n° 21380 | Fiche technique | 21583 caractères | 21583 3605 Temps de lecture estimé : 15 mn |
27/12/22 |
Résumé: Un couple de cinquantenaires est invité à passer un week-end à la campagne pour échapper à la canicule. La femme surprend le mari de sa meilleure amie en pleine activité solitaire. | ||||
Critères: #masturbation f h fh voir fmast hmast init | ||||
Auteur : François Angler Envoi mini-message |
Collection : Entre amis Numéro 01 |
Il faisait une chaleur étouffante en ce mois de juin, une goutte froide sur l’Atlantique avait généré une remontée d’air chaud venant du Sahara. La température flirtait avec les 40° en plein après-midi, un soleil de plomb sans nuage empêchait toute activité extérieure. Pour fuir la ville et son air irrespirable, Frédéric et Clarice avaient décidé d’aller dans leur maison de campagne à une heure de route. Toutefois, au moment où ils faisaient leurs bagages, Frédéric avait suggéré à sa compagne d’inviter Christine et Gaston, un couple d’amis. Ces derniers vivaient également en appartement, dans la banlieue lyonnaise, et avaient accepté avec enthousiasme de se joindre à eux.
La maison de campagne était proche de la ville de Cluny, connue pour son abbaye. Il s’agissait d’une ancienne ferme dans un hameau d’une dizaine de maisons. Quelques-unes étaient en ruine, il ne restait qu’une poignée d’habitants à l’année, leur habitation était l’unique résidence secondaire du patelin. Ils venaient là, quasiment tous les week-ends à partir du mois d’avril jusqu’à la fin octobre. À l’origine, c’était une exploitation agricole qui avait fonctionné jusque dans les années 60. La bâtisse était divisée alors en deux parties distinctes : un logement pour le couple d’agriculteurs et une grange sous laquelle se trouvaient une étable, une porcherie et une écurie. Les fermiers n’avaient jamais été très riches, ils cultivaient quelques hectares de terres, avaient quelques poules, une vache, un porc et un cheval de trait pour les labours. Le logement était modeste lui aussi, vingt mètres carrés tout au plus, une petite cuisine avec un point d’eau, une grande pièce à vivre, une petite chambre et pour les toilettes, une cabane au fond du jardin.
En 1978, la grange avait été transformée en habitation par la mère de Clarice et mise en location. En octobre 2010, le dernier locataire avait quitté les lieux, la remise aux normes aurait coûté trop cher. C’est à ce moment-là que Clarice avait décidé de récupérer la maison comme résidence secondaire. Ce n’était pas bien grand, cinquante mètres carrés, rustique, aménagé de meubles de récupération. Frédéric et Clarice avaient réalisé eux-mêmes des travaux d’aménagement, tels que l’installation d’un poêle à granulés à la place de la cheminée à foyer ouvert, l’isolation du grenier, la réfection des peintures ou l’installation de moustiquaires.
Ce 20 juin 2022, ils étaient arrivés sur place vers 10 heures pour aérer les pièces et faire quelques courses à Salornay-sur-Guye, le village le plus proche. Christine et Gaston, qui venaient de plus loin, étaient quant à eux arrivés en début d’après-midi. Juste à temps, pour prendre le café tous ensemble sur la terrasse ombragée par une trémie où courait une vigne. Après ce premier moment partagé de convivialité, Christine et Gaston allèrent chercher leurs bagages dans le coffre de leur Yaris hybride. Frédéric leur avait prêté main-forte, les laissant ensuite seuls dans l’intimité de la partie ancienne. Le logement des anciens agriculteurs était désormais une chambre d’amis. Les cloisons avaient été cassées pour aménager l’espace en une grande pièce. Grâce à un vieux lit en bois récupéré dans le grenier, agrémenté d’une moustiquaire attachée au plafond, le lieu avait un certain charme. Néanmoins, aucune commodité, pour les sanitaires, il fallait se rendre dans la partie rénovée.
Lorsque Frédéric rentra dans la partie nouvelle par le palier de communication, il entendit les ronflements de sa compagne. Il n’osa pas la rejoindre de peur de la réveiller en entrant dans le lit. De toute façon, il n’avait pas envie de faire une sieste. Il s’installa dans un des fauteuils en bois du salon, et commença à lire sur son smartphone qui lui servait de liseuse, un livre de Daniel Taboury : Jim, le chien et la rivière. Il connaissait cet auteur, par ses articles dans la presse halieutique dont il était friand. La lecture le captiva, néanmoins il commença au bout d’un moment, à sentir ses paupières s’alourdir, et décida d’aller s’allonger sur le clic-clac du bureau. Et quelques minutes plus tard, sans qu’il s’en rende vraiment compte, il sombra dans un profond sommeil.
Il émergea plus d’une heure plus tard, ouvrant doucement les yeux, la pièce était dans la pénombre. Il avait fermé les volets en bois avant de se coucher. Il tendit l’oreille, aucun bruit, hormis le tic-tac de l’horloge accroché au mur du salon. Il remarqua sur le bureau, son casque audio, et cela lui donna l’idée d’écouter un podcast.
Il se leva pour s’en saisir, le mit sur ses oreilles, puis se connecta à internet. Il avait découvert depuis peu ce média, lui qui était déjà très connecté aux réseaux sociaux, malgré qu’il ait presque cinquante ans, tels Instagram et YouTube. Il parcourait la liste de ses abonnements, pour finalement s’arrêter sur le boudoir d’Aphrodite. Et comme le conseillait l’auteure, il prit une position agréable pour écouter l’histoire. Assis sur le clic-clac, la tête basculée en arrière, il ferma les yeux pour s’abandonner au récit. Il aimait entendre cette voix de femme, douce et sensuelle, déterminée, qui vivait sa vie sexuelle librement. Il écoutait, visualisant les protagonistes : Aphrodite, seule sous sa tente, un jeune couple de voisins venus perturber sa tranquillité, alors qu’elle avait délibérément choisi un coin reculé du camping, sur les bords de l’Ardèche près de Vallon Pont d’Arc.
Cela lui fit se souvenir d’un week-end passé après ses examens de fin d’année, avec un groupe d’amis au bord de cette même rivière. Le samedi soir, après avoir bien bu et surtout fatigué par sa journée entière à pagayer. Il était allé se coucher sous sa tente. Dans la nuit, il s’était réveillé et avait perçu des gémissements provenant de la couche voisine. Il avait alors compris qu’une des filles était venue dormir avec lui. Et cette dernière se caressait sous son duvet. C’est peut-être cela qui l’avait réveillé, et il comprenait mieux alors pourquoi il bandait. Il fit glisser la fermeture éclair de son duvet, afin de pouvoir se masturber sans contrainte. Dans l’espace exigu, sa voisine s’était vite rendu compte qu’ils pratiquaient tous les deux la même activité. Alors, elle s’était tournée vers lui, et dans la pénombre, ils avaient poursuivi leur activité solitaire, attentifs aux réactions de l’autre. Ne pas voir, seulement entendre et imaginer ce que faisait l’autre était très excitant.
C’est elle qui avait pris l’initiative d’avancer sa main vers son dard, de l’enserrer et de la faire coulisser le long de sa colonne de chair. Il s’était laissé faire. C’était un jeune homme d’une grande timidité, mais poussé par la hardiesse de l’inconnue, il avait avancé sa main vers le visage de cette fille. Elle ne l’avait pas repoussé. Il avait senti sous ses doigts une peau douce, des traits fins. Son pouce avait effleuré ses lèvres, elle avait alors ouvert sa bouche et sucé quelques secondes ce doigt inquisiteur. Son excitation était montée d’un cran. Il avait osé descendre ses mains sur ses épaules. Il avait découvert qu’elle était nue tout comme lui. Ses mains avaient vite trouvé la poitrine de la demoiselle peu farouche. Elle semblait tombante et volumineuse avec des bouts tendus. Là, il avait reconnu Aude.
Le matin même, elle avait manœuvré pour être sur le même canoë que lui. Et, c’est elle qui, dès l’apparition des premiers rayons du soleil, lui avait demandé de lui mettre de la crème solaire. Pour cela, elle avait enlevé son haut lui dévoilant sans la moindre gêne son opulente poitrine que tous les garçons reluquaient avec envie. Il avait commencé par les épaules puis son dos, elle lui avait fait face, lui demandant de faire aussi le devant. Timidement, il avait massé son ventre replet, puis était venu sur ces seins, où il s’était attardé plus que de raison. Ses mains avaient frôlé ses tétons à plusieurs reprises, constatant très vite qu’ils prenaient du volume. Quand il s’était arrêté, il avait plongé aussitôt dans l’eau fraîche pour cacher aux yeux de tous la belle érection survenue dans son mini-slip de bain. Malgré ça, tout le monde avait vu son trouble, et les moqueries avaient aussitôt fusé. Il avait rougi et eu honte de son comportement. Lorsqu’il était ressorti de la rivière, son sexe avait retrouvé une taille convenable. Elle lui avait proposé de l’enduire également de crème solaire. Il avait accepté et s’était laissé faire. Ses mains étaient douces.
Lors de la descente en canoë, il ne s’était rien passé de particulier. Ils avaient pagayé de concert. Dans la dernière ligne droite, ils avaient bataillé ensemble pour finir dans les premiers, évitant ainsi la corvée de vaisselle et le repas à préparer.
Elle avait visiblement pris l’initiative de venir dormir sous sa tente, il approcha sa bouche de ces seins qu’il visualisait parfaitement bien, se remémorant l’instant où ils les avaient enduits de crème solaire. Son sein était si volumineux qu’il avait du mal à le soulever d’une seule main. C’est donc avec ses deux mains jointes qu’il s’empara d’une des mamelles, pour aspirer le téton comme l’aurait fait un nouveau-né. Elle le laissa faire. Elle continuait néanmoins de le masturber, avec des mouvements de plus en plus rapides. Se sentant défaillir, il lui avoua très vite son manque total d’expérience. Elle lui avait alors dit à voix basse.
Et alors, elle l’avait renversé, le poussant au sol, naturellement il s’était retrouvé sur le dos, les jambes tendues et les genoux écartés. Elle n’avait pas lâché son sexe et, agenouillée à ses côtés, avait continué à le branler. De sa main gauche, elle avait caressé en même temps son torse imberbe, puis s’était penchée sur lui pour l’embrasser. S’allongeant à ses côtés, sa main continua ses mouvements de va-et-vient lent sur sa queue dressée. D’un coup sans prévenir, il avait éjaculé avec puissance sa semence, le premier jet atteignant son nombril, et quelques coups de poignets supplémentaires finirent d’éjecter les dernières gouttes de sperme.
C’est elle qui l’avait guidé dans la découverte de son corps. Il s’était montré bon élève ne se précipitant pas, elle avait même dû diriger sa main droite vers son pubis bombé, tellement elle le sentait tétanisé par sa timidité. Là, ses doigts avaient fouillé une toison épaisse et frisée, puis il avait glissé son majeur naturellement vers sa fente, y découvrant une abondante humidité. En remontant son doigt le long de celle-ci, il avait sans le vouloir touché son clitoris, déclenchant en elle une onde de plaisir et un long gémissement.
Il avait suivi les recommandations de sa partenaire, ne se préoccupant que d’elle. Curieux, il avait osé entrer son majeur dans le vagin, où il avait senti des palpitations fortes excitantes. Il s’était alors enhardi à insérer un second doigt en elle, puis délicatement un troisième. Ainsi, il l’avait fouillé avec son majeur, son index et son annulaire réunis. Et puis, avec son pouce, il avait stimulé le clitoris. Surprise au début de cette soudaine initiative, Aude avait vite apprécié le traitement prodigué. Haletante, elle n’avait pu s’empêcher de gémir, avant de crier son plaisir quand un orgasme l’avait brutalement submergée. Frédéric avait été le plus heureux des hommes en comprenant qu’il avait su satisfaire sa partenaire.
Il ne comprenait pas pourquoi elle l’avait choisi, lui, alors qu’il était évident qu’il n’avait aucune expérience avec les filles. Ses potes se vantaient tous de l’avoir déjà fait. Lui se taisait, ne cherchant nullement à raconter des bobards.
Frédéric s’était mis à quatre pattes, entre les cuisses de la jeune femme, le visage à hauteur de son minou. Il avait d’abord senti l’odeur forte de ce sexe. Avec ses pouces, il avait écarté les grandes lèvres, puis avait tendu sa langue, et remonté celle-ci de bas en haut, goûtant ainsi pour la première fois à de la cyprine. Enivré par cette odeur et par le goût de cette substance, il poursuivit sa découverte du sexe féminin. C’était bien plus intéressant que sur les magazines achetés en douce chez le marchand de journaux.
Très vite, il avait senti les mains de la jeune femme dans ses cheveux. Elle s’était remise à gémir, puis lui avait demandé de la lécher d’une certaine manière. Il avait répondu à chacune de ses exigences. Elle avait relevé ses jambes lui dévoilant son œillet plissé, il avait alors léché ce petit trou sans vraiment qu’elle le lui demande. Une fois encore, elle apprécie l’initiative. Et, quelques minutes plus tard, elle avait joui sans retenue, avant de gentiment le repousser. Il en avait mal à la mâchoire. Il s’était redressé, il arborait une solide érection. Il n’osa pas demander la même faveur buccale à Aude, et afin de se soulager, il s’apprêtait à s’astiquer. Quand elle lui dit.
Il sentit les doigts d’Aude dérouler un préservatif sur son dard, puis elle avait posé ses mains sur ses fesses, et sous la pression, son bassin s’avança vers le sien. Sa bite toucha le pubis poilu de sa partenaire. Une main secourable guida son chibre vers l’antre accueillant. Il s’enfonça lentement, savourant l’introduction, et s’arrêta tout au fond d’elle, leurs pubis se touchant. Elle croisa ses chevilles dans son dos. Emprisonné, il resta immobile plusieurs secondes.
Il ne savait pas quoi dire d’autre. Il appréciait le moment. Il avait peur d’éjaculer trop tôt, trop vite. Et qu’elle se moquait de lui. Il n’avait pas encore compris qu’elle s’offrait simplement pour le plaisir de le sentir en elle, et d’être à jamais, sa première femme. Elle chercha à le rassurer, et lui fit part de ses sensations.
Frédéric ressortit délicatement de cette grotte chaude, il laissa son gland à l’entrée avant de pénétrer à nouveau la jeune femme. Elle le rassurait, elle sentait à chaque va-et-vient qu’il s’enhardissait. Sentir cette verge coulisser en elle lui faisait le plus grand bien. Lorsqu’elle était venue sous sa tente, elle n’avait pas envisagé que cela irait si loin. Ce garçon timide l’attirait, elle avait entendu tous ses potes se moquer de sa virginité. Elle était persuadée que certains d’entre eux l’étaient tout autant que lui.
Finalement, elle ne le regrettait pas, il était attentionné, doux, serviable, et il l’avait fait jouir intensément deux fois, ce qui était rare avec les garçons. Et, la Nature l’avait plutôt bien doté, jamais un tel engin ne l’avait pénétrée, ce n’était pas Rocco Siffredi, mais elle le sentait bien écarter ses chairs, et taper au fond de sa matrice.
Frédéric, appuyé sur ses mains, commence à s’activer dans ce conduit, chaud et palpitant, il apprécie de sentir son gland frotter l’entrée de la grotte. Il se sait très sensible à cet endroit. Toutefois, sentant qu’il risque de ne pas tenir très longtemps à ce rythme, il se contente désormais de petits mouvements tout au fond de cette chatte accueillante, les sensations à la base de son sexe ne lui procurant que peu de plaisir. Mais il espère ainsi arriver à contenter sa partenaire. Naturellement, elle a remonté ses chevilles sur ses épaules. Elle l’enlace de ses bras, et l’embrasse avec gourmandise. Elle n’en revient pas, mais elle sent monter en elle un nouvel orgasme, il la remplit entièrement, et son pubis qui tape à un rythme régulier contre son clitoris va l’emmener une nouvelle fois au nirvana. Elle le bascule sur le dos, pour prendre les choses en main, se redressant, et ondule du bassin sur ce pieu et excitée comme jamais. Surpris, presque paniqué, il s’écrit :
Elle devient vulgaire. Elle coulisse le long de cette colonne de chairs qui écartèle sa chatte. Elle devient violente. Elle ne pense qu’à son plaisir. Elle veut jouir. Elle accélère le rythme, les mains appuyées sur son torse. Elle se moque d’être entendue. Elle sent le tsunami monter, elle rejette sa tête en arrière, un dernier mouvement du bassin et elle se cambre, une longue plainte sort de sa bouche. Puis vaincue, elle s’écroule sur son amant.
Lui n’en revient pas ! Il n’a plus bougé. Il s’est laissé faire, juste un simple homme-objet. Il n’a pu se retenir, mais dans un réflexe de dernière minute, il a enserré la base de son membre pour garder une certaine raideur, et tenir la capote. Elle bascule sur le côté. Sa queue devient rapidement flasque. Ils ne disent pas un mot, anéantis, épuisés par le coït. Il essaye de retrouver une respiration apaisée. Son cœur bat la chamade. Il prend dans sa main les doigts d’Aude. Ils s’endorment, blottis l’un contre l’autre.
Le lendemain matin, ses potes l’avaient longuement questionné, il s’était refusé à toute explication. Il avait compris que leurs ébats avaient été entendus. Les filles l’avaient regardé différemment, elles se taisaient à son approche. Aude en sortant de la tente avait un air ravi, et était venue l’embrasser.
Ce souvenir, plus que le récit d’Aphrodite, a entraîné une solide érection dans son short. Nerveusement, il ouvre sa braguette, Frédéric ne porte ce jour-là aucun slip, il pose sa main droite à la base de son sexe l’aidant ainsi à se tenir vertical. Les yeux fermés, la tête en arrière, il se caresse lentement, prenant le temps d’apprécier sa caresse. Il ne prête aucune attention à son environnement.
Ainsi, il n’a pas remarqué, la présence de Christine, l’amie de sa femme qui a franchi avec la plus grande discrétion la porte reliant la chambre d’amis au séjour. Taraudée par une envie pressante, elle s’est avancée à pas de loup en direction du couloir menant aux toilettes.
Elle a stoppé sa progression en découvrant par l’entrebâillement de la porte du bureau Frédéric, braguette ouverte, exhibant sa queue fièrement dressée. Elle a retenu son souffle, les yeux écarquillés par les dimensions de l’engin. Elle n’a jamais soupçonné qu’il soit si bien monté. Il se caresse avec douceur, décalottant son immense gland violacé, s’arrêtant quelques secondes avant que le prépuce ne le recouvre à nouveau.
Elle hésite. Que faire ? Mater cet homme en pleine activité solitaire ? Rentrer dans les w.c. et uriner ? Elle n’arrive pas à se décider. Elle est hypnotisée par le spectacle offert. Son corps décide à la place de son esprit, en effet elle sent ses tétons la démanger. Et voilà qu’il commence à se branler avec plus de vigueur. Qu’écoute-t-il pour être ainsi excité ? Elle serre ses cuisses, contractant son périnée, cela ne l’aide pas à se calmer. Elle a envie de se toucher. Il gémit. Il est évident qu’il va bientôt jouir. Et l’explosion arrive. Elle retient un cri de surprise. Le sperme jaillit avec violence, retombant sur le parquet et finissant en inondant sa cuisse, vu l’abondance de liquide éjectée par cette verge. Elle se dit qu’il y en avait bien besoin. Paniquée, ayant peur d’être découverte à l’espionner, elle ouvre la porte des toilettes face à elle et s’engouffre dans l’étroit local, où elle tourne le verrou.
La voilà, seule, le souffle court. Il doit avoir entendu le bruit du verrou claquant dans le penne. Son envie d’uriner est revenue. Ses doigts fébrilement déboutonnent son pantalon qu’elle baisse prestement jusqu’à ses chevilles. Elle s’assoit sur la cuvette. Il était temps, sa vessie relâche un jet d’urine, elle pousse un ouf de soulagement. Que c’est bon ! Le buste penché en avant, c’est alors qu’elle aperçoit la tache au fond de sa culotte. Elle avance ses doigts sur le tissu, il est trempé, son envie de se toucher revient. Sa main s’infiltre entre ses cuisses, son index et son majeur réunis s’introduisent sans difficulté. Et sa paume de main épouse naturellement les courbes de son pubis, en pressant ainsi son clitoris qui pointe hors de son capuchon. Elle ne peut résister à cette masturbation brutale, assise là sur les toilettes. Elle ferme les yeux, et aussitôt revoit, la verge crachant sa semence, elle se mord la lèvre pour ne pas gémir. Elle mouille tellement qu’elle entend le flop-flop de son minou qui éjecte une quantité affolante de cyprine. La présence de Frédéric, là, tout proche, peut-être derrière la porte, contribue à l’exciter un peu plus. Et, l’orgasme explose au fond de son ventre.
Elle reste pantoise près d’une minute, avant de commencer à s’essuyer avec le papier toilette. Elle se relève, les jambes flagada, en s’appuyant aux parois des w.c.. Christine remet de l’ordre dans sa tenue avant de tirer la chasse d’eau, et de sortir.
La porte du bureau est grande ouverte. Frédéric ne cherche pas à cacher sa nudité. Ils se sourient. Il a compris qu’elle s’est donné du plaisir après l’avoir vu prendre le sien. Christine s’éclipse, laissant seul son hôte.