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n° 21255Fiche technique19009 caractères19009
Temps de lecture estimé : 11 mn
31/10/22
Résumé:  L’arrivée à la grande ville d’une personne en recherche, qui fera une belle rencontre.
Critères:  hh hplusag trans init -initiatiq -travesti
Auteur : Fredlie            Envoi mini-message
Arrivée à Paris, découverte de Léa

Viens à Paris tu seras bien, tu verras.


Cette promesse, je l’ai suivie, et dès mes dix-huit ans, le bac en poche, me voici en direction de la capitale pour aller à la fac. Pourquoi Paris ? Car imaginez grandir dans une petite ville de province où tout le monde se connaît, grandir et ne pas être attiré par le sexe opposé ! Oui, la France est tolérante, mais les parents ont du mal avec vos « manières », j’ai eu droit à des « tu ne ramènes jamais de copines » et autres regards suspicieux.


Ne pouvoir discuter que sur des forums avec des inconnus qui sont loin de votre vue, échanger des photos, craquer sur un autre garçon et ne jamais en donner l’impression… La campagne, ce cadre idyllique devient vite oppressant quand on est différent. Surtout qu’au fond de moi, je me sens différente. Alors j’ai bûché des études d’art et la sélection aux Gobelins est la voie royale, une bourse d’aide et un logement, un chez moi où je peux enfin être moi.


La journée, je suis Léo, jeune homme fin, timide et un peu efféminé, le soir chez moi je suis Léa, avec ma petite garde-robe féminine que je crée petit à petit dans ma chambre d’étudiante et des jouets pas chers pour me découvrir dont j’use et abuse en attendant un homme.

Les études, la fac, la vie parisienne, j’adore ! Je peux enfin regarder les garçons sans me cacher, goûter aux joies des premiers baisers et des soirées avec des amis sans être jugé. D’ailleurs, ce soir, c’est une soirée déguisée, je suis invité par Thomas qui a des vues sur moi. Il me fait vibrer, il parle d’acceptation, de théorie de genre, je sens qu’à lui je pourrais me confier. Je m’apprête : rasé de près, habillé d’une petite robe noire, de bas. La soirée déguisée, j’y serais en Léa pour une fois !


La porte s’ouvre et Thomas m’ouvre :



Son regard s’assombrit et là, douche froide…



Une porte qui se claque sur mes illusions, le retour est long, et voilà comment au lieu d’une soirée rêvée, je me retrouve à errer dans la cour de mon immeuble, le cœur brisé, ayant bu beaucoup trop pour oublier cette soirée. Putain de soirée !




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Encore une grosse journée au taf et Madame qui n’est pas là pour deux semaines à cause de son travail. Faut s’occuper des chats, de la maison, et vider les poubelles… Rien que de plus normal, mais quand elle est absente, il y a toujours un manque de vie autour de moi. Trente-sept ans, marié sans enfants, la vie est belle, mais le boulot de ma femme qui l’emmène deux semaines par mois dans le monde entier fait de moi un célibataire géographique régulier.

C’est bizarre, par contre, dans la cour, j’entends pleurer, encore les voisins du quatrième qui se sont disputés.

Ah non, c’est une jeune fille, je ne l’ai jamais vue ici, c’est peut-être l’étudiant du dernier étage qui l’a larguée, je pensais qu’il aimait plutôt les hommes, mais bon, aujourd’hui, la jeunesse a les idées larges, ils ont bien raison.

Je vais peut-être aller lui parler quand même, une femme qui pleure, il s’est peut-être passé quelque chose de grave.



Enfin, elle me regarde, j’essaye d’aider les gens, mais parfois c’est un peu gênant.



La jeune fille se remet à sangloter plus fort et en la regardant je comprends d’un coup.



Elle me regarde, effrayée.



Elle dit oui. Je l’aide à se relever et la soutiens, c’est parti, cinq étages à monter.




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C’est dur dans l’escalier, en vrai je n’ai pas beaucoup bu, mais je n’ai jamais été bourré, heureusement il est là, il me tient. Je profite de la montée pour me serrer contre lui, c’est la première fois que je suis aussi proche d’un homme et ce corps contre le mien m’enivre. Je sens ses muscles contre mon corps.

On arrive devant ma porte, il me lâche et me regarde.



Le voilà chez moi, je n’imaginais pas que le premier homme ici serait un homme de deux fois mon âge ! Il a ce charme des hommes sûrs d’eux.

Il s’assoit sur mon canapé-lit et je le rejoins avec un café.



Je le regarde et il me regarde sérieusement, il commence à sourire et je me mets à rire avec lui.



Je monte sur lui et m’assois, les fesses sur son sexe.




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Cette fille est sauvage, elle s’est installée sur moi et ses fesses frottent contre mon sexe. Je regarde dans ses yeux et y vois un désir brûlant. Alors qu’elle semble hésiter, je dépose un baiser sur ses lèvres et elle me dévore la bouche. Je l’embrase en retour et elle se déhanche contre mon sexe pendant que nos langues se cherchent, je la sens trembler et vibrer alors qu’elle se frotte contre moi et que je lui malaxe ses fesses.


Elle se met à quatre pattes devant moi et me tend une bouteille de lubrifiant.



Je m’approche d’elle et commence à lui enfoncer un doigt, puis deux, son sexe s’ouvre sous mon massage, je la sens gémir sous mes doigts.

Je la fais se retourner sur le dos et continue à la doigter en prenant son sexe en main. Elle crie et jouit avec mes deux doigts en elle et se retrouve pantelante sur son lit et recouverte de son sperme.



Je la sens se réveiller et baisser mon pantalon.





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Il m’a appelé Léa, je ne pense qu’à ça quand je le prends dans ma bouche. Il m’a aussi doigté et fait jouir comme jamais, alors je vais bien m’occuper de lui.


Il passe sa main dans mes cheveux et il gémit mon prénom doucement : Léa, Léa, Léa.


C’est la première fois que l’on m’appelle Léa, je me sens vivante, vibrante, et je me délecte de son sexe dans ma bouche, des gouttes salées perlent sur son gland que je m’empresse de savourer.

Il me saisit la tête entre ses mains et il commence à bouger son sexe et à me baiser la bouche de plus en plus vite avant de ralentir.



Je le regarde et lâche son sexe, il est plein de désir, le sexe érigé, il me semble si beau et si attentionné. J’ouvre grand ma bouche devant lui et lui dis mon souhait :



Et je le prends au fond de ma gorge.




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Mon Dieu, cette fille est folle ! Je sens sa langue caresser mon sexe pendant que sa gorge se resserre autour de mon gland. Je gémis et je me vide, je la sens aspirer et avaler mon sperme qui déborde de sa bouche et coule sur son visage. La jouissance m’emporte et je ferme les yeux, épuisé.


Quand je reprends mes esprits, Léa est toujours en train de gentiment lécher et nettoyer mon sexe.



En disant cela, elle se penche devant moi, me dévoilant son anus qui palpite déjà. Je lui donne un premier coup de langue, son goût est un peu âcre, mais pas désagréable. Je tiens alors ses fesses et plonge ma langue dans son intimité.




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Ouuuuuiiiiiii ! Sa langue me fouille, il me lèche sans hésiter, il aime cela et ça me rend folle. Je suis suspendue à cette langue qui me fouille, je sens sa salive qui me rend humide et ses grognements me rendent folle.


Il se retire d’un coup et je me sens vide, il m’attire à lui et m’embrasse à pleine bouche. Je savoure mon odeur sur sa langue et sursaute quand deux de ses doigts commencent à me fouiller, je sens mon cul s’élargir de plus en plus pour lui pendant que mon plaisir monte.

Mes mains parcourent son corps et je sens que son sexe a repris toute sa vigueur. Je le fais coucher sur mon lit et je m’empale sur son sexe.


Un flash, la douleur… Et mon corps se cabre. Il est gros, plus gros que mon sex toy, je me fige, des larmes me viennent.



Il me prend délicatement dans ses bras, il couvre mon corps de baisers.



Sa voix dans mes oreilles, ses mains qui me caressent, sa douceur me détendent peu à peu. Je sens son sexe qui s’enfonce de plus en plus au fond de mes entrailles. Centimètre par centimètre avant que je l’avale complètement. Je sens les sensations monter petit à petit, je commence à bouger sur sa queue. Il me sourit.



Je vais et viens sur lui alors qu’il me laisse le contrôle. Ma chevauchée devient plus intense, je me sens partir.

Alors que je jouis sur lui et que mon anus convulse autour de son sexe, je le sens jouir en moi et me remplir. Il me prend dans ses bras et je m’endors, son sexe toujours ancré en moi.


Je me réveille quelques heures plus tard. Son sexe toujours en moi, je l’entends ronfler légèrement et me désengage de lui. Du sperme coule entre mes jambes, je vais vers la salle de bains. Dans le miroir, c’est Léa qui me regarde, une Léa remplie de joie avec les traits tirés par le plaisir.

J’enlève mes vêtements, ma perruque, mon maquillage, bizarre de revoir Léo. Je me glisse dans la douche, il faudra que je me dépêche pour être Léa pour lui à son réveil.




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Je me réveille, le lit est vide. J’entends du bruit dans la salle de bains.


La soirée a été folle, cette petite m’a fait oublier ma femme, je ne peux pas partir comme un voleur, je me dirige vers la salle de bains et c’est un jeune homme que je vois sous la douche.

Il ressemble à Léa, mais ce n’est pas elle, pendant qu’il se lave, je vois toujours ce corps lisse qui m’a donné tant de plaisir.



Il se fige sous la douche alors que je le rejoins. Il me regarde, paniqué.



Je m’approche de lui et l’embrasse goulûment.



Je caresse ses tétons, les sens durcir et vois son pénis grandir.



Je le sens hésitant alors je le colle contre le mur de la douche et me mets à genoux devant lui avant d’engloutir son sexe. Je l’entends gémir et accentue ma pression.

Si Léa était demandeuse, Léo semble lui plutôt passif, je le suce avec attention et pour le garder près de moi, je viens attirer ses fesses à moi avec mes mains.




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Mon Dieu, c’est si bon de se sentir aspiré dans une bouche chaude ! Je me sens enserré, entravé dans cette bouche qui m’aspire. Je me sens entravé entre ses doigts et sa bouche, et j’adore ça.

Il vient me pénétrer avec son doigt et je commence à haleter. Sucé et fouillé de part et d’autre, je me vide dans cette bouche. Il se relève et m’embrasse, il me remplit la bouche de mon propre sperme, j’adore et j’avale mon sperme et sa salive mélangée.

Il me retourne et me met face au mur de la douche, il m’embrasse dans le cou et me fait frissonner pendant que mes fesses cherchent le contact de son sexe.



Son sexe rentre en moi ; pas de douleur ce matin… que du plaisir. Mon corps s’est modelé au sien.

Chaque coup de sa queue me fait tressaillir et je le sens s’activer de plus en plus. Je pensais que seule Léa me permettrait de jouir, mais là, avec ce sexe en moi, je commence à apprécier d’être Léo. C’est sur cette pensée et alors que je me fais sauvagement prendre par-derrière que je me laisse partir vers un nouvel orgasme alors que son sperme m’emplit à nouveau.




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J’ai Léo en face de moi, réveillé par un café, souvenir de la soirée qui a dérapé…



Je l’attends quelques minutes et revoilà Léa en face de moi.



Je me dirige vers la porte et au moment de sortir, Léa m’arrête.



Je la regarde, elle me sent hésiter, elle déboutonne mon pantalon et elle se met à genoux devant moi.



Je m’abandonne à elle alors qu’elle commence à s’occuper de moi.




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À Paris, tu seras bien, tu verras.


Il est parti ce matin, me laissant son goût dans la bouche.

Retour à la réalité retour à la fac, je me sens plus fort. Mes amis m’entourent et s’excusent, apparemment le comportement de Thomas n’a pas du tout été apprécié. Je sens surtout, dans le regard de certains garçons, que Léa aurait pu être très appréciée à la soirée. Je me sens forte, changée, et je me sens un peu plus accepté à la fac comme si un tabou s’était levé.

Quant à mon initiateur, je ne sais pas si cela durera, il est marié et je vois bien dans son regard qu’il aime sa femme, mais sa femme est encore absente deux semaines, je compte bien en profiter.




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Drôle de journée que celle d’après… ! Léa, Léo, je les ai dans la peau. Cela ne devrait pas durer, après ses premières fois, quand ielle sera lassé·e, elle pourra me quitter.

En attendant ce soir, mes pas me guident vers sa porte à laquelle je frappe doucement. Léa m’ouvre et m’embrasse tendrement. Sous sa robe, je sens ses fesses nues.



Elle se met à genoux devant moi et me regarde tout en déboutonnant mon pantalon.