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23/11/22
Résumé:  Joseph, de retour au pays, est accueilli par son ami de toujours, Liriam qui lui apprend que son « protecteur » le missionnaire est décédé à la suite d’une attaque de fanatiques et que sa mère est gravement blessée.
Critères:  Afrique fh fhh couleurs extracon candaul grossexe amour odeurs caresses cunnilingu 69 init
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : Joseph et Liriam

Chapitre 01 / 02
Joseph et Liriam - 1

Résumé complet de l’épisode

C’est l’histoire d’un jeune noir Joseph, assez doué, qui après le décès de son père, suit sa mère qui s’acoquine avec un missionnaire, Louis.

Son école se passe bien et il est envoyé par le missionnaire en Europe pour faire le bac, qu’il réussit très honorablement.

De retour au pays, il est accueilli par son ami de toujours, Liriam qui lui apprend que son « protecteur » le missionnaire est décédé à la suite d’une attaque de fanatiques et que sa mère est gravement blessée.

Lors d’une soirée, Liriam, qui est un capitaine, lui soumet un problème qui le gêne, qu’arrivera-t-il à sa famille, s’il vient à décéder. Il propose à Joseph de le remplacer dans tous les termes dans la fonction du mari pendant qu’il n’est pas là, ce qu’il réussit très bien.




Ma jeunesse



Quelque part en Afrique subsaharienne, je vis le jour ne sachant pas où exactement, mes parents étant en quelque sorte assez nomades.

À l’âge de cinq ans, mon père fut tué par une bande de voyous et mère se mit en ménage avec un missionnaire belge, Louis.

Louis fut plus qu’un père pour moi. C’était un personnage curieux, contrairement à père, toujours armé d’un pistolet et d’une machette, même dans sa chambre, mais il avait un cœur d’or, c’est ce qui a probablement attiré mère.

Je suis, vis-à-vis des autres enfants, plutôt désavantagé, étant plutôt malingre, surtout par rapport à Liriam, mais avec lui, on est très amis.

Louis était très strict pour mon éducation, rapidement, je devins le premier de classe et plus le temps passait, plus l’écart avec les suivants se creusaient. J’aidais souvent mon ami Liriam avec ses devoirs scolaires et lui me protégeait.

Louis m’apprit aussi la musique, principalement dans le but de me faire devenir un joueur d’orgues.

À quatorze ans, je dus reprendre le jeu d’orgues, le titulaire précédent, sous la force, s’étant converti à l’Islam et étant parti avec une escouade de terroristes musulmans.



À seize ans, Louis m’envoya chez Lisette, sa sœur, à Louvain, pour faire mon baccalauréat et peut-être me mettre à l’abri.

Je passai mon bac sans trop de problèmes, Lisette, m’entourait d’un très grand amour, j’étais l’enfant qu’elle n’avait pas eu et qu’elle n’aurait probablement jamais1. Sous la recommandation de Louis, on me confia les grandes orgues de l’Église et une copine, qui en pinçait pour moi, m’avait déjà surnommé l’araignée en référence à mes mains qui parcouraient avec élégance, le clavier, de longs doigts secs et nerveux.

L’ancien organiste ayant de l’arthrite dans les mains, il me guida pour améliorer mon jeu et surtout m’encouragea à poursuivre dans les œuvres profanes, m’enseigna la composition. À part le répertoire de Bach incontournable pour l’orgue, il me fit connaître un peu tout le répertoire possible pour l’orgue ; à part l’école, je passais le plus clair de mon temps avec lui.

Lisette m’encouragea à continuer mes études, alors que je lui demandais si je ne devrais pas retourner vers ma mère.



C’est ainsi que quatre ans après, fort de deux nouveaux diplômes, je quittais Lisette, les larmes aux yeux, je voyais bien qu’elle brûlait de m’accompagner, ayant le sentiment que mon départ était comme si on lui enlevait un membre. Étant très naïf, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était, en fait, amoureuse de moi.



En arrivant par avion à la capitale, je fus accueilli par Liriam. On s’est tombé dans les bras, contents de se revoir. Il était revêtu d’un uniforme militaire et, à ce que je voyais, d’un certain grade.




Il m’amène au dispensaire et je vois mère dans un état plus que triste. Je sens la haine monter en moi vis-à-vis de ces barbares. Mes tripes crient vengeance. Mais Liriam, calmement, me dit.



À ce moment-là, le médecin passe faire sa tournée et s’arrête vers nous.



La rééducation de mère dura un temps certain, mais après deux mois, j’ai commencé à aménager mon domicile pour qu’elle puisse loger avec moi. Elle avait sa chambre, avec un lit médicalisé, mais rapidement, elle a progressé et très vite, elle a réussi à être autonome. On a pu rendre le lit médicalisé qui prenait beaucoup de place. Régulièrement, elle partait toute seule au dispensaire pour faire les contrôles, mais tout se passait bien. Restaient quelques cicatrices sur son ventre et avant-bras. Elle s’est même remise à faire la cuisine et à tenir mon intérieur.

En fin d’année, Liriam s’invita avec toute sa tribu, c’est-à-dire sa femme et ses deux enfants, trop mignons (Tout comme son épouse).

Entre Noël et Nouvel An, alors qu’on discutait à bâtons rompus, il me fait part d’un souci lancinant.



Je vais demander qu’on sécurise le village et ce serait pas mal d’organiser un système de défense. On va constituer des milices locales. Les armes qu’on leur a prises, on va vous les distribuer avec des munitions et comme cela, cela ne sera pas de la boucherie, c’est trop facile d’arriver dans un village sans défense et de tout massacrer par ce qu’ils n’ont rien à riposter. Ce serait peut-être une bonne chose que notre stratège instructeur passe quelques jours ici pour l’organiser, mais laissons ces choses pour le moment, revenons à notre affaire.



La belle Alicia se déplace avec son nouveau-né. (j’ai oublié de préciser qu’elle avait accouché d’une fille depuis mon arrivée)



C’est alors que Joseph, sortant d’une sorte de rêve éveillé, secoue la tête comme un chat qui vient de tomber dans une mare d’eau.



Alicia essaye de lui enlever ses complexes :



L’apprentissage de Joseph ou le trio sans corde.


Le soir venu, après avoir mis les enfants dormir, ils se retrouvent les trois dans la chambre, Liriam, sans trop de manières, peu complexé est rapidement à poil et Alicia semble moins rapide et demande à Joseph de l’aider à se mettre en tenue légère.


De ses longs doigts très agiles, c’est fait en moins de temps qu’il m’en faut pour l’écrire, doucement, il pose ses mains ou plutôt ses doigts légèrement sur les épaules et lui caresse le dos, créant une chair3 de gallinacée4 et un long frisson.



Liriam commence à être oppressé, il n’avait pas compté que sa femme se laisse séduire d’elle-même par Joseph, mais en ruminant, il convient que malgré tout, c’est bien ce qu’il voulait.

Alicia à son tour est curieuse de voir de quoi est constitué Joseph. Elle ouvre sa chemise et laisse à son tour, traîner ses doigts sur sa poitrine un peu rachitique, c’est pas le thorax de Liriam, non, c’est plus fin, c’est vrai que cela manque sérieusement de muscles, mais la peau est aussi agréable à caresser.

Joseph à son tour pique un phare et plaque ses mains sur son pantalon pour cacher sa honte.



Timidement, il enlève sa chemise, il n’a vraiment que la peau et les os. Liriam remarque :



Le reste des habits d’Alicia vont rejoindre ceux de Liriam, plié soigneusement par Joseph.



La ceinture est décrochée, le futal abaissé.



D’un geste décidé, Alicia abaisse (pas les frontières), mais le slip, révélant un objet qui ferait rêver plus d’un.



Prenant les choses en main, Alicia s’exprime :



Sans attendre, Joseph commence à une caresse de la main gauche et sa main droite il la place sur le sexe d’Alicia.



Obéissant à un tel ordre, Joseph pose ses lèvres sur le bourgeon du sein que n’occupe pas sa main et commence à faire comme un bébé, à aspirer avec de temps en temps un coup de langue, il déguste en même temps les excédents laitiers d’Alicia.

Alicia commence à se tordre de plaisir et tout d’un coup, une onde de plaisir asperge la main qui était posée sur son pubis.



Mettant sa paume sous son nez, effectivement, ce n’est pas l’odeur d’urine, mais un parfum puissant qui décuple7 la forme de son engin.



Se plaçant entre les cuisses grandes ouvertes, faisant front à un buisson ardent, précautionneusement, il avance son nez, puis sa bouche et enfin tire sa langue en mettant de l’ordre dans le friselis des poils du pubis.

Elle a son premier orgasme, pris par le jeu, il continue et s’abreuve à cette source. En route pour une deuxième montée au ciel, la passagère est priée de s’accrocher. Du reste, sans le demander, elle s’accroche à ce gourdin qu’elle tient fermement.



Il remonte le long du corps avec son sexe qui à force d’attouchement de la part d’Alicia ressemble presque à une barre d’acier trempé et revenu paille. Là pas besoin de lui expliquer, il introduit son engin dans l’engine. Doucement, il se rend bien compte qu’il doit y aller avec précaution, vu qu’il ne l’a jamais fait. Enfin au fond, mais du coup il sent un besoin irrépressible de faire des allers-retours pour le paradis. Il se sent astronome au bord de la navette spatiale, chargé de faire les voyages.

Au comble d’aise, Alicia le ceinture de ses cuisses puissantes et va au-devant de ses mouvements, son dos arc-bouté ne repose plus, son souffle se fait de plus en plus court. Les muscles de son périnée massent l’intrus pour le faire rendre gorge. Mais à ce petit jeu, contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle perd et un nouvel orgasme la prend, ce qui ne désoriente pas Joseph qui trouve le jeu très plaisant. D’un coup, il sent venir du tréfonds de son être un raz de marée qu’il avait vaguement connu avec la prostituée, mais là, c’est différent, totalement différent, il ne peut se retenir et avec ce qui jaillit de sa lance de pompier, tel un geyser, il éteint l’incendie qui s’était déclaré à l’étage inférieur.

Liriam, tendu comme un arc gallois, ne peut s’empêcher d’apprécier ce coït surprenant, il n’avait jamais pensé que son copain Joseph était équipé pour faire carrière dans le porno.



Une fois son affaire faite, les trois sont fatigués, car cela avait été très intense, on s’est un peu endormi, avec le sentiment d’avoir bien fait.

Joseph part dans un rêve où il s’installe avec son copain et sa femme et que tous les jours, il y a le même scénario, du coup, il sent la pression monter, il se réveille, juste à ce moment-là, à deux doigts de polluer son pyjama, quelque chose est en train de s’occuper de son outil reproducteur. C’est délicieux. Dans la pénombre, il voit son copain qui dort paisiblement, mais pas Alicia, il met les mains sous l’édredon et sent une tête qui monte et qui descend les lèvres collées à son membre.

C’est Alicia qui chuchote :



Elle monte et s’enfile ce super sex-toy humain, c’est dantesque. Le pauvre Joseph doit s’agripper au drap pour ne pas décoller à son tour. Enfin, d’un dernier coup de reins, Alicia rend les armes, satisfaite de ce réveil et Joseph, sentant la fin venir, se décrispe et inonde cette grotte avec des grognements presque inhumains, tellement cette crampe matinale le satisfait. Alors que le couple se désunit, Liriam se réveille :




Joseph après la douche va voir sa mère, si tout va bien et éventuellement lui donner un petit coup de main.



En rentrant, la table est mise, mère trône au milieu de la cuisine, Joseph déballe le pain et un croissant pour chacun, l’odeur du café frais embaume, tout le monde a l’air content, même Liriam sachant qu’il doit partir.



Notes en fin



1Vieille fille. Bien que non exclu, cela reste du domaine de l’improbable.

2Boko haram, groupe de terroristes salafistes centré autour du lac Tchad.

3la-chere-la-chair-ou-la-chaire cf https://lemondedufrancais.com/2012/02/21/la-chere-la-chair-ou-la-chaire/

4Gallinacée, c’est le nom scientifique pour la volaille, pour faire un peu pédant, à la place de la chaire de poules.

5Musculature.

6À poils

7enfin il ne faut pas exagérer, pas par 10 tout de même !