n° 21298 | Fiche technique | 14564 caractères | 14564 2420 Temps de lecture estimé : 9 mn |
19/11/22 |
Résumé: Magali était partie pour faire le ménage et la cuisine. Mais son mari ne l’entendait pas ainsi. | ||||
Critères: fh couple amour caresses cunnilingu anulingus pénétratio fsodo coprolalie -couple | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Le samedi était pour Magali le jour du ménage. La corvée indispensable. Elle se justifiait d’autant plus ce samedi-là que sa fille et son gendre devaient venir déjeuner avec leurs enfants. Aussi s’était-elle mise à la tâche dès potron-minet, à peine son petit-déjeuner avalé, sans prendre le temps de faire sa toilette, les cheveux ramenés en chignon et encore en nuisette. Son mari Jacky se proposait à l’aider mais lorsqu’il passa dans la chambre, alors que Magali retapait le lit conjugal, sa position penchée en avant, avait relevé la nuisette et découvert une bonne partie de son petit cul joufflu. Ce fut plus fort que lui : il y mit la main. Une main chaude, cajoleuse, qui glissait déjà dans l’entrecuisse.
Jacky battit en retraite alors que sa queue avait déjà commencé à se redresser. Ah les contraintes domestiques ! Elles étaient bien l’obstacle principal à la bagatelle. Il partit prendre sa douche, bon gré mal gré. Mais quand il revint de la salle de bains, Magali passait l’aspirateur dans la chambre. Sa position encore légèrement penchée en avant faisait bailler le décolleté de sa nuisette, découvrant ses seins libres en train de se balancer au rythme des coups d’aspiro. Vivement, il mit la main à l’intérieur, happant un sein dont il sentit la fermeté et la chaleur dans sa paume. Magali la retira vivement en protestant :
Jacky connaissait son épouse. Il ne fallait pas la chauffer beaucoup pour qu’elle capitule et ouvre les cuisses. C’était même parfois elle qui prenait les devants en lui mettant la main aux parties. Les années de mariage n’y avaient rien changé : elle aimait toujours autant le cul. Elle portait à son pénis une espèce de vénération, comme étant la source d’une félicité à nulle autre pareille. C’était quasiment une autre partie d’elle-même. Elle entretenait sa vigueur avec un soin jaloux, à coups d’onguents et de décoctions vitaminées. Elle était fière que son mari bande toujours pour elle et elle faisait en sorte, par ses tenues, par ses initiatives érotiques et par une disponibilité constante que sa queue pénètre toujours sa chatte avec le même bonheur réciproque.
Mais cette fois, rien à faire. Elle était tout entière à son ménage. Une nouvelle fois, il battit en retraite, résigné. Fichu repas familial ! Ils ne pouvaient pas venir le lendemain ? Après avoir passé l’aspirateur dans tout le bas de la maison, jetant un œil pour voir où traînait Jacky afin de parer à toute éventualité, elle finit par prendre sa douche. Elle reparut en robe, épaules découvertes, décolleté dorsal, jambes nues, et se mit à la cuisine, un tablier noué autour du cou. C’était une robe serrée qui lui faisait un adorable petit cul et moulait ses seins qu’elle avait laissés libres, comme souvent, parce qu’elle était fière de leur tenue et parce qu’elle n’aimait pas porter de soutif. Jacky sentit une nouvelle poussée de désir. Tandis qu’elle coupait les légumes, il passa dans son dos et colla son bas-ventre contre son fessier tout en empaumant ses seins en passant par le décolleté dorsal :
Elle gigota pour se dégager, il maintint sa pression et elle se retourna :
Ce n’était plus déjà la même résistance mais il eut un peu honte de la mettre en difficulté. Il alla donc prendre l’air.
Quand il revint, Magali s’était maquillée, avait dénoué son chignon et dressait la table tandis que le rôti et les légumes cuisaient. Une nouvelle bouffée de désir le prit. Alors qu’elle se trouvait devant l’évier, toujours en tablier, pour égoutter les légumes, une idée lui vint. Il s’assit par terre derrière elle et avant qu’elle ait eu le temps de bouger, glissa sa tête entre ses cuisses et colla sa bouche contre la mince étoffe de ce qu’il reconnut comme un string. Elle poussa un cri, lâcha l’écumoire, tenta de lui attraper les cheveux mais il la tenait fortement par les cuisses et, déjà, sa langue s’agitait. D’abord vives, les protestations mollirent pour se muer en gémissements. Il put tirer sur le string et atteindre directement la fente dont il goûta le suc. Si elle lui prenait la tête, ce n’était plus pour la retirer mais pour la maintenir en l’état. Il lapa longuement, avec précision, jusqu’à ce qu’elle pousse un petit cri qui n’était pas de douleur. Quand il se retira, le visage barbouillé de cyprine, Magali avait le rouge aux joues et ôtait son tablier :
En un clin d’œil, elle fut nue et s’assit sur la table de la cuisine, déchaussée, offerte. Il se déshabilla entièrement à son tour, tapota son pénis tendu comme pour lui montrer l’effet qu’elle lui faisait. Elle lui répondit en touchant son gland des orteils, soupesant ses couilles du pied. Elle était l’image de la femelle disponible pour son mâle.
Il tira une chaise et s’assit face à elle afin de poursuivre un cunni qui avait si bien commencé. Il savait d’expérience que c’était la meilleure approche pour la faire jouir. Il observait son expression par-dessus son ventre, le nez dans sa végétation intime. La langue sur les lèvres, elle savourait. Leurs regards se croisèrent, concentrés, énamourés. Une brève agitation de son abdomen accompagnée d’un gémissement lui fit comprendre qu’elle avait déjà pris son plaisir. Puis elle le prit par les cheveux et lui dit :
Jacky savait qu’elle aimait faire l’amour dans des lieux autres que le lit. Ce n’était pas la première fois qu’il la prendrait dans la cuisine. « Au lit, on fait l’amour, ailleurs on baise », lui avait-elle dit un jour qu’ils copulaient sous la douche. Il allait donc la baiser, à sa demande.
La fente de Magali était juste à la bonne hauteur de sa queue lorsqu’il se mit debout au ras de la table. La pénétration fut rectiligne, radicale, totale, les yeux dans les yeux. La cuisine s’emplit de « floc floc » liés à la jonction de leurs sexes et au contact de leurs peaux. Elle lui manifesta son approbation avec son habituel vocabulaire lorsqu’il l’honorait :
Il se sentait viril, tonique, subjugué par ce corps de femme mûre, épanoui, encore ferme, qu’il secouait de sa bite sous ses encouragements à poursuivre. Il faillit éjaculer, fit une pause, et elle en profita pour boire un verre d’eau avant de poser ses coudes sur la table et d’offrir son cul. Leurs ébats comportaient fréquemment une phase de sodomie et il comprit qu’elle en avait envie. Il s’accroupit pour la préparer de sa langue et lui écartait les fesses quand, soudain, un bruit de moteur se fit entendre dans le jardin :
Tout à leur frénésie érotique, ils n’avaient pas vu le temps passer et leurs enfants, flanqués de leur marmaille, déboulaient. Encore en érection, il enfila en hâte son pantalon sans même mettre de slip et elle en fit de même avec sa robe, dissimulant leurs sous-vêtements dans le placard. Lorsque fille et gendre entrèrent, ils trouvèrent Magali et Jacky à peine rhabillés, elle échevelée, lui en sueur :
Ils parvinrent à reprendre contenance après que Magali eût vérifié si le rôti n’avait pas brûlé dans l’affaire. C’était juste, mais c’était bon. Et après les discussions de circonstance, l’apéritif et les câlins aux petits enfants, ils se mirent à table.
Mais ce coït interrompu avait mis Magali et Jacky dans un état proche de la frustration. Il n’avait pas éjaculé et elle n’avait pas eu le temps de jouir après le cunni. Lui n’arrêtait pas de penser qu’elle était nue sous sa robe, et elle, qu’il ne portait pas de slip sous son pantalon. Lui en bout de table, elle à ses côtés, il put lui faire du pied déchaussé et elle répondit de même. Il s’enhardit en lui mettant la main sur sa cuisse. Heureusement, fille et gendre étaient en face, et les petits enfants avaient déserté la table. Sa main glissa sous la robe sans rencontrer de résistance. Mieux, elle écarta légèrement les cuisses, tout en poursuivant la conversation avec ses vis-à-vis. Lorsqu’il toucha son sexe, elle marqua juste une petite crispation mais continua à parler. Elle avait elle-même glissé la main sous la table et posé un doigt exactement sur son gland qui faisait une bosse sur le devant de son pantalon. On n’était alors pas loin du point de non-retour et d’un commun accord (tacite), il retira sa main, elle ferma les cuisses et laissa son gland tranquille. Mais tous les deux n’avaient plus qu’une hâte : qu’ils s’en aillent tous ! Reprendre l’affaire où ils l’avaient laissée. Et baiser.
Mais le couple visiteur proposa une promenade dans le parc voisin. Jacky et Magali en furent quittes pour réfréner leurs ardeurs. Il lui dit juste à l’oreille en marchant :
Puis un peu plus loin :
Et d’arrondir sa croupe en marchant devant lui, par provocation. Sa queue butait contre la toile de son jean. Les gosses n’auraient pas été là qu’il l’aurait poussée derrière un fourré, troussée et imposé sa loi. C’est dans un état d’extrême excitation qu’ils revinrent au bercail. Elle le frôlait de sa hanche, l’air de rien. Il voyait les pointes de ses seins saillir contre la toile de sa robe. Elle avait une envie folle d’ouvrir sa braguette et de l’emboucher. Mais elle faisait celle qui se laissait désirer.
Ils accompagnèrent leurs visiteurs à la voiture, les saluèrent sur le seuil de la maison, mais à peine rentrés, ce fut un déchaînement. Tout en s’embrassant, ils se portèrent mutuellement jusqu’au canapé du salon. Il avait déjà le pantalon aux chevilles et elle la robe autour du cou. Il bandait comme un cheval et son jus dégoulinait sur ses cuisses. Ils achevèrent de se dévêtir mutuellement, elle s’allongea sur la longueur du canapé, lui prit la bite à pleine main et la porta à son antre intime en levant un pied vers le plafond, l’autre posée sur le dossier du canapé. Il la pénétra comme il l’avait annoncé, « jusqu’aux couilles » et la sarabande commença. Il pilonnait, elle gigotait, il grognait, elle piaillait. Ils baisaient. Non comme un vieux couple mais comme un mâle et une femelle affamés de leur corps réciproque. Leur seule inquiétude concernait l’éjaculation. Il voulait durer et elle voulait qu’il reste dur. C’est pourquoi ils observèrent quelques brèves pauses avant de changer de position, assortie de quelques commentaires qui auraient choqué leur progéniture. Elle demanda à être « enculée » et il la prit lorsqu’elle se mit à quatre pattes sur le canapé, le museau sur le dossier. Il réussit à nouveau à contenir son sperme et elle le remercia en l’embrassant.
Puis elle le prit par la main et lui dit :
Lorsqu’il la suivit dans l’escalier, le spectacle ravissant de sa croupe en mouvement lui fit gagner un centimètre de queue. Elle le tira vers le lit, très ouverte, et lui dit :
Encerclé par ses mollets, il creusa d’abord lentement puis de plus en plus rapidement dans un crescendo qui faisait en même temps monter les décibels dans sa bouche. Elle connut un orgasme puissant qui la mit en arc de cercle et les ongles plantés dans ses épaules. Il se répandit en elle en criant :
Elle poussa le couinement de jouissance qu’il connaissait bien. Et ils retombèrent, inertes et apaisés.
Ils demeurèrent au lit jusqu’au dîner, nus et enlacés. Après la douche et le repas sommaire (les restes de midi), ils se retrouvèrent dans le même canapé, mais cette fois assis côte à côte, devant la télé. Ils étaient redevenus un couple ordinaire, en peignoir, et iraient bientôt se coucher, un peu rincés quand même. Mais avec la satisfaction d’être toujours sexuellement en appétit l’un envers l’autre.