Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21385Fiche technique24280 caractères24280
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Temps de lecture estimé : 13 mn
29/12/22
Présentation:  Un simple petit texte sans exploit particulier…
Résumé:  Pour ceux qui n’auraient pas lu la première partie ou ceux qui auraient des trous de mémoire, j’ai l’immense plaisir d’avoir maintenant pour maîtresse Béatrice Balconi (dite BB), que son mari délaisse un peu beaucoup.
Critères:  fh hplusag extracon collègues travail -extraconj -dominatio
Auteur : Patrik            Envoi mini-message
TT Com – Jours heureux



Un texte qui exploite une trame fort classique.

Il n’est pas obligatoire d’avoir lu le récit précédent.

Bonne lecture : )




Résumé



Pour ceux qui n’auraient pas lu la première partie (21338) ou ceux qui auraient des trous de mémoire, j’ai l’immense plaisir d’avoir maintenant pour maîtresse Béatrice Balconi (dite BB), que son mari délaisse un peu beaucoup. De surcroît, cette chère enfant fantasmait sur son patron, c’est-à-dire moi. Pour ma part, elle est parfaitement mon genre de femme.


Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, d’autant que la boîte fonctionne très bien.

En un mot et en deux syllabes : heu-reux !


Je me souviens très bien de notre conversation après avoir eu le grand plaisir d’éjaculer de tout mon saoul dans sa bouche si accueillante :



Sa réponse me surprend et me ravit en même temps :



Oh oui, que c’est une très bonne façon de commencer la journée ! C’est d’ailleurs une chose à demander, si possible est. Et croyez-moi, se faire sucer dans son bureau, au matin, ça change votre façon de voir les choses.




Un matin comme bien d’autres



J’entre dans mon bureau. Je suis un peu dépité, je n’ai pas vu Béatrice, ni dans les couleurs, ni dans son bureau, ni ailleurs. Pourtant, je suis certain qu’elle est dans nos locaux. Ce n’est que partie remise. Je m’installe sur mon siège afin de consulter les mails.


Soudain, je vois deux mains émerger de sous mon bureau. Prestement, elles dégrafent mon pantalon et en extirpent ma verge. Une voix connue retentit :



Agenouillée devant moi, elle saisit mon sexe déjà bien raide, qu’elle suce tout de go, avec un entrain qui fait vraiment plaisir à voir. Moi, je me laisse aller à cette belle fellation qu’elle est en train de me faire. Depuis quelques semaines, j’ai très souvent droit à ce plaisir matinal qui me met de bonne humeur pour la journée.


À moitié flottant, je caresse ses cheveux :



C’est la stricte vérité, d’autant que je peux comparer avec d’autres femmes qui ont croisé mon chemin depuis que je suis en âge de profiter des joies du sexe. Quand je pense que son mari la néglige après si peu d’années de mariage, c’est vraiment du gâchis !


Béatrice me suce avec application, avec douceur, avec fermeté. Elle pivote autour de mon mat, tortillant des hanches pour accompagner ses mouvements de langue et de succion, me choyant plus encore de seconde en seconde. Quelque part, Béatrice est débauchée à sa façon, mais comme sa bouche fait des merveilles, je ne vais pas m’offusquer de sa faible moralité, surtout qu’elle met beaucoup de bonne volonté à me faire de si bonnes fellations !


S’il y a bien un coupable dans cette histoire, c’est le mari. Point barre.


C’est ce que je me dis tandis que le premier jet de ma capitulation fuse dans la gorge de ma maîtresse. Je ferme les yeux, profitant de ce suave plaisir libérateur. Comme les autres fois, je resterai captif dans sa bouche jusqu’à ce que je sois entièrement vidé, asséché, une fois qu’elle aura tout bu.


Recevoir une fellation, c’est très bon. Savoir que la femme avale, c’est encore meilleur. Ne me demandez pas pourquoi, mais c’est ce que je ressens…




Mise au point



En ce début d’après-midi, je viens de convoquer Madame Balconi dans mon bureau. Une fois la porte refermée, fidèle à certaines de mes habitudes, j’entre tout de suite dans le vif du sujet :



Surprise par mon entrée en matière, la jeune femme est assez perplexe :



Elle semble nettement soulagée :



Contournant le bureau pour venir devant Béatrice, je me lance :



Elle marque une petite pause avant d’enchaîner :



Détendue, Béatrice se met à rire :



J’en profite pour m’asseoir sur le rebord de mon bureau. De son côté, Béatrice devient plus sérieuse :



Elle pointe le bout de son nez sous le mien :



Elle lève fugacement les yeux vers le plafond :



À ces mots, j’esquisse fugacement un sourire, qu’elle surprend à la volée. Elle me dévisage puis elle me dit posément :



Posant mes mains sur ses hanches, je lui souris franchement :



Mes mains toujours rivées sur ses hanches, je ne réfléchis pas longtemps avant de balancer :



Indiquant un faible espace entre son pouce et son index, elle m’explique :



Tandis que mes mains se baladent autour de ses hanches, son regard part dans le vague :



Sa réponse est assez confondante, mais logique :



Un petit silence s’installe qu’elle rompt la première :



J’en profite pour caresser éhontément une fesse si tentante. Elle s’amuse de ma réponse :



On dirait que c’est elle qui mène la danse aujourd’hui.



À ces mots, elle se met à pouffer :



Elle me regarde intensément :



Elle attrape ma cravate :



Elle tire sur la cravate, m’obligeant à pencher la tête. Elle en profite pour capturer mes lèvres et m’expliquer à sa façon qu’elle fait aussi ce qu’elle veut de son côté. Son baiser est très sensuel et vorace. Nos mains caressent le corps de l’autre, charnellement, voluptueusement. Quand nos bouches se séparent, elle dit :



Amusé, je proteste :



Mais je l’entraîne aussitôt avec fébrilité à travers la petite salle de bain, bien décider à profiter éhontément de mon employée si docile.




Liquidité



Quelques minutes plus tard, après lui avoir fait une belle démonstration du désir qui m’anime quand il s’agit de sa petite personne, complètement lessivée, allongée sur le lit défait, bras en croix, Béatrice soupire :



Je la caresse, j’adore promener mes mains sur son corps tout doux. Confiante et heureuse, elle me sourit. Curieusement, elle pince parfois les lèvres, je me demande bien pourquoi. Je continue à la patiner amoureusement.


Soudain, elle saute carrément du lit en gémissant :



Elle se rue vers la petite salle de bain, et avant que je comprenne, elle est déjà assise sur les toilettes, en train de pousser un énorme soupir de soulagement, tandis qu’un bruit d’eau retentit.



Je m’approche, je suis étonné de l’expression de jouissance qui illumine son visage :



Le bruit d’eau ne faiblit pas.



Flegmatique, je réponds :



Je la gronde faussement :



Elle obéit à mon injonction. M’accroupissant, je m’empare d’un morceau de papier rose, et avec application, j’essuie sa fente humide. C’est très excitant de faire ce genre de chose. Je constate du coin de l’œil qu’elle rosit légèrement, mais qu’elle apprécie.



Puis je me penche pour embrasser l’orée de sa fente ainsi essuyée. Ne résistant pas, je glisse ma langue afin de venir taquiner un petit bouton que je sais très sensible. Plus haut, se laissant faire, Béatrice démarre au quart de tour, elle gémit doucement, elle commence à vibrer petit à petit, avant de plonger ses doigts dans mes cheveux.



À peine une minute plus tard, elle jouit dans d’innombrables vibrations et petits cris, tandis que je lape sa suave cyprine que j’aime tant déguster.




Nouvelle étape



Ce vendredi de fin février, comme je sais que Béatrice n’a pas à rentrer chez elle, car son mari ne reviendra que demain, j’en profite pour attirer ma maîtresse dans mon bureau. Celle-ci se laisse faire sans problème, sachant fort bien qu’elle ne mettra sans doute pas un seul pied dans sa maison cette nuit.


Après un gros bisou, je l’entraîne vers ma chambre cachée derrière ma petite salle de bain, puis je lui désigne le lit sur lequel attendent divers vêtements :



Elle se penche pour mieux voir :



Puis elle s’empare du serre-taille :



Méthodique, j’expose mon point de vue :



Légèrement étonné, je passe outre sa réponse :



J’explique mon choix :



Décidément, elle insiste. Je sens que je vais entendre souvent le mot pute dans les secondes et minutes qui vont suivre :



Me désignant du doigt, je m’étonne de sa réponse :



Je souris :



Elle recentre le sujet :



Je désigne un coin de la chambre :



Elle croise ostensiblement les bras devant sa poitrine :



J’ouvre une porte de la penderie pour en extirper un collier d’où pend une laisse :



Elle ouvre grande la bouche, mais aucun son ne sort. Je continue :



Pour me donner raison, elle frisonne, puis les yeux brillants, elle demande :



Elle me fixe quelques instants avant de lâcher :



Je fais quelque chose que je ne devrais pas faire dans le contexte dans lequel nous sommes, elle et moi… je la capture dans mes bras et je la presse contre mon torse :



Sa réponse arrive tout de suite :



Je crois vous avoir déjà dit que j’étais un homme heureux !