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Temps de lecture estimé : 22 mn
10/10/22
Résumé:  En cette année 1975, l’été revient bientôt, ma femme (Viviane) et moi (Sébastien) prenons la direction de la rivière qui coule en contrebas de chez nous, dans notre contrée du sud-ouest peu fréquentée.
Critères:  fh fhhh inconnu bain exhib cunnilingu pénétratio sandwich fsodo -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Au bord de la rivière

Un récit qui ne prétend pas au Goncourt, mais que j’espère divertissant.

Bonne lecture : )






Un petit coin



En cette année 1975, l’été revient bientôt, ma femme (Viviane) et moi (Sébastien) prenons la direction de la rivière qui coule en contrebas de chez nous, dans notre contrée du sud-ouest peu fréquentée. Ce jour-là, nous décidons de chercher un nouveau lieu de baignade, que nous espérons moins fréquenté et à l’abri des regards, même s’il y a rarement foule.


Après quelques recherches infructueuses, nous dénichons ce petit coin de presque-plage abrité sous les arbres et plutôt bien exposé.


Une petite plage de sable et gravillon, ombragée, bien à l’écart, rien de mieux pour passer une belle journée. L’eau est assez fraîche mais fort agréable avec ce soleil déjà très ardent en ce début de juin. Nous faisons quelques allers-retours entre l’eau et nos serviettes. La rivière n’est pas très profonde, à peine un mètre dans le meilleur des cas. Aujourd’hui, ce sera une journée bronzette et repos, loin des turpitudes de la ville et du boulot.


Pourquoi rester à la maison et y faire quoi ? Regarder la télé et ses trois chaînes d’état ? Non, il fait beau, autant en profiter.


J’ai adopté le slogan qu’il faut travailler pour vivre et non vivre pour travailler, et ma femme est entièrement d’accord avec moi. Je profite du joli temps pour prendre quelques photos de Madame. Comme toujours, elle pose avec plaisir au milieu de la rivière, puis sur un rocher, sur la plage… Les photos seront sans aucun doute très réussies. Surtout celles où elle est toute nue, impudique, nullement complexée de dévoiler son corps si affriolant…


Je sais que je pourrai compter sur la légendaire discrétion de Jérôme qui se fera un plaisir de développer cette pellicule et me faire quelques tirages, et même des agrandissements.


Ah ma Viviane à moi ! Assurément un joli brin de fille très nature, dont la bouche sucrée lâche parfois (voire souvent) des grosses incongruités auxquelles personne ne s’attend, surtout quand c’est dit avec une spontanéité désarmante et un large sourire.


Même moi, malgré les années, je suis encore surpris !



Un peu plus tard, nous pouvons apercevoir un peu plus en aval dans la rivière un homme qui se baigne mais il ne semble pas faire cas de notre présence. Toujours nue, son adorable corps offert aux rayons du soleil, ma femme s’inquiète un peu :



Viviane est à moitié rassurée :



Nous décidons de retourner nous mettre à l’abri du soleil, sous ces arbres, allongés sur nos serviettes l’un à côté de l’autre. Les douces mains de Viviane viennent se poser sur mon torse, puis elles glissent vers mon ventre pour finalement venir titiller de ses doigts le bout de mon sexe sous le maillot.



Il n’en faut pas plus pour provoquer chez moi une belle érection. En un rien de temps, mon sexe se dresse telle une colonne d’airain, pris en main par ma coquine. Elle me branle doucement, lentement, son regard vicieux fixe le mien, dévoilant toute son excitation :



Peu après, sa bouche suave remplace les aller-retour de sa main, puis c’est à genoux, face à moi, que sa bouche m’offre comme souvent une somptueuse fellation. Oui, ma femme aime bien me sucer, elle préfère même ça à une classique pénétration… Je ne vais pas râler sur cette préférence, mes ex-copines n’étaient pas très fans de rapports buccaux.


Viviane sait que j’adore ça, et que j’aime encore plus que ce soit dans ce genre de lieu, hors de chez nous. Je suis terriblement excité de voir ma chérie me tailler de la sorte une belle pipe. Béat, je reste allongé, me faisant servir, elle, à quatre pattes devant moi, ma queue bien raide dans sa bouche si experte, et son regard clair de belle salope souvent plongé dans le mien. Son popotin est largement relevé, sans doute bien ouvert face à la rivière, derrière elle.


Le temps est suspendu… Que c’est bon !


Oh oui, que c’est bon !




L’autre côté de la rive



Soudain, je constate que nous ne sommes pas précisément seuls :



Toujours appliquée à lustrer ma tige, Viviane ne fait pas de commentaire, juste un petit hm-hm qui s’échappe de sa bouche qui continue sa suave et humide caresse. Ma charmante épouse a de temps à autre un petit côté salope dans le bon sens du terme. Ce qui n’est pas désagréable pour égayer la routine. Je tiens à préciser :



Viviane me refait son petit hm-hm, continuant sa délicieuse caresse. Alors, je m’applique à lui raconter ce qu’il se passe dans son dos :



Viviane semble attentive à mes commentaires, je sais que la situation l’excite, mais je sens aussi qu’elle ne me croit pas. Elle me connaît et sait que je peux facilement verser dans l’invention pour augmenter encore plus son émoi. Ça semble être le cas, car tout en continuant à pomper la queue, la voici en train d’écarter un peu plus ses jambes et de cambrer un peu plus son dos pour mettre en valeur sa croupe de façon pleinement impudique et exhibitionniste.



Ces paroles semblent faire un certain effet, puisque ma belle commence à onduler du fessier. Je suppose qu’elle est déjà en train de mouiller. Elle aime fantasmer et elle est très joueuse.



Sans toutefois se retourner, Viviane arrête momentanément sa fellation, ma verge toujours bien en main, puis elle me demande d’une voix assurément vicieuse :



Sans perdre une seconde de plus, sa bouche vient à nouveau gober ma queue.



J’incline la tête pour indiquer un oui muet. Une main inconnue se pose délicatement sur les fesses de ma femme. À sa réaction, je comprends qu’elle croyait que je fantasmais et que cet inconnu n’était que le fruit de mon imagination. Elle ouvre de grands yeux étonnés, mais curieusement, elle continue de me sucer sans se retourner pour voir qui est actuellement là derrière elle.


Bien qu’elle soit assez ahurie par la situation qu’elle croyait inventée de ma part, elle se laisse néanmoins caresser par un inconnu. Elle tremble un peu. La peur ? L’excitation ? Mais elle n’arrête pas pour autant sa divine fellation.


Une voix grave retentit :



Toujours à genoux, la voici en train de se faire bisouter et caresser les fesses. Puis l’inconnu s’offre le luxe de venir frotter son sexe bien raide contre le popotin de ma femme qui ne bronche pas. Je me demande comment elle arrive à ne pas céder à la curiosité ! Ne pas savoir qui est derrière elle décuple peut-être, non sans doute, les sensations, qui sait…



Tout en caressant et bisoutant les fesses offertes, l’inconnu demande :



Alors que j’allais répondre, j’entends un bruit sur le côté : un autre homme est en train de contempler la scène tout en se masturbant. Je crois deviner comme un air de parenté entre ces deux hommes. Muettement, je fais comprendre au nouveau venu qu’il peut s’inviter au bal, ce qu’il comprend illico.


Décidément, le langage des signes muets est très efficace !


Cette fois-ci, la surprise de ma femme est moins marquée quand une troisième main se pose sur elle. Déjà blasée ? Ou bien, l’avait-elle vu ou entendu venir ? Plus on est de fous, plus on rit ?


Viviane est maintenant offerte aux caresses de ces deux hommes. Même si quatre mains et deux bouches s’occupent à présent d’elle, ce n’est pas pour autant qu’elle délaisse ma verge qu’elle a toujours en bouche. Elle ignore toujours le visage des inconnus.


Les visiteurs imprévus s’enhardissent un peu plus. Les jambes bien écartées, Viviane est en train d’être caressée, cajolée, fouillée, doigtée par des quidams qu’elle ne connaît pas du tout. Emportée par une vaste vague, elle gémit sourdement, se laissant aller.


Parfois, Viviane délaisse ma bite pour mieux soupirer d’aise, puis elle l’engouffre à nouveau, sans toutefois vouloir voir le visage des nouveaux venus.


Toujours à quatre pattes, elle offre sans réserve sa chatte, qu’une bouche avide commence à lécher, ayant écarté les bords de son buisson. Cet homme semble doué, car ma femme apprécie vivement son cuni, tandis que l’autre voyeur s’amuse avec les tétons de ma belle cochonne offerte. Viviane adore se faire titiller le bout des seins, tandis qu’on s’occupe plus bas d’elle.


Chatte léchée et tétons étirés, un beau mélange qui lui procure un premier orgasme plutôt muet puisque je suis toujours dans sa bouche.


Ah, quel plaisir de savoir ma chérie prise ainsi en main, et de la voir et de l’entendre jouir en sourdine avec deux inconnus ! Délaissant parfois ma tige, ses petits cris de plaisir font dresser à mort les deux verges inconnues, sans oublier la mienne !


L’autre homme se positionne derrière elle, venant frotter sa verge entre les fesses de ma femme, aussi bien à l’orée de son petit trou que près de sa fente. Va-t-il oser la pénétrer ? Et où ?


Pour l’instant, il se contente de se frotter voluptueusement, allant et venant sans répit, soupirant d’aise. L’autre individu s’amuse avec les seins pendouillants de ma femme qu’il soupèse, qu’il palpe, qu’il malaxe avec ferveur. Il aurait tort de se priver de ce genre de plaisir…


N’y tenant plus, je sens que la sève monte, mon sexe se contracte. Viviane, qui me connaît, sait que je vais bientôt vouloir me vider. Dans un grand râle, j’expulse mon sperme qui dégouline en cascade au fond de sa gorge, tandis qu’elle boit sans en perdre une seule goutte.


Plutôt admiratifs, les deux hommes la regardent avaler ma semence. L’un d’eux s’exprime franchement :



Est la réponse que je fais, l’esprit un peu ailleurs. Ma femme continue sa divine sucette, jusqu’à ce que je sois propre, puis elle me délaisse, se redressant, toujours agenouillée et nue.


Puis toujours sans prononcer un seul mot, ma femme se retourne. Elle dévisage à présent les deux hommes, semblant les trouver à son goût. Elle caresse distraitement les deux verges, soupesant au passage les testicules qu’on devine bien remplis.


Après quelques agaceries supplémentaires, toujours sans un mot, elle s’allonge sur le dos. Elle scrute les deux hommes qui l’ont fait jouir. Sans rien dire, elle leur sourit, jambes à moitié écartées, à nouveau offerte, avec un accès direct sur ses cuisses, son buisson, son ventre et ses seins, visiblement livrée à leurs futures caresses. Il va sans dire que le message passe cinq sur cinq.


Néanmoins, ces inconnus semblent avoir une autre idée en tête…


Queue à la main, encadrant ma femme sur les côtés, les deux hommes se masturbent, frottant parfois leur gland sur les seins de ma femme. Je pressens que la suite des événements sera assez humide, les inconnus souhaitant profiter au maximum de l’aubaine.


Toujours muette, ma femme s’invite activement au bal en saisissant les deux verges, les branlant avec toute sa science. Puis, allant d’une queue à l’autre, elle alterne branlette et sucette, ce que les deux hommes apprécient vivement. Parfois, elle s’offre le luxe de mettre les deux queues dans sa bouche. Entretemps, ses lèvres s’activent fougueusement et sa langue virevolte voluptueusement.


Le plus grand des deux inconnus constate d’une voix grave :



Son voisin confirme avec un accent méridional :



Visiblement, les deux vits ont des palpitations, les voyeurs respirent fortement, mâchoire crispée. Dans très peu de temps, ça va gicler très fort ! Presque en même temps, les deux hommes éjaculent, tapissant de sperme les seins aux tétons érigés. De longs jets fusent, la poitrine de ma femme devient de plus en plus luisante, accrochant le soleil. Déjà de fines rigoles visqueuses se font jour, tandis que les deux invités épuisent leurs dernières forces.


Toujours allongée sur le dos, contemplant le spectacle de sa poitrine souillée, Viviane s’empare d’une première queue flasque et poisseuse pour la nettoyer dans sa bouche avenante. L’homme soupire d’aise sous cette caresse. Peu après, son comparse subit la même chose et soupire encore plus fort. Décidément, ma femme est une vraie petite salope !


Mais ça je le savais depuis un certain temps… Ma femme s’est exercée lors d’un certain mois de mai, celui de l’année 68, où il était interdit d’interdire… Mais c’est bien la première fois qu’elle s’offre de la sorte à des inconnus en pleine nature.




Des deux côtés de la rive



Le temps semble suspendu. Nous, les trois hommes, reprenons peu à peu pied sur terre. Le plus petit des inconnus lance d’une voix à l’accent chantant :



Pour la première fois, Viviane se fait entendre :



Joyeuse, ma femme se met à rire, franchement. Puis sans complexe, elle se remet à quatre pattes, exhibant impudiquement ses fesses sous nos nez :



Je suis étonné que Viviane soit restée prude dans ses paroles. Je me serais attendu à des termes beaucoup plus triviaux. Peut-être joue-t-elle le jeu du langage châtié ? Ma femme est plutôt nature et sans circonvolution. Le naturel revient très vite, puisqu’elle lance, goguenarde :



Verge en main, l’homme s’esclaffe :



Son voisin se met aussi à rire, puis propose :



Toujours aussi impudiquement à quatre pattes, ma femme répond :



Le dénommé Domitien se positionne derrière ma femme, annonçant la couleur :



L’instant d’après, il commence par quelques baisers bien appuyés, accompagnés de coups de langue. Puis, se redressant, verge en main bien dans l’axe, il s’enfonce avec volupté dans la fente accueillante et déjà bien humide, commençant une vaste cavalcade, les mains bien rivées aux hanches de ma femme. Je vois à son visage que Viviane s’étonne de la vigueur vite retrouvée de Domitien.


Assis sur le côté, récupérant toujours, Jean explique :



Amusé par cette révélation, je demande :



L’homme sourit :



Puis nous contemplons Viviane se faire assaillir par la fougue de Domitien. Celui-ci la baratte posément, jouant de son instrument en pistonnant, en pivotant, en tournoyant. Sa verge est de taille commune mais assez large, et visiblement bien accrochée à sa base. Viviane n’en revient pas de tout cet enthousiasme ! Mais je constate qu’elle apprécie grandement l’hommage qui lui est fait.


Tout en la perforant joyeusement, Domitien annonce d’un ton fort docte :



Toujours secouée, ma femme se met à rire :



Ce qui ne ralentit nullement l’ardeur de Domitien. Le nez pointé vers le ciel, Viviane ouvre grand la bouche, signe que son plaisir monte doucement mais sûrement en elle, ce qui m’étonne un peu, car elle n’est pas très amatrice des pénétrations. Peut-être la nouveauté, le contexte…



N’en pouvant plus, Domitien se vide à nouveau, remplissant longuement ma femme, mélangeant sa jouissance et la sienne en divers tremblements. Puis arrive la phase de repos, aussi bien pour Domitien que Viviane.


Repos qui sera court pour ma femme, car Jean se fait un plaisir de remplacer Domitien. Le nouveau venu s’introduit aisément dans la fente ruisselante, sa verge est moins épaisse mais plus longue, une autre expérience pour Viviane.



Viviane remue du popotin, malmenant la colonne de chair plantée en elle :



Jean s’applique à entrer puis à ressortir en divers amples mouvements. Une autre façon de faire qui ne semble pas déplaire à ma femme. À chaque fois, on a l’impression que l’homme arrive à s’enfoncer encore plus loin en elle. À chaque fois, ma femme soupire quand la verge disparaît totalement en elle. Il faut reconnaître que Jean l’a assez longue, ce qui n’est pas une mince affaire pour l’accueillir jusqu’à la garde.


Ce petit jeu dure environ quelques longs instants, puis Jean annonce, l’air contrit :



Jean se retire, puis saisissant la base de sa verge, il pointe sa fine tige, un peu plus haut. Puis il appuie délibérément son gland dans la cuvette ourlée. Viviane s’alarme :



Sans attendre la réponse, Jean pousse son avantage, et son gland disparaît bien vite dans les sombres profondeurs de ma femme. Celle-ci pousse un petit ah de surprise. Continuant à s’introduire, son nouvel amant demande :



Jean se positionne un peu autrement, puis petit à petit, il continue son exploration du sombre tunnel. De son côté, ma femme baisse la tête, subissant cette longue introduction en elle, tout en se masturbant. Les centimètres disparaissent les uns après les autres… interminablement…



Jean affiche un sourire satisfait :



Jean continue d’afficher un sourire satisfait :



Lentement, il commence un long mouvement de va-et-vient, ressortant la moitié de sa tige pour mieux la réintroduire ensuite. Puis l’action s’accélère, la colonne coulisse de plus en plus vite, sans effort apparent, largement lubrifiée par le mélange de cyprine et de sperme issu de la fente détrempée où elle était plongée avant. Ma femme se pince parfois les lèvres, souffle, mais semble apprécier l’outrage.


En sueur, Jean se laisse aller de plus en plus, s’appropriant totalement le cul de ma femme :



Continuant son diabolique pistonnage, il s’accroche encore plus fermement aux hanches blanches :



Tandis que Viviane agite frénétiquement ses doigts dans sa chatte dégoulinante, Jean donne encore divers coups de queue pour mieux profiter de la situation, tout en résistant au mieux :



Jean s’agrippe un peu plus encore :



Savourant chaque entrée et sortie, Jean plonge et replonge voluptueusement dans un tunnel de plus en plus dilaté. Puis n’y tenant plus, après s’être enfoncé encore plus loin dans les sombres entrailles, il libère à nouveau son sperme afin d’envahir et de posséder les profondeurs de ma femme. Celle-ci en profite pour se laisser aller, elle aussi, leurs cris de plaisir et de jouissance se mélangeant.


Encastrés l’un dans l’autre, ils jouissent tous les deux durant de longs moments.


Puis Jean se retire lentement pour venir s’affaler. Libérée, ma femme fait de même. Les voici allongés côte à côte. Récupérant peu à peu, son amant caresse à présent ses seins restés néanmoins luisants. Il reprend son souffle puis murmure à sa voisine :



Puis ils se mettent à rire tous les deux. Domitien les accompagne. Je constate que ce dernier est à nouveau en forme pour continuer à profiter des bonnes dispositions de ma femme. Il est vrai qu’il ne faut jamais remettre à demain, ce qu’on peut faire le jour même, surtout quand on met la main (pour ne pas dire autre chose) sur une femme très permissive.




Les petits ruisseaux font les grandes rivières



Se laissant toujours caresser par Jean, ma femme s’amuse de la tournure des événements :



À ces propos, Viviane s’exclame :



Toujours en train de câliner sa voisine, Jean hausse un sourcil :



Sans arrêter de la patiner, son nouvel amant propose :



Jean se tourne vers moi, et sans attendre sa question, je réponds :



Ma femme se tourne vers le comptable :



Tout le monde se met à rire. C’est ma femme qui reprend la parole en premier, disant en toute simplicité, sans chichi :



Admiratif, Domitien se tourne vers moi :



Houlà, deux autres prétendants, la concurrence est rude. Encore heureux que je me sois servi le premier. Peu après, la configuration confirmée, nous passons à l’acte. Domitien s’allonge de dos sur une des serviettes. Aussitôt, ma femme le chevauche avec un naturel désarmant, s’empalant à mi-garde sur une verge assez épaisse. Puis, elle demande à l’homme qui est sous elle :



Puis lentement mais sûrement, elle se laisse choir, faisant disparaître la large verge en elle. Les poils de sa toison se mélangeant à ceux de Domitien, elle soupire :



Puis elle se couche à moitié, posant à présent ses seins sur le torse de l’écrivain, présentant ostensiblement ses fesses au comptable qui se fait un plaisir de pointer sa verge vers un petit trou encore un peu évasé, puis de se fourrer à nouveau au chaud.


Ainsi investie, Viviane s’exclame :



Quant à moi, je complète le tableau en occupant la bouche de ma femme afin de ne plus entendre son langage peu châtié…


Je ne connais pas le nom exact de cette figure, trois hommes enfichés dans les trois sortes, une sorte de super-sandwich mâtiné de tournebroche, mais en tout cas, c’est ultra-jouissif, pour toutes les parties. Tous ces hommes bien incrustés dans la même femme qu’ils vont bientôt remplir. Une femme triplement comblée, totalement offerte et adorée.


Les joies de l’actuelle libéralisation des mœurs !


Coulissant tous les trois en même temps dans le même corps, nous nous synchronisons instinctivement. Vu le regard que ma femme me lance tandis qu’elle me suce et que ses deux trous plus bas sont investis, il est flagrant qu’elle prend son pied à être triplement envahie !


Ôtant ma verge de sa bouche, ma femme s’exprime à pleine voix :



Puis elle enfourne à nouveau ma colonne bien raide pour la sucer comme elle sait si bien le faire depuis des années, dans l’attente d’être bien inondée et de déborder de toutes parts.


Ce qui ne manque pas d’arriver très vite !


Trois hommes qui se déversent presque en même temps, trois hommes qui jaillissent, qui inondent, qui envahissent, qui submergent, c’est quelque chose ! Je suis prêt à mettre ma main au feu que Viviane en aura des étincelles dans les yeux quand elle évoquera plus tard la chose, même dans quelques années !




Les petites rivières ont du bon



Je vous épargne les autres facéties que nous autres, les trois hommes, avons pu faire avec une Viviane très demandeuse en turpitudes. Sinon ça doublerait allégrement la longueur de ce présent texte et ça deviendrait notoirement répétitif. Sachez que ce fut très… humide et liquide… Voilà, voilà…



Revenons sur le fil de ma narration, après le passage de toutes ces débauches en quatuor.


À présent, ma femme est l’image de la parfaite dévergondée, avec ses lèvres et ses seins luisants de sperme, son bosquet noir devenu complément poisseux, sans parler de toutes les traînées de foutre qui maculent son ventre, ses cuisses, ses jambes. Sans parler de ce qu’il y a encore en elle. Je crois que je viens de deviner d’où vient l’expression « traînée » quand il s’agit d’une femme…


Sans oublier son sourire radieux de belle salope comblée et ses yeux luisants de concupiscence…


Un beau spectacle, après toutes ces débauches en quatuor, auprès d’une petite rivière, notre couple avec deux inconnus qui profitent allégrement de l’aubaine qu’est ma femme. J’en sais quelque chose puisque je l’ai épousée en connaissance de cause !


Pour parler crûment, ma belle salope vient littéralement de servir de vide-couilles pour trois queues en rut. Voilà, c’est dit.



Donc, disais-je, un peu plus tard, après diverses autres agaceries, accompagnée par ses deux amants du jour, avec de grands éclats de rire, ma femme se baigne dans la rivière pour se laver de toutes ces turpitudes poisseuses et visqueuses, se laissant joyeusement patiner par quatre nouvelles mains avides.


Une belle journée qui ne fait que commencer…

Décidément, les petites rivières ont du bon !