n° 21367 | Fiche technique | 11217 caractères | 11217 1934 Temps de lecture estimé : 7 mn |
23/12/22 |
Présentation: Approche et séduction d’une jolie femme. | ||||
Résumé: Approche et séduction d’une jolie femme. | ||||
Critères: fh ff extracon pénétratio -occasion | ||||
Auteur : Hegg Hô |
« J’aime les filles qu’on voit dans «Elle» » (air connu)… Mais je n’aime pas trop la chaudasse, l’amante-mante religieuse, la femme qui plonge avidement ses yeux dans les miens, qui projette ses melons sous mes yeux, qui cogne ses dents contre les miennes en envahissant ma bouche de sa langue, tout en glissant promptement une main dans ma braguette pour en malaxer vigoureusement le locataire puis qui, plus tard, se mettra à bramer pour exprimer son plaisir (réel ou feint… telle est la question…), mais surtout pour satisfaire ma vanité de mâle, qu’elle a hâte de baiser, pour me faire croire que je suis une épée de grande (et grosse…) valeur…
Je lui préfère, de loin, la femme réservée, au physique plus timide (mais néanmoins avec du potentiel…) celle qui doute de sa séduction et de son savoir-faire amoureux, mais qui, une fois mise en confiance, révélera sa nature d’amoureuse, voire de libertine, et qui, après une légère réserve, voire de feintes réticences, acceptera, comme une grande, de pratiquer, avec application, toute la gamme des jeux érotiques que je lui proposerai.
Un exemple…
Nous étions quelques amis, réunis autour d’une table d’été, pour oublier la morosité de l’époque. Il y avait là Xavier, Adèle, Armand, Ninon, Odile, mon épouse depuis dix ans, moi, et enfin Cerise, fraîche et vive jeune femme, au physique très printanier, qui était venue sans son compagnon, en déplacement.
Le déjeuner se traînait et je me rendis compte que, curieusement, Armand me regardait avec un regard inhabituel, un regard qu’il semblait même vouloir légèrement condescendant, même si je ne comprenais pas bien pourquoi…
Mais quand je me baissai pour ramasser ma serviette tombée à mes pieds, je vis où était le loup : la main d’Armand était en train de se promener sur les cuisses que le short d’Odile mettait à sa portée… Je ne fus pas très surpris : connaissant mon épouse, apparemment, elle avait décidé de rajouter sur la longue liste de ses amants le nom de cet imbécile, tout fiérot de sa « conquête ». (Le naïf, s’il savait où il allait se fourrer…)
Mais cette plongée sous la table me fit également entrevoir les chevilles et le début des cuisses de Cerise, assise en face de moi, qu’à ma surprise, je découvris fort bien dessinées… Et puisqu’Odile s’amusait, j’allais faire de même, mais à ma façon. Je laissai tomber mes tongs et lançai l’un de mes pieds à la rencontre d’un genou de Cerise, qui répondit à mon raid par un regard surpris, et par un retrait de ses genoux (que je trouvai peu convaincu…). Au lieu de m’excuser en prétextant un geste involontaire, je lui souris et repris mon assaut « pédestre » en tentant d’insérer mon pied entre ses genoux. Cerise me renvoya un regard qui se voulait inquiet (mais pas très réprobateur…), poussa un soupir, baissa les yeux et ne fit plus rien pour stopper la progression de mon pied entre ses cuisses, qu’au contraire elle sembla tolérer, voire encourager, en les écartant un peu, un tout petit peu certes, mais suffisamment pour me permettre de poursuivre mes discrètes manœuvres…
Elle serra fortement sa fourchette dans une main, mais la garda sur la table… Ouf…
Après un court arrêt, pour consolider ma « tête de pont », lentement, sans qu’il en fût empêché, mon pied progressa le long de ses cuisses, jusqu’à parvenir à son pubis et, de mon gros orteil, j’entamai, par-dessus sa culotte, de lentes (et les plus douces possible… car c’était un orteil, pas un doigt ! ) caresses. Je vis son visage rosir, rougir, puis s’empourprer quand elle se pencha, faisant mine de se moucher, pour éviter d’afficher son émotion. Ses cuisses se resserrèrent brusquement autour de mon pied, pour l’empêcher de continuer son œuvre et, quand son visage réapparut à la surface de la table, Cerise, encore un peu rosissante et haletante, m’adressa un discret sourire de remerciement pour le plaisir qu’elle venait d’éprouver. Ne voulant pas insister lourdement, je me contentai de lui caresser, presque chastement (… ?), les mollets, puis mes pieds retrouvèrent sagement leurs tongs.
Quand, plus tard, les invités se levèrent pour partir, Odile m’informa que les caresses d’Armand l’avaient bien chauffée, et qu’elle allait passer la nuit chez lui, et qu’elle me laissait le champ libre « au cas où j’avais l’intention de poursuive mes travaux d’approche avec Cerise… ». La fine mouche…même troublée par les caresses d’Armand, n’avait rien perdu de mes manœuvres, que j’avais pourtant pensées discrètes.
Au moment des bises de départ, je glissai discrètement à Cerise : « À 21 heures, reviens ici, je serai seul », et Cerise me répondit, sur un ton mi-figue, mi-raisin : « Je ne sais pas, je verrai, j’attends un coup de fil de Corentin », même si un petit sourire, du coin des lèvres, valait promesse.
Vers 21 h 15, je suis assis dans un fauteuil, en train de siroter mon alcool préféré, quand on frappe discrètement à la porte. Sans me lever, je crie d’entrer, et Cerise entre timidement, en regardant craintivement autour d’elle, vêtue d’une mignonne robe d’été, fermée sur le devant par une série de boutons.
Sans me lever, je lui dis :
Cerise se dirige vers moi, timidement, lentement et, les yeux baissés, semblant hésiter, en conflit intérieur. Quand elle arrive à ma portée, je pose mon verre, la saisis par une main et la fais s’asseoir en travers de mes genoux. Sa chute et sa nouvelle position la surprennent et lui font pousser un tout petit « Non… » quand je pose doucement mes lèvres dans son cou. Elle ne refuse pas mon baiser, semble même l’apprécier en ronronnant, puis fait mine de se reprendre et, sans tenter de se lever, elle me dit :
Je cloue mes yeux dans les siens et, sans cesser de lui sourire, j’approche ma bouche de la sienne. En même temps, j’ouvre quelques boutons du haut de sa robe, glisse une main dans la brèche et empaume l’une de ses si mignonnes petites pommes d’amour que je découvre libres d’aucun soutien-gorge (il faut la comprendre, c’est l’été et il fait chaud…), en lui arrachant un soupir. Cerise se crispe, pose une main sur la mienne comme pour la retenir, mais ne l’éloigne pas de son sein. J’ouvre ma braguette, en sors mon sexe, me saisis de sa main libre et le lui confie. Tout en reprenant son souffle, Cerise, rougissante, haletante, ne se dérobe plus, et saisit mon sexe entre deux doigts, le tâte maladroitement, comme si elle s’en méfiait, ou comme si elle désirait en vérifier la fermeté. Je profite de son émotion pour glisser ma main entre ses cuisses, atteindre son pubis, lui retirer sa sage petite culotte Vichy, et je peux enfin caresser le sexe qu’elle ne refuse plus à ma concupiscence. Je pose ma bouche sur sa bouche, qu’elle entrouvre pour accepter l’entrée de ma langue, mais quand ma main atteint son sexe, sa bouche exhale dans la mienne un soupir encore plus intense. Enfin, sa bouche se rend et non seulement elle accepte mon baiser, mais elle me le rend, avec la passion d’une femme qui se libère enfin.
Caresser, en même temps, son sein et son sexe m’excite au plus haut point ; mon sexe me fait mal tant il est gonflé et dur. Mais il me faut admettre que si la dame est, au plus haut point, bandante, elle ne sait pas bien quoi faire de ce qu’elle tient dans la main. Manifestement, Cerise n’a pas appris à « bien s’occuper d’un homme » (heureusement d’ailleurs, sinon, excité comme je le suis, il y a longtemps que j’aurais joui dans sa main…).
Il est grand temps de passer à l’étape suivante : mes yeux toujours plantés dans les siens, qui ne se dérobent plus désormais, je l’aide à enjamber mes jambes pour venir les chevaucher, lui soulève les fesses, puis les fais redescendre pour que son sexe s’enfile sur mon sexe, sa robe recouvrant mon ventre. Elle salue mon entrée dans son ventre par un profond soupir…
Je détache mes mains de son corps pour les placer derrière ma tête et la regarde s’agiter sur moi en gémissant de plus en plus vite, puis en poussant des cris de plus en plus forts, les seins ballants en face de mes yeux…
Maintenant, je ne la touche plus, et le seul contact physique entre nos corps est celui de nos sexes, le mien en mouvements de plus en plus forts, dans le sien qui enserre le mien. Je contemple cette jolie femme qui, dépoitraillée et les yeux fermés, accorde ses gémissements et ses cris aux mouvements que mon sexe effectue dans son ventre. La situation est terriblement érotique, et je suis au bord du précipice… Aussi, dès que Cerise a crié son plaisir, je jouis à mon tour, en criant moi aussi. Puis je termine l’effeuillage de son corps si mignon et, nus tous les deux, je la porte vers ma chambre, pour que nous y poursuivions nos ébats sur le lit, plus confortablement que sur le fauteuil.
Un peu plus tard, alors que je suis à nouveau bien planté en elle, cette fois-ci en missionnaire, comme elle me l’a demandé, nous sommes surpris de voir débarquer Odile. Déçue par l’égoïsme d’André, elle a écourté leurs ébats pour rentrer chez nous. Gêné, je retire mon sexe du ventre de Cerise et me crois obligé de lui proposer de migrer, avec ma maîtresse, vers le salon. Mais Odile (quelle garce !) me rassure : « Non, restez… elle est bien mignonne, cette nana… », se déshabille à son tour et se met à caresser le corps offert de Cerise qui, manifestement, apprécie énormément, l’étreint et recommence à jouir sous les doigts de ma femme, sans me prêter plus d’attention. À mon grand regret, aucune des deux femmes ne m’a proposé de faire le troisième luron…
Il ne me reste plus qu’à attendre que les dames soient repues l’une de l’autre pour les prier de m’accepter dans leurs jeux… Mais, même si je suis très excité, je suis extrêmement vexé de tant d’ingratitude et je vais me réfugier dans la chambre d’amis, pour ne pas entendre leurs cris de plaisir !
Quand elles seront en manque de phallus, il faudra bien qu’elles viennent me chercher ! Enfin, je l’espère…