n° 21344 | Fiche technique | 15847 caractères | 15847Temps de lecture estimé : 9 mn | 13/12/22 |
Résumé: Une vendeuse en lingerie prête assistance à une cliente hésitante, accompagnée de son homme. La séance d’essayage en cabine prend une tournure inhabituelle... | ||||
Critères: ffh inconnu essayage voir miroir lingerie caresses pénétratio init -couplea3 | ||||
Auteur : Aventurine Envoi mini-message |
Cette boutique est lumineuse et attrayante, ornée de ses rangées de lingerie exposée par coloris. Vêtue d’une robe noire à pois blancs et de bas noirs transparents, je flâne dans le centre commercial. J’avance lentement vers la vitrine.
Un petit magasin, une jeune vendeuse et aucun client à cette heure calme de la matinée. Je cherche Franck du regard, vers l’entrée de la galerie marchande.
« Eh bien, le stationnement de la voiture prend du temps. »
Après lui avoir écrit un bref SMS pour qu’il me rejoigne facilement, je passe le seuil du magasin et me dirige vers le premier rayon.
J’admire quelques modèles de soutien-gorge, effleure les tissus, compare les motifs.
« Je me verrais bien dans ce petit tanga mauve, il est super sexy. »
Mon regard s’arrête sur les porte-jarretelles et je ne peux retenir un sourire. Si Franck était avec moi, il me ferait les yeux doux pour que j’en essaie un modèle.
La vendeuse, occupée en rayon, lève les yeux vers moi et m’accueille d’un « bonjour » souriant. Elle range quelques articles dans des boîtes soigneusement alignées dans des tiroirs. Je la vois me lancer quelques regards curieux et à mon approche, elle me dit d’une voix douce :
Après quelques secondes d’hésitation et un coup d’œil du côté des serre-tailles, je réponds, d’un ton faussement décontracté :
J’expose brièvement mes préférences à la vendeuse. Je remarque ses yeux verts pétillants soulignés au crayon noir et ses cheveux dont le carré châtain souligne la finesse du visage. Un peu de gloss sur les lèvres. Une pensée fugace. Elle est vraiment jolie…
J’écoute ses explications sans trop soutenir son regard rieur. Séduite par la finesse de la collection, je finis par choisir un ensemble blanc en dentelle, dont les motifs des liserés rappellent des plumes d’oiseau. Une plume blanche qui, entre mes doigts, descendrait le long de son cou tatoué jusqu’à la base de sa poitrine…
« Reprends-toi, ce n’est pas le moment de te laisser emporter par ton imagination ! »
J’acquiesce timidement. La jeune femme, sentant mon hésitation, ajoute avec enthousiasme :
Elle ponctue sa dernière phrase d’un clin d’œil amusé.
Je prends délicatement les articles qu’elle me tend et nos regards se croisent brièvement. Mes yeux sont attirés à nouveau par le petit tatouage qu’elle porte au cou.
Je poserais bien mes lèvres sur cette belle rose et ma langue sur le lobe de son oreille…
Je m’extrais de ma rêverie malgré le trouble grandissant qui m’envahit. Je me dirige vers la cabine d’essayage, enthousiaste à l’idée de me voir dans cette somptueuse lingerie. Un homme passe devant la boutique d’un pas pressé. Je reconnais Franck à sa chemise bleue. Il salue la vendeuse d’un hochement de tête et, jetant un coup d’œil vers la lingerie que je tiens contre moi, me lance avec un sourire narquois :
J’entre dans l’unique petite cabine, située à quelques mètres du comptoir. Franck, toujours le sourire aux lèvres, me suit du regard et va s’installer sur la banquette accolée à un pilier, face à la cabine.
Il jette un coup d’œil discret à la jeune femme, qui semble ne pas le remarquer. Décidément, cette femme ne laisse personne de marbre.
Mon enthousiasme est quelque peu retombé. Expérience nouvelle pour moi que d’essayer des sous-vêtements avec l’aide d’une vendeuse. Et puis zut, elle est là pour cela, comme elle me l’a dit !
J’accroche mon sac et ma veste à la patère et tente d’ajuster le rideau qui, malgré tous mes efforts, reste partiellement ouvert.
« Zut, je suis sûre que de la caisse on peut voir l’intérieur de la cabine. »
Un coup d’œil vers la banquette. Franck est ressorti pour répondre au téléphone et n’est plus là pour m’aider. Tant pis, je me lance tout de même dans l’essayage. Les joues un peu rosies par un vague embarras à l’idée d’exposer ma nudité, j’essaie l’article qui épouse parfaitement mes formes. Je contemple mon reflet dans le miroir et remarque que la vendeuse a les yeux tournés dans ma direction. Je lui rends son regard via le reflet avec un demi-sourire gêné.
Je m’apprête à solliciter son avis, mais elle est déjà près de moi. Ses yeux se posent sur mes seins mis en valeur par cette lingerie exquise.
Dans la manœuvre, je perçois son parfum floral et remarque qu’elle porte un bustier noir en dentelle qui souligne la peau hâlée de sa poitrine. Nous ne sommes qu’à quelques centimètres l’une de l’autre dans cette cabine exiguë. Se plaçant derrière moi en posant ses mains sur mes épaules, elle m’oriente vers mon reflet, passe le porte-jarretelles sur mes hanches par devant, et en fixe délicatement les agrafes. Ses mains s’attardent sur la dentelle, caressant au passage mon ventre et ma taille. Mes yeux s’attardent sur ses seins modelés par le bustier. Je parviens avec peine à me concentrer sur ses explications, alors qu’elle fixe elle-même les deux attaches à mes bas. Je frémis au contact de ses doigts sur mes cuisses. Avec un demi-sourire, elle recule de quelques centimètres et dit en me contemplant de haut en bas :
Je lui souris, flattée, et tente de reculer d’un pas pour mieux m’admirer. Au contact de mon dos sur sa poitrine, elle pose ses mains sur mes bras et m’attire vers elle. Je frissonne à son contact et sens mes joues s’empourprer. Ses mains remontent alors doucement vers mes seins et, en soutenant mon regard via notre reflet dans le miroir, caressent la fine dentelle blanche. Je laisse échapper un soupir de surprise mais me laisse faire, alors que les caresses se prolongent sur mes épaules. Je la sens se serrer contre mes fesses et ses lèvres se posent sur mon cou. J’incline la tête pour mieux accueillir ses baisers. N’y tenant plus, je me tourne vers elle et l’embrasse sur les lèvres. Sans une marque de surprise, elle me rend mon baiser et entraîne ma langue dans un voluptueux ballet. Ses mains sur ma nuque, elle se serre encore plus contre moi et je caresse sa taille fine.
J’ouvre les yeux un instant et aperçois Franck qui semble incrédule. Il nous observe par l’ouverture du rideau et jette quelques regards inquiets vers l’entrée du magasin. Les caresses s’accélèrent, je sens sa main descendre sur mon ventre et se poser sur mon sexe. Le contact de ses doigts m’excite encore davantage.
J’acquiesce en lui jetant un regard troublé par le plaisir. Sa main se faufile sous ma culotte et part explorer mon intimité. Je ferme les yeux, l’embrasse à nouveau dans le cou, caresse ses fesses galbées sous sa jupe. Elle soupire, se serre encore plus contre moi. Son doigt se glisse dans ma fente et caresse délicatement mon clitoris. J’entends ma respiration qui s’accélère, je sens la chaleur gagner mon bas-ventre et j’en oublie presque où nous nous trouvons… Jusqu’à ce que je lève les yeux vers le reflet du miroir. Celui-ci me montre Franck dans l’interstice du rideau. Il nous observe toujours de sa place en se massant doucement l’entrejambe par-dessus son jean.
Mon excitation décuplée, je repose mes lèvres sur celles de la vendeuse qui accélère ses caresses sur mon sexe, me faisant gémir de plaisir. J’ouvre à nouveau les yeux. Franck est visiblement très excité. Un dernier baiser, et la vendeuse lâche soudainement mon étreinte. Elle sort de la cabine et, d’un pas décidé, ferme la boutique et baisse légèrement le rideau, juste de manière à masquer le fond de sa boutique de la curiosité des passants. En revenant vers moi, elle passe près de Franck et, après un coup d’œil sur les formes révélatrices de son pantalon, lui demande d’un air malicieux :
Pour toute réponse, il lui saisit la main délicatement et la suit vers la cabine. J’embrasse mon chéri avec un sourire. Il contemple ma lingerie avec envie, passe ses doigts sur la dentelle du soutien-gorge et m’embrasse langoureusement. La vendeuse s’approche de nous, ôte sa jupe et son bustier en nous regardant. Je m’interromps et la laisse goûter aux lèvres de Franck. J’en profite pour défaire la ceinture de mon homme et extraire de son jean son sexe déjà bandé.
Sans attendre de réponse, la vendeuse abandonne les lèvres de Franck et, après une œillade enflammée dans sa direction, s’agenouille doucement pour poser ses lèvres sur son gland. Ses mains parfaitement manucurées entourent son membre, qui ne tarde pas à disparaître dans sa bouche pulpeuse. Franck baisse les yeux, regarde la langue de l’inconnue œuvrer sur chaque parcelle de sa peau. Les mains caressant ses cheveux lisses, il penche la tête en arrière et se laisse faire. Je défais les boutons de sa chemise et caresse son torse pendant que ses mains prennent possession de mes seins, dont il masse les tétons délicatement. Au bout de quelques minutes d’une somptueuse fellation, notre compagne de jeu se tourne vers moi et, tout en restant agenouillée, pose ses mains sur mes hanches et caresse ma peau.
Ma culotte glisse sur le parquet et je me retrouve nue devant elle. Elle passe sa main sur mon sexe lisse et ses doigts s’aventurent un peu plus bas, pendant que son autre main continue à flatter délicatement le sexe de Franck, qui nous observe avidement. Je ferme les yeux et gémis au contact de sa langue qui se pose sur mon intimité, cherchant mon point faible.
Embué par la montée du plaisir, le regard de Franck croise le mien et il m’embrasse goulûment.
Franck s’exécute et, saisissant les mains de la jeune femme, l’installe sur le banc à mes côtés, lui écarte les compas avec douceur et se met à déguster son petit bouton tout en nous observant à la dérobée. Elle caresse les cheveux de mon homme et ses soupirs deviennent de plus en plus audibles. Elle profite de notre proximité sur le banc pour glisser un doigt dans ma fente et s’y adonner à des va-et-vient de plus en plus poussés.
Après de douces minutes de caresses ponctuées par nos gémissements, Franck se redresse et prend les mains de la vendeuse, pour la placer devant lui. Elle pose l’une de ses jambes sur le banc et plaque ses mains sur le miroir, laisse mon homme lui malaxer les fesses généreusement. Franck saisit son membre qu’il vient plaquer contre son sillon, lui caresse le dos, la fait languir. Emportée par le désir, elle saisit son pénis entre ses doigts et l’insère en elle avec un gémissement. Franck la pénètre plus profondément, son bassin ondule contre sa croupe et il pose sa main à la base de sa jambe levée, pour qu’elle le sente mieux en elle. Toujours assise sur le banc, je caresse les seins, le clitoris de la vendeuse à hauteur de mon visage. Je sens l’humidité de son excitation sur mes doigts et me rends compte de ma propre moiteur. Je sens son corps se raidir peu à peu sous les élans de la jouissance. Ses cris de plaisir résonnent dans la boutique et Franck finit par atteindre l’apogée dans un soupir d’une rare intensité.
Après quelques baisers à la vendeuse, il m’attire à lui et se serre contre moi. Je saisis ses fesses parfaitement galbées, les caresse, enserre son pénis entre mes doigts, me sens devenir encore plus humide au contact de la chaleur, de la solidité de son érection. Il me pénètre à mon tour, dans la même position que sa première partenaire, en me tenant les hanches fermement. Encore étourdie par la jouissance, ma compagne de jeu nous observe, nous prodigue quelques caresses et s’attarde sur les fesses de mon homme, qui s’agitent derrière moi. Je le sens me pénétrer de plus en plus fort et s’agripper à mes seins, les yeux fixés sur notre reflet. Je distingue aussi la vendeuse qui, debout derrière nous, se caresse frénétiquement, la bouche entrouverte et les yeux ivres de plaisir. C’est ma voix qui résonne désormais dans notre petite cabine à chaque coup de boutoir. Franck pose ses mains sur les miennes contre la paroi et se laisse aller à la jouissance en nichant sa tête au creux de mon cou. Il s’immobilise, aussi essoufflé que moi.
Alors que chacun se rhabille, le visage rosi et les yeux pétillants, nos échanges de regards font naître des sourires amusés.
La vendeuse va ouvrir le magasin et remonte les stores, pendant que je pose mon ensemble de lingerie tout neuf sur le comptoir pour le règlement. À côté de moi, la mine radieuse de Franck manque de déclencher chez moi un éclat de rire involontaire.
Les mains dans les poches, Franck lance alors à la jeune femme, avec un regard de défi :
La vendeuse se mord les lèvres et, retenant son hilarité, répond d’un air narquois :
Innocemment, elle lui tend la carte, au dos de laquelle j’aperçois une série de chiffres griffonnée à la hâte.