n° 21204 | Fiche technique | 45104 caractères | 45104Temps de lecture estimé : 25 mn | 05/10/22 |
Résumé: La première fois que ma femme a baisé avec un autre homme que moi sous mes yeux, ça remonte à quelques années, mais je m’en souviens comme si c’était hier. On se souvient souvent très bien de ses premières fois, même celles des autres. | ||||
Critères: fh fhh candaul inconnu fellation cunnilingu pénétratio init -totalsexe -candaul | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un récit classique de taille moyenne. Bonne lecture : )
La première fois que ma femme a baisé avec un autre homme que moi, sous mes yeux, ça remonte à quelques années, mais je m’en souviens comme si c’était hier. On se souvient souvent très bien de ses premières fois, même celles des autres.
Branler, puis sucer pour commencer…
L’appétit vient en mangeant, dit-on. Mais j’avoue que c’est de ma faute.
Cet autre homme était un total inconnu pour elle. J’avais préféré miser sur quelqu’un que nous ne connaissions pas, plutôt que sur un ami ou un copain. C’est plus facile pour couper le cordon. Toujours prévoir la suite, on ne sait jamais.
Avant de continuer, asseyez-vous confortablement que je vous narre la chose depuis le début. Je vous rassure, je ne vais pas en faire des tonnes ni trente-six pages. Je vous rassure, je ne m’appelle pas Proust ou Balzac.
Bien installé(s) ? Très bien, revenons à ce fameux jour, ou plutôt à ce fameux soir. Voilà, fermez les yeux, et faites virtuellement dérouler le film comme si vous y étiez.
Samedi soir sur la terre, quelque part dans l’Hexagone.
Après une certaine attente, Bénédicte revient vers moi, ayant terminé de se changer. Elle est vêtue d’un top bleu électrique bras nus et une jupe noire avec de la lingerie par-dessous, c’est-à-dire un petit soutif très échancré et un ensemble bas plus porte-jarretelles couleur ébène. Autour de son cou, une chaînette en or double rangée. À ses pieds, des chaussures assorties avec des talons aiguilles de taille moyenne. Plus haut, ma femme a noué ses cheveux en une sorte de chignon d’où s’échappent quelques mèches folles. L’ensemble est fort plaisant, c’est indéniable.
Avant de quitter la maison, pour être certain qu’il n’y ait pas de zones d’ombre, je débriefe à nouveau mon épouse sur la suite des événements :
Elle soupire, mais elle a toujours souscrit à mes petits jeux. Depuis le début de nos activités ludiques un peu spéciales, petit à petit, je fais monter la température, en évitant d’aller trop vite, même si ça me chagrine que ce soit si lent pour gravir la colline.
Bénédicte soupire à nouveau :
Ma femme sourit vicieusement :
Je me lance dans une explication :
Un peu agacée par ce rappel, Bénédicte souffle :
Pas faux. Je reconnais que sa première fois se passera chez un inconnu, avec un inconnu, et en plus, avec les yeux bandés, il y a de quoi baliser. Sa première fois, peut-être, rien ne dit que le feeling sera là. Cherchant à détendre l’atmosphère, je lui confie :
Elle ne répond pas, elle doit sans doute se demander si elle n’est pas en train de faire une grosse bêtise en m’accompagnant chez un illustre inconnu, même si les précédents petits jeux se sont bien déroulés, bien qu’ils fussent assez corsés.
Peu après, nous arrivons à destination. Je m’engage dans une allée, puis je gare la voiture qui est maintenant à l’abri des regards de la rue. Aussitôt, mon contact vient nous ouvrir, je guide ma femme devenue aveugle jusqu’au salon, puis je la fais s’asseoir sur un canapé.
Gérard me ressemble un peu, c’est pour cette raison que je l’ai choisi. Je sais que je suis dans les goûts de ma femme, donc je ne prends pas de risque en choisissant quelqu’un de proche physiquement. Sagement assise, ma femme entend des verres tinter puis un liquide être versé. Intriguée, elle demande :
Bénédicte marque une courte pause, puis elle demande :
Ma femme semble accepter la situation. Elle boit en deux temps la coupe que je lui donne en main, puis elle se ressert. Je vois qu’elle est tentée d’ôter son bandeau, mais qu’elle se retient. Il faut dire que mes petits jeux se sont toujours bien déroulés, car j’essaye de pallier à tout, essayant de couvrir les diverses options. Je m’arrange pour que tout se passe en pleine sécurité. C’est pour cette raison que Bénédicte sait qu’elle peut me faire confiance, même si souvent, elle aurait préféré dire non.
Une fois le jeu terminé, elle avoue la plupart du temps que ce fut une agréable expérience. Pas forcément tout de suite. Parfois, il lui faut une bonne semaine pour lâcher cette confidence. Telle est ma femme…
C’est comme la fois où elle a fait un petit câlin avec une autre femme. Il lui a fallu un certain temps pour admettre du bout des lèvres qu’elle avait trouvé ça bien. Elle a insisté une paire de fois sur le fait qu’elle n’était pas lesbienne, comme si c’était une tare !
Il serait bon d’entrer dans le vif du sujet. Je m’adresse à ma femme :
Oui, elle doit être très stressée, mais elle joue le jeu en conservant le bandeau sur les yeux. Elle boit une petite gorgée. Une courte pause, puis elle se lève en soupirant :
Tandis qu’elle se tient debout, se stabilisant en l’absence de vision, je fais un petit signe à l’adresse de Gérard, la musique retentit. Bénédicte s’en amuse :
Je lui donne son verre, elle boit un peu puis me le redonne.
Ce n’est pas faux. Se fondant avec la musique, Bénédicte ondule légèrement pour commencer. Peu après, le champagne aidant, elle finit à se laisser aller, se trémoussant beaucoup plus, sensuellement.
Puis lentement, elle remonte son top, dévoilant d’abord son nombril, puis la base de son soutien-gorge, puis tout le haut. Elle lance au hasard son vêtement. Gérard se met à applaudir, une bonne façon de contourner mon interdiction de parler. Ma femme comprend à la provenance du bruit que ça ne vient pas de moi. Elle sourit timidement.
Puis du pied, elle se déchausse, car elle n’est pas habituée à danser avec une telle hauteur de talon. Il ne s’agirait pas qu’elle se foule une cheville !
Telle une liane, elle continue de se déhancher sur la musique, faisant ballotter ses mignons seins toujours couverts de tissu, ainsi que sa chaînette en or. Un murmure approbateur émane de l’endroit où est assis Gérard. Ma femme semble apprécier qu’on l’apprécie.
Elle continue d’onduler. Je vois bien qu’elle s’est prise au jeu de danser devant un inconnu qu’elle ne voit pas, inconnu qui apprécie visiblement sa prestation. Me délaissant, sa danse est orientée vers l’endroit d’où venaient les applaudissements. Son corps se coule dans la musique, c’est très beau à contempler, à admirer.
Tout en se trémoussant, Bénédicte jette à présent ses mains derrière son dos, et un rien de temps, son soutien-gorge valse à travers le salon, révélant deux seins libérés qui s’agitent sous les mouvements de danse de ma femme. Gérard applaudit à nouveau. Je reconnais que le spectacle vaut le déplacement, même si ça fait des années que je profite de la poitrine de mon épouse.
Ma femme ondule ostensiblement en direction de précédents applaudissements, mettant ouvertement ses seins en valeur, qui bringuebalent sous la chaînette. Gérard apprécie cette dédicace muette.
Soudain, Bénédicte se tourne vers moi et demande :
Je cède et je dépose entre ses mains son verre qu’elle vide, soit un total de deux coupes, ce qui est raisonnable, bien que parfois, ma femme est pompette rien qu’avec trois verres. J’en profite pour demander à Gérard pour remettre au début la chanson. Peu après, ma femme reprend sa danse, encore moins inhibée. Après quelques ondulations fort sexy, c’est la jupe qui choit au sol, révélant un porte-jarretelles et des bas qui y sont rattachés. Je m’en saisis prestement pour qu’elle ne marche pas dessus. C’est alors que je constate que son slip en satin ne cache finalement pas grand-chose. Gérard applaudit franchement.
Un refrain plus tard, c’est ce même slip qui s’évanouit sous les ovations manuelles de notre hôte. Ma femme sourit une fois de plus. C’est quasiment nue qu’elle se pavane devant un inconnu, lui faisant alternativement admirer le côté pile comme le côté face, uniquement vêtue de ses bas, porte-jarretelles, sans oublier son collier.
La fin de la chanson s’approche. Je me lève, lui saisissant le bras, puis je l’invite à s’asseoir sur le canapé, en face de Gérard.
Avant de poser ses fesses dénudées sur le coussin, un peu essoufflée, ma femme demande :
Une phrase à double sens. Quand elle est confortablement assise, Gérard se met à l’applaudir longuement. Esquissant une révérence hasardeuse, ma femme le remercie :
Puis dans un petit rire cristallin, elle s’affale en arrière, cuisses largement écartées, offrant une splendide vision panoramique sur sa chatounette au petit bosquet bien taillé à notre hôte qui est pile-poil dans le bon axe.
Devant cet adorable spectacle, l’homme bande joyeusement, je le comprends parfaitement. Je me fais un plaisir de mentionner la chose à ma femme :
Je fais signe à Gérard de venir, il s’approche, sans quitter des yeux ma femme. Je sors une petite ardoise magique de ma poche, que je pose sur la table basse, elle me servira à communiquer muettement avec Gérard, si le besoin s’en fait sentir.
Accroupi devant elle, je m’amuse à caresser le sexe offert de ma femme qui murmure :
Je retire ma main quelques instants, puis je la repose au même endroit. Presque aussitôt, Bénédicte répond de façon affirmative :
Je fais signe à Gérard de me remplacer. Quelques secondes plus tard, ma femme dit :
Je reprends ma place entre ses cuisses. La réponse fuse :
Je souris, ma femme commence à se mettre dans le bain.
Restant dans son rôle muet, Gérard dit :
À ces mots, ma femme rougit un peu puis sourit. Je crois qu’elle vient d’écarter un peu plus les cuisses. Lapsus gestuel révélateur. Pourtant, elle ne connaît pas notre hôte, elle ne sait même pas quel visage il a, ni son âge, ni plein de choses sur lui. Mais elle me fait confiance, sachant que j’ai toujours opté pour le meilleur choix en ce qui la concerne.
Je ne suis pas du genre à partager ma femme avec n’importe qui, et elle le sait.
Gérard recommence à caresser le sexe de ma femme, de son pubis aux lèvres légèrement entrouvertes. Bénédicte se laisse aller sous cette caresse, une caresse qu’elle ne connaît pas, sans doute différente des miennes. En tout cas, nous sommes arrivés à un meilleur palier que dans mes prédictions les plus pessimistes.
Je griffonne un court texte télégraphique sur la tablette :
Étonné, il hausse les sourcils. Sans cesser de masturber mon épouse, il s’emparant du crayon en plastique tandis que je tiens l’ardoise, il écrit à son tour, tant bien que mal :
Je fais signe oui de la tête. Alors, avec un grand sourire, ravi de participer si vite, il se positionne autrement et s’exécute, s’accroupissant entre les cuisses avenantes de ma femme. Après un bref petit cri de surprise, Bénédicte entremêle ses doigts dans ses cheveux, se laissant toujours faire par cet illustre inconnu.
Il est difficile de répondre correctement quand on a la bouche très occupée, avec normalement l’obligation d’être muet. Je me demande si ce compliment est réel, ou si c’est une façon de l’encourager à continuer. Ou les deux en même temps…
Grosso modo, Gérard et moi avons divers points communs ; il possède la même chevelure que moi, la même forme de visage, et j’en passe… Il est un peu plus massif que moi qui suis plus élancé. D’ailleurs, je suis légèrement plus grand. Mais il est clair que dans la pénombre, on pourrait éventuellement nous confondre. Ce serait peut-être un jeu à faire, un jour ou plutôt un soir : nous-deux dans la pénombre, puis demander à Bénédicte de choisir avec quel homme elle souhaite passer la nuit.
Du changement dans la continuité…
En tout cas, les coups de langue de mon remplaçant sont efficaces, ma femme frémit, ondule, gémit. Quelques minutes plus tard, car il lui faut un certain temps pour monter en puissance, Bénédicte halète, sans toutefois repousser la bouche qui la lèche.
C’est le signal que j’attends depuis le début. C’est quasiment toujours par ces trois syllabes que ma femme indique que la vague de plaisir est juste à sa porte et qu’elle va déferler sur elle, en elle.
Cette fois-ci, elle retrousse la tête nichée entre ses cuisses. Gérard donne néanmoins quelques derniers coups de langue avant de se retirer, contemplant en même temps que moi ma femme en train de jouir de tout son saoul. Mon remplaçant est visiblement content de lui, il ne m’a pas menti quand il m’a affirmé lors de nos échanges qu’il savait faire grimper une femme aux rideaux, et pas uniquement avec son cinquième membre.
Puis, quand Béné est reposée, nous passons dans la chambre d’amis de notre hôte. Je fais asseoir ma femme sur le rebord du lit, puis je lui demande de s’allonger sur le dos au milieu de la couette. Elle cale sa tête ainsi que le haut de son dos avec deux oreillers. Durant ce temps, je m’installe à côté d’elle. Je dégrafe ensuite mon pantalon, extirpant ma verge déjà bien raide :
Elle marque une furtive hésitation, elle lance sa main, puis ayant capturé ma verge à tâtons, elle commence un doux mouvement de va-et-vient. Ce n’est pas la première fois que ma femme me branle devant un public, elle l’a déjà fait quand nous avons mis les pieds dans un sauna et aussi dans un club. D’après ce que j’ai cru comprendre, c’est un plaisir qu’elle accordait assez facilement à ses petits amis dans son adolescence.
Du fait d’une certaine expérience acquise lors de divers travaux pratiques, Bénédicte sait vite faire monter la sève. Si elle continue ainsi, moi aussi, je vais avoir un souci de geyser dans quelques instants. C’est pourquoi je temporise :
Aussitôt, Gérard ôte son pantalon et son caleçon, puis il ne se fait pas prier pour venir s’allonger à côté de ma femme, la queue bien dressée. À la fois ravi et inquiet, il attend la suite des événements. J’ordonne à ma femme :
Sans un mot, Bénédicte lance sa main pour tenter de capturer l’autre objet du délit. Gérard s’empare de son poignet pour guider ma femme vers sa verge. L’ayant trouvée, elle s’empare de la colonne de chair de Gérard et commence à nouveau son mouvement de va-et-vient. Elle s’active comme elle sait si bien le faire en alternant la prise de la colonne à pleine main ou du bout des doigts.
Un bien beau spectacle : ma femme allongée entre deux hommes, en train de les branler en même temps, de façon synchrone.
Au bout d’un certain temps, je glisse à l’oreille de ma femme :
Bénédicte dodine de la tête :
Une brève hésitation, un geste incertain, puis Béné ne se fait pas trop prier. Délaissant ma colonne de chair, en changeant de position, elle s’empare de l’autre verge bien raide et commence une fellation très attentionnée et appliquée sur cette colonne qu’elle ne connaît pas. Au bout d’une minute, elle demande :
Puis avec entrain, cette salope se met à lécher, sucer, pomper mon remplaçant d’une façon que j’ai rarement vu de la part d’une femme, même dans la plupart des pornos. Et cette fois-ci, ce n’est pas ma queue, ce n’est pas sur écran, c’est vraiment ma femme en pleine action sur la bite d’un autre homme qu’elle ne connaît même pas !
Gérard est ravi, je le comprends. Au départ, il était prévenu que ma femme aurait peut-être un blocage et qu’il ne fallait pas insister. Maintenant, il participe pleinement à nos jeux. Un cuni contre une fella, c’est un honnête marché.
Actuellement, les yeux toujours bandés, ma femme est en train de s’occuper d’un autre homme qu’elle vient de branler, puis qu’elle suce avec application. Avant de mettre le pied dans cette maison inconnue, elle était une honnête femme qui accepte quelques jeux coquins. Maintenant, elle est devenue une fieffée salope. Ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Oui, une fieffée salope, oui, mais avec une énorme aide de ma part…
Ma femme était déjà une fieffée salope en devenir, si je me souviens bien de ce que nous avons pu faire auparavant. Ce n’est pas n’importe qui qui s’amuse dans un glory hole, par exemple… C’est vrai qu’avoir les yeux bandés, c’est quasiment identique que d’avoir sous le nez une queue anonyme émergeant un trou. Mais aujourd’hui, c’est plus… intime…
Sa succion devient de plus en plus bruyante, sa salive dégouline lentement.
Par diverses grimaces, Gérard me fait comprendre qu’il a de plus en plus de difficultés à se retenir. Ça m’arrangerait qu’il jute dans cette bouche vorace, mais ça risque de compromettre la suite. Ma main repousse la tête de ma femme :
Je fais comprendre à mon remplaçant qu’il doit se lever. Désirant poursuivre l’expérience, j’ordonne :
Je ne réponds pas à sa question. Elle écarte néanmoins les jambes. Je m’assieds sur le bord du lit, commençant à caresser les jambes gainées de soie de ma femme, tandis que Gérard, parfaitement dans l’axe, zieute à tout va le sexe de ma femme. Puis il s’assied de l’autre côté, caressant à son tour les gambettes allongées.
Tandis que je caresse à présent les blanches cuisses de ma femme, je m’adresse à ma femme :
Stupéfaite, Béné lance un cri du cœur :
Elle respire fortement, puis elle lâche :
Elle marque une petite pause, puis reprend :
Soudain, Gérard prend la parole :
La voix plutôt grave de Gérard raisonne :
À cette question, Gérard soupire :
La voix de Gérard devient plus ferme :
Bénédicte soupire :
C’est à mon tour d’intervenir :
D’une voix grave et impérative, Gérard prend la direction des opérations :
Gérard s’agenouille sur le rebord du lit, ma femme garde grandes ouvertes ses jambes gainées de soie. Elle n’a pas dit oui avec la bouche, mais autrement.
Ma femme va être bientôt souillée par le sperme d’un autre homme. Gérard est clean, il m’a montré hier soir ses tests par mail. Comme Béné porte un stérilet, je sais qu’il n’y aura pas de soucis, d’autant qu’elle va avoir ses règles dans quelques jours. Savoir que Béné va être pénétrée, puis remplie, me procure un sentiment étrange et diffus, mais jouissif.
Dieu que l’âme humaine est étrange !
Un qui ne se pose pas de question, c’est Gérard ! Il est tout fébrile à l’idée de s’envoyer en l’air avec ma femme. Je lui ai conseillé en catimini de conserver sa chemise car ma femme possède des ongles qu’elle n’hésite pas à utiliser dans les moments cruciaux. Il me remercie.
Assez stressée, sentant que je suis près d’elle, ma femme demande :
Elle se contente de sourire. Précisément, Gérard vient de se décalotter, lubrifiant une verge bien raide, car son rôle va plus nettement important que la plupart des scénarios ne le prévoyaient initialement. J’avais bien songé que ma femme se serait laissé toucher, qu’elle aurait sucé, mais j’avais des doutes sur la consommation finale.
En attendant ce grand moment, je caresse à présent les seins de ma femme. Gérard s’agenouille sur le rebord du lit, cajolant le ventre au-delà du porte-jarretelles, puis le pubis de Béné en deçà.
Puis, peu après, il s’enhardit posément, frottant alternativement sa verge contre la chair du haut de des deux cuisses, sans oublier de patiner ma femme jusqu’à ses seins, avec une certaine avidité contenue. Je sens bien que mon remplaçant se freine dans ses élans, car s’il s’écoutait, il dévorerait carrément ma femme.
À ce propos, il est en train de taquiner entre ses doigts un téton érigé. Il se penche ensuite pour le sucer avec attention, ma femme émet un petit gloussement. Puis sans transition, il le croque délicatement. Bénédicte frémit. Sa respiration s’accélère un peu plus.
Après quelques agaceries, Gérard annonce :
À nouveau, ma femme frémit, ce qui ne l’empêche pas d’écarter un peu plus les cuisses, genoux relevés. Après quelques caresses appuyées, Gérard se relève, se plante debout face au lit, fait quelques mouvements avec ses bras comme pour se détendre, se relubrifie un peu, puis il se positionne posément entre les gambettes soyeuses. Il pose sa verge sur le petit bosquet, et ses bras de part et d’autre du corps de Bénédicte qui tressaille légèrement.
En appui sur ses mains, il frotte plusieurs fois son gland à l’orée de la fente.
Comme ça arrive souvent en pareil cas, ma femme agrippe les bras qui l’encadrent, pour s’y river. La chemise limitera les dégâts si elle enfonce éventuellement ses ongles. J’en sais quelque chose, j’ai déjà dû cacher ce genre de marque en plein été avec une chemise à manches longues.
Se décidant à passer à l’étape finale, Gérard enfonce son gland dans la fente, ma femme soupire, crispant ses doigts autour des bras de celui qui est en train de la baiser. Je murmure à l’oreille de ma femme :
Après quelques va-et-vient, Gérard sort pour se refrotter sur le clitoris exacerbé, puis replonge voluptueusement entre les lèvres intimes et humides. Avec application, il refait plusieurs fois ce petit manège. Basculant au tutoiement sous l’effet du désir, ma femme gémit :
Gérard ne se fait pas prier d’envahir à nouveau la chatte offerte. Ainsi investie, Bénédicte apprécie :
Peu après, il la besogne avec conviction et efficacité. Pour preuve, les soupirs de ma femme :
C’est bien l’une des premières fois que ma femme est si bruyante en public ! Peut-être est-ce dû à ce qu’elle ne voit pas les autres regards posés sur elle. C’est une éventualité fort possible, il faudra que je creuse la question.
Question creuser, Gérard creuse son trou comme on dit. Tellement bien que ma femme prononce à nouveau les trois syllabes magiques :
Puis elle décolle dans un orgasme foudroyant qui la ravage de la tête aux pieds. Même Gérard est surpris par l’ampleur de la vague qui la submerge. Il en profite pour la ramoner puissamment deux ou trois fois, avant qu’elle ne le chasse, tant la sensation est forte !
Après de multiples soubresauts, Bénédicte s’apaise un peu. Sa respiration redevient normale. Puis elle ouvre la bouche en disant :
Gérard précise sa pensée :
Néanmoins, elle s’exécute à toute vitesse, présentant sans pudeur sa croupe toujours encadrée par le porte-jarretelles à son nouvel amant. À présent, c’est en levrette que ma femme se fait investir par cette autre queue. Elle se laisse aller sous le pistonnage féroce que lui inflige à nouveau Gérard, dont les mains sont fermement rivées à ses hanches toutes blanches. Visiblement elle apprécie, et lui aussi. Moi, je suis spectateur de la scène, comme si je regardais un film, mais en mieux.
Peut-être que ce sera le cas de la télévision du futur qui sera plus immersive…
Lui aussi, Gérard est excité à fond :
En ce qui concerne la conviction, Gérard est à fond dedans. Du coin de l’œil, je vois à ses grimaces qu’il s’empêche de jaillir trop tôt. Assez bringuebalée, ma femme glapit :
Bénédicte agite furieusement ses doigts sur son clitoris en feu, tout en poussant de nombreux gémissements. Derrière elle, Gérard donne le meilleur de lui-même. Lequel des deux cédera en premier ?
N’en pouvant plus, tétanisé, ses mains toujours rivées aux hanches pleines, Gérard se vide en grandes saccades dans ma femme qui l’accompagne presque aussitôt dans la jouissance.
J’ai la curieuse et fugace impression que mon remplaçant est en train de marquer son territoire en envahissant complètement ma femme, la possédant entièrement, elle rien que pour lui, en expulsant un tsunami de sperme pour tapisser les moindres recoins du vagin offert.
Gérard profitera encore deux fois de ma femme, qui se laisse faire sans complexe, comme s’il n’y avait pas de spectateur, comme si je n’existais pas. Bien qu’au départ, elle n’était pas très chaude, devenue bouillante, Bénédicte jouit totalement de la situation dans tous les sens du terme.
Sans parler du fait que son sexe luisant ruisselle impudiquement de sperme…
Quant à moi, je me sentais de trop. J’avais bien planifié de faire un beau trio, mais devant leur communion sexuelle si éclatante, je me suis senti tout petit. Ce sera pour une autre fois, je suppose. Aujourd’hui, ce fut la grande révélation pour ma femme, elle a souhaité en profiter à fond, pleinement, entièrement.
Il commence à se faire tard, la séance a duré un peu plus longtemps que prévu. Je ne vais pas me plaindre que tout se soit passé comme sur des roulettes. D’ailleurs, Gérard et Bénédicte sont du même avis que moi : il y a une fin à tout. Il faut dire qu’ils sont tous les deux vannés, épuisés, mais repus.
Comme le dit la maxime bien connue, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. De ce fait, il va bientôt être l’heure de partir. Redevenu policé, après avoir traité ma femme de divers vocables peu recommandés pour les oreilles chastes, Gérard en profite pour féliciter ma femme :
Malgré le bandeau qui cache une partie de son visage, il est flagrant que ma femme rougit :
Ma femme rosit de plaisir :
Ma femme s’amuse de ce vouvoiement :
Gérard caresse les seins toujours nus de ma femme :
Un petit silence s’installe, que ma femme brise d’une voix toute douce :
Ça y est, ma femme a accepté d’être passée de l’autre côté du versant !
Gérard et Bénédicte se font d’abord la bise pour se dire au revoir, puis son nouvel amant dépose un baiser sur ses lèvres qu’elle ne refuse pas. Elle sourit même de cette initiative. Heureux d’avoir passé un bon moment et d’avoir à présent la certitude qu’elle plaît encore à d’autres hommes.
Ensuite, nous sommes revenus à la maison. Avachie sur son siège, les yeux toujours bandés, Bénédicte n’a rien dit durant tout le trajet, comme perdue dans ses propres pensées, partie dans un autre monde, à moitié somnolente. De mon côté, j’étais à la fois ravi et déçu.
Ravi que ma femme se libère, ce qui offre bien de nouvelles perspectives, de lendemains et surtout de nuits enchanteresses. Vivre avec une salope, c’est… comment dire… libérateur…
Déçu, sans savoir mettre exactement le doigt sur le pourquoi du comment. Le fait que ma femme s’est vraiment lâchée avec un inconnu ? Le fait d’avoir concrétisé quelque chose qui me faisait fantasmer depuis si longtemps ? Le syndrome du cosmonaute ? Le fait aussi que ma femme peut maintenant franchir le pas aisément, éventuellement à mon insu ?
N’ai-je pas ouvert la boîte de Pandore ?
Arrivés à bon port, j’empêche ma femme d’ôter son bandeau :
Fébrile, je conduis Bénédicte directement dans notre chambre, puis c’est à mon tour de m’envoyer en l’air avec ma femme, ma nouvelle salope de femme, elle qui vient de franchir un nouveau pont pour aller s’aventurer dans une terre inconnue dans laquelle je me ferais un plaisir de la dévergonder encore plus.
Car c’est mon fantasme depuis si longtemps…