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Temps de lecture estimé : 15 mn
22/11/22
Résumé:  Nouveau locataire au dernier étage d’un vieil immeuble Haussmannien, je me retrouve avec deux retraitées comme voisines.
Critères:  fh fplusag fagée voisins gros(ses) fellation cunnilingu pénétratio -diffage
Auteur : Foretdorient      Envoi mini-message
Duel de voisines

Après m’être séparé de ma dernière concubine, je m’étais retrouvé dans un petit F2 minable d’un vieil immeuble parisien. Cinquième étage sans ascenseur, mansardé, juste en dessous des toits, appartement glacé, électricité vétuste et sanitaires plus que spartiates. Je partageais mon palier avec deux vieilles femmes dont je ne tardai pas à faire la connaissance.


Au fond du couloir, il y avait Maryse, une veuve bien conservée qui venait de fêter ses soixante-dix ans. Encore alerte et pleine de vie, elle possédait un humour assez décapant, parfois même plutôt acerbe. Pourtant, la vie ne l’avait pas épargnée. Seule et sans enfants, elle vivotait grâce à une maigre retraite et arrondissait ses fins de mois en faisant quelques travaux de couture.


Quant à la porte à gauche, c’était l’antre de Rosalie, une grosse bonne femme, charnue et bedonnante, retraitée également, qui devait avoisiner la soixantaine à l’époque. Cela me faisait toujours un peu de peine lorsque je la voyais gravir péniblement les escaliers. Elle soufflait comme un bœuf, faisait une pause à chaque palier et arrivait généralement tout en haut le visage rouge et en sueur. À chaque fois que je le pouvais, je me proposais pour lui porter son pack d’eau ou son panier. En général, elle refusait et je devais lui faire violence pour lui imposer mon aide. Cent, cent dix, peut-être même cent vingt kilos, je n’en savais trop rien mais elle semblait parfois proche de la crise cardiaque.

Elle ne tarda pas à m’inviter chez elle pour se confondre en remerciements. C’était vraiment une gentille femme, assez timide, plutôt sauvage. Elle vivait seule et sans ami dans un appartement encore plus insalubre que ne l’était le mien. Le bas des murs était rongé par l’humidité et l’exposition au nord rendait le lieu encore plus glacé. Elle non plus n’avait pas de famille, elle aussi était sans attache. Depuis que son entreprise s’était débarrassée d’elle prématurément, elle se morfondait dans ses trente mètres carrés, ayant à peine de quoi payer toutes ses factures.


Les deux femmes se connaissaient, se respectaient mais je compris bientôt qu’elles ne s’appréciaient guère. Maryse avait sans doute plus d’éducation et était plus guindée et plus snob, plus intellectuelle également. Elle considérait un peu Rosalie comme une grosse vache qui se laissait aller. Celle-ci, de son côté, trouvait la vieille femme hautaine et prétentieuse. Plutôt que de se fréquenter et de partager leurs solitudes, elles préféraient s’ignorer et se retrancher derrière quelques formules de politesse pour garder leurs distances. Curieusement, elles m’avaient pris l’une et l’autre à la bonne et m’invitaient tour à tour à boire un café ou à partager une tasse de thé.


À l’approche de l’hiver, leur concurrence monta soudain d’un échelon quand Rosalie me proposa un soir de venir dîner pour me remercier de lui avoir un jour réparé sa chasse d’eau ainsi qu’une fuite qu’il y avait sous son évier. Chez elle, encore plus que chez moi, c’était plein de cafards qui grouillaient dans les plinthes et sous les lames du parquet, mais notre bien-aimé proprio refusait avec obstination d’entendre parler de travaux. Toujours est-il que la grosse femme se confondit une fois de plus en remerciements et qu’elle tint absolument à me faire un repas amélioré. Et je dois dire que ses talents de cuisinière vinrent au secours de ses maigres moyens, car elle me concocta une délicieuse volaille arrosée de bon vin.


Je ne sais trop comment Maryse apprit que j’avais passé la soirée chez notre voisine de palier mais elle en fut très jalouse et elle me le reprocha. Elle me fit la gueule pendant presque quinze jours, me disant à peine « bonjour ». Au bout de cette mise en quarantaine, je trouvai une carte d’invitation glissée sous ma porte, un soir en rentrant :


Bertrand,


Je serais très heureuse de vous avoir un de ces soirs pour dîner.

Votre jour sera le mien.


P.-S. N’apportez pas de fleurs, je déteste les fleurs coupées, cependant une bouteille de bon vin pourrait faire l’affaire…


Le lendemain matin, je la croisai dans le hall d’entrée et nous convînmes avec enthousiasme de planifier ce repas pour le soir même.

Lorsque je frappai à sa porte, je vis immédiatement qu’elle s’était mise sur son 31. Habillée de façon bourgeoise, tenue de soirée, maquillage et lumière très discrète, elle me fit entrer dans la salle à manger qui avait été lustrée de fond en comble pour fêter mon arrivée. Petits fours chauds et bouteille de champ’, elle me sortit toute de suite le grand jeu comme si elle eut voulu m’impressionner. Je regrettai du coup de ne pas m’être mieux habillé. Mais là où Maryse me porta le coup de grâce, c’est quand je remarquai les bas résille que l’on entrevoyait sous sa jupe fendue. Elle aurait voulu me séduire qu’elle ne s’y serait pas prise autrement, et je peux vous dire que malgré ses soixante-dix berges elle était encore parfaitement bandante la mamie…

Mais la suite fut quand même beaucoup plus sage, nous devisâmes très gentiment autour des quelques bulles, avant de savourer le délicieux repas qu’elle avait concocté avec amour. Tout ça pour me séduire ou pour m’éloigner de sa rivale. D’ailleurs, entre deux plats, elle ne put s’empêcher de décocher quelques piques :



Café, pousse-café, à la fin du repas elle semblait un peu pompette, tant et si bien que, alors que nous étions sagement assis dans le canapé à discuter de choses et d’autres, il me vint à l’idée d’en profiter pour risquer un baiser. Je me penchai soudain vers elle cherchant sa bouche avec mes lèvres et le pire c’est que sur l’instant elle accepta cette invitation. Baiser intense mais très fugace, car elle se dégagea bientôt et me remit fermement à ma place, ulcérée :



Elle semblait à cet instant si sévère que je me mis à bafouiller, tentant d’expliquer vainement mon attitude et m’embrouillant dans mes propos, entre cette atmosphère que j’avais trouvée tellement intime, sa sensualité si particulière, et ce que j’avais cru ou pu croire à tort comme un encouragement. Elle me laissa m’emmêler dans mes explications avant de conclure :



J’avais pourtant l’impression que c’était plus elle que moi qu’elle cherchait à cet instant à sermonner. Comment avait-elle pu s’abandonner, ne serait-ce que quelques secondes à ce jeu de langue ? Elle me donnait l’impression de vouloir se fustiger.



Je ne sais trop si cela avait définitivement cassé l’ambiance, mais une demi-heure plus tard, elle me donna congé en prétextant une grande fatigue. Entre-temps, elle avait eu le temps de m’interroger en long et en large sur mes fréquentations. Elle était en particulier très inquiète sur le fait que je n’avais pas de petite amie. Selon elle, cela devait me monter à la tête et pouvait, dans une certaine mesure, expliquer mon geste de tout à l’heure. En tout cas, elle me mit bien en garde sur le fait de fréquenter notre voisine commune.



Pour elle, forcément une fille de mauvaise vie, car elle enchaîna :



J’eus beau essayer de la contredire en lui expliquant que Rosalie n’avait pas été serveuse mais plutôt cuisinière dans une sandwicherie, mais c’était pour elle du pareil au même, une femme à ne surtout pas fréquenter.



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Je ne sais si Rosalie avait passé toute sa soirée à écouter aux portes mais dès le lendemain elle attaqua, alors que je la croisais dans l’escalier :



Elle devait être derrière sa porte, l’œil rivé à son œilleton, et nous surveiller, fumante de jalousie envers sa rivale.



Puis, changeant de sujet.



Je me rappelais encore la fois précédente où je m’étais caillé toute la soirée. Au moins, dans ma piaule, le chauffage fonctionnait. Nous décidâmes d’un rencard pour le soir même, elle préparerait le plat durant la journée et se pointerait avec sur les coups de vingt heures.



Deux repas coup sur coup, j’allais prendre du poids.

Le soir venu, lorsque j’ouvris la porte et je faillis tomber à la renverse car je ne m’attendais certainement pas à ça. La grosse femme était outrageusement maquillée, pomponnée et parée de ses meilleurs atours. Elle était passée chez le coiffeur, ce qui la changeait de ses cheveux bien gras. Quant à sa robe, c’était très certainement la plus belle de sa garde-robe, mais cela devait faire pas mal de temps qu’elle ne l’avait pas mise, car elle faisait vraiment boudinée dedans. Ça la rendait quelque peu grotesque mais je préférai pour ma part ne garder que le côté positif en m’extasiant sur cette femme qui avait fait tout son possible pour être la plus belle du monde.

Mais le naturel revint bien vite au galop :



Vraiment, elles se détestaient !

Son décolleté profond était vertigineux. Entre ses seins lourds et mous qu’un soutien-gorge XXL avait du mal à domestiquer, je perdis mon regard dans cette gorge profonde. Mais elle me rappela bientôt à l’ordre :



Le lapin était succulent, le vin tout autant, et mon regard revenait de plus en plus souvent entre les globes de ma généreuse convive et je crois bien qu’elle s’en amusait.



Mais quand elle se leva pour porter le plat à la cuisine et qu’elle fit mine de trébucher, je me portai immédiatement à son secours, en en profitant sournoisement pour porter une main sur ses nichons. L’instant d’après, je les pétrissais à pleine pogne avant de les faire gicler l’un après l’autre de leur demeure. Rosalie, vaguement éméchée, se mit alors à glousser tandis que je la tétais.

Mais ses rires semblaient quelque peu forcés par la nervosité car elle ne semblait pas si bien que ça dans la peau de la femme qui se donne. D’ailleurs, n’en pouvant plus, elle se dégagea d’un mouvement d’humeur et recula prestement vers la porte tout en se rhabillant. Puis elle sortit sans ajouter un mot et j’entendis sa porte claquer dans le couloir. L’avais-je vraiment froissée, je regrettais déjà mon attitude un peu brutale… mais c’était sa faute aussi, c’est elle qui avait voulu m’aguicher jusqu’à l’insupportable. Et ce soir-là, j’eus beau aller frapper à sa porte pour essayer de m’excuser, elle ne répondit pas…



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Le lendemain alors que je partais au boulot, je croisai Maryse sur le trottoir, et la vieille femme put déverser alors tout son fiel :



Mais j’ai passé mon chemin en préférant ne pas répondre.


Désormais, Rosalie me faisait la gueule. Elle s’arrangeait pour ne pas sortir en même temps que moi et, quand par malheur nous nous rencontrions, elle tournait la tête pour ne pas me parler. Elle ne souhaitait manifestement plus m’adresser la parole. Maryse s’en apercevait et s’en délectait. Convaincue que sa rivale me faisait la gueule parce que j’avais refusé ses charmes, elle se rapprocha à nouveau de moi. Elle m’abordait à tout bout de champ sur le palier (on aurait presque dit qu’elle me guettait) et parlait haut et fort pour que l’autre, dans son appart, puisse entendre.



Mais à chaque fois je refusais sous quelques prétextes futiles… jusqu’au jour où j’eus la faiblesse d’accepter. Je revenais tout juste du boulot, n’avais manifestement rien à faire de spécial et c’était précisément l’heure de l’apéro. Alors elle revint à la charge avec son Porto. C’est ainsi que je me retrouvai à nouveau chez la vieille femme. L’effet de l’alcool sans doute, peu à peu elle se dérida jusqu’à être un petit peu pompette, ou tout du moins passablement éméchée. Une bonne partie de la bouteille y était passée.



Et elle nous resservit un autre verre. Je me demandai, vu son état, si c’était bien raisonnable.



Curieuses paroles dans la bouche d’une femme d’ordinaire si guindée. Je ne l’avais encore jamais vue dans un tel état d’ivresse.



Si je m’attendais à ça !



Elle y allait franco la mamie. En la regardant, il me sembla même qu’elle tendait légèrement les lèvres vers moi. Avais-je rêvé ?



Elle s’était jetée à l’eau. Maintenant, j’étais au pied du mur, il me fallait répondre. Je n’étais plus si certain d’avoir vraiment envie d’elle ou de la bécoter. Quoiqu’il en soit, il me fallait quand même la rassurer. Donc, plus par politesse et pour lui être agréable, mes lèvres se posèrent délicatement sur les siennes et ma langue se hasarda timidement dans sa bouche. La sienne vint alors l’y rejoindre, mais timidement et sans vraiment oser. Nous étions comme deux jeunes puceaux qui n’osent rien faire sauf se bécoter du bout des lèvres et qui ne savent pas comment avancer. Déçue, elle se détacha.



Reproches à peine voilés à mon encontre. Une grosse pelle bien baveuse, c’est ça qu’elle voulait ? Dans sa bouche, ces mots roulaient presque comme un blasphème. Mais ça m’a tout d’un coup excité. J’ai passé une main autour de son cou, l’ai attirée à moi avant d’enfoncer carrément ma langue dans sa bouche, comme je l’avais fait maintes et maintes fois avec les filles de mon âge lorsque j’étais ado. Cela s’appelait rouler un gadin. Elle répondit avec le même entrain, en m’embrassant comme une petite adolescente espiègle, en fermant les yeux pour mieux savourer la chose. Baiser interminable que ce jeu de langues bien baveuses ! Je sentais qu’elle vacillait sur place, alors je l’ai renversée sur le canapé :



En fait elle ne savait plus trop où elle était ni ce qu’elle faisait, et mes doigts en profitaient pour s’immiscer partout sur elle, pour glisser sous ses habits, pour dégrafer ses boutons et pour chercher à la déshabiller. Et nous nous embrassions toujours, elle, préférant garder les yeux fermés et ne pas y penser, et moi, petit lutin vicieux, abusant honteusement de la situation. Mes mains posées partout sur elle, parfois même en des endroits peu convenables. Je dénudais un sein, un bout de cuisse, un galbe de fesse. Maryse ne maîtrisait plus grand-chose, elle me laissa même déchirer largement son collant, ce qui me donna accès à sa petite culotte en dentelle ajourée. Écartant le bout de tissu, Je pus alors glisser un doigt dans sa chatoune et doucement doigter son con.



Mais elle ne faisait en fait aucun geste pour mettre le holà face à mes attouchements lubriques, au contraire, elle m’attirait à elle. Cela m’encouragea à continuer, ce qu’elle félicita par quelques gémissements. Vu qu’elle n’était pas spécialement mouillée, je me proposai de combler ce manque en lui léchant abondamment la chatte. Je me laissai glisser entre ses cuisses jusqu’à être à hauteur d’un pubis soigneusement épilé. Elle n’avait en fait qu’une petite touffe et j’en étais à me demander pour qui elle s’entretenait ainsi, à moins que ce ne soit d’ailleurs par habitude. En tout cas, elle avait beau être rasée de près, elle sentait un peu la pisse, probablement l’apanage de la vieillesse. Mais cela ne me rebuta nullement, bien au contraire. De savoir que cette « prout prout ma chère » exhalait des relents de marée rendait la chose encore plus excitante. C’est donc avec appétit et avec beaucoup d’entrain que je me mis à dévorer sa vulve, écartant largement ses chairs sombres pour pénétrer au plus profond de son intimité avec ma langue. Elle ne disait rien mais elle se laissait faire. Elle fermait toujours les yeux, peut-être préférait-elle rester dans ses rêves.


À force de patience et de persévérance, je la sentis bientôt se contacter. Angoissante question : les vieilles pouvaient-elles jouir ? Celle-ci sans aucun doute, les spasmes de son corps, les petits « ah », les soufflements, je redoublai d’attention sur un bouton de taille fort honorable qui me sembla gonfler peu à peu au fil de mes coups de langue. Allais-je y arriver ? Depuis combien de temps est-ce que je la léchais ? Je n’avais plus la notion du temps… Ma bouche aidée de mes doigts qui allaient et venaient dans sa grotte humide. Elle était presque en haut de la vague mais ne parvenait pas à atteindre la félicité. Me vint alors à l’idée de mouiller un autre de mes doigts et de le glisser dans son anus. La réaction ne se fit pas attendre, elle s’arcbouta sur ses pieds en gémissant comme une bête, ce qui m’encouragea encore plus à la bouffer, à la branler, à l’enculer, le tout en même temps jusqu’à ce qu’elle craque et se tortille de tous côtés. Putain, quel pied, la mamie ! Mais je continuai quand même à la manger et à lui doigter les fesses jusqu’à ce qu’enfin elle se calme.



Je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits. Je dégrafai mon pantalon et baissai mon slip, libérant une queue dure et dressée, et lui présentai devant la bouche.



Elle n’était pas dénuée de savoir-faire, bien au contraire. Elle me suçait avec appétit en massant doucement mes couilles. Elle se risqua même à m’enfoncer un doigt dans le cul.



Redoublant alors d’énergie en me malaxant les couilles, elle ne tarda pas à me faire gicler dans sa bouche. Elle faillit s’étouffer, déglutit avec peine, relâcha ma queue, du sperme s’écoula dans son cou. Puis, une fois remise de ses émotions, et sans que je lui demande, elle me reprit en bouche et me nettoya soigneusement de toute ma jouissance. Manifestement, elle aimait aussi le jus de bite.



Manifestement, elle avait envie d’un second round qui fut lui aussi torride à l’image de nos premiers ébats, elle m’autorisa même à lui prendre le petit.

Et ce n’est que fort tard dans la nuit que je pus enfin rentrer chez moi.




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Le lendemain, lorsque je me levai, un mot avait été glissé sous la porte :


Bertrand,


Je suis désolée de m’être comportée comme une sotte la dernière fois que nous avons passé la soirée ensemble. J’ai pris peur quand vous m’avez tripotée … Cela fait si longtemps, je n’ai plus l’habitude…

Mais maintenant, j’en ai envie, tellement envie, surtout depuis que je sais que vous êtes allé baiser la vieille bique. Je suis morte de jalousie.


Pourrez-vous me pardonner ? Je suis prête à me donner entièrement à vous, à exaucer tous vos fantasmes. Ma porte restera ouverte ce soir et les jours suivants. Venez me voir quand vous voulez ! Venez me prendre, venez me baiser.


Votre petite femelle bien chaude prête à tout pour vous satisfaire.


J’ai relu cette missive plusieurs fois au cours de la journée, je me suis même masturbé dans les toilettes du boulot en me disant « Putain, quelle salope, elle en veut ! »




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Le soir venu, après avoir pris une bonne douche, j’ai enfilé un jogging décontracté sans mettre de slip dessous, afin d’être plus à l’aise, et je suis allé directement chez Rosalie. La porte était effectivement ouverte, et je l’ai trouvée allongée entièrement nue sur son lit, visiblement elle m’attendait.

Je me suis approché, et de voir son gros bide et ses grosses mamelles m’a fait de suite fait bander. J’ai baissé mon jogging et lui ai présenté ma queue dressée qu’elle s’est mise à engloutir sans plus attendre.



À cette évocation, elle redoubla d’ardeur. Manifestement, elle aussi savait sucer, et je ne sais pas laquelle des deux me donnait le plus de sensations. Quand elle me sentit venir, elle me branla devant sa bouche grande ouverte, une autre façon de faire. Les premières giclées lui éclaboussèrent le palais, les suivantes s’écoulèrent sur sa langue et elle avala le tout avant de lécher consciencieusement les dernières gouttes qui parlaient du méat.



Je décidai de m’occuper de ses mamelles qui furent copieusement malaxées et tétées avant de m’occuper de sa chatte. Celle-ci était en eau, la cyprine avait trempé les draps, preuve de son état d’excitation. Dans ces conditions, quelques coups de langue suffirent à la faire jouir, chaque passage de ma langue sur son clito turgescent lui arrachait des râles de jouissance.

À nouveau dur et raide, je décidai de l’enfiler sans plus attendre, d’abord en missionnaire, puis je la fis se retourner pour la prendre en levrette.


Ce fut un peu plus compliqué quand j’essayai de la sodomiser. Au début, elle s’y refusa. Elle avait bien joui par la chatte et était repue.



Ce fut bientôt chose faite. Je pris tout mon temps pour bien la sodomiser avant de m’épancher en elle.



Mais ça, c’était pas gagné… !