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Temps de lecture estimé : 19 mn
30/12/22
Présentation:  Ce petit jeu, ou quel que soit le nom que l’on lui donne, est paraît-il très peu connu. Étant de nature très curieuse...
Résumé:  Nous nous étions plu tout de suite et avions décidé de nous lancer dans une relation simple. De plus, nous nous plaisions physiquement, ce qui ne gâtait rien...
Critères:  f fh fsoumise humilié(e) cérébral voir exhib noculotte strip fmast sm fouetfesse -dominatio -exhib
Auteur : Juliette G      Envoi mini-message
Sexy tribute

Un amant parfait



Nous nous étions plu tout de suite et avions décidé de nous lancer dans une relation simple. De plus, nous nous plaisions physiquement, ce qui ne gâtait rien. Même si le physique d’un homme est important pour moi, le charme compte beaucoup plus. Caractère et sens de l’humour viennent ensuite. Lui, je le trouvais beau. Je préférais les bruns, costauds, voire taillés en armoire normande, et il m’avouait très vite que s’il appréciait toutes les femmes, il préférait qu’elles soient grandes, minces si possible et blondes. Je ne lui cachais pas que je trichais un peu sur ma blondeur mais il me rassura très vite. Vraies ou fausses blondes, peu lui importait. Le châtain très clair de ma chevelure lui plairait certainement si je décidais de ne plus tricher. Il avait un faible pour les yeux verts mais trouvait le bleu de mon regard charmant.


Il fut décidé à bannir, et ce dès le début, toute prise de tête dans nos rapports. Et bien sûr, chacun déciderait de rompre quand l’envie s’en ferait sentir. Depuis ces six mois que nous nous fréquentions, nous avions partagé beaucoup de choses.


Soirées sympathiques, discussions sur de nombreux sujets, afin de mieux nous connaître, agrémentées de petites dégustations de vins, un autre de nos nombreux goûts communs. La politique fut notre seul point de désaccord. Il était plutôt enclin au libéralisme et j’avais toujours été de gauche avant de me désintéresser totalement du sujet.


Nous nous retrouvions le soir, le plus souvent chez lui, où je restais presque toujours passer la nuit. Nos week-ends étaient à nous. Cette habitude de ne pas se voir en fin de semaine perdura un temps et depuis peu, nous passions un week-end sur deux, ensemble. Là encore, c’était une réussite.


De longues promenades en bord de mer, et parfois nous partions en voiture sans but précis, passant la nuit dans un hôtel quelconque, pour nous être trop éloignés de nos pénates. Chacune de nos nuits, depuis notre rencontre, avait été plus qu’agréable. Parfois, ces nuits étaient éreintantes, surtout quand il me demandait de l’appeler Monsieur. Nous avions très vite compris que nous avions beaucoup d’intérêts communs. Les plaisirs du sexe étant importants pour lui comme pour moi, et nos nouveaux petits jeux, s’ils n’étaient pas prévus, nous rapprochèrent plus encore.




La soubrette



C’est ce fameux soir, où je m’agaçais de le voir tenter de m’imposer ses idées en politique, que je l’appelais Monsieur pour la première fois. Un peu lassée de l’entendre débiter des idioties d’un autre siècle sur la classe ouvrière, je l’avais laissé en plan pour aller quérir une seconde bouteille de vin rouge. Je n’avais aucune envie de me disputer et ses idées finiraient par me mettre de mauvaise humeur.


Mon anniversaire venait de tomber et cette peste de Maud en avait profité. Maud, ma meilleure amie, sachant que j’avais toutes les peines du monde à me confectionner un jambon beurre, m’avait offert un énorme recueil de recettes culinaires. Et elle ne s’en était pas tenue là. Elle ne cessait jamais de me rappeler que j’avais une femme de ménage et que pour une femme libérée et de gauche, c’était un brin ridicule. Bref, à la moindre occasion, elle me traitait de bourgeoise incapable et oisive.


La cuisine et le ménage étaient ce que je détestais par-dessus tout. Plats préparés et restaurants me satisfaisaient parfaitement. En fait de femme de ménage, c’était une voisine qui désespérait de trouver un emploi qui passait une fois par semaine chez moi. Elle était très contente que je lui donne le double de ce qu’elle demandait aux autres personnes chez qui elle travaillait, pour ces quatre heures passées chez moi. Cela lui rendait service et ne me ruinait pas. Chacun de nous y trouvait son compte.


Cette garce de Maud avait donc accompagné son livre de cuisine d’un autre cadeau. Une panoplie de soubrette. Un truc à trois francs six sous qu’elle avait déniché je ne sais où. Le genre de déguisement érotique pour adultes, bien ringard. Minuscule robe noire en tissu aussi fin que rêche, tablier blanc synthétique avec imitation broderie, et cerise sur le gâteau, un superbe plumeau : un manche en plastique noir et des plumes d’un jaune criard.


Avec la meilleure volonté du monde, je n’étais pas parvenue à me glisser dans la robe panoplie. J’étais donc revenue dans le salon, nue sous ce ridicule tablier de soubrette, bouteille de vin et plumeau en main.



Il était resté d’un sérieux qui me fit aussitôt douter de moi. Ma plaisanterie n’était certes pas d’un humour de haut niveau, mais peut-être, l’avais-je tout simplement vexé ?


Debout comme une bécasse devant une montre à gousset, je restais immobile un long moment, attendant la suite des événements avec un brin de nervosité. Il m’avait enfin tendu son verre et je l’avais servi, sans me sentir pour autant soulagée. J’avais peur d’avoir gâché notre soirée.



Il avait pris le temps de boire une longue gorgée de son vin, puis m’avait regardé longuement sans un mot. Enfin, il avait fini par parler.



Évidemment, je comprenais. Et pour tout dire, si je ne pensais pas qu’avec lui les choses prendraient cette tournure, j’en étais subitement très contente.





La nouvelle envie de Monsieur



L’épisode de la soubrette, tout d’abord fessée, puis prise à même le parquet, fit avouer à cet homme qui pensait bien me connaître qu’il n’aurait jamais imaginé que j’aime jouer les femmes soumises.


Il est vrai que, si très peu de personnes connaissaient cette facette de ma personnalité, personne ne pourrait deviner mes goûts pour la soumission, si je ne me confiais pas. Rien, et surtout pas mon caractère entier, ne pouvait laisser supposer que j’aimais les petits jeux que certains jugeaient pervers ou vicieux.


Depuis quelque temps, j’appelais de plus en plus souvent cet homme « Monsieur ». Tout au moins en soirée. Nous avions très souvent exploité ses envies dominatrices et mes goûts pour la soumission. Cette fois pourtant, je me refusais à céder à son caprice.


Son deuxième whisky servi, il m’avait demandé d’aller chercher son jouet du moment. Tout ce que je savais, c’était que l’appareil était un Olympus. Je ne m’intéressais guère à la photographie et n’y connaissais rien en technique d’images. Lui était un amateur éclairé.


Mon amant parfait m’avait beaucoup photographiée. J’avais de tout temps détesté être prise en photo. Enfin, disons plutôt que je refusais toujours de prendre la pose. Avec lui, les choses se faisaient naturellement. Il prenait ses clichés sans rien me demander et il me fallait avouer que le résultat ne me déplaisait pas.


Il avait donc en effet réussi à me convaincre de me prêter à un nouveau jeu et, si je m’étais laissé tirer l’oreille un petit moment, je ne l’avais en effet pas regretté. Il voulait que je pose pour lui, et bien sûr, que ce soit plutôt coquin. Je m’y essayais donc sans grand enthousiasme. Prendre telle ou telle pose, enlever mon chemisier ou un vêtement quelconque devant lui me tétanisait. Je bloquais complètement et je me sentais idiote et comme actrice d’un mauvais scénario érotique.



Il fit preuve de patience. De beaucoup de patience. Puis, alors que je commençais à comprendre que je me mentais à moi-même, il porta l’estocade.



Ma mimique était assez expressive et il s’empressa de me montrer l’effet que mon effeuillage lui faisait. Puis, sans un mot, il glissa sa main sur le coton de la dernière chose qui m’habillait.



Je n’eus pas le temps de rétorquer que son doigt s’insinuait en moi, m’arrachant un soupir de plaisir.





Fantasme privé



Je fis donc ce qu’il désirait. De longues séances de pose qui finirent par beaucoup m’exciter. Me déshabiller, enlever chacun de mes vêtements pour finir nue était, en fait, très plaisant. Puis, m’exhiber et m’offrir ensuite à son objectif, dans des positions imposées, me plut énormément. Et enfin, je compris que l’exciter lui était bien plus agréable encore.


Mon amant exigea ensuite un autre jeu et je fus surprise d’éprouver toutes sortes d’émotions en acceptant. Tout d’abord, Je découvris que j’aimais me regarder sur ces clichés, ce qui était une première. J’eus un peu honte de ma réponse quand il me demanda, si me voir m’exhiber m’excitait. Car, en effet, me voir ainsi me plaisait énormément.


J’avais donc fini par accepter le dernier caprice de mon amant. Un soir, je fus particulièrement excitée par les mots qu’il employait pour me faire poser. Il ne cessait de me demander si j’aimais être exhibée ainsi devant lui. J’avouais que j’adorais et il finit par exiger que je l’appelle Monsieur.


Très vite, il m’encouragea à me lâcher et à abandonner toute retenue. En fait, pour la première fois, il exigeait et j’obéissais. Mes poses devinrent donc de plus en plus osées. Puis, il dit qu’il allait m’exhiber sur Internet. Il insista, disant que cela l’exciterait énormément. Il avait envie que d’autres puissent l’être également en fantasmant sur moi.



Ma dernière pose m’avait laissée assise sur un fauteuil. Nue, bras relevés et mains croisées sur la nuque, je posais, les pieds sur les accoudoirs de chêne et les cuisses largement ouvertes. Ses mots résonnaient encore, que je m’imaginais en fantasme érotique. Bien sûr, le fait qu’il impose son idée m’excitait beaucoup, mais être exhibée devant des inconnus me troublait bien plus encore.


Les photographies furent donc mises en ligne sur un site très connu.




Le fantasme Internet



Les images avaient été remaniées et mon visage caché pour des raisons évidentes. À ma grande surprise, notre boîte aux lettres créée pour l’occasion était pleine à craquer. J’avais beaucoup d’admirateurs. Je ne pouvais m’empêcher d’ouvrir moi-même chaque soir notre courrier. Bien sûr, je ne faisais que survoler nos messages, mais cela me suffisait. Je n’osais pas l’avouer à mon amant, mais j’étais toujours excitée et trempée après ces lectures. Nous nous étions présentés comme un couple. Lui aimait exhiber sa femme. Elle, salope et soumise, adorait lui obéir et exciter des inconnus. Les messages s’adressaient le plus souvent à mon amant. J’étais le fantasme, il était celui qui donnait de quoi fantasmer. Les commentaires étaient souvent crus, et parfois vulgaires. Si j’en éprouvais de la honte et un plaisir trouble, je ne pouvais me cacher les faits. Plus les messages étaient humiliants, plus cela m’excitait.



Évidemment, je ne tenais pas particulièrement à ce que Monsieur puisse lire ce que je répondrai à mes « fans », et l’esprit libéré par notre accord, l’exercice me plut beaucoup. Je répondais à quelques mails avec le plus de sincérité possible. Je compris vite que cette sincérité n’avait rien à voir avec un souci d’honnêteté. Être sincère, répondre sans rien cacher de ce que j’éprouvais me plaisait. Tout dévoiler de mes ressentis me troublait. Tout avouer de mon excitation d’être une salope m’excitait à un point que je n’aurais pas envisagé. Le fait que je réponde en personne calma quelque peu les émois débridés de certains. Les échanges avec ceux que j’avais choisis se firent sans vulgarité et les commentaires furent moins crus et plus « délicats ». Je refusais pourtant les nombreuses demandes de photos personnalisées et dédicacées.


Je refusais tout d’abord à mon amant prévenant et finis par accepter à Monsieur, qui me fessait pour m’en convaincre, qu’il puisse lire mes échanges. J’avouais à certains de mes admirateurs que je mouillais et me caressais en leur écrivant. Monsieur n’en fut pas surpris mais décida que je méritais d’être punie pour m’être comportée en « petite salope ». Sept de mes correspondants reçurent donc un mail qui expliquait la décision de mon amant de me punir pour ce que j’avais fait. Chaque mail accompagné de deux photographies.


Le premier cliché m’exposait nue, à quatre pattes, le visage face à l’objectif. Des pinces à seins, reliées par une chaînette que j’avais entre les dents, étiraient mes tétons. Monsieur m’avait simplement décoiffée de la main, laissant mes mèches blondes cacher mon visage qui ne serait pas flouté. Être devenue subitement reconnaissable et vulnérable me fit presque jouir. La peur d’être reconnue bousculée par l’envie de l’être.


Le second cliché me montrait de dos. Genoux très écartés, mon petit trou étant on ne peut plus en vue. Simple façon de parler car un bijou d’anus à pastille rubis l’ornait. Mes fesses cambrées étaient rougies par une récente fessée. Un rouge vif, très excitant, paraît-il ? De plus, mes admirateurs ne pourraient pas ignorer qu’être soumise et fessée me mettait dans tous mes états. Ma chatte était littéralement trempée et je n’avais pu empêcher qu’elle dégouline sur l’intérieur de mes cuisses.


Cette fois, je dus lire mes retours de courrier avec mon amant. Il me prit sur ses genoux, écarta mon string et me pénétra tandis que je lisais. Il s’étonna du nombre d’orgasmes qui me tordirent le ventre, sans savoir que ces lectures, seules, suffisaient à me donner du plaisir. Une fois les mails lus, il m’ordonna de le prendre en bouche et de le faire jouir.




Un étrange admirateur




Je n’avais jamais correspondu avec cet inconnu. L’homme me disait que j’étais de loin la femme qu’il préférait sur le site. Il me demandait de lui faire un petit plaisir personnel. Il aurait aimé que je me prenne seule en photo. D’abord dans la tenue de mon choix, mais sexy, et je devais montrer une partie intime de mon corps. Puis je devais poser nue mais il tenait à un nu soft. Il désirait enfin que j’accepte de me montrer dans une pose plus hard. Il me détaillait donc avec précision ce qu’il souhaitait exactement de moi. Il ajoutait qu’il souhaitait voir mon visage et que je pouvais lui faire confiance quant à sa discrétion. En retour, il désirait m’offrir un « tribute ». Monsieur sourit de mon ignorance et de ma naïveté et m’expliqua ce qu’était ce fameux tribute. Il s’agissait plutôt d’un cum tribute. Et après quelques jours, j’acceptais. J’acceptais mais surtout, j’étais décidée à jouer le jeu. J’avais un peu réfléchi à cette petite histoire et ne pouvais que me rendre à l’évidence. La curiosité et l’excitation d’en savoir plus, sur cet acte inconnu pour moi, étaient des moteurs assez motivants. Que j’excite un inconnu au point qu’il tienne à se masturber sur moi était une chose, mais qu’il tienne à m’en offrir la preuve en image m’amusait.


Évidemment, j’étais consciente que j’aurai, sous les yeux, une photographie d’un sexe en érection, suivie d’une éjaculation. Rien de très folichon. L’acte, en lui-même, n’avait rien de très excitant. Que cet homme m’explique que c’était une sorte d’hommage était même plutôt ridicule. Ce qui m’avait poussé à tenter l’aventure, c’était qu’il le fasse pour moi. Pour moi seule. Qu’il fantasme sur moi au point de vouloir me le prouver me troublait beaucoup et me donnait envie d’oser m’aventurer plus loin.


Tout d’abord, je me photographiais dans l’une de mes tenues préférées. Robe, d’un rouge tirant sur le parme, à manches courtes et fermée par cinq boutons blancs. Debout et de dos, mains sur les hanches, puis toujours debout, mais de profil. Enfin, je fis un troisième cliché face à l’objectif. Deux boutons ouverts dévoilaient une bonne part de mes seins et jusqu’à mon ventre. Ma main droite relevée tenait un pan de ma robe en l’air. De l’autre main, j’écartais le lin pour bien montrer ce que je voulais offrir. Cuisses serrées, mon admirateur pourrait néanmoins constater que mon pubis était lisse. Voici pour sa première exigence.


Puis, le lendemain, je récidivais, assise par terre, en pull moulant blanc laissant mes épaules nues et jeans bleus. Une pose sage, les jambes repliées sous mes fesses, j’optais pour une mimique que j’espérais coquine : bouche ouverte et arrondie et regard braqué sur l’appareil. Puis une autre position : assise, jambes écartées et relevées, avant-bras en appui sur les genoux. J’en terminais par une pose de dos où, baissée, je regardais vers l’appareil photo tout en exposant mes fesses, moulées dans le tissu bleu de mes jeans. J’avais déjà préparé une ébauche de mail que j’enverrai avec mes photos. Je précisais que si j’étais nue sous ma robe, je l’étais également sous mon pull et mes jeans.


Le déclencheur automatique, préréglé sur soixante secondes, me prit plusieurs fois dans la position que mon admirateur désirait me voir prendre.


Nue, assise à même le parquet et dos collé à un mur. Les cuisses largement ouvertes et relevées par mes mains emprisonnant mes chevilles. J’avais bien pris soin de ne pas cacher mes seins comme l’inconnu me l’avait demandé. Quant à mes orifices, je les offrais sans la moindre pudeur, pourtant écarlate de honte.


L’idée me fit à nouveau rougir mais je n’hésitais qu’un court instant, trop excitée pour y résister. Un nouveau réglage de plusieurs clichés et je m’exposais à nouveau à l’œil mécanique.


Clic ! À quatre pattes, cambrée et fesses écartées par une main, j’exhibe ma fente béante trempée de mouille et mon anus.


Clic ! Sans changer de pose, j’enfonce mon majeur dans mon petit trou.


Clic ! Accroupie, de face, index et majeur de ma main droite écartent les lèvres de mon sexe. Je me vois aussitôt couler sur le parquet.


Clic ! Mes doigts sur mon clitoris.


Clic ! Mes doigts me pénètrent le sexe et l’anus.


Clic ! Clic ! Clic ! Clic ! Sur le dos, jambes relevées et ouvertes à l’équerre, deux doigts dans chacun de mes orifices, je jouis longuement sans me retenir de gémir très fort, tout le temps que je suis bousculée par le plaisir.


L’orgasme couvait toujours et tortura délicieusement mon ventre tout le temps que je regardais mon œuvre. Mon pubis lisse ne cachait rien de ma fente ouverte et mouillée. J’étais surprise de me voir dans cet état dès la première photo. Je me faisais l’effet d’être une actrice porno. C’était, et de loin, mes poses les plus vulgaires. Et c’était de moi-même que je m’exhibais ainsi. Chaque déclic de l’appareil m’avait donné chaud au ventre et je m’étais vite rendu compte que je mouillais. Ce que j’avais d’un premier abord jugé ridicule s’avérait finalement très excitant. Si excitant que j’avais totalement craqué et en avais rajouté quelques poses torrides. Ces clichés où je jouissais en gémissant sous l’œil de l’appareil resteraient évidemment mon secret.


Quand je postais le mail, j’étais une nouvelle fois dans tous mes états. J’avais choisi mes mots avec soin. Expliquant à cet inconnu que j’étais assez troublée de l’exciter à ce point. Je précisais que si, sur les clichés où je posais en pull et jeans, je ne voyais aucun inconvénient à dévoiler mon visage, il devait comprendre que je sois prudente et « floute » mon minois pour mon exhibition en robe et bien évidemment, nue.


En compensation, je joignais une image de plus. La toute première photo de la dernière série, ou à quatre pattes, j’exhibais mon intimité. J’osais ajouter qu’il était flagrant, en regardant ces images, que j’avais éprouvé un certain plaisir à poser pour lui. Il était impensable qu’il ne remarque pas ma fente mouillée, mais je ne pouvais m’empêcher de le lui écrire. Je voulais qu’il sache que me savoir dans cet état devant lui me plaisait. Puis incapable de me contenir, je terminais en avouant que ma petite séance avait dégénéré et que je m’étais soulagée sous l’objectif. Photos trop torrides pour que je les partage.




Le sexy tribute



Ce tribute, le tout premier que je reçus, me fit un effet terrible.


D’abord, je découvris un cliché-portrait de l’internaute. Et il me fallait convenir que mon admirateur était plutôt bel homme. Deux autres photographies le montraient nu. Trois autres clichés de cet homme, se caressant devant son ordinateur en me regardant poser tout habillée, me troublèrent beaucoup. Et enfin, Il m’offrait son tribute proprement dit. Et mon admirateur avait été plus que généreux. Il s’agissait de plusieurs tributes.


Un premier cliché de son sexe, prêt à exploser qu’il tient posé sur la photographie où je m’écarte assise par terre, me fait rougir.


Un second où il jouit en longs jets sur cette même image, fait naître ma honte, vite éteinte par un certain degré d’excitation.


Le troisième cliché, fait le lendemain, me précisait mon fan, est très différent. C’est un agrandissement de mon exhibition de dos. Un agrandissement de mes fesses écartées qui prend tout l’espace de son écran d’ordinateur. Lui se tient devant, sexe tendu en main et collé à l’image. C’est une vue à l’échelle. Sans trop y prêter attention, on pourrait croire que cet inconnu me sodomise. Il a d’ailleurs bien pris soin de prendre le cliché, de façon à ce que je ne puisse ignorer que son gland pèse sur mon anus photographié.


Les cinq autres tributes me font rougir à nouveau, sans que je puisse quitter mon écran des yeux. Je n’en peux plus de cette terrible excitation. Je déboutonne d’une main la braguette de mes jeans, pour glisser aussitôt mes doigts sous le nylon de mon string. Mes doigts me fouillent lentement, et je descends jeans et string sur mes hanches.


Plein écran. Mon sexe ouvert et mouillé. La bouche de l’homme sur ma chatte, langue léchant ma fente. Je bataille du pied et réussis à repousser mes jeans sur le parquet, laissant mon string accroché à ma cheville. Je me sens déjà couler sur mes doigts.


Plein écran. Mes fesses écartées par ma main. La langue de l’homme sur mon anus. Pull relevé sur les seins, mes doigts pincent doucement mon téton dur et dressé, et je ralentis les va-et-vient de mes doigts dans ma vulve. Je suis bien trop proche de l’orgasme.


Plein écran. Une surprise totale. Mon visage sans le fameux « floutage ». L’homme qui m’embrasse à pleine bouche. L’envie de jouir me tord le ventre.


Plein écran. Le sexe tendu à se rompre de mon inconnu contre ma joue. J’en meurs d’envie et ma main libre réunit mes seins l’un contre l’autre. Mes tétons pincés et tenus par mes doigts, je les étire pour me faire un peu mal. C’est si bon que je dois me contenir encore.


Plein écran. Mon visage encore. Mon admirateur macule mes joues de son gland trempé. Cette vue me fait jouir aussitôt en me mordant les lèvres pour ne pas crier.


Plein écran. Sur le cliché où je posais de face en pull, je m’étais amusée à fixer l’objectif avec un air aguicheur. Bouche ouverte en une moue que j’avais tenté de rendre suggestive. Mon inconnu a éjaculé sur moi. Ma joue gauche est marquée par une giclée de sperme. Mes lèvres et ma bouche sont également barbouillées de son plaisir. À nouveau, mes doigts s’activent en moi. Je sens une nouvelle vague de plaisir monter au creux de mes reins.


Les derniers tributes sont des montages. L’inconnu a parfaitement cadré son travail. Toujours mon visage. L’homme a agrandi mon portrait à l’échelle de son sexe. Il est assis, mon portrait entre les cuisses. Il a soigneusement découpé le papier, tout en suivant le contour de ma bouche ouverte. Mes lèvres enserrent son membre. Sa queue pénètre ma bouche presque entièrement. L’effet est très réaliste. On pourrait croire que je suce mon admirateur. Je me sens gicler sur mes doigts une première fois et lâche un profond gémissement.


Je regarde mon visage couvert de la jouissance de mon admirateur, sa queue toujours dure contre ma joue. Cette fois, ce sont ses deux doigts qu’il a introduits entre mes lèvres. Je comprends parfaitement le message. Mon admirateur désire me montrer que ses doigts sont enduits de son plaisir et qu’il me les fait sucer. Je jouis encore en contenant un cri, expulsant une autre giclée de cyprine.


C’est sous la douche que la terrible réalité me bousculait. Mon visage était devenu le jouet d’un inconnu. Et il pouvait faire de mon image ce que bon lui semblait.




Plaisirs et humiliation



Mon amant était au courant de tout. Il n’avait pas vu le tribute mais je lui avais confié ma peur d’être exposée ainsi. Il calma mes appréhensions et entreprit d’écrire à l’internaute.


Le lendemain soir, nous avions une réponse. L’homme jurait et promettait de ne jamais montrer ce tribute à qui que ce soit. Mes photographies seraient même détruites si je l’exigeais mais il avouait qu’il aimerait les conserver pour lui.



Mon amant ne dit rien un long moment puis il sourit.



Debout aux côtés de mon homme, je ne peux m’empêcher de regarder à nouveau les clichés de cet inconnu que je fais tant fantasmer.



C’est Monsieur qui parle. Mes mains se glissent sous ma jupe et tirent sur le tissu. Monsieur arrête mon geste quand ma culotte de coton m’arrive aux genoux. Je ne peux contenir un soupir quand deux doigts me pénètrent d’un coup.



Les yeux fixés sur l’écran de l’ordinateur, je regarde mon visage. Je me regarde sucer mon admirateur, tandis que mon amant me caresse.



J’écarte les jambes sans répondre, me sentant mouiller de plus en plus sous le mouvement des doigts de Monsieur.



Monsieur est presque brusque quand il tire sur ma main en m’ordonnant de me baisser. À peine à genoux, son sexe est sur mes lèvres et j’ouvre la bouche pour en engloutir une bonne partie d’un coup. Je porte le pull que j’avais pour répondre à ce fameux tribute et Monsieur tire sur le vêtement pour le faire descendre. Mes seins libérés, mon homme dégage mes bras et baisse le tissu sur mon ventre. Mes pointes de seins sont aussitôt étirées par des doigts impatients. Monsieur va jouir très vite.



Je m’exécute et mon amant me prend les cheveux doucement.



Ma langue lèche toute la longueur de la hampe dure et tendue à se rompre. Monsieur n’en a plus pour très longtemps. Il me demandera très bientôt d’ouvrir la bouche. Il laissera une première salve de plaisir sur mes lèvres avant de s’introduire à nouveau et de s’épancher encore dans ma bouche.



Son appareil en main, mon amant cadre mon visage.



À peine ses ordres donnés, Monsieur explose sur mon visage. J’entends un premier « clic ». Trois autres jets de plaisir, chacun accompagné d’un « clic », suivent et maculent mes lèvres et ma joue.



Je comprends ce que désire mon amant, et si j’en éprouve aussitôt de la honte, je me laisse néanmoins convaincre. Cuisses grandes ouvertes, je me caresse tout en regardant défiler les images de mon tribute. Tandis que mes doigts me prennent, je me sens couler sur le cuir du fauteuil. Les doux cliquetis de l’appareil immortalisent ma honte et mon excitation.


Monsieur m’a fait me pencher en avant, et a introduit deux de ses doigts dans mon anus, tandis que je me doigte. Mon homme est à nouveau dur et une nouvelle fois dans ma bouche. J’ai pourtant connu deux orgasmes très forts mais je me caresse toujours. Je jouis encore, et ce au moment précis où mon amant explose sur mes lèvres, avant de reprendre ma bouche pour en terminer de son désir.




Clichés




Mon visage couvert de sperme.


Mon regard trouble de salope braqué sur lui, quand Monsieur m’inonde les lèvres et la joue de son plaisir.


Un gros plan de mon visage en train de sucer mon amant.


Mon visage encore, cette fois ravagé par le plaisir d’un orgasme.


Un autre cliché de moi, lèvres barbouillées et bouche ouverte après avoir reçu tout ce que mon amant m’offrait.


Un gros plan de ma chatte dégoulinante et béante que mes doigts fouillent.


Un autre, montrant les doigts de mon amant qui me sodomisent tandis que je me caresse.



Je ne réponds rien. Mes joues me brûlent. Je me sais devenue écarlate de honte quand Monsieur me dit qu’il donnera ces clichés à notre inconnu.


Mon amant vient d’en terminer de l’écriture du mail qui accompagnerait mes exhibitions.



Ne plus correspondre avec mon admirateur ne serait pas une grande perte même si la situation m’aurait certainement beaucoup excitée.



Le ciel me tombait sur la tête. Je m’apprêtais à rétorquer que je me refusais à obéir mais mon amant ne m’en laissa pas le temps.





Une honte délicieuse



Les mots de mon amant. Les paroles de Monsieur. J’éprouvais ce jour-là une terrible honte. Une honte tout aussi réelle que l’était mon humiliation. Je restais incapable de répondre. À quoi bon répondre d’ailleurs ? Monsieur savait déjà que mon intimité serait trempée quand je le rejoindrai…