et écartait même légèrement les jambes. Sonia ne mit pas longtemps à s’en apercevoir et comprit ce que son mari désirait. Elle sortit la queue de sa bouche et cracha plusieurs fois dans sa main afin de lubrifier ses doigts qu’elle glissa entre les cuisses de son mari. Elle le reprit en bouche et dans le même temps commença à titiller son petit œillet avec son pouce. C’en fut trop pour moi et c’est maintenant tout emmitouflé de fourrure que je me branlais ouvertement. Toute la scène m’enivrait. Le parfum de Sonia mélangé aux effluves de nos odeurs corporelles m’excitait au plus haut point. Ma main était comme soudée à ma bite que je n’avais jamais vue aussi dure et que j’astiquais frénétiquement. Les muscles de Xavier se contractèrent, il était, comme moi, proche du point de non-retour. Et c’est dans un râle commun que nous avons libéré nos semences en même temps. Lui dans la bouche de son épouse et moi sur le parquet du salon en évitant soigneusement de souiller les fourrures.


Sonia ne laissa pas une goutte du sperme de son mari. Elle le nettoya de sa langue baveuse en me fixant dans les yeux. Et après quelques instants de silence, elle nous apostropha avec un air espiègle :



Tous les deux nus, Xavier m’indiqua le chemin de la salle de bain où nous entrâmes tous les deux en même temps comme si nous étions de vieux copains sans aucune gêne. Mon hôte du soir fit couler l’eau de la douche et m’invita à me laver en premier. Je venais de commencer à me savonner, les yeux fermés quand je sentis une main se poser sur le bas de mon ventre. Surpris, j’ouvris les yeux et je vis la main savonneuse de Xavier empoigner mon membre et poser son doigt sur sa bouche en signe de silence. De son autre main, il prit la mienne qu’il vint enserrer autour de sa queue. Il s’approcha de mon visage et chuchota :



Ce petit jeu de mains dura quelques minutes jusqu’à ce que nos sexes soient de nouveau au garde-à-vous. Je venais de branler un homme pour la première fois…


Nous nous séchâmes. Xavier me demandait si le spectacle offert m’avait plu et si j’étais d’accord de continuer sur le même principe. Chose à laquelle je répondis par l’affirmative avec grand plaisir.



Sans attendre ma réponse, Xavier s’éclipsa et revint rapidement avec deux très beaux manteaux d’homme en castor. C’est la première fois que je portais un manteau spécialement conçu pour les hommes.


De retour au salon, Sonia ne nous vit ni n’entendit pas. Et pour cause, elle était à califourchon sur un tas de fourrures sur lequel elle se branlait frénétiquement la chatte en tirant sur ses tétons les yeux fermés. Xavier et moi nous assîmes chacun dans un fauteuil pour la regarder. Quel spectacle sublime… ! Quelques minutes suffirent pour que sa jouissance vienne et qu’elle rouvre les yeux. Elle était dans un autre monde… Il lui fallut quelques instants pour se rendre compte que nous étions en train de la regarder prendre son pied en solitaire.


Nous nous levâmes et vînmes de chaque côté d’elle. Elle nous complimenta sur nos tenues et avoua qu’elle aimait voir nos queues gonflées de désir pour elle sortir de nos manteaux. Elle s’amusa à frôler mon membre avec la fourrure de la manche de son renard blanc et me dit à l’oreille que ma présence l’excitait beaucoup mais que la règle ne changerait pas ce soir.


Je retournai donc dans mon fauteuil en attendant la suite des évènements. Et je n’attendis pas longtemps. Sonia, à la demande de son époux, se remit à quatre pattes sur la table basse. Mais cette fois, c’est derrière elle que Xavier se présenta. Il passa la main sous le manteau, entre les cuisses de la belle. Sa main ressortie pleine de cyprine qu’il porta à sa bouche. Ils aimaient décidément beaucoup goûter le jus de Sonia ces deux-là.



Sans attendre, Xavier remonta le bas du manteau de sa femme sur sa chute de rein et marqua un temps d’arrêt. Il me regarda. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Sans prévenir, il prit sa femme par les cheveux et lui dit :



Et pendant qu’elle terminait sa phrase, Xavier lui écarta les fesses et enleva le plug anal que madame avait dans le cul depuis le début de la soirée. Il plongea littéralement son visage entre les merveilleuses fesses de Sonia que je voyais pour la première fois. Elle lui avait demandé de lui bouffer le cul et c’est exactement ce qu’il s’appliquait à faire. Son œillet était complètement dilaté par la présence du plug depuis plusieurs heures. Xavier léchait vigoureusement les chairs rosées de l’entrée du petit tunnel de sa femme. C’est désormais son pouce qui jouait avec ce petit trou. La chaleur commençait à être suffocante et malgré sa position, Sonia réussit à enlever son manteau. Elle était vraiment magnifique avec ses hauts talons, ses bas-coutures retenus par son porte-jarretelles rouge et son soutien-gorge demi-balconnet. Elle fit une boule avec son manteau qu’elle plaça sous sa tête. Elle se cambra encore plus ce qui eut pour effet de faire remonter son cul. Elle faisait comprendre de cette manière à son mari qu’elle n’attendait plus qu’une chose : se faire prendre.


Xavier lubrifia son gland en le faisant glisser sur les lèvres de Sonia. Et sans la prévenir, il embrocha sa chatte suintante de cyprine et enfonça son pouce dans son cul en un seul mouvement. Surprise de cette double pénétration, elle hurla puis recula pour faire comprendre à son partenaire qu’il fallait maintenant la démonter. Le rythme était régulier mais l’amplitude des aller-retour était impressionnante. Nous n’étions plus du tout dans l’érotisme du début de soirée mais réellement dans de la pornographie. Les gémissements de Sonia avaient été remplacés par de grands râles. La bestialité les excitait visiblement au plus haut point. Le bel ange métis était devenu une véritable tigresse :



Celui-ci, l’air beaucoup moins étonné que moi du ton et du langage utilisé par la jolie métisse, cracha vulgairement sur sa rosette, sortit son pieu de sa chatte et l’encula sans ménagement pendant cinq bonnes minutes. Les corps claquaient l’un contre l’autre dans un bruit presque assourdissant qui se mélangeait aux cris de plaisir de Sonia qui trituraient ses tétons pour augmenter encore plus son plaisir.


J’étais tellement hypnotisé par le spectacle que j’en oubliais presque mon propre plaisir. C’est la réflexion de Sonia qui m’interloqua et me fit sortir de ma torpeur :



Je ne comprenais pas pourquoi elle disait ça à Xavier à cet instant alors qu’il la besognait sans ménagement depuis de longues minutes. Et c’est en les voyant faire que je compris.


Xavier dégagea sa queue de l’antre secrète. Il approcha son visage pour donner de nouveau quelques coups de langue, puis introduisit son index et son majeur sans difficulté dans la grotte déjà bien dilatée. Sans trop forcer non plus, il ajouta son annulaire. Sonia imprimait un léger mouvement de bassin.



L’euphorie avait laissé place à plus de calme. On sentait le moment important. Je n’osais bouger. Xavier présenta alors son pouce et son auriculaire à l’entrée de ce qui allait devenir un gouffre. Il cracha pour lubrifier le passage. Et c’est Sonia qui recula doucement son cul afin de venir à la rencontre de la main entière qui emplissait désormais totalement ses entrailles. Sa demande me revenait maintenant à l’esprit : « Mets-moi tout dans le cul ».


Sonia essayait de calmer sa respiration afin de prendre le plus de plaisir possible en faisant abstraction de la douleur qui devait certainement être également présente. Elle passa un bras sous son corps et ses doigts atteignirent son clitoris. Elle le massait délicatement. Elle demanda à son mari d’approcher sa queue. Elle la dirigea dans sa chatte. Il devait sentir sa main à travers la fine séparation. Quelques va-et-vient suffirent à faire jouir Sonia. Je n’avais jamais vu une femme jouir aussi puissamment. Son corps s’arcboutait et se crispait dans des hurlements sauvages. Un liquide abondant dégoulina de sa chatte. Une femme fontaine jouissait devant moi. Elle se libéra rapidement de la queue et de la main de Xavier et lui ordonna :



Toujours à quatre pattes, la tête dans le coussin formé par son manteau de fourrure, elle écarta ses fesses. Son petit trou était béant.


Sans même réfléchir, je rejoignais Xavier, pris sa queue dans ma main et l’astiqua vigoureusement au-dessus des fesses rougies de Sonia. Après quelques mouvements, je le sentis se tendre, se raidir. Je dirigeai son sexe face au réceptacle de sa femme et quatre puissants jets vinrent remplir la cavité. Je ne savais pas qu’une éjaculation pouvait contenir une quantité aussi importante de sperme. Son jus coulait le long des cuisses de la belle black qui s’écroula en pleurant dans les fourrures. La tension avait été si intense tout au long de la soirée que la redescente fut brutale. Comme un camé après un shoot, la redescente après l’euphorie était douloureuse.


Xavier emmitoufla son épouse dans son manteau. Elle tremblait de froid et de fatigue, proche du malaise. Il l’accompagna en la soutenant jusqu’à la salle de bain, la doucha méticuleusement puis alla la coucher dans leur chambre. Elle s’endormit aussitôt.


Pendant ce temps, je m’étais rhabillé et j’avais rangé le salon.


Xavier vint me remercier pour le rangement. Il me proposa un dernier verre que je refusai poliment et pris congé.


Arrivé dans la rue, le froid me glaçait le sang. Le contraste avec les émotions vécues ce soir chez ce couple était trop important. Je marchais pour rentrer chez moi en repensant à cette soirée inoubliable. Je me rendis compte que j’avais été tellement happé par le plaisir de mes hôtes que je ne m’étais même pas masturbé en les regardant. Je pressais le pas afin de remédier rapidement à ça en arrivant chez moi.