Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21329Fiche technique13106 caractères13106
2304
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/12/22
Présentation:  Une petite nouvelle légère qui vous parlera ... ou pas. Certains seront touchés, d’autres non.
Résumé:  On ne réalise pas la pression que nous subissons pour « être belles » ! Certaines de nos tenues nous mettent parfois en « danger »…
Critères:  fh fplusag gymnastiqu voiture humilié(e) contrainte cunnilingu pénétratio uro -occasion
Auteur : Antilope      Envoi mini-message
Une prison de coton

À quoi sert un collant, à part être fragile, difficile à enfiler et à enlever : avoir de belles jambes soyeuses bien sûr !

Et quelle est l’utilité d’un body, à part batailler cinq minutes de plus pour le dégrafer alors qu’on a très envie de pisser : eh bien, c’est d’avoir le ventre plat et aucun pli !


Ce jour-là, j’avais tout cumulé !

J’allais à mon cours de danse classique. Et à mon cours de danse, je veux être belle, car je flashe sur un des danseurs… et évidemment, j’ai des tas de concurrentes, car il est sacrément mignon et en plus il danse très, très bien et très, très près si vous voyez ce que je veux dire !


Donc je mets le paquet, car j’ai bientôt quarante-cinq ans et tout commence à tomber un peu partout. Alors, il faut maintenir !


La tenue de combat commence par une culotte gainante. Elle remonte très haut, se finit un peu comme un short, n’a pas d’élastiques évidemment pour ne pas être visible, et est très… très… très serrée, surtout au niveau du ventre. Le résultat est bluffant, mon bidon disparaît presque entièrement.


Ensuite, je mets un collant, réglementaire pour la danse. Il doit remonter haut aussi, car il doit cacher entièrement la culotte et remonter jusqu’à l’échancrure du truc que je mets par-dessus, qui est, bien sûr, la pièce maîtresse de ma tenue, j’ai nommé : le justaucorps.


Le justaucorps est un truc pire que le body, car l’entrejambe ne s’ouvre pas et passe par-dessus le collant, l’empêchant de descendre. Il est à manches longues et ne peut s’enfiler que par le col et se ferme avec un nœud au niveau du cou. Il est très serré aussi, car il fait office de soutien-gorge et vu les nichons que j’ai, il y a intérêt à ce que ça tienne. C’est, bien sûr, le truc le pire à enfiler et à retirer et, une fois enfilé, il est quasiment impossible d’aller aux toilettes sans y passer un quart d’heure et se mettre entièrement nue.


Je vous parle d’un jour où je m’étais habillée pour mon cours de danse comme d’habitude, mais où j’étais un petit peu plus en retard que d’habitude. J’étais très jolie avec mon ensemble, éblouissante, même ! je me suis dépêchée… Peut-être un peu trop, car je suis partie avec une légère envie de faire pipi. Évidemment, au dernier moment, je n’avais plus le temps de tout enlever pour aller aux toilettes, je devrais passer le cours comme ça et me soulager en passant sous la douche à la fin.


Alors j’ai recouvert le tout d’une longue robe, et je suis partie en voiture…


Une demi-heure après, en arrivant à la salle, la petite envie de faire pipi était devenue une assez grosse envie de faire pipi et bien sûr je n’avais pas le temps d’y aller, car le cours avait commencé.


J’ai enlevé ma robe directement dans la salle de danse sans passer aux vestiaires, et c’est là que Solène, une de mes blondasses concurrentes, s’est approchée de moi dans mon dos et m’a dit :



Sans voir le danger, je l’ai laissé faire le nœud derrière mon cou. Évidemment, elle a serré, fort, et a fait plusieurs boucles ! Ça a duré longtemps.



Sur le coup, je n’ai pas compris qu’elle venait de me condamner à la réclusion à perpétuité dans ma tenue de danse, je pensais encore pouvoir demander à une autre de défaire le nœud au moment de se changer dans le vestiaire… J’avais tort.


En attendant, il fallait se retenir et danser. C’était d’autant plus difficile que ma tenue m’appuyait sur la vessie. La moindre secousse était une torture.


Alors que je dansais enfin avec l’objet de mes désirs les plus fous, et que je luttais pour ne pas trahir la détresse de ma vessie et rester digne, Solène m’a fait une crasse… Elle est arrivée derrière moi et m’a chatouillée en bas du ventre. Elle savait, je ne sais comment, que j’avais une terrible envie de pisser et a frappé juste au bon endroit.


L’instant d’après, j’étais en train de m’afficher devant mon danseur, pliée en deux, la main entre les cuisses, les jambes croisées, la figure grimaçante, luttant pour ne pas me pisser dessus.

Solène s’est alors approchée de mon oreille et m’a susurré :



Là, j’ai commencé à paniquer. Si elle disait vrai, je n’aurais aucun endroit pour me changer et j’allais devoir rentrer chez moi dans cette tenue. Aucune chance que je tienne durant toute la route du retour comme ça.


Je commençais à réaliser à quel point j’étais enfermée dans ma tenue. Si je n’arrivais pas à défaire le nœud, je n’arriverais pas à retirer mon justaucorps, ni à descendre mon collant, ni à enlever ma culotte. Il m’était donc impossible de faire pipi.


À la fin du cours, j’étais dans un état désespéré.

Comme prévu, la prof a crié :



En un rien de temps, je me suis retrouvée dehors, et tout le monde a commencé à partir en voiture. Mon beau danseur, lui, était encore là et discutait avec deux autres mecs au bout du parking.

Tout à coup, je les ai vus se tourner, et pisser un coup tous les trois côte à côte. Même s’ils nous tournaient le dos, on entendait le bruit et on voyait leurs jets. C’était une vraie torture, car ça me donnait encore plus envie. À cet instant, je rêvais d’être un mec et de pouvoir pisser n’importe où facilement et discrètement. Un peu plus loin, ce sont deux danseuses que j’ai vues ressortir du bois en se rhabillant. Elles venaient, elles aussi, de se soulager, car il leur suffisait de descendre leur legging et leur culotte.

Moi, bien sûr, je ne pouvais pas ! tout était verrouillé, bouclé, enfermé…


Je me suis dirigée comme un robot vers ma voiture. J’étais comme une condamnée qui va vers l’échafaud et qui sait qu’elle n’en réchappera pas… J’allais forcément me pisser dessus dans le quart d’heure si je ne trouvais pas une solution pour m’extraire de ce sarcophage, de cette prison de coton.


Alors je me suis assise au volant, et j’ai tenté de défaire ce nœud. Mais il n’y avait rien à faire. Cette salope avait serré à mort et je n’avais pas d’ongle. Elle avait bien calculé son coup !


Il ne me restait que cinq minutes avant de tout lâcher, à peine plus, alors j’ai conduit quelques centaines de mètres en tenant mon entrejambe d’une main, puis je me suis garée sur le bas-côté, je suis sortie de la voiture en me tortillant et je me suis enfoncée dans la forêt sans savoir pourquoi.


Tout en marchant, les jambes serrées, j’ai enlevé ma robe en la passant au-dessus de ma tête avec peine et je l’ai jetée loin en rageant et j’ai continué à avancer. J’ai encore tenté de baisser mon justaucorps, mais c’était impossible sans défaire le nœud. J’étais dans un état second, j’essayais de descendre mon collant quand même… absurde, inutile, impossible, tout était bloqué !


J’allais me pisser dessus, c’était inévitable.


Complètement impuissante, j’ai senti mon pipi venir, je ne pouvais plus rien y faire. Un flot de liquide chaud a d’abord rempli ma culotte puis a coulé le long de mes jambes jusque par terre en trempant mon collant. Ça a duré très longtemps. J’étais incapable de m’arrêter.

J’étais furieuse ! contre Solène bien sûr, mais contre moi aussi, car je m’étais condamnée moi-même en m’habillant comme ça.


De rage, j’ai tiré sur le nœud derrière ma nuque et… je l’ai arraché ! À force de m’acharner dessus, j’avais fini par le fragiliser.

J’étais enfin libérée de cette prison ! j’ai enlevé à grand peine mon justaucorps en retirant les manches et en faisant tout descendre vers le bas. Le collant et la culotte sont venus avec et je me suis retrouvée toute nue en pleine forêt, complètement trempée !


Je suis revenue vers ma voiture, nue sous une belle lumière de pleine Lune, abandonnant derrière moi ces vêtements de torture que je ne porterais plus jamais, et là, j’ai réalisé que je n’avais pas la moindre idée de l’endroit où j’avais jeté ma robe.


J’ai fouillé en vain dans les fourrés, impossible de la retrouver. Je n’allais pas partir sans, j’habitais en immeuble et je ne me voyais pas rentrer à poil dans le hall et prendre l’ascenseur…


J’étais en train de paniquer à nouveau, quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon prince charmant. J’étais complètement à poil, et lui me regardait avec un petit sourire, tenant ma robe à la main.


Sur le coup, je suis restée complètement hébétée… sans réaction. Je n’ai même pas pensé à me cacher.


Il était la dernière personne que j’aurais voulu croiser dans cette situation-là.



Là, je me suis cachée. Une main devant la chatte (il en aurait fallu deux !), et une main devant les seins (il en aurait fallu deux… sur chaque sein !)



Je mourrais d’envie qu’il me prenne sur le capot de la voiture, là tout de suite, c’était une des choses que je m’étais promis de faire avant de mourir et c’était l’occasion de rayer une ligne sur ma liste. Le problème, c’est que j’avais le bas du corps littéralement couvert de pisse.



J’ai avancé vers lui en retirant mes mains, je me suis collée dos au capot de sa voiture. J’ai monté mes fesses dessus et j’ai écarté les jambes.


Il a commencé par s’accroupir et par fourrer son visage tout entier dans ma chatte. Il m’a d’abord dit que j’avais un goût délicieux, puis m’a fait jouir avec sa langue. Il s’est ensuite redressé, s’est déshabillé et m’a prise sur le capot. Nous avons baisé comme des bêtes au milieu des grillons, au rythme des grincements des amortisseurs de sa voiture de collection, qui devait être aussi vieille que moi. Ça devait être pour ça qu’elle était si accueillante pour mes fesses !


Nous avons décidé d’aller chez lui. Il habitait dans une petite maison de campagne et nous avons convenu que je le suivrais en voiture. Comme j’étais toujours trempée et que je ne voulais pas salir mon siège, j’ai utilisé ma robe pour le protéger.

Je me suis donc installée au volant de ma voiture, à poil, et nous avons conduit jusque chez lui où m’attendait une nuit d’Amour inoubliable… mais surtout une bonne douche !