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n° 21297Fiche technique23176 caractères23176
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Temps de lecture estimé : 13 mn
18/11/22
Présentation:  Un texte qui montre que la technologie peut aussi porter sa part d’érotisme…
Résumé:  Alors que ma boîte s’apprête à déposer le bilan, je relance l’activité grâce à une réalisation très spéciale.
Critères:  fh collègues telnet fsoumise hdomine contrainte voir noculotte fgode jouet sm délire -humour
Auteur : antilope      Envoi mini-message
Le Jouet

L’ambiance était bizarre, cette petite startup de microélectronique, où régnait la bonne humeur et dans laquelle je travaillais depuis des années, semblait soudain plombée par une anxiété palpable.


Mathilde, la directrice générale, qui était très proche de nous, étant donné que nous n’étions que douze, nous avait conviés à une réunion d’information, et nous sentions bien qu’il s’agissait de l’état de santé de l’entreprise.


Le message était clair : nous avions perdu un gros marché dans l’aéronautique, et la Covid s’ajoutant à tout ça, la boîte allait très mal. Sa dernière phrase avait été :



On était jeunes, on retrouverait tous du boulot, mais sûrement pas aussi intéressant, et la perspective de la fin de cette grande aventure que nous avions construite tous ensemble nous rendait tristes.


Pour nous consoler de ces annonces et nous changer les idées, nous sommes partis manger au restaurant tous ensemble.

Au lieu de s’apaiser, les esprits se sont échauffés, chacun essayant de chercher le projet ou le moment où nous avions raté quelque chose ; portant la faute tantôt sur les choix de l’investisseur, tantôt sur la concurrence chinoise… Puis, l’apéro aidant, tout le monde est parti dans des délires plus ou moins drôles, jusqu’à cette phrase de Mathilde :



Tout le monde a rigolé de bon cœur et nous sommes passés à autre chose.


Mais moi, cette phrase m’est restée. Car il se trouve que, lorsque j’étais encore dans mon école d’ingénieur, le sujet que j’avais choisi pour mon projet de fin d’études était très particulier. Tellement particulier, d’ailleurs, que j’avais eu droit à un veto du doyen de l’école qui m’avait forcé à en changer au dernier moment, m’obligeant à repartir à zéro, refaire une étude et une nouvelle réalisation, ce qui avait occasionné une bonne dose de stress et avait failli me coûter mon diplôme.


Mais quel était ce sujet si dérangeant ?

Il s’agissait tout simplement d’un sex-toy ultra perfectionné et intelligent.

Ce projet était particulièrement intéressant car il réunissait à la fois de la microrobotique et de l’informatique embarquée avec une bonne dose d’intelligence artificielle.

La maîtrise de l’énergie était bien sur un élément important, et je n’oublie pas, bien sûr, l’aspect physiologique et l’étude de l’anatomie féminine que j’avais menée sur ma copine de l’époque qui s’était prêtée au jeu pendant toute la conception de l’engin.

À cela, il fallait bien sûr ajouter le côté connecté qui impliquait le développement d’un site de mise en relation, d’une application smartphone de pilotage, et toute la gestion de la sécurité réseau associée.


Bref, j’avais atteint le stade du prototype totalement fonctionnel, juste avant que l’école me demande poliment de changer de sujet car le mien n’était pas « présentable » pendant une soutenance.

Il était vrai que je n’avais pas bien réfléchi à cet aspect-là, étant trop emporté par mon enthousiasme pendant la réalisation.


Bizarrement, j’avais eu beaucoup de candidates parmi les étudiantes pour faire des tests… mais aucune ne voulait présenter l’appareil en soutenance avec moi, on comprend facilement pourquoi.


Ainsi, pendant des mois, avec ma copine, notre vie quotidienne avait été ponctuée de tests en conditions réelles dans des lieux publics, d’observation, de mesures de son intimité, et bien sûr, d’incidents techniques en règle, comme cette fois où l’engin s’était emballé en vibration maximale alors que nous étions dans un bar bondé. J’avais dû la soutenir car elle n’arrivait plus à marcher pour aller aux toilettes pour qu’elle puisse se déshabiller et extraire l’engin de torture.


Malheureusement, nous n’étions plus ensemble, les études et les stages nous avaient séparés, elle avait suivi sa route, et moi la mienne.


En rentrant chez moi, je suis directement allé voir tout en haut du placard. La boîte à chaussure était toujours là. Je l’ai sortie et déposée sur la table, puis je l’ai ouverte, fébrilement. Le petit bijou de technologie était toujours là, intact.


Il avait la forme d’un « v ». La première branche plus grosse, lisse et longue était prévue pour rentrer dans le vagin, et l’autre, plus fine, se terminait par une petite spatule molle qui venait envelopper le clitoris. Une fois installé, il était totalement invisible et ne produisait aucun relief, même avec un jean moulant.

Blindé d’électronique et de robotique, les capacités de l’engin étaient impressionnantes. La partie qui rentrait dans le vagin était capable de s’allonger, de grossir et de vibrer. C’est dans cette partie que se trouvait la batterie de l’appareil. L’autre branche était une tige en carbone recourbée et très fine, qui disparaissait totalement dans le sillon entre les deux petites lèvres. Elle se terminait par un renflement prévu pour épouser la forme du clitoris. Ce renflement contenait plusieurs parties mobiles. Une petite boule de massage tournait sous la peau de silicone pour reproduire les mouvements d’une langue, et toute la tête qui recouvrait le clitoris était capable de vibrer également.


J’ai contemplé un moment ce que je considérais comme mon chef-d’œuvre. Peut-être que j’allais enfin avoir ma chance ? Je l’ai mis à charger, et quelques heures après, j’ai pu constater qu’il fonctionnait encore parfaitement, même après des années.


Le lendemain matin, j’avais emmené l’engin avec moi et je suis allé tout de suite voir Mathilde pour qu’on puisse discuter en privé.

Je lui ai dit que j’avais peut-être trouvé une solution et que c’était peut-être le miracle qu’elle attendait… mais qu’il fallait une certaine ouverture d’esprit. Elle m’écoutait attentivement, alors j’en suis venu rapidement aux faits. Lorsqu’elle a compris de quoi il s’agissait, elle a d’abord éclaté de rire bruyamment en disant :



Puis elle a compris que moi, je ne plaisantais pas.


Bon ! a-t-elle dit. Au point où on en est… je suppose que c’est mon devoir d’explorer toutes les pistes. Si tu me présentais plutôt comment marche ton truc ? Qu’est-ce qu’il a de plus que les milliers de sex-toys qu’on trouve partout sur internet ?

Après lui avoir décrit les capacités mécaniques de l’appareil qui étaient déjà très au-dessus du standard, je lui ai montré le mode automatique de l’application de pilotage, qui faisait appel à l’intelligence artificielle et aux nombreux capteurs embarqués pour régler au mieux les fonctions de stimulation en fonction du contexte et de la réponse qu’avait la femme à ces stimulations.


Elle a été totalement bluffée.



Je lui ai dit que mon ex-copine l’avait déjà testé longuement en conditions réelles et qu’aujourd’hui, je ne connaissais plus personne qui pouvait faire ça.


Elle a réfléchi un moment et a dit :



Je lui ai confirmé que l’appareil était complètement étanche et pouvait être lavé, puis je lui ai demandé à qui elle comptait faire appel, et elle m’a répondu que ça, c’était son problème, et que ça ne me concernait pas !


L’affaire était pliée, je lui ai tout donné l’appareil, le chargeur, les adresses de téléchargement de l’application et du site de mise en relation au cas où elle souhaitait tester les fonctionnalités de prise de contrôle à distance.

Elle avait l’air très satisfaite, elle avait même une banane comme jamais je n’en avais vu sur son visage ! Puis elle m’a mis dehors de son bureau.


Je faisais le pari qu’elle n’avait personne à qui demander et qu’elle allait tester elle-même !

Bien sûr, la pauvre ne se doutait pas que le prototype était configuré pour envoyer toutes les statistiques d’utilisations sur mon serveur, sans oublier bien sûr tout un tas de données extrêmement personnelles collectées en continu par les nombreux capteurs de l’appareil et de l’application qui l’accompagnait, à savoir :

• Le statut de l’appareil : éteint, en marche, inséré, etc. ;

• la posture (couchée, assise, debout, jambes écartées, jambes serrées, jambes croisées…) ;

• le taux d’humidité à l’intérieur du vagin ;

• le rythme cardiaque ;

• le nombre de secousses par minute (qui, combiné au rythme cardiaque, permettait de savoir si la femme était en train d’avoir un orgasme) ;

• enfin, petit bonus, un capteur de lumière permettait de savoir si la femme portait une culotte… ou pas ;

• l’application mobile, elle, se chargeait de la position GPS, de toute la partie réseau et du contrôle de l’appareil.


J’allais pouvoir suivre en temps réel sur mon smartphone l’utilisation qu’elle ferait de mon jouet, avec une restitution des valeurs.


Quinze minutes après que je l’ai laissée seule dans son bureau, l’appareil était inséré et en marche. Ce qui ne laissait pas de doute sur le fait qu’elle allait faire le test elle-même.

Mathilde était ce qu’on pouvait appeler de façon macho un « avion de chasse ». Elle était grande, brune, élancée, les cheveux courts, et avait toutes les formes qu’il fallait, là où il fallait. Elle s’habillait presque toujours en tailleur, jupe courte, chemisier déboutonné sur le décolleté et chaussures à talon.

J’avoue que l’idée qu’elle soit la bêta-testeuse de mon projet et qu’elle porte dans son intimité ce que j’avais réalisé de mes mains m’excitait au plus haut point.


La première information importante que j’ai captée était qu’elle ne portait pas de culotte. Était-ce pour le test ou était-ce une habitude ?

Toujours sur le site, assise, elle semblait tester les fonctions les unes après les autres.


À 10 h, elle en était à son troisième orgasme. Elle semblait maîtriser de mieux en mieux. Elle était toujours assise à son bureau en pilotage manuel. C’était donc elle qui décidait d’activer les fonctions.

Pour moi, c’était un peu frustrant, car je ne pouvais pas intervenir tant qu’elle n’avait pas activé le mode automatique.


Ce n’est que vers midi qu’elle a activé ce fameux mode automatique. C’était parfait. le temps de déjeuner et je commencerais à recevoir des statistiques consolidées qui allaient me dire si mon algorithme de prédiction fonctionnait aussi bien avec elle qu’avec mon ex.


L’algorithme en question n’avait qu’un seul but : maximiser la fréquence et l’intensité des orgasmes par tous les moyens. À partir des informations qu’il recevait des capteurs et de l’application mobile, il générait un modèle personnalisé qu’il affinait dans le temps. Il pouvait ainsi à tout moment choisir les stimulations les plus appropriées à la position, la situation ou l’état d’excitation, et même d’autres facteurs, comme le bruit environnant, l’heure dans la journée, le lieu…


À l’heure du café, un collègue a demandé :



Son assistant a répondu :



Ensuite, l’un de nous a demandé si son projet important était beau gosse… nous avons tous éclaté de rire.


Tout l’après-midi, j’ai eu du mal à me concentrer. Un œil sur les derniers dossiers en cours, et un autre sur mon écran pour savoir comment allait ma directrice.

Elle était toujours sur le site, et toujours en mode automatique. Je voyais les premières courbes arriver. Certains calculs ne donnaient pas autant d’effets que je l’aurais voulu. Je me suis mis à éditer le code de l’algorithme car quelque chose n’allait pas, il ne réagissait pas suffisamment bien. En effet, les fonctions utilisées étaient peu nombreuses, répétitives, et Mathilde n’avait eu aucune réaction depuis plus d’une heure.

J’ai trouvé le bug rapidement, c’était quelque chose que j’avais identifié des années auparavant et que je n’avais jamais corrigé. Finalement, me remettre dans le bain a été assez facile, j’étais en terrain connu.

Le temps de recompiler et de livrer la nouvelle version de l’algorithme sur le serveur, et j’ai commencé à voir les courbes bouger favorablement. Les stimulations étaient mieux réparties et beaucoup plus dynamiques. Le premier orgasme a suivi quelques minutes plus tard, suivi presque immédiatement d’un deuxième. Le reste de l’après-midi a été une succession ininterrompue de montées lentes et progressives et d’explosions du rythme cardiaque. Je constatais avec joie que mon algorithme était beaucoup plus vivant. Il changeait de stratégie régulièrement, bref, je n’aurais pas fait mieux avec ma langue !


On était vendredi. Elle me l’avait emprunté pour tout le WE. J’allais avoir du travail !

Vers 17 h, elle a mis l’appareil en manuel avec un faible niveau de stimulation et la position de son mobile a été géolocalisée dans le parking, puis j’ai pu suivre son trajet en voiture jusque chez elle.

À aucun moment, elle n’avait arrêté l’appareil. Une fonction intrusive de l’application mobile me permettait de savoir qu’elle avait passé plusieurs coups de fil pendant son trajet et qu’elle avait eu un orgasme au volant entre deux appels.


Arrivée chez elle, elle a remis en route le mode automatique. Elle était debout, probablement en train de cuisiner, et elle téléphonait tout en étant en proie à de nombreux spasmes.


Quelques heures plus tard, j’ai détecté un téléchargement de l’application mobile depuis les États-Unis à San Francisco. J’avais su par hasard que son mari travaillait là-bas et qu’ils se voyaient assez peu.


Pendant le reste de la soirée, il a pris le contrôle.

Beaucoup plus sadique que mon algorithme automatique, il mettait le paquet sur toutes les fonctions en même temps. Elle a fini par couper sans avoir atteint l’orgasme et j’ai perdu le contact jusqu’au lendemain matin où elle s’est reconnectée.


Moi j’étais derrière mon PC et elle était géolocalisée au jardin des tuileries, et ne portait toujours pas de culotte. Elle s’est immobilisée et a enclenché le mode automatique. Elle s’est allongée (probablement sur l’herbe, mais je ne pouvais pas savoir exactement…).

Après trois orgasmes enregistrés, avec des niveaux d’intensité qui battaient tous les records, elle a remis l’appareil en mode discret mais toujours en automatique, s’est relevée et a continué sa promenade.


La suivre ainsi à distance, en aveugle, était grisant. Je pouvais m’immiscer dans la vie intime de cette femme que j’avais toujours désirée en secret. Et même si je ne voyais rien d’autre qu’une carte avec un point bleu, des courbes et des tableaux de chiffres, et une petite silhouette de femme animée, L’excitation était à son paroxysme. C’était évidemment une forme assez moderne de voyeurisme, sauf que je pouvais intervenir de temps en temps, et constater les effets de mon action en temps réel.


Le mode automatique « discret » permettait de rester sous l’emprise de l’appareil, mais avec un niveau d’intensité et de bruit qui le rendait indétectable par une personne située à proximité. Il consistait essentiellement en des mouvements mécaniques lents et des niveaux de vibration très bas. Lorsqu’il fonctionnait sur ce mode, l’appareil profitait de la moindre élévation du bruit ambiant pour faire monter en flèche les niveaux de stimulation. Ainsi, la femme, sollicitée en permanence de façon douce, rentrait petit à petit dans un état de transe et de sensibilité extrême. Puis elle était régulièrement surprise par des augmentations brutales des vibrations, ce qui provoquait en général des réactions inconvenantes.

C’est en tout cas ce que j’avais constaté sur mon ex-copine qui lâchait souvent des petits cris et se pliait en deux à ces occasions. Ma directrice semblait réagir de la même façon, car sa marche était entrecoupée de croisement de jambes qui correspondaient exactement aux pics des courbes.


Nous avons passé l’après-midi « ensemble »… elle dehors et moi derrière mon écran. Je rajoutais ici et là ma petite touche personnelle aux stimulations lorsque je sentais qu’il suffisait d’un petit coup de pouce pour qu’elle perde le contrôle.


En fin de journée, elle semblait s’être arrêtée dans un restaurant… Était-elle seule ou était-elle avec des amis ? Je n’avais malheureusement pas moyen de le savoir.


C’est à ce moment-là qu’une notification s’est fait entendre sur mon smartphone. C’était un selfie posté sur le groupe de l’équipe sur lequel on voyait Mathilde en compagnie d’une copine, plutôt éméchées, dans un restaurant, chacune devant un grand cocktail. Mathilde était habillée d’une petite robe d’été légère.

La photo était intitulée :


On décompresse après cette semaine éprouvante, Bon WE à tous. Je vous donne rendez-vous lundi matin à 9 h dans la salle de réunion. Je vous annoncerai l’ajout d’un nouveau produit à notre catalogue… Il est actuellement en cours d’expérimentation et il donne des résultats bien au-delà de ce qu’on pouvait espérer. Nous serons bientôt à nouveau leaders sur une technologie de pointe.


Le fait de la voir en photo a ajouté encore au plaisir que j’éprouvais. C’était comme une récompense. J’ai regardé longuement la photo sans pouvoir m’enlever de la tête qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe…et qu’il me suffisait de trois clics de souris pour qu’elle sursaute sur sa chaise… Elle semblait me regarder, et son message, obscur pour les autres, était très clair pour moi : « ton truc marche du tonnerre ! je prends mon pied et on va en vendre des milliers ! »


Elle est restée en mode discret tout le repas, ce qui ne l’a pas empêchée d’avoir deux ou trois orgasmes. Je me plaisais à penser qu’elle était toujours accompagnée. Puis elle est rentrée chez elle, et l’Américain est réapparu. Il a repris le contrôle de façon toujours aussi agressive…


Pendant des heures, elle est restée couchée à subir les assauts de son mari. Comme elle s’était abandonnée au contrôle à distance, je pouvais ajouter quelques stimulations supplémentaires de mon cru…


Mais Mathilde était allée beaucoup plus loin. Elle avait activé une fonction expérimentale qui permettait de partager la caméra du smartphone à celui qui contrôle à distance. La fonction non achevée avait été mise en service à mon insu lorsque j’avais livré la nouvelle version de l’algorithme automatique la veille.

C’est par hasard que j’avais remarqué la nouvelle icône avec un petit œil et que j’avais cliqué dessus, et voilà que j’avais maintenant une magnifique vidéo d’elle, qui avait soigneusement calé son smartphone sur une table, dans l’axe de son entrejambe pour que son mari puisse la mater. Le rêve pour moi.

C’était un peu saccadé, mais je voyais tout et il y avait le son ! Elle était seule sur son lit, sur le dos, jambes écartées, elle se tortillait en gémissant et en se caressant les seins. Parfois elle se cambrait, parfois elle se contractait, et je voyais apparaître son visage torturé, les yeux fermés, les sourcils froncés et la bouche ouverte, presque à l’agonie…


C’était d’une beauté à couper le souffle. Je me suis concentré sur cette petite fenêtre qui restituait une vidéo de mauvaise qualité de la plus belle femme du monde, qui prenait son pied en agitant ses magnifiques jambes et en montrant sa chatte poilue mais taillée au cordeau.


J’imaginais son mari se masturbant devant cette image, moi je me contentais de jouer au marionnettiste. J’avais repris depuis longtemps le contrôle de l’appareil, coupant l’herbe sous le pied de son mari, et les gémissements s’enchaînaient alors que je jouais avec les commandes.



***



Le lundi matin, je suis arrivé au boulot à 8 h 30. Je suis passé à mon bureau avant d’aller à la réunion de 9 h. Elle y avait déposé une boîte contenant la petite merveille qu’elle avait soigneusement lavée, vu l’odeur de savon qui s’en dégageait. Quel dommage, j’aurais tant aimé sentir son odeur à elle, ou retrouver un poil coincé dans cette belle mécanique… Un mot était posé dessus :


Tu es un génie ! Ce truc va peut-être tous nous sauver ! Mais c’est ton bébé, alors je veux que ce soit toi qui nous le présente à la réunion de 9 h. tu m’as convaincue alors tu peux tous les convaincre. Merci pour ce WE inoubliable, mais maintenant il faut que tu oublies ce que tu as vu, et juste pour dissiper le doute : non, je ne porte jamais de culotte !

Je serai sûrement la première cliente, mais tu n’auras plus jamais accès à mon… d’ailleurs, comment va-t-on l’appeler, ce nouveau jouet ?