n° 21313 | Fiche technique | 33689 caractères | 33689 5474 Temps de lecture estimé : 19 mn |
25/11/22 |
Présentation: Un texte qui exploite une idée assez classique mais néanmoins bleutée. Bonne lecture :-) | ||||
Résumé: Ce soir assez tard, tandis que nous sommes tous les deux au lit, elle avec sa tablette, et moi avec un livre, ma femme s’exclame : | ||||
Critères: fh fhhh vidéox fsodo gangbang init délire -totalsexe -groupes | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un texte qui exploite une idée assez classique mais néanmoins bleutée.
Bonne lecture :-)
Ce soir assez tard, tandis que nous sommes tous les deux au lit, elle avec sa tablette, et moi avec un livre, ma femme s’exclame :
Haussant les sourcils, assez étonné par cette affirmation, je tends le cou vers la tablette que Caro tient en main :
Durant quelques instants, je regarde avec elle diverses vidéos, en avançant souvent plus loin. Je fais le point à ma façon :
Comme j’aime me faire une bonne idée, je saisis mon smartphone pour calculer :
Je n’aime pas trop quand Caro utilise ce ton. Je demande une précision :
Enfoncée dans son oreiller, elle devient songeuse :
Je fais remarquer un point de détail :
Sauf erreur de ma part, François Premier avait une maxime : souvent femme varie, bien fol qui s’y fie. Ce grand roi (surtout par la taille) avait raison. Il devait avoir une bonne expérience sur le sujet, car il ne s’est pas contenté de n’avoir qu’une seule maîtresse. Même s’il est mort à la cinquantaine, il a pu joyeusement profiter des joies de la vie, surtout avec son statut de roi plutôt bel homme.
Les yeux vers le plafond, ma chère épouse continue son petit délire :
Caroline (son vrai prénom) continue sur sa lancée :
C’est d’une logique implacable ! Et entre nous, vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Je m’amuse à demander à ma chère et tendre moitié :
Soudain, elle regarde sous la couette :
Elle saisit ma colonne de chair bien raide dans sa main, puis commence à me branler délicatement comme il se doit, en me disant :
Elle continue de s’activer autour de ma verge bien gonflée. Ma femme a toujours su bien s’y prendre, que ce soit avec ses mains, ses lèvres, ses seins et j’en passe. Et puis, d’après ce que j’ai cru comprendre chez d’autres hommes, tout le monde n’a pas la chance d’avoir une femme un tantinet portée sur le sexuel, voire un poil salope, dans le bon sens du terme ! Pour preuve, le fait que nous sortons parfois dans des endroits libertins, avec souvent à la clé des séances à base de trios et même de quatuors… Oui, le pied…
Sa voix me sort de ma rêverie :
Sa voix se fait plus sensuelle, caressante :
Sa voix se fait nettement gourmande, perverse :
Sa voix devient charnelle et rauque :
Sa voix se dilue dans mon cerveau en fusion :
Ah ma femme et ses métaphores ! En tout cas, c’est réussi, je suis en train d’éjaculer comme pas possible, comme si j’avais des réserves cachées ! Décidément, ma femme est très forte à ce genre de jeu, comme en témoignent ses divers amants et rencontres d’un soir…
Ce n’est pas la première fois que j’organise pour ma femme des choses qu’il ne vaut mieux pas ébruiter sur la place publique. Mais cette fois-ci, je ne vois pas par quel bout commencer. Trouver des lieux, des endroits, des locaux, on y arrive. Trouver des accessoires particuliers, on y arrive aussi. Trouver des bons partenaires de jeu, là ça devient déjà plus problématique. Mais trouver beaucoup de partenaires qui jouent le jeu, le tout au même moment, au même endroit, là ça devient mission impossible, ou presque.
Mais impossible n’est pas français, dit-on.
Et je suis français depuis x générations, donc je devrais y arriver. Je peux éventuellement me faire aider par certains comparses qui m’ont déjà prêté main-forte, mais j’ai des doutes qu’ils y arrivent mieux que moi. Jean-Pierre est agent immobilier, c’est mon fournisseur attitré de locaux. Michelle possède un bon réseau, ce qui est utile pour certaines choses. Enfin, Daniel est antiquaire, il arrive souvent à dénicher l’accessoire étrange.
Peut-être que Michelle pourra quelque chose pour moi. Elle trempe dans le milieu libertin depuis une grosse dizaine d’années. Certaines personnes l’ont baptisée Miche-Michelle ou Miche-Miche, car sa poitrine est fort avenante. Elle organise parfois des festivités jusqu’à dix couples, mais jamais plus. Remarquez dix couples, donc vingt personnes, il faut savoir les gérer et les caser.
Ah zut. Si Michelle se sent dépassée, je ne vois pas qui d’autre pourrait assouvir l’idée un peu foldingue de ma chère moitié. Après trois-quatre secondes de silence téléphonique, mon interlocutrice me demande :
Je marque une courte pause :
Un nouveau petit silence s’installe, puis Michelle annonce :
Puis nous discutons d’un peu de tout avant de couper la communication. Que diable Michelle a pu avoir comme idée ? Surtout avec son body-painting ?
Quelques jours plus tard, Michelle débarque à la maison pour expliquer son idée. J’ai déjà entendu des choses étranges dans ma vie, mais là, je ne peux m’empêcher de rire, tandis que Caroline reste bouche bée !
Un sacré ratio ! Je demande :
Je tiens à faire remarquer un point qui me chagrine :
Je n’avais pas songé à mettre la main à la pâte, mais pourquoi pas, surtout peint en bleu !
Amusée, Caro réplique :
Puis elle se tourne vers Michelle :
Des zébrures ? Bonne idée ! Je sais que c’est très efficace pour modifier les volumes et donc les traits du visage. Songeuse, ma femme marque une légère pause, puis elle lâche :
Assez rêveuse, ma femme accepte.
L’essai ayant été concluant, le fameux jour bleu est arrivé. La peinture de mon corps achevée, je m’admire devant le grand miroir. J’approche même mon visage afin de bien observer le reflet :
Michelle, qui est présente, me rassure :
Tournant la tête, je plisse des yeux, observant attentivement les hommes qui vont bientôt aller s’oublier en moi. Comment dire, c’est étrange : mis à part des chaussons rouges et un bonnet rouge de Noël, ils sont nus, dont certains déjà au garde-à-vous. Quoique certains ont des sortes de gilets. Tous des variantes de Grand Schtroumpf, mais en version bleue zébrée, avec ou sans barbe. Je me demande même si je ne suis pas en train de rêver !
Après examen, je reconnais :
Jean-Daniel, le réalisateur, m’explique :
Il met sous mon nez son index et son majeur dessinant la lettre V. Il poursuit :
Un peu stressée, réalisant ce qu’il va se passer dans peu de temps, j’hoche la tête :
Le réalisateur explique :
Je respire un grand coup, puis me dirigeant vers le lit, je lance crâneusement :
Ce qui fait rire la plupart des personnes présentes. Mais honnêtement, je ne suis pas très rassurée !
Comme convenu, je m’allonge sur le ventre, avec deux gros traversins sous mon pubis, ce qui met mes fesses en évidence. De part et d’autre du pied du lit, il y a deux petits escabeaux à trois marches. Je réalise qu’ils seront utiles pour certains hommes pour mieux se positionner.
Michelle arrive sur le côté, avec une grande seringue en moi. Tapotant sur mes fesses, elle explique :
Ah ça oui ! J’ai même dû me documenter ! Jérôme a acheté une poire en pharmacie. Moi, je n’aurais jamais osé demander un truc pareil !
J’entends quelques rires autour de moi. Une fois mes fesses écartées, un fin tube s’enfonce avec facilité en moi, quelque chose est ensuite injecté dans mon rectum, puis un doigt s’amuse à barbouiller mon entrée des artistes. La voix de Michelle retentit alors :
Michelle se met à glousser :
Puis elle donne une grosse claque sur mes fesses. Le ballet des caméras commence, tournant autour de moi. Parfois, je regarde droit l’objectif comme demander. Ce petit manège dure bien deux minutes, je suppose qu’il y aura montage avec des coupes. Je crois avoir lu que, dans un film classique, on tourne quelques minutes par jour. Sauf dans le X, où il arrive qu’on tourne plusieurs films le même jour avec les mêmes acteurs dans le même endroit, afin d’optimiser les coûts.
Je sens que ça s’agite derrière moi, nous allons entrer dans le vif du sujet, moi surtout !
Je sens une main agripper ma hanche tandis qu’aussitôt quelque chose de dur taquine mon petit trou. La ronde des hommes en bleu va commencer.
Quelques secousses, deux-trois positionnements, et ce figurant déjà très excité m’encule posément ! Comme sa queue est assez fine, il entre en moi assez facilement. Il faut dire que Michelle a effectivement mis le paquet avec son espèce de vaseline, et qu’on a demandé aux figurants d’être eux aussi bien lubrifiés.
Il me secoue comme un prunier. Heureusement, pour moi, comme il était déjà bien excité, il s’abandonne bien vite :
Les autres s’impatientent déjà, mon premier Schtroumpf se retire. J’éprouve une sorte de soulagement, mais aussi un manque. C’est à présent une autre queue un peu plus grosse qui investit mon petit trou. L’intrus entre joyeusement en moi, il me pistonne ludiquement trois fois, puis se retire avec aisance, sans avoir joui. La machine à enculer est lancée, ma délicate entrée des artistes va être très visitée ces prochaines minutes !
Les figurants s’enchaînent un à un, je mets bien mon cul en buse afin de faciliter les choses. Aussi étrange que ça puisse être, ça me paraît presque banal, trop facile. Des tas de queues me perforent, m’assaillent, plongent en moi, certaines grosses, d’autres fines, certaines longues, d’autres courtes. Je suis ramonée à fond, puissamment, copieusement, allant d’une bite à une autre, tel un jouet que des gamins se refilent.
Soudain, un figurant présente sa verge à moitié molle sous mon nez. Ce n’était pas prévu au programme. Néanmoins, bonne fille, je me récompense à ma façon, sa queue flasque entre mes lèvres. Bien sûr, une caméra n’en perd pas une miette !
Tandis que je m’occupe de cette sucette qui redurcit dans ma bouche, je suis en train de songer à tout ce qui arrive actuellement. Il n’y a peut-être que vingt figurants présents autour de moi, mais certains vont y revenir plusieurs fois, à moins que ce ne soit déjà le cas. Je suis déjà en train de perdre le compte de tout ce que j’ai pu recevoir dans le cul ! Finalement, on se fait vite à bien des choses…
Certains me pénètrent sans trop de difficulté, d’autres doivent s’y reprendre à plusieurs fois. Un quidam a même éjaculé au moment où il posait son grand sur ma cuvette ! Bien que je ne regarde pas derrière moi, mes enculeurs adoptent parfois des positions acrobatiques en grimpant sur les escabeaux ou carrément sur le lit. Quelques-uns s’y prennent même à rebours, me tournant le dos. La vidéo qui est en train d’être tournée va ressembler à un catalogue de positions !
Derrière mon dos, j’entends des tas de commentaires avec souvent des noms d’oiseau :
À présent, la sensation générale que j’éprouve est étrange : c’est à la fois excitant et humiliant. Je ne suis qu’un trou, un trou normalement interdit que ces bites inconnues remplissent, comblent. Parfois, une queue crache son sperme en moi, je déborde petit à petit, pas besoin de faux sperme, je pense. Je sens le foutre dégouliner hors de mon anus, le long de mes lèvres, le long de mes cuisses. Je ruisselle de foutre, mon cul n’arrive plus à le contenir tant ces salauds m’en mettent dedans !
Tandis que je suis toujours allongée sur le ventre, fesses bien en évidence, la ronde des queues continue sans répit à m’enculer, d’autres bites cherchent ma bouche, mes lèvres, je suce, je lèche, ils déchargent, devant, derrière. Je nettoie un par un ces braquemarts qui ont juté, qui ont vidé ces bourses bien pleines.
Je suis devenue leur chose, cet avilissement m’excite d’une étrange façon !
Enfiévrée, je glisse ma main sous mon ventre, puis sous mon pubis. Arrivée à bon port, je commence à me masturber, j’en ai trop envie. Mes doigts s’agitent frénétiquement dans ma fente devenue gluante de sperme.
Oui, j’en profite ! Et eux, ces Schtroumpfs à queue, que font-ils ? Ils ne profitent pas allégrement de moi ? Mes doigts continuent leur ballet avec délice, je sens comme un flottement autour de moi. Il se murmure diverses choses dans mon dos, mais je ne comprends pas, tellement que je suis actuellement plongée dans un brouillard opaque et cotonneux.
La queue qui était en train de m’enculer se retire légèrement. Soudain, je sens un autre gland venir se plaquer contre mon entrée dévastée et gluante. Je devine aussitôt que ces salauds veulent tenter une double ! Dans un mélange de plaisir et d’appréhension, les deux queues entrent en moi. Je les sens passer, mais finalement, ce n’est pas pire que la grosse queue de certains de mes amants, ou de certains godes.
Je suis passée dans une autre catégorie, une catégorie restreinte, celle des putes qui acceptent les doubles dans le petit trou, le tout sous l’œil avide de trois caméras ! Je n’ai pas cru que ça irait aussi loin, mais curieusement, ça me semble quasiment naturel…
Les deux salopards bleutés commencent à me pistonner lentement mais sûrement, mais hélas, ils ne sont pas synchrones, ce qui fait que mon sphincter est mis à rude épreuve ! Mais petit à petit, la situation s’améliore pour ma plus grande satisfaction, d’autant que je me masturbe frénétiquement, les doigts complètement englués.
Mon plaisir monte, mon clitoris est en feu, ma chatte dégouline et mon cul est plein à craquer !
Même si je ressens toujours et encore ce duo de mandrins qui me labourent, qui me remplissent, je sombre petit à petit dans un état de flottement. Soudain, les intrus s’en vont. Je ne saurais dire si je suis soulagée ou un peu déçue. Tout est si cotonneux, flou.
Mais nul répit pour mes fesses ni pour mes oreilles, une autre verge s’introduit. Quelques instants plus tard, elle est remplacée par une autre, puis par deux autres à nouveau. Je perds le compte de toutes ces saucisses humaines qui me barattent le cul. Cette actrice s’est offerte plus de neuf cents bonhommes ? Je crois que déjà dès la trentaine ou la quarantaine, elle devait être sur pilotage automatique ! Mais peut-être que ce n’est pas pareil dans la chatte… Pour ma part, j’ai découvert, il y a quelques années, que mon cul était plus permissif que mon vagin. Mais est-ce le cas pour toutes les femmes ?
Une nouvelle queue en remplace une autre. Est-ce vraiment une nouvelle verge ? A-t-elle déjà éjaculé en moi ? Je ne sais pas, et je m’en fous. Je prends un plaisir étrange à être le déversoir de ces hommes en bleu, tel un puits insondable, une version moderne du tonneau des Danaïdes.
Ma demi-mort arrive, je sombre dans cet état suspendu si reposant, si apaisant, ailleurs, autrement, lointaine, étrangère à toutes ces délicieuses turpitudes que j’ai subies aujourd’hui.
Et cette demi-mort n’est que la première. La ronde infernale des figurants bleutés est telle la roue du karma, avec naissance, vie, mort et renaissance sans cesse renouvelées, dans un délire absolu de lubricité et de débauche !
Franchement, un truc de fou, de dingue, de malade, mais que je me devais de vivre au moins une fois dans ma vie !
Même s’il y a eu quelques remous quand la vidéo est sortie, ce qui a d’ailleurs fait un peu de pub gratuite, pour ma part, je n’ai eu aucun problème avec la Justice ni les Media, personne ne sachant qui était l’actrice. Depuis que j’ai eu une copie de cette vidéo, je cherche mon mari parmi les figurants, mais je n’arrive pas à le dénicher. À chaque fois que je crois l’avoir trouvé, Jérôme me dit : non, ce n’est pas moi.
À moins qu’il mente… ou qu’il se trompe…
Moi-même, j’ai du mal à croire que c’est bien ma petite personne qui est sur l’écran. Pourtant, mon cul s’en est souvenu durant un certain temps ! Je n’aurais jamais cru que ce banal (c’est vite dit) fantasme lancé en l’air se concrétise un jour. Comme quoi tout peut arriver, même ce qui semble impossible et impensable.
Non, mon mari ne se trompe pas. Sous l’égide de Jean-Daniel (le réalisateur pour ceux qui auraient oublié), j’ai tourné d’autres scènes beaucoup plus reposantes que celle de la simili-Schtroumpfette. Là aussi, on ne me reconnaissait pas, merci le maquillage. C’est ainsi que j’ai pu croiser au naturel deux actrices X, c’est vrai qu’il y a souvent un gouffre entre la bombe incendiaire sur l’écran et la femme qu’on croise avant le maquillage. J’en ai fait l’expérience sur moi-même, c’est fou !
Sous le pseudo de Cora Blue, j’ai maintenant trois films à mon actif, plus des inserts dans des compilations. Pas des monuments du septième art, pas des choses que je peux montrer à ma famille, hélas, mais au moins quelque chose qui sort de l’ordinaire. Trois films en moins de deux mois, pour une non-pro, c’est pas mal.
Aujourd’hui, je tourne le quatrième, une histoire de soubrette très accorte. Devinez qui joue cette soubrette ?
À ces mots, je m’étonne :
Peut-être que je sacrifierais une semaine de ma vie à jouer les actrices X. Il ne faut pas mourir idiote, comme on dit. En attendant, j’ai vécu une expérience pas piquée des vers, sans que mon mari me le reproche. Il est même fier de ma prestation, mais malheureusement pour lui, il ne peut pas crier sa satisfaction sur tous les toits !
C’est idiot pour lui ! Pauvre chou ;-)