n° 21356 | Fiche technique | 23104 caractères | 23104 4025 Temps de lecture estimé : 14 mn |
19/12/22 |
Résumé: La canicule de 76. Vendanges en Alsace. Un couple, un jeune homme pas féroce. | ||||
Critères: fhh jeunes frousses campagne fête cérébral caresses facial fellation init -candaul | ||||
Auteur : lexdepenny Envoi mini-message |
Nous sommes en pleine canicule, mais pas celle de 2022. 1976 a été l’année la plus chaude… jusqu’à présent. Moi, Jack, je viens de terminer mes études et de me marier avec Mary. Tous les deux Irlandais, tous les deux âgés de 22 ans. Elle a encore une thèse à boucler à la fac, alors moi je fais comme les deux étés précédents et pars faire les vendanges en Alsace. Je suis connu à ce vignoble, et apprécié par les propriétaires, en partie parce que j’ai pris le temps de connaître leur fils, Jakob. Un jeune homme baraqué et solidement musclé, une figure de vedette de cinéma, ce n’est que quand on remarque l’absence de lumière dans ses yeux qu’on sait qu’il est en partie absent. À sa naissance, il y a eu une panne d’oxygène, et le pauvre Jakob a un cerveau qui a énormément de retard par rapport à ses 19 ans. Les autres lui jouent des tours, l’envoient chercher un tournevis pour gaucher, la clé du champ de tir et ainsi de suite. Moi, je m’entends bien avec lui, je sais ce qu’il peut et ne peut pas faire, qu’au travail il est intarissable, et que dans les vignes il fait le boulot de deux, sinon plus. On fait une bonne équipe, et quand Mary arrive, totalement ignorante de ce qui est à faire, sans parler de comment on le fait, on travaille à trois. Jakob a une patience inépuisable et elle apprend vite la cueillette.
Il la regarde, bien sûr, comme tout autre mâle qui se respecte. Normal. Elle est belle. Mary est très grande, un mètre quatre-vingt, avec des jambes bien faites et en conséquence. Elle est filiforme, avec une chevelure rousse qui proclame ses origines. Ses longues jambes sont toutes pâles, malgré le soleil qui tape, parce qu’elle porte des robes légères mais qui la couvrent du cou jusqu’à mi-mollet. Un chapeau large protège sa figure et ses taches de rousseur. Elle a de mignons petits seins que j’adore, même si elle se plaint d’être toute plate. Dans l’ensemble, on dirait une des filles des photos de David Hamilton, même si un peu plus âgée que celles-là !
J’ai été son premier amant, en deuxième année de fac, et j’ai compris tout de suite que si elle voulait de moi, j’étais non seulement partant mais heureux comme je n’avais jamais espéré être. Cela ne m’a pas empêché de l’initier tout dernièrement à ce que j’espérais devenir pour elle les plaisirs de l’exhibition. Je n’ai pas eu à lui apprendre le cunni, sept années de pensionnat en ont fait une habituée. Je fais de mon mieux pour être à la hauteur de ces demoiselles-là. Sa peau toute pâle brûle en un rien de temps à la plage, donc la voir topless en bord de mer est impossible. Sa première tentative, donc, a été dans un restaurant en Italie, où sa poitrine et ses tétons ont été très appréciés, exposés sous un tee-shirt en résille, un cadeau d’anniversaire que j’ai été ravi de lui offrir. Elle a tremblé tout au long du repas, sous le regard attentif des serveurs, mais son sexe humide et son enthousiasme dès qu’on est retournés à notre camping n’ont pas laissé de doute que d’autres sorties seraient envisageables.
Jakob est fasciné par la peau laiteuse de ma femme, et peu après son arrivée, il me demande si sa peau est aussi douce qu’il l’imagine. J’ai remarqué qu’il évite les contacts physiques en général, et avec Mary en particulier. Sans y réfléchir, je le rassure sur le fait qu’elle a la peau toute douce, et de partout, alors il rougit. Je sais que certaines des filles le taquinent. Elles se trouvent… par hasard, évidemment… à poil quand il passe nettoyer les douches. Pourtant, il annonce son arrivée bien avant d’y entrer. Il est comme un petit garçon à qui on dit ou on fait voir des choses qu’il sent qu’il devrait comprendre, mais qu’il ne comprend pas vraiment. Il adore Mary, mais un peu comme un chien adore sa maîtresse.
Arrivent donc le dernier soir et le repas du départ. De longues tables sont dressées dans la cour de la ferme et au crépuscule tout le monde se réunit, à la lumière faible de lampes de pétrole. Mary met une robe en coton fin vert, longueur de genou. Le haut est soutenu par de fines bretelles. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Quand on sort dans la cour, je vois Jakob qui nous a gardé des places sur un des longs bancs en bois. Mary se met entre lui et moi. Je suis tout au bout. On mange et on boit.
Au bout d’un moment, à force d’avoir passé des journées entières avec Jakob, je sens que quelque chose le démange.
Alors il s’explique, avec des pauses, des hésitations et des bribes de phrase dont j’extrais l’essentiel.
Il a eu la maladresse de laisser savoir à Norman, un Australien braillard aux habitudes louches, que je lui avais dit que Mary avait la peau très douce. Selon Norman, Jakob se devait de s’emparer de ma femme pour vérifier. Je jette un coup d’œil vers le trio australien et il est évident qu’ils s’attendent à ce que Jakob, sans crier gare, pose ses mains sur Mary, et que je réagisse violemment. Norman sème la discorde depuis son arrivée et il ne sera plus embauché l’année suivante.
J’explique la situation à Mary, dont le français limité n’a pas permis de suivre les balbutiements de Jakob.
Mary me regarde. Même si elle s’est beaucoup libérée depuis son pensionnat en Irlande, laisser qu’un autre que son mari lui touche la jambe l’enquiquine. Elle avale et fait quand même oui de la tête. J’explique à Jakob comment on va faire. Il ne doit absolument pas laisser deviner qu’il se passe quelque chose hors norme. Il a la figure de nature peu expressive, donc à condition qu’il regarde ailleurs, personne ne saura rien. Il dit qu’il comprend. Sa main glisse sous la table. Je pose ma main sur le genou de Mary pour accueillir celle de Jakob, qui a une paluche comme une bêche à creuser. Je retire ma main de sous la sienne, et j’entends son soupir de plaisir, car la peau de Mary est en effet très douce.
Quelques secondes s’écoulent, et je suis sur le point de dire à Jakob qu’il peut lâcher prise, quand Mary pose son doigt sur mes lèvres et me parle en anglais.
Elle a les genoux serrés, et ma main est en contact à la fois avec les doigts de Jakob et l’autre genou de Mary. Je sens que le pouce de Jakob caresse très doucement le genou de Mary. Elle a les yeux à moitié fermés et sa respiration est légèrement plus rapide que d’habitude. Elle est adorablement sexy. J’avais oublié à quel point ses genoux sont sensibles. Que faire ? Je prends le risque.
Jakob semble perdu dans un petit monde à lui. Je touche sa main et j’indique qu’il a le droit de toucher plus haut sur la cuisse nue de ma femme. Il pose sa main un peu plus haut et reprend ses caresses.
Elle est en effet très détendue, je le sens, alors je commence à frôler l’intérieur de sa cuisse gauche.
Elle passe sa main sous la nappe qui couvre la table.
Pendant que nous continuons à discuter, je continue mes frôlements, et je sens que Jakob fait de même. Peu à peu, Mary a écarté ses cuisses, qui sont maintenant dans une position que, sans la nappe qui cache ses cuisses en partie, jamais elle n’aurait adoptée en public. Elle a les coudes sur la table et le menton appuyé sur les mains. Soudain, sans que son expression ne change, elle descend une main et retrousse sa robe jusqu’à l’aine. Maintenant, la nappe ne cache plus rien de nos manœuvres. Je peux voir son slip en coton blanc et aussi mes doigts, qui sont à même pas cinq centimètres de son entrejambe. Ce qui me fait bander encore plus fort, cependant, c’est que je vois aussi la main de Jakob, même si celle-ci est simplement posée sur la cuisse, alors que la mienne est entre les jambes de mon épouse. Jamais, sauf dans mes fantasmes les plus fous de cette époque-là, je n’aurais imaginé Mary acquiescer à… et accueillir… une situation pareille ! J’ai commencé dès notre mariage à lui dévoiler certains de mes envies et projets pour nous, mais nous n’en sommes qu’aux débuts. Je ne résiste pas à la tentation de profiter du moment. Je prends la main de Jakob et je la pose en copie conforme de la mienne sur l’autre cuisse. J’entends la brusque aspiration nerveuse de Mary qui témoigne de la tension qu’elle doit ressentir.
Jakob et moi, nous voyons bien maintenant ce que nous sommes en train de faire à mon épouse complaisante. Les cuisses de Mary forment un angle de trente degrés au moins. Mes doigts, comme ceux de Jakob, ne sont plus qu’à des millimètres du coton tendu.
Soudain, Mary se met toute droite, fait descendre sa robe et resserre les cuisses. J’ai à peine le temps de retirer ma main. Puis je vois que Norman et ses potes, tous bien beurrés, se sont levés et vont passer derrière nous. Ils nous lancent quelques vannes au passage, que nous ignorons. Aussitôt qu’ils ont disparu, Mary souffle un grand coup, me pousse pour que je la laisse sortir, se lève et se dirige prestement vers le dortoir des filles.
Mary a l’air de s’être de nouveau calmée. Je me lève, mais avant qu’elle ne reprenne sa place entre Jakob et moi, elle attrape son verre de vin et le vide d’un trait.
La nuit est tombée et les autres sont partis. Il y a un bal dans le village. Nous sommes quasiment seuls. Mary regarde autour de nous. Personne ne nous observe. Soudain, elle prend l’ourlet de sa robe à deux mains et la retrousse. Elle en fait un nœud autour de sa taille. Elle s’assoit. Ses fesses nues sont directement sur le banc et à la lueur des lampes, sa toison, fine et tout aussi rousse que ses cheveux, est sous nos yeux. Si moi je suis étonné qu’elle ait osé enlever sa culotte, Jakob est aux anges.
Ses paroles me coupent le souffle ! Mon épouse vient-elle d’inviter Jakob à apprécier la douceur de son intimité ? Je manque de jouir sur place…
Mary est calme, on la dirait insouciante. Sans se presser, elle prend ma main dans une des siennes, pendant que de l’autre elle prend celle de Jakob. Elle regarde son sexe nu et nous positionne avec soin, la main de Jakob à la cuisse droite, à quelques millimètres de sa vulve. La mienne, elle la met à exactement la même distance sur l’autre cuisse. Son sexe est mouillé et j’en sens la chaleur sur mes doigts. Elle reprend sa pose d’avant, coudes sur la table, la tête sur les mains.
Au cours d’une bonne demi-heure, Jakob et moi faisons jouir Mary, tantôt à tour de rôle, tantôt avec nos doigts qui s’entremêlent dans la fente trempée de sa vulve. Aux moments où je laisse le champ libre à Jakob, Mary m’embrasse avec fougue et baisse le haut de sa robe pour m’encourager à caresser ses seins et ses tétons durs. À ce moment-là, elle n’est plus mon épouse, celle avec qui je me suis marié seulement quelques semaines auparavant. Mary s’est transformée et est devenue l’emblématique femme sensuelle de tous les âges. Cette femme-là n’exige rien de nous, si ce n’est de la faire jouir, jouir et jouir encore. Mary subit des orgasmes répétés qui à la longue deviennent presque continus. Son corps finit par vibrer incontrôlablement de la tête aux pieds.
Elle m’embrasse de nouveau. En se faisant, elle pose sa main sur ma cuisse et trouve ma bite, qui est dure comme de l’acier et brûlante au toucher.
Son regard glisse vers Jakob. Il porte un short de foot, et son érection dépasse, malgré ses efforts pour la dissimuler. L’engin est nettement plus long et plus gros que le mien. Il ne dit rien, mais d’après ce que je ressens moi, il doit souffrir tout autant.
Mary me regarde.
Ma bite a failli exploser. L’afflux de sang me fait mal. Je sais que je suis devant une décision qui pourra tout changer entre Mary et moi. J’ai envie de crier mon accord, mais j’ai peur aussi des conséquences imprévisibles.
Il est choqué, ça se voit, mais il fait oui de la tête.
J’exécute, mais mes yeux sont fixés sur Mary qui extirpe le mandrin de Jakob de son caleçon. C’est un truc hors norme, circoncis et, en ce moment, d’un rouge foncé qui témoigne d’une rigidité totale et qui tient à la verticale.
Mary prend les deux bites, la mienne dans sa main gauche, et en même temps elle entoure celle de Jakob avec l’index et le pouce de sa main droite.
Elle nous masturbe. Je ne sais plus si ce sont ses caresses ou la vue de ma nouvelle épouse qui masturbe Jakob qui me donne la sensation la plus forte. En tout cas, je bande comme un dieu.
Les minutes passent. Elle nous caresse lentement et avec une tendresse qui n’en est que plus érotique. Que se passe-t-il dans la tête de Jakob ? Ses yeux sont fermés. Est-ce pour lui comme ce serait pour un animal, un plaisir sans réflexion ? À côté de moi, je vois ma femme qui est en train de masturber un autre homme. Dans ma tête, le mental et les sensations délicieuses physiques sont impossibles à démêler. Je n’y cherche pas.
Mary se penche vers moi et dépose un doux baiser sur le bout de ma bite. Le choc électrique envoie une onde d’extase à travers mon corps. Elle me regarde dans les yeux.
Et… ? Je ne comprends pas sur le coup. Puis ce qu’elle insinue me tombe dessus comme une tonne de briques. Mary me parle de nouveau en anglais.
Là, je me rends compte qu’il n’y a pas de mais qui tienne. Ma bite vibre, presque, à la pensée que dans un instant je verrai Mary qui embrasse le sexe de Jakob… ou plus ?
Elle ne se fait pas prier. Elle jette un regard interrogatif à Jakob.
Pas de bisou gentil dessus pour Jakob. Mary plonge. Le diamètre de l’engin l’oblige à ouvrir sa bouche en grand, et elle met quelques secondes pour s’y habituer. Elle se l’enfonce plus profondément et manque d’étouffer. Une larme coule sur sa joue. Elle l’essuie et se reprend. Elle trouve le rythme qui lui convient et sa tête monte et descend sur ce pieu de chair. Au bout d’un moment, elle se relève.
Elle me regarde.
En effet, notre ami, en proie aux coups de langue de Mary, a les yeux résolument fermés, comme s’il s’efforce de ne pas jouir.
Sans lâcher sa prise sur la bite de Jakob, elle engloutit la mienne de toute sa longueur. Les bouts de nerf si sensibles du gland ne résistent plus et je jouis dans sa bouche et sur ses lèvres. Elle avale, puis me donne un sourire qui déclare sa satisfaction.
Et c’est au tour de Jakob. Il résiste quelques secondes de plus que moi, et lâche un grognement du fond de sa gorge en éjaculant un flot impressionnant. Mary est prise au dépourvu, et reçoit le premier jet dans sa bouche. Pour éviter d’être noyée, elle ferme ses lèvres et n’a pas d’autre recours que d’avaler, pendant que le reste lui éclabousse la figure et dégouline de son menton.
Mary et moi sommes pris par un fou rire.
Mary a besoin de plusieurs mouchoirs en papier pour se débarbouiller la figure. Je sens qu’elle est en train de descendre du pic d’excitation de cette expérience inattendue. Malgré les traces de sperme, le mien comme celui de Jakob, qui ont aspergé ma femme, je l’embrasse à pleine bouche pour la rassurer.
Elle fait une bise chaste de remerciement à Jakob, m’embrasse avec tendresse, et entre en titubant un peu dans le dortoir des filles. À la porte, elle se retourne et me fixe du regard. C’est elle qui trouve les paroles de ma pensée.
Elle avait raison.