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18/12/22
Résumé:  Magali et sa fille Margot font partie d’un groupe de supporters de l’équipe de France de foot au Qatar. Une double rencontre va pimenter l’après-match.
Critères:  grp fplusag extracon ascendant grossexe hotel voir fellation cunnilingu fsodo -occasion -extraconj
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
Mieux vaut Qatar que jamais

Ce matin-là, Magali émergea d’un lourd sommeil pour découvrir qu’elle était nue dans un des deux lits jumeaux de la chambre avec un homme tout aussi nu dont elle ne se souvenait même plus du prénom. Et sur l’autre lit, sa fille, Margot, également nue, se trouvait également avec un homme dans le même état, que Magali ne connaissait pas davantage. Il lui fallut quelques secondes pour arriver à se rappeler qu’elle couchait dans une chambre réservée aux supporters de l’équipe de France au Qatar, dont elle avait fêté la victoire la veille avec de l’alcool frauduleux, ce qui expliquait sans doute sa bouche pâteuse et en même temps la présence de ce type dans son plumard, avec lequel elle avait très probablement baisé… tout comme sa fille.


L’historique se refit peu à peu dans sa tête embrumée. Les deux gars, dont elle finit par se rappeler les prénoms, Jordan et Kevin, les avaient prises sous leur coupe, elle et sa fille, dès leur arrivée dans le groupe de supporters. Copains dans la vie, la trentaine joviale, pas mal faits de leur personne, ils avaient tout de suite plu aux deux femmes, bien contentes de disposer de gardes du corps, même si l’insécurité n’était pas vraiment un souci dans ces lieux. Il faut dire que l’une et l’autre étaient privées de l’accompagnement de leurs conjoints. Abel, celui de Magali, avait choppé la covid une semaine avant le départ et se sentait incapable d’encaisser un tel voyage. Michael, celui de Margot, déplorait cette coupe du monde entachée du sang des ouvriers du Qatar. Mais Magali et Margot étaient fans de foot et de l’équipe de France. Pas question de renoncer à ce voyage, qu’elles avaient préparé de longue date. La première avait confié son cabinet de pédicure à son assistante et la seconde celui de kinésithérapie à une remplaçante. Bon gré mal gré, les deux hommes avaient dû accepter que la mère et la fille accompagnent le groupe de supporters français et fassent la claque dans les tribunes. Avec un peu de chance, ils les verraient peut-être même à la télé dans les plans-séquences du réalisateur.


Magali se mit sur un coude et regarda l’homme qui roupillait à côté d’elle. Sa queue épaisse s’étalait sur sa cuisse velue. C’était donc cet organe qui l’avait fait basculer dans l’adultère un soir de match. Le scénario lui revint en tête. Après la victoire des bleus dûment célébrée, Jordan et Kevin avaient manifesté auprès de la mère et de la fille une proximité qui dépassait un peu le rôle d’ange gardien. Le corps menu, mais bien proportionné des deux femmes, assez légèrement vêtu vu la chaleur ambiante, avait reçu la visite de mains impatientes qu’elles n’avaient guère repoussées dans l’euphorie du succès. Ayant l’une et l’autre abandonné le soutif, considérant que leurs seins en pomme pouvaient aisément s’en passer, elles n’avaient pu masquer l’érection des tétons sous le pelotage en règle des deux jeunes mâles.


Pour Magali, cette situation était pour le moins inattendue. Étant largement incluse dans la cinquantaine, elle était loin d’imaginer que son corps, quoique parfaitement conservé, pourrait inspirer un gars de vingt ans moins âgé. C’était moins vrai du côté de Margot, contemporaine des deux supporters. C’est d’ailleurs cette proximité d’état civil qui avait servi de lien à l’origine et Margot ne s’était pas étalée sur le fait qu’elle était mariée. Michael l’avait un peu négligée ces derniers temps et l’idée qu’elle se fasse draguer loin de ses bases ne lui était pas désagréable, loin de là. L’embêtant, c’était la présence de sa mère et la surveillance potentielle de sa fidélité. Mais les deux garçons avaient pris soin de ne pas l’écarter, séduits par sa bonne humeur autant que par son physique à peine marqué par les ans. Magali en avait été flattée et trouvait bien du charme à ces deux gaillards, pourtant plus sexués qu’élégants.


Voilà pourquoi, elle s’en souvenait maintenant, tout avait dérapé au cours de la soirée de la veille. Margot s’était rapprochée d’elle et lui avait dit à l’oreille :



Vaincue par les arguments de sa mère, Margot se résigna à ce qu’elle l’accompagne en compagnie des deux chevaliers servants. Lesquels se gardèrent bien de dissuader la quinquagénaire, d’autant qu’ils la trouvaient éminemment baisable avec son joli petit cul. Et c’est ainsi que le quatuor entra dans la chambre devenue celle du stupre.

Magali et Margot ne s’étaient évidemment jamais trouvées dans une telle situation. Qu’elles puissent faire l’amour, ou plutôt baiser, avec deux quasi inconnus, dans deux lits voisins, ne leur serait jamais venu à l’esprit et il fallait vraiment la folie de la victoire des bleus pour en arriver là. C’est pourtant ce qui se produisit, car l’une et l’autre avaient le feu dans la culotte, d’ailleurs très légère sous leur mini robe.



Et c’est ainsi que les deux intéressés s’étaient laissés entraîner vers les lits jumeaux par deux femelles impatientes de voir leur queue avant de se la fourrer dans la bouche puis leur chatte brûlante. Baiser la mère et la fille dans la même piaule, voilà ce que l’équipe de France de foot leur permettait et c’était mieux encore que la victoire récente. Magali gardait ce matin-là le souvenir vague d’un gros tumulte où elle avait encaissé des coups de bite n’ayant rien à voir avec ceux d’Abel. En regardant la bite au repos de son amant circonstanciel, elle comprit pourquoi elle ressentait encore dans sa chair la visite impérieuse de ce plantureux organe. Fallait l’admettre, il lui avait fait un bien fou. Elle ne put s’empêcher de le titiller du bout du doigt, comme une reconnaissance rétrospective, et c’est au moment qu’il commençait à bouger qu’un bruit mouillé se fit entendre dans le lit d’à côté. La tête penchée sur le giron de Kevin, les cheveux ramenés en chignon, Margot venait d’entamer une fellation destinée de toute évidence à ranimer la flamme du susnommé afin de prolonger les ébats de la nuit.


Pendant ce temps, Jordan continuait de grossir entre les deux doigts de Magali, qui s’était également noué un chignon. L’érection progressive de ce majestueux braquemart, accompagné des bruits de succion de sa fille, avait relancé dans son bas-ventre le besoin d’être visité à nouveau. La technique masturbatoire fit si bien son effet que le membre devint totalement décalotté, rigide et imposant. Alors, Jordan émergea totalement de son sommeil et dit à Magali :



Alors, il bascula entre ses petites cuisses grandes ouvertes et la pénétra d’autant plus facilement qu’elle était béante des ébats de la nuit et trempée de désir. Au même moment, Margot se faisait enfiler en levrette et les deux femmes croisèrent une fois de plus leur regard dans le plaisir sexuel. Sous l’effet de la baise, les chignons s’étaient dénoués et leur chevelure suivait maintenant la cadence de leur accouplement. Tantôt cavalant sur la bite, tantôt écartelées sous leur mâle, Magali et Margot baisaient sans retenue, agitées et verbeuses. Leurs exclamations se révélaient étrangement similaires, tant dans le timbre de voix que dans l’expression, ce qui confirmait en quelque sorte leur filiation. Ce double comportement procura à leurs amants un plaisir ineffable qui trouva son paroxysme quand, dans le feu de l’action, elles demandèrent l’une et l’autre, à l’initiative de Magali, de se faire « enculer ». La quinqua ne l’avait pas été depuis des lustres, et tant qu’à faire, autant profiter des circonstances exceptionnelles pour renouer avec une pratique qui lui avait beaucoup plu dans le passé. Margot s’y associa sans réfléchir, ce qui lui procura un orgasme anal inédit. Et voilà comment les deux supporters giclèrent dans le cul des deux supportrices, qui les remercièrent d’un baiser langoureux. La coupe du monde était, quoi qu’il arrive, déjà réussie.


Magali eut toutefois un peu de mal à se remettre de ces ébats fougueux dont elle avait perdu l’habitude. En revanche, Margot se fit gaillardement sauter les jours suivants dans la chambre des deux supporters, à parts égales. Et déjà arrivait le match suivant. Tout le monde se retrouva dans les tribunes, les joues peintes en tricolore et la passion dans la voix. Hélas, le sort fut moins favorable aux Bleus et les supporters ne purent même pas noyer leur déception dans l’alcool, trop surveillé. Magali et Margot compensèrent en allant baiser une dernière fois avec leurs amants, sorte d’adieu aux armes. Ils se quittèrent à l’aéroport, car ils partaient dans deux avions différents, mais des retrouvailles éventuelles seraient compromises vu que cette fois, Abel serait sans doute là. Magali et Margot s’assurèrent mutuellement de la plus grande discrétion. Il est vrai qu’elles se tenaient par la barbichette (du bas). Mais ce petit secret entre elles avait aussi renforcé leurs liens.