n° 21294 | Fiche technique | 43537 caractères | 43537 7093 Temps de lecture estimé : 29 mn |
16/11/22 |
Présentation: Un duel entre une insignifiante succube et une haute divinité Démoniaque. | ||||
Résumé: Au palais des plaisirs indicibles, une succube se présente devant Slaanesh, Dieu de la luxure et du chaos, et intrigue la haute divinité démoniaque.
S’en suit un duel de dépravés au cœur de la géhenne. | ||||
Critères: religion bizarre fantastiqu sorcelleri -fantastiq | ||||
Auteur : Melle Mélina Envoi mini-message Co-auteur : Slaanesh Envoi mini-message |
Note des auteurs :
Je vous propose un texte écrit à quatre mains avec mon ami Slaanesh
Ce texte est fortement inspiré de l’imaginaire de Warhammer, certains personnages sont issus de la démonologie traditionnelle (par exemple, nous parlons de Lucifer, personnage qui ne figure aucunement dans l’univers de Warhammer).
Cet échange est celui du role-play auquel Slaanesh et moi-même nous sommes adonnés par échange de MP. Nous en avons retravaillé la forme pour en faire une histoire, mais sommes restés, dans le fond, fidèles à l’esprit de nos échanges.
Les odeurs entêtantes de soufre, de sang et de sexe se mêlent à celles plus douces, de la peau d’un nourrisson, de celle du pétrichor*ou de celle des agrumes. Dans l’air, semblant s’accorder à chaque seconde avec le déferlement de senteurs, résonnent les échos d’un million de voix. Des voix masculines, des voix féminines, d’autres plus indistinctes et inhumaines. Elles se mêlent, s’emmêlent et s’entremêlent dans une cascade symphonique assourdissante faite de cris, de douleur, de désespoir, de pleurs, de rage, de plaisir, d’extase, de rire et de jouissance.
Un kaléidoscope olfactif et auditif tantôt écœurant, tantôt enivrant, capable de faire tourner la tête et les sens de n’importe quelle créature, qu’elle soit mortelle ou immortelle.
Ces paroles impudentes, prononcées au cœur même de ce palais dédié à la luxure et aux plaisirs sous toutes ses formes, mêmes les plus débridés, les plus inavouables et les plus pervers et tordus, s’envolent de la bouche qui les prononce, et l’espace d’un instant, prennent la forme éphémère d’une multitude de papillons aux mille et une couleur… avant de s’évanouir en volutes de fumée où se dessinent d’innombrables crânes, pour ensuite rejoindre l’éternelle farandole des échos débridés qui y résonnent depuis la nuit des temps et pour toutes les éternités à venir.
C’est ainsi que s’annonce celle qui vient de parler, devant la grande entité démoniaque qui la toise de toute sa morgue et de sa hauteur divine. L’impudente se tient droite, les ailes aux plumes pourpres grandes ouvertes, signe évident d’effronterie. Or, lorsque l’on est une succube*, une démone de rang inférieur, on se doit d’être le plus humble possible face à un démon de haut rang, puissant au point d’avoir transcendé son statut et d’être devenue une divinité majeure au sein du panthéon du Chaos*.
Dans la grande salle du trône où ielle siège, le dieu/déesse de la luxure et des plaisirs a pris en ce jour son apparence primaire, celle qu’ielle affectionne le plus parmi la multitude de formes à sa disposition… la double forme féminine sur le côté droit et masculine sur le côté gauche, à laquelle s’ajoute deux paires de cornes, l’une de bélier, l’autre d’antilope, plantées dans sa chevelure auburn flottante. Des dizaines de piercings et d’anneaux, pour certains reliés entre eux par de minces chaînettes de bronze ou d’argent aux maillons recouverts de milliers de minuscules runes démoniaques, transpercent à maints endroits son corps musclé et divinement proportionné. Sa peau est d’une sensuelle et envoûtante couleur lilas, couverte en grande partie de tatouages ésotériques d’un bleu électrique, qui semblent se mouvoir de leur propre chef, changeant lentement de place dans une hypnotique danse.
Assis sur le Trône des Mille Tourments, siégeant au centre du Palais des Plaisirs Indicibles, l’antre de tous les vices de l’univers, le Prince Sombre dédaigne et daigne porter un regard vers le bas de l’estrade où il siège… regard dans lequel il n’y a que mépris pour l’imprudente et impudente créature qui ose lui adresser la parole sans y avoir été invitée.
Les Violators*, les fervents adorateurs et zélotes, présents dans le Palais, se raidissent, en entendant cette pitoyable démone défier leur seigneur/maîtresse avec autant d’arrogance, en se tenant droite et fière. Certains se regardent mi-amusés, mi-contrariés, attendant avec un ravissement pervers de voir la foudre s’abattre sur cette irrespectueuse créature. D’autres font déjà un pas en avant, leur hallebarde à la lame de fer noir au poing, prêts à dépecer et découper en morceaux l’audacieuse succube.
Mais le maître/maîtresse des lieux lève une main couverte de bagues, de bijoux et d’anneaux traversant ses chairs à la teinte désormais sinople, marbrée d’or et d’argent, intimant l’ordre de ne pas bouger et leur interdisant de s’en mêler. Les Violators, quoi que bouillant d’en découdre avec cette maraude, obéissent instantanément à leur reine/roi démoniaque.
Slaanesh toise avec morgue et curiosité cette créature aux ailes pourpres qui se tient fièrement et effrontément devant lui/elle. Cette petite succube a traversé les six cercles des vices et de la débauche pour lui faire face, elle a affronté avec succès le cercle de l’Avidité, bravé celui de la Gloutonnerie, survécu au cercle de la Chair, franchit celui de l’Orgueil, pourfendu les dangers du cercle de la Vanité… avant d’atteindre enfin cet endroit parmi les mieux cachés de l’univers et se trouver enfin devant lui/elle, Slaanesh.
Un exploit remarquable.
Personne ne rencontre le Prince Sombre, la Carnassière de la Débauche sans raison ! Quand cela arrive, une fois par éternité, cela augure toujours d’un moment clé dans la grande et immuable marche du temps, d’un carrefour d’importance primordiale dans l’infinie toile des destins. Pour cela, et pour le plaisir de pouvoir s’amuser un peu avec cette misérable, mais excitante créature sans importance à première vue, a tout autre regard qu’au sien en tout cas, Slaanesh accepte de la laisser vivre encore un peu. Après un long moment durant lequel le dieu/déesse du stupre et de l’avilissement scrute de bas en haut l’invitée surprise et la juge, sans qu’aucun mot ne soit prononcé, un sourire se dessine sur ses fines lèvres assassines percées d’anneaux.
Puis Slaanesh annonce sa décision. Sa voix de glace et de feu mêlé peut condamner et punir à la folie éternelle quiconque l’entend pour la première fois. Il n’est pas rare que la créature qui entend cette voix infernale en perde la raison à tout jamais, réduite à un amalgame de chaires mutées sous l’influence corruptrice de la puissance de Slaanesh.
La succube ne tressaille ni ne frémit, là où des multitudes d’autres se sont effondrées, tuées sur le coup par le pouvoir incroyablement corrupteur de la voix divine de Slaanesh. L’impudente sourit à son tour, et il semble que l’arrogance change de propriétaire, car là où n’importe quelle créature d’une aussi humble lignée se confondrait en remerciements et se prosternerait, elle, se contente de le dévisager et de répondre effrontément.
L’impertinence et l’irrespect que montre cette petite succube irrévérencieuse se propagent comme une violente bourrasque qui agite tout le Palais. Les Violators, eux-mêmes, sont pris de mouvements désordonnés et de spasmes, certains sont pris de nausées et d’étourdissements. Un chaos indescriptible règne là où une discipline de fer est d’ordinaire de rigueur. C’est un manquement grave à l’ordre exigé de la part de ceux qui se considèrent comme la garde prétorienne de Slaanesh.
Une faute qui peut s’avérer mortelle, la mortalité dans cette dimension immortelle, consistant à subir des tortures extrêmes, menant à la mort physique, avant de ressusciter chaque jour pour les subir de nouveau, encore et encore et encore et encore…
Mais Slaanesh s’amuse du comportement bravache de cette petite démone.
La diablesse obéit et se meut lentement, balançant ses hanches dans des mouvements lascifs et sensuels, un sourire carnassier sur ses lèvres fines. Ses ailes ajoutent à la grâce perverse qu’elle dégage. Elle lance tel un défi à la maîtresse/maître des lieux.
De nouveau, la démone fait preuve d’une effronterie sans commune mesure et très étrangement, l’entité androgyne démoniaque ne s’en émeut toujours pas, se contentant d’accentuer son sourire malsain.
L’effrontée créature arrive au pied de l’escalier fait des os pelviens fusionnés de milliers de créatures coupables d’inceste. Slaanesh, d’un signe de la tête, l’encourage à monter vers lui/elle. La succube est désormais à deux pas de l’impressionnante divinité monstrueuse, dont le musc puissant et entêtant commence à lui faire perdre la tête. Mais cette succube n’est pas comme les autres représentantes de son engeance. Elle réussit, par un prodigieux effort de volonté, à ne pas succomber aux capiteux parfums, bien qu’il lui en coûte et qu’elle s’épuise intérieurement à ne pas s’abandonner totalement à sa nouvelle maîtresse divine. D’un battement d’ailes, elle renouvelle son effronterie en dispersant la brume de musc entêtant entourant Slaanesh.
La méta-entité sur le trône qui lui fait face ne s’en émeut guère et ne lui fait toujours pas signe de s’arrêter.
Les corps démoniaques se touchent presque à présent, l’insolente succube tend un bras gracile vers l’être divin, elle effleure de ses griffes acérées la cuisse de Slaanesh. Cette caresse pourtant légère entaille le muscle puissant, faisant couler une unique goutte d’ichor démoniaque à la teinte cobalt.
Le divin Slaanesh, dans un réflexe foudroyant, attrape la succube par la gorge et la serre. Il pourrait la broyer sur-le-champ, d’une simple pression. Il pourrait lui arracher la gorge à coup de crocs. Il pourrait l’étrangler lentement en exerçant une légère pression avec seulement deux doigts… mais la démone ne s’en alarme pas outre mesure, bien au contraire. Elle esquisse même un sourire de contentement malsain. Elle trouve la force de susurrer, malgré le manque d’air qui se fait douloureux dans sa généreuse poitrine presque entièrement dénudée.
Cette provocation outrancière à propos de l’un de ses ennemis a le don de réveiller une violente fureur qui couvait déjà dans l’âme profondément ténébreuse de la Grande Ennemie comme la nomment les Eldars*. Dans un déchaînement de puissance digne de sa démesure, son apparence triple de taille, surplombant superbement la petite garce qui se joue du tempétueux emportement du dieu de la luxure.
Slaanesh a bien compris qu’il est le jouet des désirs de cette insolente créature et qu’ielle répond bien malgré lui/elle aux envies libidineuses et perverses de cette démone. Ielle se ressaisit, un sourire narquois aux lèvres.
Tout ce petit jeu l’amuse follement, tout compte fait… l’ennui guettait sa divine existence.
Sur ce, la divine méta-entité utilise son don d’ubiquité et dans un flash de non-lumière violette, deux autres Slaanesh apparaissent. Eux aussi dotés de chibres en érection dans les proportions de leur stature de géant.
Mais la démone n’est pas aussi impuissante qu’elle veut bien le laisser paraître. Elle sait exactement ce qu’elle fait, elle n’affronte pas un dieu surpuissant sans avoir une idée précise des armes dont elle aura besoin pour survivre à une telle confrontation. Elle parvient à lire dans les pensées perverses et pourtant très bien protégées de Slaanesh, des pensées que la Grande Ennemie a enfouies au plus profond de son âme plusieurs fois damnée. Elle y découvre une faiblesse. Celle qui lui fallait pour l’affrontement désormais inéluctable.
Aussitôt, la succube ailée se transforme en une créature qui peut soumettre Slaanesh, le dieu/déesse de la luxure et de la dépravation sous toutes leurs formes. Elle devient une idée, un concept, une abstraction métaphysique à multiples visages, protéiformes à l’extrême, aux phéromones redoutables, même pour la race des dieux et aux odeurs entêtantes et irrésistibles.
Elle vise juste et touche. Slaanesh est décontenancé, ses Doppelgängers* s’évanouissent en millions d’échardes de verres brisés, tandis que l’entité divine reste interdite, hypnotisée, subjuguée par cette vision qui la trouble intensément. Ielle est ébloui par cette magnificence multiple.
Slaanesh n’a encore jamais rien vu d’aussi beau, d’aussi intensément pervers et contre nature. Malgré son incommensurable puissance de volonté, ielle pose un genou à terre, sous l’effet des puissants effluves captivants et des vagues de visions d’extase entropiques. Ielle secoue la tête pour chasser ses idées de soumission qui lui paralysent les membres et laissent son corps aux proportions divinement parfaites à la merci de cette créature… quelle qu’elle soit.
Ielle ne cesse de se répéter comme un mantra : « Je suis le dieu de la luxure et de la douleur, le Prince des plaisirs, la Maîtresse de la débauche et l’Avatar de l’exaltation ultime… Je suis le dieu de la luxure et de la douleur, le Prince des plaisirs, la Maîtresse de la débauche et l’Avatar de l’exaltation ultime… Je suis le dieu de la luxure et de la douleur, le Prince des plaisirs, la Maîtresse de la débauche et l’Avatar de l’exaltation ultime… Je suis le dieu de la luxure et de la douleur, le Prince des plaisirs, la Maîtresse de la débauche et l’Avatar de l’exaltation ultime… Je suis le dieu de la luxure et de la douleur, le Prince des plaisirs, la Maîtresse de la débauche et l’Avatar de l’exaltation ultime… » cherchant ainsi à rompre l’envoûtement et à reprendre le contrôle de ce duel démoniaque.
Mais le désir d’être soumis par un pouvoir supérieur à celui d’un dieu, supérieur à son pouvoir à lui/elle, est une expérience parfaitement inédite et enivrante. Et ce désir inconscient est terriblement puissant, presque irrésistible…
La garce protéiforme y met toute son énergie. Elle a été conçue pour le plaisir et reste une démone de rang mineure, mais elle refuse de lâcher prise, bien que consciente au fond d’elle-même, de s’être attaquée à bien plus puissant qu’elle, bien trop puissant.
Elle risque une éternité de douleur et de châtiments terribles, si elle laisse Slaanesh reprendre le contrôle… Elle sent malgré tout, petit à petit, sa proie lui échapper et elle sait qu’une fois libérée, l’odieuse divinité face à elle dévorera son âme dévoyée. La terreur commence à lui brûler les entrailles et à saper sa résolution déjà fléchissante. Elle a commis une erreur, une terrible erreur.
IL FAUT QUE JE GAARRRDDEEE LE CONTRÔLE AAAARRRRHHHHHHGGGGG…
Elle n’a pas le choix, elle doit tenir. Une infime lueur d’espoir se fait jour en elle, lorsqu’elle sent que dans quelques instants à peine, Slaanesh sera incapable de lui résister plus longtemps. Quelques secondes, c’est tout ce dont elle a besoin, encore quelques instants pour que l’envoûtement soit irréversible. Elle met tout ce qu’il lui reste d’énergie dans une attaque désespérée qui se veut dévastatrice.
Mais Slaanesh est loin d’être dénué de ressource. Ielle envoie dans l’esprit de son assaillante les images d’un million d’actes pervers extrêmes, issus des pires dépravations des mortels comme des immortels. Imprégnant l’âme démoniaque de la succube de l’énergie née de la jouissance de milliers de masochistes, heureux de souffrir. Inondant ses sens de l’odeur et de la saveur brute de cyprine et de foutre de toute l’humanité depuis la nuit des temps. Lui fait ressentir la volupté de milliers d’amants enlacés dans toutes les positions du Kamasutra, encore et encore et encore… Les scènes d’orgies les plus bestiales, les plaisirs incestueux les plus coupables et inavouables, l’ivresse de la domination la plus totale…
Tout ceci et bien plus encore, amplifié un millier de milliers de milliers de fois, distillé jusqu’à sa plus pure essence et déversé en vagues irrépressibles dans l’esprit de cette démone infernale.
Elle est à bout, elle sent qu’elle craque, son énergie se disperse et son contrôle s’étiole à vue d’œil désormais.
Mais il y va de sa survie, elle ne peut pas abandonner, pas maintenant. Même si elle se sent prête à chuter dans les abîmes, d’où toute remontée ne se ferait pas sans y laisser la quasi-intégralité de son âme.
Il me faut trouver un autre feu qui t’embrasera, petit dieu de pacotille, un feu qui t’immolera d’un brasier inextinguible, pour que ton esprit malin se concentre sur cette nouvelle attaque… Ce feu, cet incendie salvateur pour moi, ce sera ta chair. La souffrance de ta chair divine. Une souffrance comme tu n’en as jamais connu de toute ton éternelle existence !
Alors, elle fait pénétrer encore plus profondément les serres, terminant ses nombreux pseudopodes, dans le dos de sa proie pour en laminer la chair, cherchant à atteindre les organes. Peut-être que cette douleur atroce au-delà de l’imaginable lui permettra de reprendre l’ascendant… peut-être.
Cette douleur… cette souffrance… Slaanesh n’a jamais rien connu de tel ! Quelle puissance ! Quelle extase ! C’est exquis et transcendantal. Ielle peut à peine reprendre son souffle, tant la douleur lui fait bander les muscles de tout son divin corps. Sa concentration s’effiloche et risque à tout moment de s’évanouir et de partir en lambeaux. Il est toujours à genoux, lui, un dieu. Elle est à genoux, elle, une déesse. Sa chair n’est que souffrance, plaies béantes et ichor bleu dégoulinant. Son esprit brûle d’un feu encore inconnu qui ravage ses pensées et commence à réduire son âme en cendres…
Tu as commis l’erreur que j’attendais, petite succube de mon cœur, tu t’es rapprochée. Et tu me fais connaître une extase qui m’emplit d’une énergie débordante. À mon tour de jouer avec toi.
D’un geste mal assuré, mais décidé, il la saisit à nouveau à la gorge, malgré son allure protéiforme et changeante. Et il serre, un sourire cruel et sadique aux lèvres… La bête hurle de frustration autant que de douleur et de détresse, mais il continue de serrer, enfonçant un peu plus ses griffes acérées dans la chair mutagène. Son adversaire prend des formes de plus en plus fantasmagoriques qui feraient mourir d’effrois des immortels à l’âme moins bien trempée et disloqueraient celles des simples mortels.
Mais là encore, Slaanesh serre plus fort, malgré son insoutenable calvaire, malgré la rage mise dans les coups dévastateurs de la chose qui le/la martyrise et fouaille ses chairs divines, allant jusqu’à faire racler ses griffes affûtées comme des rasoirs sur les os faits de stupre et de débauches solidifiées.
Il serre encore et encore et encore… Suffocante désormais sous la poigne divine, l’étranglement fait abdiquer la succube et l’oblige à reprendre sa forme initiale. Dans un souffle, qui pourrait être le dernier, si le puissant Slaanesh ne desserre pas la pression, elle parvient à articuler douloureusement.
Son cœur qui battait à tout rompre, s’éteint doucement, lentement, cruellement…
Slaanesh est satisfaite de son abandon… Ielle n’attend plus qu’une chose, que cette démone la supplie de la laisser vivre à ses côtés… Ielle garde donc sa puissante main sur sa gorge offerte. Son regard acéré et brûlant de cruauté autant que du désir de soumettre cette superbe démone de la plus sadique des manières, braqué sur celui suppliant de son adversaire vaincue.
Slaanesh ne met pas longtemps à réfléchir à la supplication de la belle immortelle.
Slaanesh passe sa langue bifide et râpeuse le long du cou de sa nouvelle concubine puis l’enfonce autoritairement dans la bouche offerte et consentante. Ielle desserre un peu sa prise sur la gorge pour laisser respirer son trophée. L’afflux soudain d’oxygène provoque une douce euphorie dans le cerveau de l’insolente, qui rend avec avidité et plaisir son fougueux baiser à son amant/maîtresse.
La main libre du dieu/déesse pétrit allègrement l’un des seins, pince et tire fortement sur le téton, arrachant des gémissements mêlés de douleur et de plaisir à sa proie, sa langue divine lui suçant toujours la glotte.
Il la relâche sans prévenir et l’amas de chair mutante tombe à genoux, aux pieds de son nouveau seigneur/maîtresse. La succube n’a pas le temps de se relever qu’ielle pose le bout de son sceptre gorgé de sang et d’excitation sur son front et prononce quelques mots dans une langue depuis longtemps oubliée des mortels.
Une vague de chaleur et d’extase secoue le corps de la succube, fait trembler les plumes de ses ailes et embrase son âme d’un feu délicieux.
Depuis l’entrée de la salle du trône, arrivent cinq démons majeurs*, dont la mystérieuse concubine perçoit l’aura de luxure et de perversité exacerbée. Cela déclenche en elle une nouvelle vague de désir qui la fait mouiller comme jamais. Elle ressent leur désir de la posséder, de l’humilier et de la souiller de mille et une manières, comme les lanières ardentes de délicieux coups de fouet sur sa peau. Plusieurs d’entre eux ont un corps androgyne, mêlant attributs féminins et masculins à l’image de Slaanesh et toustes dégagent cette odeur entêtante de musc, de sexe, de transpiration et de luxure qui l’enivre, lui fait perdre la tête et déclenche des pulsations exquises dans son bas-ventre.
Puis la divinité incontestée et incontestable de la luxure et de la dépravation s’assoit sur son trône, en commençant à s’astiquer doucement. Il désigne à sa nouvelle salope infernale les cinq braquemarts aux glands turgescents qui l’attendent, impatients et palpitants de désirs pervers. Elle sait qu’ils peuvent en un instant aussi bien devenir organes femelles en fonction des caprices de leur propriétaire.
La démone reconnaît ces seigneurs parmi les esclaves démons de Slaanesh pour ce qu’ils sont, des Gardiens des Secrets*. Des maîtres/maîtresses de la luxure et de la dépravation, des créatures détentrices des envies, fantasmes et secrets les plus inavouables et les plus dévoyés des mortels comme de certains immortels. Elle se pourlèche les babines, elle a faim. Son duel avec Slaanesh lui a coûté énormément d’énergie. Ces cinq-là vont lui permettre de restaurer ses forces et, accessoirement, de prendre un grand plaisir de la façon la plus sadique qu’elle a pu connaître jusqu’ici. Elle a l’intention de les faire gueuler, ces soi-disant démons majeurs, elle va leur faire hurler leurs secrets en leur vidant et leur trayant les couilles jusqu’à les ratatiner comme des raisins secs… après c’est elle qui les possédera et les fera couiner !
Elle s’adresse à son nouveau maître avec une œillade lourde de sous-entendus.
Un Gardien des Secrets s’approche, il pue, mais même ces effluves écœurants parviennent à exciter la petite démone et lui procurer des frissons de plaisir ! La stature du démon majeur est impressionnante et celle de son vit ne l’est pas moins. Elle est même à la hauteur des envies terriblement perverses et débridées de la succube.
Les phéromones puissantes du démon manquent de la faire chavirer définitivement, mais la volonté de la succube de les soumettre toustes à ses envies est la plus forte, lui permettant de ne pas succomber. Le prétentieux démon s’avance seul vers cette petite créature qu’il pense soumettre sans problèmes, ses quatre compagnons et compagnes, eux, profitant par anticipation du spectacle.
Elle sourit, elle sait au fond de son âme perverse qu’ielles ne sont pas de taille…
Une fois que je les aurais absorbés, tu devras de nouveau les sauver… s’amuse-t-elle intérieurement.
Slaanesh qui devine les intentions prédatrices de la succube s’en amuse également. Ielle est vraiment intrigué par sa déroutante nouvelle concubine. Mais tandis qu’ielle aimerait rester pour assister au spectacle qui promet d’être très divertissant, la capitaine des Violators vient lui donner une information qui l’oblige à quitter les lieux…
La succube n’a pas tout entendu, sinon un simple nom… Khorne* ! C’est le nom honni qu’elle l’entend persifler entre ses crocs, les mâchoires serrées. Celui de son pire ennemi, l’anathème même des forces primordiales que lui-même représente.
Elle dévisage rien qu’un instant son maître et voit son humeur s’assombrir de façon effrayante, même pour elle. Le visage de son seigneur/maîtresse devient un masque de haine et de dégoût. Ielle se lève subitement, visiblement très courroucé, et ordonne à trois des Gardiens des Secrets censés dresser sa nouvelle chienne démoniaque de le suivre. Quant aux deux autres, il leur ordonne de bien s’occuper de cette femelle lubrique, puis quitte les lieux tel un ouragan de colère divine à peine contenue.
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Lorsque Slaanesh revient, la Dorlisse*, autre nom des succubes, n’est plus qu’un amas de chairs lacérées et sanguinolentes. Un ichor visqueux d’une teinte violacée écœurante, dégouline des murs de sa salle du trône faits de vertèbres de femmes mortes en couche, des plafonds faits de calottes crâniennes de pères infanticides et coule sur le sol fait des visages torturés de milliers de violeurs. Aux pieds finis par des sabots de boucs de la déesse/dieu de la luxure et de la dépravation gisent les bijoux constellés de gemmes des Gardiens des Secrets chargés de s’occuper et d’occuper sa nouvelle amante. Mais hormis ces bijoux dégoulinants de morceaux de chairs démoniaques et de sang, il n’y a plus aucune trace de leurs corps…
La succube lui sourit avec un regard de défi.
Slaanesh est quelque peu étonné par ce tableau sanguinolent et d’une dépravation exquise. Ielle est surprise et épatée de perdre ainsi deux de ses démons majeurs les plus puissants. Ielle ne sait pas s’il faut punir cette créature ou bien la féliciter pour son inventivité et pour ses prouesses…
Doit-elle être oblitérée sur-le-champ avant de devenir trop dangereuse et incontrôlable ? L’idée est tentante, puis Slaanesh pose le regard sur ce corps appétissant, sur le galbe de ses seins et de ses cuisses, sur la finesse de sa taille et l’insolence de cette croupe, il croise ce regard incendiaire et totalement tourné vers la perversion la plus absolue. En retrouverait-ielle une autre comme elle ? Il lui faut peser le pour et le contre. Il y a également cette troublante coïncidence. L’arrivée étonnante de cette insolente et incroyable démone de rang inférieur jusqu’ici et la bataille inopinée qui vient d’être livrée contre son pire ennemi…
La succube devine les pensées de sa maîtresse/seigneur ou du moins s’en fait une idée assez précise. Elle comprend que Lucifer n’a pas voulu perdre la face, son honneur exigeait une réponse proportionnelle à l’humiliation subie. Mais il ne pouvait pas non plus se rabaisser à une guerre ouverte pour une simple succube. Alors il a convaincu Khorne, le dieu de la guerre et des massacres, qui attendait le moindre prétexte pour défier Slaanesh, de venir la récupérer tout en humiliant le dieu de la débauche en pénétrant dans son sein des saints…
Nul doute que les innombrables cohortes de sanguinaires auraient tout ravagé sur leur passage si elles avaient eu l’opportunité de pénétrer ici. Quant à récupérer son amante, Lucifer devait bien se douter qu’elle serait tout autant massacrée, éviscérée et démembrée que tous ceux qui auraient eu le malheur de se trouver sur leur route.
Oui, que faire d’elle et de la puissance insoupçonnée qui semble sommeiller en elle ?
Cette petite démone est décidément bien particulière… Il y a quelque chose de vraiment très étrange dans son aura démoniaque, comme une fragrance pourtant bien reconnaissable, mais à laquelle je n’avais pas fait attention jusqu’ici. Une saveur à laquelle j’aurais dû prendre garde dès le début, tant elle m’est familière.
Comment n’ai-je pu la voir plus tôt ?
Le sait-elle ? A-t-elle la moindre idée de ce qu’elle est ou du moins, de ce qu’elle a été ? Je ne le pense pas. Mais le fait qu’elle m’ait fait mettre un genou à terre et qu’elle ait dévoré l’essence de deux de mes plus puissants serviteurs prouve que sa puissance est bien supérieure à ce qu’elle peut laisser paraître.
Et cette lopette de Lucifer qui ne l’a pas vu non plus. Quant à mes deux Gardiens des Secrets, qu’ils souffrent pendant mille ans, le temps de leur prochaine réincarnation dans le Warp, cela leur apprendra à être aussi incompétents et faibles. Quant à toi, ô petite succube impertinente et insolente, je vais goûter à tes charmes, et tu seras pleinement consentante, même si je préférerais que tu résistes un peu, cela n’en sera que plus amusant et plus jouissif…
Les yeux emplis de concupiscence et de l’envie de soumettre, douloureusement et de toutes les manières les plus lubriques, dévoyées et sordides possibles cette ensorcelante créature démoniaque, le Prince des Plaisirs s’approche lentement de la succube, irradiant de puissance et de lubricité. Ielle s’arrête à quelques pas de l’enveloppe déchirée qui peine à se rasseoir.
La démone au corps écorché lève la tête vers lui/elle, plongeant ses yeux vairons dans ceux améthyste de Slaanesh.
Elle ne voit pas que débauche et concupiscence dans ce regard divin. Elle y voit aussi un intérêt nouveau pour elle, ce qu’elle est. Une prise de conscience qui interroge et inquiète au plus haut point la démone lacérée.
La fière et malfaisante démone affronte le regard toujours empreint de mépris, de morgue et de dédain, car elle sait que son nouveau maître aime s’imposer par la force et qu’il n’y a aucune gloire à faire plier un adversaire trop faible. Néanmoins, elle comprend dans le sérieux du ton employé que Slaanesh ne désire pas jouer. Il n’y a aucune colère, mais une impérieuse volonté de réponse qui ne souffre aucune ruse démoniaque, ainsi qu’une sincère curiosité.
La remarque pourtant anodine réveille en lui une impatience sauvage qu’ielle ne peut ou ne veut réfréner. En guise de punition, ielle la foudroie d’un revers de serres aiguisées qui lacèrent encore un peu plus le peu de peau qu’il reste de son visage. La douleur est cuisante et manque de lui faire perdre connaissance. Elle n’a pas encore eu le temps de régénérer son enveloppe corporelle et ses chairs sont à vif.
Elle sourit, provocante jusqu’au bout des griffes, tentatrice jusqu’au bout des seins, même si elle sent qu’elle est sur des charbons ardents et qu’il ne s’en faudrait de pas grand-chose pour que Slaanesh la piétine sans autre forme de procès.
Cette dernière remarque semble faire mouche, la puissante et divine entité face à elle marque un instant, un infime instant d’hésitation involontairement, comme déstabilisée, avant d’affirmer…
Mais l’effrontée démone n’est pas dupe et joue avec les désirs ambivalents et contradictoires de cielle qui pourrait à tout moment, sur un caprice, dévorer son âme à tout jamais. Cependant, Slaanesh reprend le contrôle de ses humeurs et adresse à la petite succube un sourire carnassier. Un sourire cruel, plein de promesses, de douleurs exquises et de sensations au-delà de l’imaginable. Des promesses d’extases et de stupre qui mettent encore plus en émoi la troublante créature, l’incitant, malgré le danger réel d’être détruite, à provoquer encore plus le courroux et le désir pervers de sa maîtresse/seigneur.
La Déesse Noire du Stupre s’approche lentement de la lubrique antévestale, en revêtant l’apparence d’un jeune homme imberbe, étincelant d’innocence, magnifiquement félin dans les moindres gestes, qui se joue de sa proie qui, elle, attend la délectable et inéluctable attaque avec ivresse. La Sombre Divinité se place juste dans le dos de la démoniaque sylphide, les mains sur sa gorge et le vit entre les fesses. Un frisson parcourt l’échine de la succube qui se laisse alors emporter dans un océan sauvage où les plaisirs arrivent par vagues incontrôlables et les orgasmes en tempêtes dévastatrices…
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… Elle en est à son énième orgasme, couverte de foutre et de griffures, chacun de ses trous emplis à ras bord de jus divin. Elle hurle les pires insanités en offrant sa croupe à son dieu/déesse, en le chevauchant comme une furie, en écartant les cuisses pour mieux accueillir sa maîtresse amant divine ; et répète en même temps qu’elle ne répondra jamais à la question tout en réclamant plus de bestialité, de lubricité et d’extase. Cela fait maintenant plusieurs heures que le Sombre Dieu la tringle dans tous les sens, lui lèche la fente et l’anus de sa langue bifide, l’enfonçant loin dans les orifices offerts de cette démoniaque dévergondée, y insérant un ou plusieurs de ses monstrueux doigts, pendant qu’elle lui tète le gland où suce sa divine cramouille au gré des caprices et transformations hermaphrodites de Slaanesh…
Elle le chevauche à nouveau pour la troisième fois, belle, rebelle et pourtant soumise. Elle en veut plus, toujours plus. Elle n’en a jamais assez ! Ses seins gigotent au rythme du soulèvement et du relâchement de ses hanches. Elle s’empale d’elle-même de plus en plus fort et de plus en vite sur le chibre démoniaque telle une furie. Elle serre le plus fort possible ses muqueuses autour de la queue qui la ravage en cet instant, pour le faire se répandre en elle encore une fois. Mais à ce petit jeu, Slaanesh est plus fort, ielle peut augmenter le diamètre de sa bite à volonté, de façon à résister le mieux possible à l’étreinte du fourreau volcanique qui l’enserre si délicieusement. Cette succube a beau être endurante, ielle reste un dieu/déesse qui a compris comment la mater.
La dévergondée démone est à nouveau au bord de l’explosion et vu la frénésie qu’elle met à s’embrocher sur le monstrueux pieu, cette vague de jouissance va être encore plus dantesque que les précédentes. La langue divine et monstrueuse lui lèche les seins, la bouche de Slaanesh lui mordille les tétons, l’emportant encore plus loin dans les abîmes de perdition qu’elle réclame de toute sa perversité. Une lueur de victoire brille dans ses yeux à l’idée d’avoir su garder pour elle ce qu’elle sait, malgré toute l’énergie que Slaanesh a mise pour l’épuiser et lui faire baisser la garde. Elle pense avoir gagné.
Mais d’une impulsion mentale, Slaanesh fait rétrécir mon vit. La démone est surprise et totalement décontenancée, car elle allait jouir dans les secondes qui venaient. Slaanesh la saisit par les hanches et la maintient fortement en place, tandis que l’un de ses serviteurs favoris arrive par-derrière et saisit les bras de la nouvelle concubine, pour l’empêcher de bouger. Slaanesh continu de lui mordiller les tétons tandis qu’elle feule et crache de frustration, réclamant son dû.
Elle hurle les pires insanités au visage de Slaanesh, pour l’instant d’après, supplier dans un souffle qu’on la baise de toutes les manières possibles, encore et encore et encore.
À ce moment, la démone sent le gland turgescent du Gardien des Secrets qui lui tient les bras, se poser sur sa pastille encore gluante du foutre que son maître a abondamment répandu dans ses entrailles dans les heures précédentes.
Pour appuyer son propos, il fait plusieurs fois grossir et diminuer le diamètre de sa bite pour appuyer sur les parois du vagin déjà très sensible de sa proie et désormais esclave consentante, et encore plus maintenant que cet orifice a reçu plusieurs fois la visite du membre divin qui l’a inondé de son foutre gluant. Elle se mord les lèvres jusqu’au sang, en sentant cette queue protéiforme jouer comme des battements de tambour délicieusement irrésistibles dans son intimité. Les vagues de jouissance recommencent à déferler dans son corps soumis aux désirs sadiques de sa divinité.
Le Gardien des Secrets appuie un peu plus fort son gland sur son anus au même moment. Elle est électrisée comme jamais, elle ne veut pas que cela s’arrête. Elle veut se faire embrocher par ces deux monstres, maintenant ! Elle ne désire rien d’autre que de les sentir aller et venir à un rythme endiablé dans ses orifices emplis de leur vigueur et de leur désir pour elle.
C’en est trop, elle va parler, elle dira à Slaanesh ce qu’elle sait et ce qu’ielle réclame, elle lui dira tout ce qu’ielle veut, pourvu qu’on la fasse jouir encore et encore et encore, qu’on l’utilise comme un sac à foutre et qu’on la soumette aux désirs les plus pervers et les plus sadiques. Slaanesh lit dans son regard sa reddition, avant même qu’elle n’entrouvre les lèvres. Elle tend ton adorable petit cul en arrière pour inviter le Gardien des Secrets à la prendre par là aussi, admettant définitivement sa défaite, mais Slaanesh fait signe à son serviteur d’attendre, déclenchant un nouveau soupir de frustration de la part de la démone.
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Dernières notes :
*Pétrichor : Odeur de la terre après la pluie.
*Succube : On parle d’un succube pour désigner cette créature féminine. Nous avons préféré le genre féminin pour la désigner.
*Chaos : Le mal absolu, force corruptrice innommable issue d’une dimension infernale. Des dizaines d’entités divines ou semi-divine s’y disputent l’hégémonie et s’y livrent des guerres éternelles incessantes. Les principales sont Khorne, Tzeentch, Nurgle et Slaanesh.
*Violators : Puissants guerriers et serviteurs dévoués de Slaanesh qui considère leurs corps comme ses temples personnels.
*Eldars : Race humanoïde arrogante ayant autrefois dominé la galaxie de Warhammer 40 000 ans avant que ses besoins et désirs hédonistes extrêmes ne donnent naissance à Slaanesh dans une cataclysmique explosion psychique qui tua des dizaines de milliards d’entre eux et donna naissance à l’anomalie astrophysique connue sous le nom d’œil de la Terreur.
*Doppelgänger : Un double mot qui désigne tout ce qui fait référence à la dualité de l’être humain. Issus de nombreux folklores et croyances des mythologies nordiques, le doppelgänger est le double d’une créature, ou bien une version alternative de celle-ci, la plupart du temps maléfique.
*Démons majeurs : Les plus puissants serviteurs des dieux du chaos, capables de tordre la réalité. Ce sont les plus proches de leur divinité en apparence et en personnalité.
*Gardiens des Secrets : Démon majeur de Slaanesh.
*Khorne : Né de la haine et de la rage des mortels, il est le dieu du sang, de la guerre et des massacres, le Seigneur des Batailles, l’une des plus puissantes divinités du panthéon du Chaos et ennemi juré de Slaanesh dont il déteste la frivolité.
*Dorlisse : Nom donné aux succubes (ou incubes) en Martinique.
*Oeil de la Terreur : Gigantesque tempête psychique et corruptrice de la réalité, issue d’une déchirure entre l’univers réel et la dimension infernale où vivent les dieux du Chaos.
*Empyréan : L’un des nombreux noms du Warp.