n° 21316 | Fiche technique | 14319 caractères | 14319 2380 Temps de lecture estimé : 8 mn |
26/11/22 |
Résumé: Notre voyage en avion est déjà chaud ! | ||||
Critères: f fh couple avion voir exhib fmast intermast fellation -voisins -exhib | ||||
Auteur : Bad Pit Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Couple très chaud Chapitre 02 / 03 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Un collègue de mon mari nous a invités à Abidjan, dans sa villa, pour une semaine de vacances.
Et voilà, le grand jour est arrivé, c’est aujourd’hui que nous prenons l’avion pour rejoindre Jean Luc à Abidjan. Une semaine de vacances dans un cadre enchanteur : grande villa blanche au milieu de palmiers, avec piscine privée où notre hôte nous dit s’ébrouer plusieurs heures par jour, un spa avec masseurs et masseuses à domicile… Humm !, et la plage et les marchés typiques africains à quelques centaines de mètres de la villa.
Tout ceci nous fait saliver depuis plusieurs semaines. Les descriptions et les photos communiquées par Jean Luc nous ont plus que séduits.
Je dois aussi avouer que le comportement de Jean Luc à mon égard et les insinuations coquines de ce beau mâle ont boosté ma libido. À la pensée de lui avoir dévoilé mon intimité via sa caméra de salon et en imaginant qu’il puisse regarder ces images en ne pouvant pas empêcher son sexe de gonfler dans son pantalon et de le sortir pour une masturbation sauvage salvatrice, j’avoue que, moi-même, j’ai de nombreuses fois avoir eu besoin de me satisfaire manuellement ou avec l’aide de mon gode favori. Même le soir lorsque mon Christophe me chevauche fortement, je ne peux m’enlever cette image supposée au plus fort de ma jouissance.
Fantasme, quand tu nous tiens !
Le grand jour est arrivé, et nous voilà à Roissy-CDG dans la file d’attente pour notre enregistrement. Il y a finalement assez peu de monde et je pense que le vol n’est pas plein.
Nous avons nos cartes d’embarquement, et en attendant celui-ci, nous lions connaissance avec un jeune couple qui part en vacances sur le même vol. Ils sont très sympas et les garçons ont tout de suite trouvé des terrains d’entente. Pour ma part, je suis subjuguée par la beauté et la candeur de Sylvie, la jeune épouse du couple.
C’est une belle blonde de vingt-deux ans avec de très jolis yeux bleus. C’est leur premier voyage en avion et elle m’avoue une certaine angoisse. Pour la rassurer, je lui prends la main et ce contact me donne déjà un premier plaisir. Je laisse mes doigts lui caresser la paume et je sens également qu’elle n’est pas insensible à cet attouchement délicat.
Les haut-parleurs mettent fin brutalement à nos conversations en nous indiquant un embarquement immédiat porte 2. Nous partons donc tous les quatre dans la zone indiquée.
Marc, le mari de Sylvie est un grand brun de vingt-cinq ans, certainement très sportif, vu sa carrure. Autant sa femme donne l’impression d’une petite biche apeurée, autant lui est plutôt du genre macho très sûr de lui.
Nous voici maintenant face à face dans le bus qui nous emmène à l’avion. Je peux détailler sans en avoir l’air Sylvie.
Elle est menue, 1,65 m guère plus, elle porte une robe blanche assez courte, et je peux admirer de jolies jambes déjà bien bronzées. Sa poitrine est celle d’une gamine. Son regard est toujours craintif et j’espère que les petits sourires que je lui adresse la rassurent un peu.
Nous arrivons dans l’avion et l’équipage commercial nous accueille à la porte
De leur côté, nos jeunes amis sont orientés vers la queue de l’appareil. Mines désappointées que je tente de consoler en leur lançant :
Nous voilà maintenant installés à nos sièges, en classe Business, privilège que Christophe m’avait caché et qui vient du fait de son appartenance aux salariés de la Compagnie aérienne.
Christophe est tout hilare et me rend mon bisou en me caressant doucement les cuisses. Ce geste n’a pas échappé à l’hôtesse qui nous apporte deux coupes de champagne. C’est une superbe métisse avec des yeux très rieurs et qui voyant notre satisfaction évidente et mon air surpris nous lâche :
Puis en nous fixant d’un air plus coquin, elle rajoute :
Je la suis des yeux tandis qu’elle se dirige plus à l’avant. Sa jupe très moulante me laisse deviner un fessier musclé, elle marche en accentuant un déhanché très provocateur. Arrivée devant le rideau qui nous sépare de la première classe, elle se retourne en me fixant et me fait un coup d’œil qui laisse suggérer toute interprétation.
Christophe qui a suivi toute la scène, et qui connaît ma forte attirance pour les jolies personnes de mon sexe me dit à l’oreille :
L’arrivée d’un couple très élégant de quinquagénaires dans notre cabine nous fait arrêter nos attouchements. L’hôtesse, toujours très classe, revient et leur indique leurs sièges, à notre hauteur, mais de l’autre côté du couloir central. Elle se penche pour leur donner ses consignes et j’ai devant les yeux ce fessier qui me trouble tant. Christophe, pour me narguer, me maintient fermement les mains, sachant ce que mon cerveau imagine et ce que je ne peux pas faire de toute manière.
Ensuite, elle se retourne et nous demande de son ton le plus enjôleur :
Hummmmm, son parfum, super ! Elle a dégrafé deux boutons de son chemisier et nous pouvons voir le haut de sa poitrine dorée. Cette fille est un appel aux plaisirs charnels.
Comment vais-je pouvoir en profiter, en sept heures de temps, dans un avion, au milieu d’une quinzaine de passagers installés autour de nous ?
Elle se redresse et en faisant son plus beau sourire nous déclare :
Cela fait maintenant deux heures que nous avons décollé de CDG.
Apéro, repas, café et pousse-café ; que c’est bon de se laisser servir par des personnes aimables, souriantes et physiquement très attirantes. Hôtesses et steward compris.
Christophe en profite à chacune de leurs interventions pour attiser un peu plus ma libido en accentuant mon penchant exhib.
Premier bouton de mon chemisier dégrafé, puis deuxième, ce qui maintenant laisse apparent l’absence de soutien-gorge.
Caresses de plus en plus appuyées sur mes cuisses ; ce qui remonte à chaque fois ma mini-jupe.
J’ai vu le regard du steward se fixer quelques secondes en apercevant ma culotte blanche !
Mon mari est de plus en plus excité de me montrer, car maintenant sa main frôle à chaque passage en haut de mes cuisses la lisière de ma culotte et même quelquefois le renflement de mon pubis.
En tournant la tête je vois que ce spectacle a trouvé un autre spectateur, ou plutôt une autre spectatrice, car la femme du couple de quinquagénaires situé au même niveau que nous, mais de l’autre côté de l’allée centrale, jette de plus en plus de regards indiscrets sur nos agissements sous le couvert de sa lecture d’une revue de mode. Son mari somnole sur son siège et Madame à l’air intéressé par ce que nous montrons.
En relevant la tête vers elle, je vois qu’elle détourne les yeux vers sa lecture, mais bien vite son regard se reporte vers mes cuisses. Je lui adresse un petit sourire de connivence qui, je l’espère, sera interprété comme mon autorisation à son voyeurisme.
Cela m’excite de savoir une femme très BCBG, du double de mon âge, de plus en plus subjuguée par la vue de mon intimité. Commence-t-elle à mouiller sa culotte ? Son mari la comble-t-il encore ?
La cabine est maintenant plongée dans une semi-obscurité et l’hôtesse, toujours aussi sexy, passe dans la rangée en nous souhaitant un bon repos. À notre rangée, elle nous indique une couverture que nous pouvons mettre sur nos genoux.
Et elle rajoute comme une invitation :
Christophe a étendu la couverture sur nos genoux et je me suis blottie contre lui, la tête contre sa poitrine. Ma main caresse son sexe par-dessus son pantalon et je vois que cela lui fait de l’effet, car je le sens grossir. Que c’est bon de caresser son homme, sans un mot, dans la pénombre, au milieu des autres personnes, mais à leur insu ! Je sens que le sexe de Christophe maintenant manque de place et j’ouvre sa braguette. Aussitôt, sa queue bondit et j’ai maintenant dans la main la totalité de sa verge. Qu’elle est large ! mes doigts en font à peine le tour ; je monte et descends tout doucement la peau en serrant un peu la base. Christophe apprécie mon traitement et se positionne en ouvrant plus largement les jambes. Dans son mouvement, la couverture a légèrement glissé et son sexe est bien visible. Je me retourne pour voir si nous sommes toujours discrets !
Notre voisine de rangée a les yeux fixés sur nos agissements, son mari étant toujours complètement endormi. Elle s’est tournée de notre côté pour se faire plus discrète et me fait un sourire lorsque nos regards se croisent.
Je continue donc à branler la belle queue de mon homme, sachant que ceci n’effraiera pas notre voyeuse, tout au contraire.
Christophe, de son côté, me caresse les cuisses en remontant ma robe tout doucement. Il aime la douceur et le satiné de ma peau. J’aime sentir ses doigts qui progressent lentement le long de mes jambes, avançant puis reculant, sachant que chaque recul me fait souhaiter encore plus une avancée vers mon entrejambe de plus en plus humide.
De mon côté, je me penche pour prendre en bouche sa bite bien dure, je fais tourner ma langue tout autour du méat, puis lentement je fais glisser ce beau sexe entre mes lèvres jusqu’à l’avoir tout au fond de ma gorge, et je le ressors lentement en serrant légèrement mes lèvres. Christophe ne va pas pouvoir tenir très longtemps et je le sens aux tressaillements de son membre. Je sens la sève qui monte et les gémissements de Christophe laissent à penser à une éjaculation proche.
De son côté mon mari me fouille maintenant avec deux de ses doigts qui ont franchi la barrière de ma culotte.
Je sens aussi de mon côté la jouissance monter, d’autant que j’imagine ce que peut ressentir notre voyeuse et surtout ce qu’elle peut faire…
Pour me concentrer sur la totale satisfaction de mon homme, et aussi, je l’avoue, pour le plaisir de voir et être vue par cette femme inconnue, je me positionne comme je peux à genoux devant mon homme et j’accélère les mouvements de ma fellation. Un coup d’œil sur ma voisine et je peux voir que sa main s’est glissée entre ses jambes, qu’elle a relevé le devant de sa jupe et qu’elle se caresse par-dessus sa culotte !
C’en est trop pour moi, il faut que l’on jouisse tous les trois ensemble, je glisse ma main dans ma culotte, j’ai maintenant deux doigts qui branlent mon clito de plus en plus vite. Je veux jouir en même temps que Christophe qui, je pense, n’est plus qu’à quelques secondes d’une éjaculation somptueuse. J’aimerais que notre voyeuse assiste aux jets de son sperme sur mon visage. Ce n’est pas beau de faire envie comme ça, mais d’un autre côté, que peut-elle espérer de plus que ce spectacle ?
Ouiiii ! ça y est, mon homme se raidit d’un coup, mord sa main pour ne pas crier trop fort, et d’un coup sa verge lâche des giclées de sperme que j’essaye au maximum d’avaler. J’aime son goût et de mon côté j’active mes doigts dans ma chatte ruisselante, je sens que la jouissance est proche ; un coup d’œil à ma voisine et la vision de cette femme mature, très BCBG, la main enfouie dans la culotte, les yeux mi-clos, avec un rictus de bonheur illuminant son visage, me font partir aussitôt !
En quinze minutes au plus, nous avons joui tous les trois sans qu’aucun autre passager ne se doute de ce qu’il s’est passé. Reste maintenant à aller nous nettoyer sans éveiller de soupçons, mais vu l’attention que nous portait le personnel de cabine, ceci n’est pas gagné…
Le reste de ce voyage ainsi que la semaine folle qui se profile vous seront narrés dans la suite à ce récit… si vous le voulez bien, lecteurs chéris !