Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21211Fiche technique34416 caractères34416
Temps de lecture estimé : 19 mn
09/10/22
Résumé:  Une jeune femme se présente au rayon bricolage d’une grande surface. Va naître entre le vendeur et elle une relation très particulière...
Critères:  voir exhib lingerie caresses -occasion
Auteur : Stropimux            Envoi mini-message
Le jeton

Je m’appelle Arthur et j’ai été recruté par une grande enseigne de bricolage après la mise en liquidation de mon entreprise de plomberie due à un long arrêt provoqué par une maladie invalidante maintenant maîtrisée.

Ce jour-là, un mardi de la première semaine de juillet, alors que j’ajustais mes stocks sur l’ordinateur placé en début de rayon, je vis apparaître une cliente d’environ 30 ans, assez grande, le petit nez en trompette, les yeux ronds comme des billes, les lèvres appétissantes, les oreilles fines et bien formées, la peau légèrement épicée, le buste délicat, une poitrine en poire de taille moyenne, dont les deux tétons pointaient leur fermeté au travers d’un chemisier de soie verte, une chevelure fine, mi-court, de couleur châtain.

Apparaissaient dans l’échancrure du cou laissé à découvert par un décolleté généreux provoqué par l’ouverture d’un dernier bouton tiré probablement de son orifice par la traction de la bretelle de son sac à main porté en bandoulière, les petites bretelles d’un soutien-gorge de couleur vert amande.

Sa petite jupe claire, très légère et courte sans être vulgaire permettait de voir par transparence la présence d’une petite culotte bien sage. Ses baskets blanches apportaient une petite connotation de légèreté.



Ayant terminé mon travail, et n’ayant guère plus rien à faire avant l’heure de la débauche et pour la rendre moins impatiente, je me dirigeais vers elle :



Elle m’apparaissait complètement désorientée, inquiète, Sa main droite griffonnant son nez.



En l’interrogeant de façon plus précise sur son installation actuelle, je m’aperçus très vite qu’elle n’y connaissait absolument rien et lui conseillais de prendre un artisan pour effectuer l’opération de remplacement.



Son corps dégageait beaucoup de sensualité. Elle savait, en se pinçant la lèvre inférieure avec les dents puis en clignant des yeux, faire naître un certain charme.

De profil, sous ce tissu fluide, avec ce ballottement des seins dans leur corbeille verte, elle exhalait encore plus d’érotisme. Bien involontairement, car son regard révélait une grande inquiétude intérieure : elle n’avait plus le sou ! Son mari buvait le peu qu’il gagnait, les factures s’accumulaient, suivies de lettres recommandées avec AR et parfois de la visite d’un huissier. L’ouverture de la boîte aux lettres chaque jour lui provoquait une telle angoisse qu’elle en était venue à la squatter. Et là. Aujourd’hui : le chauffe-eau qui lâche… La poisse ! Elle se mit à sangloter tout en frottant sa joue du dos de son poignet recroquevillé pour en dégager les larmes.



Je la sentais perdue : complètement à bout ! Je lui tendis un sopalin que j’avais à disposition pour qu’elle puisse se sécher le visage et tentais de calmer cette douleur que je pressentais en elle, ce chagrin qui m’émouvait.



Sur son visage : une moue dubitative…



Elle émit alors un sourire narquois…



Je sentis instantanément l’apaisement l’envahir en apercevant ses muscles se décontracter accompagnés d’un soupir de soulagement et d’une montée de rosée sur ses joues.



Et elle se dirigea vers la sortie d’un pas léger et rapide faisant virevolter sa jupe légère.

J’attendis mon heure de sortie avec impatience bien que ma proposition ait été émise dans un but de service et non de convoitise. Cela aurait dû naturellement me laisser de glace, mais non ! De lourdes et lentes pulsations du désir commençaient à monter en moi et malgré moi. Il faut dire que cette Aline était non seulement mignonne mais sacrément bien désirable !

Je me surpris en prenant ma veste dans mon casier à réajuster ma chemise et déboutonner devant le miroir le premier bouton de ma chemise pour laisser apparaître sur mon poitrail un pendentif en forme de plume en Or.

Arrivé dans mon véhicule, j’indiquai l’adresse à mon GPS tout en m’interrogeant sur l’éventualité d’une fausse adresse. Non ! l’écran m’indiquait que le chemin serait court et rapide.

Je stationnais devant l’immeuble, un HLM triste de 8 étages grisonné par les années, sortis de ma voiture et me dirigeai vers l’interphone. J’appuyai sur le bouton du 5e. J’entendis un « Entrez, Arthur ! » suivi du bruit d’ouverture de la porte d’entrée. L’ascenseur bien sale, aux parois abîmées, me mena dans un bruit d’enfer à ma destination.


La porte était entr’ouverte, je cognai très légèrement deux fois à la porte. Je vis une main blanche aux longs doigts fins la tirer vers elle. Elle apparut dans le même habillement dans lequel je l’avais découverte mais avait eu le temps de se maquiller un peu pour rendre son regard plus marqué et ses joues plus lumineuses.



En la suivant dans le couloir, devant ce postérieur bien équilibré qui semblait m’interpeller à travers ce tissu si léger qu’il permettait de deviner la petite culotte probablement en coton qui le protégeait, ces lentes et lourdes pulsations de désir qui me tenaillaient lors de ma venue se remirent en mouvement. Le ballon d’eau chaude se trouvait dans un placard caché par une étagère qu’il fallut déplacer. Son poids nécessitait qu’on la déplace en se mettant alternativement à deux de chaque côté. C’est ainsi que je fis connaissance de son parfum et de la courbure de ses seins qui firent une courte apparition lorsque sa propriétaire se baissa en faisant bâiller involontairement son chemisier. Je profitai d’un court instant de son inattention pour enfourner une main dans ma poche pour repositionner ma zigounette impatiente en attente le long de mon ventre et ainsi cacher à Aline cette réaction. La porte du placard ouverte, il a suffi que je me baisse un peu pour apercevoir des gouttes de rouille perler le long du boîtier électrique.



Une larme se remit à chuter sur cette joue si…

Touché coulé ! Mon cœur ne fit qu’un tour ! cette détresse si attendrissante me saisit irrésistiblement et ma raison s’envola lorsque je ne pus m’empêcher de lui prendre les mains pour lui dire en la regardant dans les yeux :



Elle s’abandonna dans mes bras en un geste qui se voulait d’abandon fraternel, mais qui se mit à évoluer naturellement quand je sentis ses seins se soulever contre mon torse au rythme de sa respiration, quand ses cheveux parfumés et soyeux frottèrent mon menton, quand ses mains entourant ma taille me serrèrent un peu plus contre elle. Je crois qu’à cet instant, elle dut s’apercevoir de l’émotion de mon bas-ventre. La porte de la cuisine claqua et on entendit des pas lourds arriver. Chacun gardant un air gêné se remit dans une posture adéquate. Le mari entra dans la pièce. C’était un grand gaillard, avec bedaine et barbe, le teint rouge, le visage rond, l’haleine chargée, en jogging et baskets.

Il m’était difficile d’imaginer ce type lourdaud vivre avec cette Aline si gracieuse…



Et Aline d’expliquer à son mari le pourquoi de ma venue et surtout le résultat de ma démarche.



Ce « Monsieur » cette « Madame » employés devant le mari en lieu et place de Arthur et Aline donnait déjà à notre relation un caractère caché qui n’était guère pour me déplaire bien que je sois déjà engagé devant M. Le Maire à ne pas tromper ma conjointe.

Le mardi, l’accueil me transféra l’appel d’une cliente :



J’entendis un grand éclat de rire.



Mardi, je partis au travail très enjoué avec un pantalon bleu marine et une chemise jaune.

Je la vis arriver dans mon rayon dès l’ouverture du magasin avec un grand imperméable, chaussée de sandales à talons, les cheveux rabattus en arrière à l’aide d’une barrette jaune.

Aux oreilles, des pendentifs de la même couleur.



Je prenais le temps dans la présentation, multipliais les détails pour rallonger notre temps de présence. Elle ne m’écoutait guère mais ne quittait pas mon regard de ses yeux amandes, et tout en m’écoutant, elle avait déjà sans le paraître déboutonné trois boutons. Dans l’espace ainsi libéré, je n’apercevais toujours rien. À quoi devais-je m’attendre ? Il a fallu attendre que je sorte le bon de commande pour qu’un quatrième puis un cinquième bouton sautent et qu’apparaisse un collier retenant un petit médaillon et les bretelles en dentelles d’un vêtement dont je n’apercevais pas encore l’intégralité. Leurs jointures s’annonçaient assez basses. Je devais donc m’attendre à un décolleté généreux. À cette pensée, ces lentes et lourdes pulsations du désir se remirent à chanter…Après avoir signé le bon de commande, elle me dit :



J’en profitais pour découvrir le reste de sa tenue qui était une robe shorty satinée sans manches avec bordures fleuries dont l’échancrure permettait d’apercevoir la dentelle d’un soutien-gorge corbeille satiné lui aussi et blanc. La fluidité du tissu et sa légère transparence laissaient deviner le reste ainsi qu’une petite culotte traditionnelle.



Elle tournoya sur elle-même pour se faire admirer une dernière fois avant de partir d’un pas décidé vers la caisse.

Je courus pour la rattraper et fixer un rendez-vous pour la livraison et la pose du ballon. Elle ne pourra être présente, s’excusa-t-elle, mais promit qu’il y aurait deux copains de son mari pour m’aider.

Dès qu’elle disparut, au retour dans mon rayon en l’absence de clients, je déchirai le papier cadeau qui enveloppait une petite boîte à bijoux qui, ouverte fébrilement, révélait un jeton argenté accompagné de ce mot :



Ma semaine d’attente me parut très longue. Je ne me montrais guère disponible pour mon épouse qui me demanda plusieurs fois ce qui me préoccupait.

Et le mardi arriva…Enfin ! Elle aussi. Dès l’ouverture. Et toujours avec le même imperméable. Je l’attendais dans mon rayon. Elle vint, tout sourire.



Un client m’attendait… J’allais rapidement le servir et quand je revins, elle me demanda où se trouvaient les caméras de surveillance. Je le lui indiquai alors qu’un second client m’interpellait. À mon retour, Aline avait disparu. Je la retrouvai dans un des rayons dépourvus de vidéo, l’imper totalement ouvert sur une jupe plissée écossaise à carreaux rouges et verts ultra courte et un tee-shirt très moulant et très décolleté que tentaient de percer deux tétons malicieux.



Et… elle disparut. Je n’avais même pas pensé à la prendre en photo !


Attendre. Rêver. Y penser. L’imaginer. Furent les principales activités de ma semaine. J’allais même jusqu’à faire l’amour à ma femme dans le noir en pensant à elle.


Puis vint le troisième et avant-dernier mardi. J’avais mis pour cette rencontre une chemise d’un rouge éclatant sur pantalon de lin et m’étais rasé de près. Comme d’habitude, c’est elle qui fit l’ouverture du magasin. Toujours en imperméable, elle se dirigea d’office vers le rayon sans vidéo, s’approcha sans un mot pour me tenir par la taille tout en déposant un petit baiser dans le creux du cou, se recula de quelques pas, ouvrit sans hésiter son imper en déboutonnant un à un les boutons tout en me regardant droit dans les yeux.

Je n’en revenais pas ! Cré non d’une pipe ! Sacré bon sang de bonsoir ! Non, ce n’était pas possible, je n’en revenais pas ! Aline était là devant moi en sous-vêtements ! Un petit soutien-gorge à balconnet en satin sublimé par une broderie piquée sur sa partie basse, de fleurs acidulées roses et vertes, doté d’un tour de dos en satin assorti d’un nœud écru à l’entre-bonnet. Ses bretelles étaient embellies d’un discret liseré brillant. Raffiné et élégant !


Quel spectacle ! Quelle émotion, traduite immédiatement par une forte érection : ma zigounette pointait son ravissement au travers de mon pantalon léger. Aline s’en aperçut bien sûr ! elle s’avança tout sourire et saisit mon sexe au travers de mon pantalon.



Elle serra mon sexe avec un quart de tour à droite puis à gauche ! Enfin, elle me demanda :



Un puissant jet chaud et épais inonda mon sous-vêtement à coups de pulsations.



Son baiser d’au revoir glissa cette fois de la joue à la commissure des lèvres.



Toujours le mardi. Toujours à la même heure. Toujours en imperméable, Aline se faufila toujours au même rayon : celui sans vidéo.



Toujours tout en me regardant fixement, elle déboutonna comme d’habitude avec lenteur son imper et lorsque tous les boutons furent ôtés elle ouvrit les deux pans largement et rapidement !

Mazette ! L’apoplexie ! À poil ! elle était entièrement nue ! Pas tout à fait, car elle portait un collier soutenant un coquillage et un bracelet !

Aline portait des seins délicats et fermes de bonne taille (probablement un 85 B) en forme de poire. Autour de sa vulve frissonnaient quelques poils méticuleusement taillés. À ses pieds des sandales à lanière.

Son visage était cramoisi :



Le majeur dans la bouche et les yeux baissés comme une enfant prise en faute !

Bien sûr ! Je bandais ferme, et visiblement !



Je déboutonnais ma braguette en regardant bien sûr s’il n’y avait pas de clients arrivants et la fis sortir :



Aline était scotchée sur ce sexe qui avait fière allure. De taille normale, bien épais, il était beau car il avait la peau du désir. Et le désir, je le lisais aussi dans les yeux de Aline.



Elle me tendit un préservatif et me dit :



Elle ne manquait pas de culot !



Dès ma première entrée, je sentis ses tétons frétiller de plaisir. Wouah hou ! que c’est bon !



Je sentais sa vulve se contracter sur mon muscle baladeur.

Je tentais de l’embrasser !



Vous pouvez accélérer un petit peu et jusqu’à quinze vous pensez à votre femme – faites comme si elle était à côté de moi, un coup pour elle, un coup pour moi – et moi, à mon mari qui ne s’aperçoit pas lors d’un apéro avec un vendeur de chez Leroy Merlin que sa femme est en train de se faire tripoter par lui sous la table.

Vous croyez que si j’étais allé acheter le ballon d’eau chaude chez Castorama j’aurais eu la même…


Alors là, elle exagère ! Je vais te la baiser propre et je la pilonnais plusieurs fois de rang, claquant mes bourses contre son pubis.



C’est ainsi qu’on est arrivé à vingt. Elle savait compter, la garce !



Pour toute réponse je montais à l’assaut libérant au fatidique 30e coup toute la semence du mec en rut sentant sa femelle toute benaise lui griffer le dos de plaisir et libérant ses spasmes de jouissance.

Elle se retira, cherchant un mouchoir pour s’essuyer. J’allais chercher un sopalin et en profitai pour tirer une photo vite fait. Elle reboutonna son imperméable et disparut en m’envoyant un petit baiser suivi de cette roucoulade :



Elle ne manquait pas d’air ! Vraiment !

J’ai immédiatement pensé au jeton car je venais subitement d’en trouver l’emploi. À la fin de la semaine, après avoir peaufiné mon projet, je lui envoyais un message :


Utilisation de mon joker : réalisation de votre phantasme. Habillez-vous fluide et accessible puis invitez-moi à un apéro en présence de votre mari, mais pour respecter votre contrat, vous n’aurez droit à aucun orgasme ! Je préférerais que ce soit vendredi vers 20 h : heure du match de l’équipe de France. J’aurais ainsi une excuse toute trouvée pour ne pas être présent auprès de ma femme et cela ferait plaisir aussi à votre mari fan de foot, non ?

Arthur.


J’ai attendu deux très longs jours avant de recevoir une réponse :



Après bien sûr une attente qui m’a pas mal perturbé, je me présentai, tout propret à son domicile. Elle m’accueillit avec les mêmes vêtements dont elle était revêtue lors de la première rencontre. Je clignai des yeux d’admiration.



Je la suivis jusque dans la salle de séjour. Elle me présenta ainsi :



Puis en revenant de la cuisine, elle alla s’asseoir sur le fauteuil bas en face de son mari. Derrière celui-ci, la télévision grand-écran. La place du fauteuil lui permettait de croiser et décroiser les jambes sans que son mari tout occupé à parler du match de l’équipe de France ne puisse s’en apercevoir. La garce ! Ainsi elle se mettait hors d’atteinte tout en exacerbant mon désir. Ma zigounette virevoltait dans son logement et cognait à la porte. ! Je ramais pour essayer de tenir une conversation avec le mari. Entre ses cuisses d’un blanc laiteux, je pouvais apercevoir une petite culotte rose en dentelle transparente. Elle se leva pour me présenter le plateau dos au mari en se penchant au maximum afin de me présenter en même temps ses deux globes magnifiques présentés dans un soutien-gorge léger et raffiné tout en me fixant du regard avec toujours ce regard malicieux. Je pris du temps à me servir en cacahuètes. Comme je le supposais, le mari était accroc à la boisson et Aline s’arrangeait pour que son verre soit toujours approvisionné. Pour être plus tranquille ?

Il me fallait trouver un truc pour inverser les places. J’attendis que les verres successifs d’apéro commencent à agir sur mon voisin. Il s’absenta quelques instants pour aller aux toilettes. Je lui pris sa place et lorsqu’il revint, il lui expliqua que je m’étais permis d’intervertir les places afin de pouvoir montrer à son épouse une vidéo de montage de barre de rideau sur mon téléphone. Bien sûr, je ne lui rendis pas sa place. Il alla occuper le fauteuil qu’il dut naturellement retourner pour se trouver face à l’écran. J’en profitai immédiatement pour, avec le bout du doigt, toucher puis parcourir le genou d’Aline qui dégagea immédiatement un frisson. Le divan deux places n’était pas très large, ce qui obligeait nos corps à se toucher et ce contact créait une émotion certaine. Aline posa sa main sur sa jupe pour lutter contre ce doigt qui s’apprêtait à gravir la pente. La table basse nous cachait du mari. Je laissais mon avant-bras se frotter au sien… Ne pouvant m’immiscer d’un centimètre sous sa jupe, je me mis à jouer avec sa main disponible, griffant l’intérieur de sa paume. Le contact était doux et délicieux. Elle ne put s’empêcher d’entrecroiser nos doigts, en les serrant sensuellement. Commença alors un ballet…alors que le mari était scotché devant l’écran, commentant le match et ne nous jetant qu’un regard furtif en se tournant de trois quarts pour se resservir une gorgée. Et sur le genou, ce doigt restait immobilisé à l’entrée de cette pente par une main ferme. En lui pinçant le bout d’un sein, je provoquai immédiatement et instinctivement le repli de cette main barrière ce qui me permit de gagner du terrain. Je me tournai alors vers Aline pour lui annoncer :



Je savais Aline, joueuse… Elle acquiesça instinctivement puis montra de suite un souffle de remords. Trop tard. La pendule en avançant ses aiguilles me narguait. Puis un hurlement heureux du mari à la troisième minute me libéra : Aline en me jetant un regard perturbé, pour accomplir son gage, écarta lentement ses cuisses, releva sa main m’offrant alors le chemin de l’interdit. Cette fois, c’est moi qui resservis la boisson et profitai de remplir ras le bol le verre du mari, m’assurant ainsi une liberté plus longue que je demandais à mon doigt d’utiliser. Il remonta le long de la jambe doucement en frôlant la peau, se promenant au haut de la cuisse vers l’intérieur, provoquant chez ma voisine un frissonnement de plaisir. Elle fermait les yeux, profitant de cette balade footballistique. Mon doigt parvint après mille détours au liseré de sa petite culotte dont elle suivit le chemin avant de se positionner devant l’essentiel. Elle se mit alors à vagabonder à travers le tissu si léger sur les lèvres humides de sa propriétaire. Aline commençait à se lâcher. La fermeté des tétons de sa poitrine visible à travers le chemisier léger, son mouvement, le souffle haletant annonçait la vague dévastatrice du plaisir. À ce moment-là, je me penchai à l’oreille d’Aline pour lui murmurer :



Aucune réponse mais un tapotement sur ma cuisse m’intima l’ordre de ne pas la laisser dans ce manque, mon doigt alors se glissa sous le liseré pour entamer sa balade finale et ainsi peut-être gagner un second jeton.