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Temps de lecture estimé : 18 mn
16/11/22
Présentation:  Un nouveau vrai-faux avec deux joueurs, celui qui propose et celui qui choisit.
Résumé:  Cette fois-ci, Marc et moi sommes sur un cours de tennis, assis, en train de regarder nos femmes (sa Corine et ma Valérie) en train de jouer. Nous ne passons pas tout notre temps à nous balader dans les parcs.
Critères:  fh ffh -humour
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Vrai ou faux 3 – Un, deux, trois, je m’en vais au bois


Cette histoire reprend grosso modo l’idée et les protagonistes des histoires 21001 et 21183.

À lire au second degré de préférence.

Bonne lecture : )





Vrai ou faux



Cette fois-ci, Marc et moi sommes sur un cours de tennis, assis en train de regarder nos femmes (sa Corine et ma Valérie) en train de jouer. Nous ne passons pas tout notre temps à nous balader dans les parcs.


Bien sûr, comme de coutume, mon voisin ne peut s’empêcher de me confier ses diverses bonnes fortunes, dont je soupçonne qu’une bonne partie soit imaginaire et que l’autre partie soit un tantinet exagérée. Et puis, quelle idée de me dire ce genre de truc alors que sa femme est en train de renvoyer la balle à quelques mètres !


Franchement, il est inconscient ! Mais ça fait partie du charme étrange de l’individu que je connais depuis le collège…


Il est indéniable que Marc est beau, un air d’Alain Delon, quand celui-ci était dans ses meilleurs jours. Hélas, si le physique est sublime, le cerveau a carrément migré sous le ventre. Tant que Marc ne bouge pas, ne dit pas un mot, il est divin. Sinon…


Mon presque divin voisin me glisse à l’oreille :



Je réponds en biaisant :



J’explique ce que j’ai envie d’expérimenter :



Je souris, commençant ma narration, avec une précision :



Employant comme les autres fois la première personne du singulier, je me lance dans ma première histoire du lot.




Anecdote 1



Tout en regardant nos femmes jouer, je me cale dans ma chaise, puis je commence :



Donc, ce jour-là, dans le fameux bosquet, Isabelle est en appui contre un arbre, elle présente ses fesses dénudées à la fessée que je suis en train de lui infliger. Mes diverses tapes font vibrer ses chairs tendres, un joli spectacle que j’apprécie beaucoup. Son mignon cul potelé rougit petit à petit, je ne force pas la dose, le but est de rester ludique, pas de faire mal. Entre deux tapettes, je m’offre le luxe de caresser la peau écarlate, chose qu’Isa aime beaucoup. Tant mieux pour elle et pour moi !



À présent, son mignon cul est bien rouge, un rouge admirable ; j’estime que ça suffit. Je le caresse une dernière fois avant de déposer sur chaque fesse écarlate et chaude un baiser bien appuyé et bien bruyant. Amusée, ma soumise fait remarquer :



Je ne m’attendais pas à ce genre de réflexion. Pour ne pas perdre la face, je réponds flegmatiquement :



Je donne une petite tape sur le cul rougi :



Une fois de plus, ma main vient masturber cette belle cochonne déjà dégoulinante. Isabelle se laisse faire, elle aime ce genre de chose, d’autant qu’elle se doute bien que je vais me faire un plaisir de la faire jouir. Deux doigts sur son clitoris en feu, deux doigts dans son vagin détrempé, un pouce qui s’attarde en haut comme en bas, au gré de mon humeur. Le tout dans divers bruits de succion incongrus, mais excitants.



Bien sûr, je n’oublie pas d’entretenir le rouge de ses fesses, avec diverses tapes appropriées. Sous ce double traitement déjà appliqué, Isabelle se tortille de plus en plus, j’accentue mon emprise. J’ai envie de l’entendre jouir, de la voir jouir, elle, mon nouveau jouet. Je lui glisse alors à l’oreille :



Le AH !? est dû au fait que traîtreusement mon pouce englué de cyprine est venu s’enfoncer sans préambule dans son entrée des artistes. Son anus palpite carrément autour de mon doigt planté dans ses profondeurs.



Je ne m’attendais pas non plus à cette révélation. Pris de court, je lâche un pathétique :



Cul toujours offert, ses mains contre l’arbre, ma soumise se défend :



Mon pouce toujours planté dans son entrée des artistes, je m’active encore plus, Isabelle ondule sur mes doigts, je suis prêt à parier qu’elle est tellement excitée que sa cyprine dégouline vers le sol. Cette fille est un bon cru, c’est indéniable. Et dire que j’ai passé tout ce temps à ne rien faire avec elle, parce que son état de sœur d’un copain me bloquait. Si je n’avais pas les deux mains occupées, je me mettrais des baffes !


Pour ma plus grande satisfaction de jeune mâle tortionnaire, Isabelle se met à jouir en sourdine, le corps assailli de multiples tremblements, laissant échapper plein de gémissements étranglés, étant visiblement en proie à quelque chose qui la ravage intérieurement, qui la submerge.


Que c’est beau une femme qui jouit !


Comme l’autre fois, j’applique encore deux belles claques sur son fessier, une à droite et une à gauche, pour l’équilibre, puis j’arrête ma torture. Je retire ensuite mes doigts humides de sa chatte détrempée et de son étroit rectum. Ma soumise halète fortement. Posant mon autre main sur son dos afin qu’elle reste dans la même position, j’attends un peu, le temps qu’elle récupère partiellement.



Donc disais-je, j’attends un peu, le temps qu’elle récupère un peu. Mes doigts sont poisseux de cyprine. Extirpant mon sexe bien raide, je badigeonne ma colonne de chair avec ce lubrifiant improvisé. Puis quand celle-ci est bien luisante, je décide de passer à l’étape suivante.



Visant bien la rondelle ourlée, je pousse en avant mon bassin. Mon gland gluant entre sans problème. Ma soumise pousse un petit cri de surprise. J’ordonne :



N’empêche que, mine de rien, c’est quand même Isabelle qui tire les ficelles. Je parie que c’est ça qu’elle souhaitait que je lui fasse. Elle m’a tendu la perche tout à l’heure. Si je comprends bien, un Maître ne fait qu’appliquer que sa soumise souhaite qu’on lui fasse.


Qui domine qui, finalement ?


Foin de ces considérations philosophiques, je commence à ramoner ma soumise, en m’enfonçant un peu plus loin à chaque coup de reins. Isabelle gémit, se tortille parfois un peu, restant néanmoins dans le même axe, celui du pieu qui l’empale. Puis arrive le moment béni où mon bas-ventre claque contre ses fesses toutes rouges, preuve indéniable que je suis entré jusqu’à la garde.


Durant ce temps, Isabelle se masturbe afin de mieux supporter l’outrage. Tout en la pistonnant joyeusement, je lui demande :



À peine ai-je entendu ça que l’écluse s’ouvre toute grande. Dans un râle assourdi, je me vide en elle tandis que ma tige enfoncée au plus profond expulse un maximum de foutre dans ces entrailles si sombres. C’est d’autant plus jouissif qu’il s’agit de ma première sodomie, je l’avoue, mais ça, Isa ne le saura pas. Mais dans ce contexte de domination-soumission, c’est passé comme une lettre à la poste !


En tout cas, enculer une femme, c’est très jouissif, c’est indéniable. C’est presque la même chose que de passer par la voie naturelle, mais avec un goût de l’interdit très marqué, ce qui rend cette pénétration encore plus forte et plus puissante, sans oublier ce tunnel qui masse onctueusement la verge. Je ne serais pas étonné d’apprendre que certaines soumises sont uniquement sodomisées, leur vagin étant interdit d’accès.


Après avoir expulsé la dernière goutte, je mollis, toujours au chaud, très heureux d’avoir osé franchir ce nouveau pas, mon horizon est devenu encore plus vaste à présent.




Vrai ou faux 1



Ma narration achevée, je reste muet. Mon interlocuteur ignore toujours que la fameuse Isabelle est en réalité sa sœur (cf. épisode précédent). Mais ce n’est pas tout, mais j’aime mesurer mes effets, alors j’attends un peu.


Incrédule, Marc me demande :



Marc me demande, égrillard :



Si tu savais, Marc, si tu savais…



Il se gratte la tête :



Je le sais parce que, de temps à autre, Isabelle et moi, nous rempilons en souvenir du bon vieux temps. Mais ça, il n’y a pas beaucoup de personnes qui le savent. Alors je réponds :



Je souris, je laisse filer quelques secondes puis j’assène :



Pauvre Marc. Plein de choses épicées se passent autour de lui, mais il ignore qu’elles existent, là sous son nez. La vérité est parfois plus invraisemblable que les pauvres affabulations qu’il m’inflige souvent et qui m’affligent.




Anecdote 2



Marc hoche la tête, un peu perdu dans ses pensées. Devant nous, en sueur, nos femmes continuent leur partie acharnée. Tout en les regardant s’échanger une balle jaune qui fuse à toute allure, je continue sur ma lancée :



Marc ne m’interrompt pas, il a visiblement hâte de connaître cet autre vrai ou faux.


De l’autre côté du cours de tennis où nous sommes tous les quatre, je désigne à mon interlocuteur une bande de verdure un peu à l’écart :



Les yeux de Marc se mettent à briller :



Il est assez tard, je m’enquiquine un peu, alors je décide d’aller faire un tour au-dehors. Alors que je flâne sur le cours, j’entends un petit bruit étrange qui semble sortir des fourrés. Sans doute un animal qui se balade.


Un peu plus tard, un autre bruit se fait entendre au même emplacement. Curieux de nature, et afin de passer le temps, je décide d’aller voir ce que ça peut bien être. Un lapin ? Un hérisson ? Quelque chose de plus gros ?



Je m’approche en silence afin de ne pas faire fuir l’animal en question. Le bruit se manifeste à nouveau. Je m’avance lentement. J’écarte délicatement une partie du massif et là, je découvre deux femmes en train de se faire des privautés. Elles sont toutes les deux en tenue de tennis, donc sans doute des adhérentes, mais sans leur petite culotte, en train de se faire un joyeux soixante-neuf ! Pour résumer : se fourrer dans les fourrées.



Je replace partiellement les feuilles, tout en continuant de mater les deux lesbiennes en train de se faire du bien. Je me demande s’il faut que j’intervienne ou pas. Puis, me mettant à leur place, je me dis qu’il serait préférable de ne pas les importuner. Si elles jouent au saphisme, ce n’est pas pour qu’un mâle se pointe, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine.


Je continue à regarder ces deux adhérentes se donner plein de plaisir dans une débauche de bruits étranges et de petits cris incongrus, puis je suis reparti sur la pointe des pieds, les laissant en tête à tête, euh non, en tête à chatte.



Eh oui, c’est déjà fini. J’avais bien précisé que c’était court, très court, comparativement à la première histoire que j’ai racontée. Passons donc à la suite, à la partie Vrai ou Faux.




Vrai ou faux 2



Face à nous, nos femmes continuent de jouer. Aucune des deux ne veut céder à l’autre. Deux battantes ! Marc, qui n’est pas un fan de tennis, ne comprend rien à cet acharnement sportif. Ayant fini ma deuxième saynète, je demande à mon voisin :



Marc se met à sourire franchement :



Avec un certain rictus, Marc concède :



En réalité, ma femme ne serait pas contre, mais comme elle me l’a avoué une fois, elle se sentirait dégradée de passer à l’acte, car si Marc est indéniablement beau, ce n’est pas la lumière qui brille à tous les étages, et ma chère moitié possède une certaine exigence quant à l’intellect de l’homme qui la culbute.


En clair, j’ai plutôt intérêt à me méfier des profs de philo que des maîtres-nageurs. Je reviens à nos moutons ou plutôt à nos brebis :



Je souris béatement :



Un peu dégoûté, soupirant abondamment d’avoir encore perdu, Marc regarde nos femmes se renvoyer inlassablement la balle. Ce qu’il ignore, c’est que les deux lesbiennes de mon histoire, il est actuellement en train de les regarder jouer !


Inutile de préciser que cette info m’a beaucoup servi pour négocier par la suite certaines choses auprès de ma femme et sa femme (à Marc, bien entendu)




Anecdote 3



Compatissant, je tape sur son épaule :



Marc fronce momentanément des sourcils, puis il s’esclaffe :



Une fois de plus, je bascule en mode « je » pour raconter ma petite histoire forestière.


Cet après-midi, je suis en train de me balader tranquillement en forêt avec les deux actuelles femmes de ma vie : ma légitime et ma maîtresse.



Donc disais-je, nous sommes à trois dans la même forêt, l’épouse, la maîtresse et l’homme qui fait la jointure entre les deux. De plus, les deux femmes sont parfaitement au courant de la situation, car ça les arrange toutes les deux, et ce pour diverses raisons. Pourquoi se pourrir la vie si on peut finalement se partager le même homme, en ne conservant pour soi que le meilleur ? Ce qui convient à l’une ne convient pas forcément à l’autre et réciproquement.



Marc a un sourire crispé :



D’ailleurs, ces deux femmes (la légitime et la maîtresse) évoquent librement la chose sans complexe. La balade dans la forêt se passe très bien, jusqu’à ce que l’une d’elles (la maîtresse) annonce :



Aussitôt, l’autre femme (l’épouse) s’exclame :



La maîtresse ricane :



Honnêtement, j’avais zappé cette fichue kermesse. Conciliant, j’interviens pour tenter d’apaiser les deux femmes de ma vie :



Ma maîtresse réagit au quart de tour :



Telles deux lionnes, les deux femmes se font face, prêtes à en découdre. Assez embêté par la tournure des événements, je ne sais pas quoi faire. Aller dans ce fameux centre, ce n’est pas folichon, mais je sais que ma maîtresse me récompensera à sa façon. De plus, Antiqua, c’est moins pire que de tenir un stand à la con dans une kermesse, c’est clair et net pour moi. Mais il s’agit néanmoins de mon épouse légitime, et si elle tient ce foutu stand avec un autre homme, ça risque de jaser.


Avant que ces dames n’en viennent à faire des choses qu’elles regretteraient par la suite et qui me pourriraient la vie, tel le roi Salomon, je propose une solution tranchée :



Je me place entre mes deux femmes :



Ma maîtresse me regarde d’un air ahuri, mais ma femme semble être pour :



Le visage de ma maîtresse s’éclaircit :



Je précise le deal que je propose à mes deux femmes :



Les deux femmes se concertent muettement du regard durant trois/quatre secondes. Puis elles se tournent vers moi :



Soulagé intérieurement, je souris :



Ma femme me capture le bras :



Ma maîtresse capture mon autre bras :



Encadré par mes deux femmes à présent réconciliées, je souris à nouveau :



Puis tous les trois, nous continuons sereinement notre balade en forêt.




Vrai ou faux 3



Je souffle un peu, raconter une histoire n’est pas toujours évident. Devant nous, le match continue toujours, intense. Étonné par cette courte anecdote, Marc demande :



Assez partagé, Marc réfléchit :



Je me fends d’un large sourire :



Marc est écœuré d’avoir encore perdu :



J’édicte une vérité datant de loin :



Non, je ne sais pas, parce que le duel en question est en train de se dérouler sous nos yeux, et que j’aurais la réponse dans quelques minutes…


Mais Marc n’est pas censé le savoir, il ignorera vraisemblablement toute sa vie. Et cette situation me convient très bien !