n° 21392 | Fiche technique | 48726 caractères | 48726 7822 Temps de lecture estimé : 27 mn |
01/01/23 |
Présentation: Suite de l’histoire 21026 dans laquelle les lecteurs devaient choisir parmi diverses options, puis de la 21079. | ||||
Résumé: Hier encore, j’étais à deux mille kilomètres d’ici, et ce matin, je me réveille à côté d’un quasi-inconnu barbu et tatoué dont je suis à la disposition pour toute une semaine. | ||||
Critères: fh fhh extracon vacances plage exhib nudisme fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo -totalsexe | ||||
Auteur : Patrik Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Prête pour prêt Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Hier encore, j’étais à deux mille kilomètres d’ici, et ce matin, je me réveille à côté qu’un quasi-inconnu barbu et tatoué dont je suis à la disposition pour toute une semaine.
Haussant des sourcils, il soupire :
Un sourire radieux s’affiche sur son visage :
Il se frotte les mains :
Il sourit puis enchaîne :
Je m’exécute au milieu du lit. Ceci fait, Norbert glisse un coussin sous mon pubis afin de bien relever mon popotin. L’autre oreiller se niche sous ma tête. Avec délicatesse, il enlève le rosebud. Je l’aide un peu en poussant, mais pas trop fort, bien que la crainte d’en faire trop me traverse fugacement. J’ai eu le tour, il y a deux ans avec un amant qui m’avait justement demandé de pousser. J’ai eu franchement la honte, mais visiblement, ça l’avait encore plus excité ! Ah ces hommes !
Du coin de l’œil, je constate avec satisfaction que Norbert enduit sa belle verge de lubrifiant et qu’il ne mégote pas sur la dose. Tant mieux ! Même si l’endroit est assez visité, ce n’est pas pour autant une autoroute, ni même une belle nationale.
Il se positionne, je sens distinctement son gland dans ma cuvette. Un coup de reins, et hop, l’intrus rondouillet disparaît en moi. Peu après, les autres centimètres de son bâton de berger suivent le même chemin. Norbert possède une verge qui est à la bonne taille, ni trop peu ni trop non plus.
Assez vite, il arrive à destination, sans pouvoir aller plus loin, une simple question de centimètre. Du moins, pour l’instant. Bien enfiché en moi, Norbert s’extasie :
Je me moque gentiment :
Il commence à me pistonner lentement, posément, mais fermement. J’apprécie beaucoup. J’en profite pour glisser mes doigts entre l’oreiller et mon pubis pour me faire du bien. Mon nouvel amant en profite pour augmenter l’intensité, mais toujours graduellement, sans forcer.
Soudain, sa voix résonne :
Ses mains agrippent fermement mes hanches :
Le va-et-vient s’accélère, puissant, ample. La tête dans l’autre oreiller, coquine, je demande :
Je fais remarquer une évidence :
Un raidissement, un instant suspendu, puis une plongée dantesque dans mes profondeurs interdites…
Ce salopiaud est carrément en train de se vider entre mes fesses, au plus profond de mon intimité interdite. J’ai la curieuse impression qu’il déverse des litres et des litres de liquide, cette sensation est assez impressionnante !
Je crois que j’ai trouvé le truc pour que Norbert lâche prise rapidement. Bon à savoir ! Pour ma part, les yeux mi-clos, je décolle à moitié sous la frénésie de mes doigts. C’est moins fort que tout à l’heure, mais ça fait du bien, beaucoup de bien !
Durant ce temps, affalé partiellement sur mon dos, Norbert se laisse aller, en appui sur les coudes afin de ne pas m’écraser complètement. Néanmoins, ses mains avides réussissent à capturer mes seins écrasés, malgré la position un tantinet spéciale.
Peu après, il se retire, délaissant mon dos, mes seins, puis mon séant. Je reconnais que je suis à la fois contente et triste de ne plus sentir son engin en moi. Tandis que je suis toujours fesses à l’air, la tête dans l’oreiller, je l’entends dire :
Posément, sans douleur et sans trop d’effort, il place le rosebud à œil rouge dans mon petit trou devenu plus large afin que je conserve sa semence en moi pendant encore longtemps. Un satané pervers à sa façon !
Il s’installe posément entre mes cuisses, puis il m’offre un splendide cunni qui me fait décoller par-delà les nuages. Si toutes les sodomies sont ainsi compensées, je veux bien me faire enculer jusqu’à l’apocalypse !
Indubitablement, Norbert n’est pas parti pour me décevoir. Je sens que j’ai le bon choix avec lui. Mais en attendant la suite, nous sombrons dans un petit sommeil réparateur.
Pour celles et ceux qui auraient loupé l’épisode précédent, je présente à nouveau rapidement les différents habitants de cette maison au fond d’une crique :
Ah oui, pour information, Betty et Cécile sont presque en couple, ce qui fait un beau ménage à quatre chez les B et les C. Dommage que ce ne soit pas les A et les B, on aurait pu les appeler ABBA !
Non, ce n’est pas la petite maison dans la prairie, c’est une version nettement plus adulte !
À peine ai-je fini de dire bonjour à tout le monde (soit huit personnes) que Yolande (la maîtresse de maison) s’offre le luxe de retrousser le bas de ma robe rouge :
Même si tout le monde m’a vue totalement nue la veille, je remets prestement en place le bas de ma robe :
Goguenard, Norbert intervient :
Un grand sourire aux lèvres, j’interviens, me plaquant contre Norbert :
Je me décolle un peu de lui :
Ce qui fait amplement sourire Norbert. Avant de quitter la pièce en compagnie de mon amant du moment, je me penche furtivement vers Yolande :
La maîtresse de maison se met à rire joyeusement tandis que la porte se referme derrière notre couple tout récent.
Nous nous dirigeons vers la petite moto qui nous a amenés ici depuis l’aéroport. Avant de prendre place sur le siège arrière, je demande à mon pilote :
Je tente une comparaison :
Norbert s’esclaffe :
Il me donne une petite claque sur les fesses :
Puis, cheveux au vent (sans casque, eh oui), nous sommes partis vers la ville voisine, ou plus précisément, la grosse bourgade d’à côté. Nous sommes passés par le même tunnel végétal qu’hier, puis Norbert a bifurqué. À présent, ça monte et ça descend assez bien, je suppose que nous longeons la côte, j’entends parfois la mer, malgré le bruit du moteur. Plus bas, le rosebud se rappelle à mon bon souvenir, à la suite des vibrations de la moto. Puis au détour d’un virage en hauteur, j’aperçois une petite ville en bord de mer.
Dix minutes plus tard, nous nous garons au pied d’un arbre. Le marché comporte à la louche une trentaine d’étals autour desquels s’agglutinent à la fois des locaux et des touristes. À peine suis-je arrivée que divers yeux me fixent. Ma robe rouge est fort voyante, je ne suis pas moche à regarder, et le tissu est léger, laissant entrevoir mon absence de soutien-gorge…
De là à en conclure que je n’ai pas de petite culotte, le pas peut être vite franchi…
C’est alors que je me rappelle que j’ai un mari. Je lui avais promis de tout lui raconter au fur et à mesure de mon séjour, et moi, dès le deuxième jour, je suis déjà en train de le zapper ! Le nouveau contexte dans lequel je suis plongée aide beaucoup à cet oubli. Je me souviens alors que ce n’est pas la première fois que ça m’arrive. Par deux fois, c’est déjà arrivé auparavant. Pourtant, je n’ai absolument pas à me plaindre de mon mari, c’est même lui qui organise mes infidélités, c’est dire ! Et puis, je m’entends très bien avec lui, et la passion brûle toujours entre nous, surtout sous la couette.
Mais je ne déteste pas qu’il y ait ci et là du changement dans ma vie…
Je répare tout de suite mon oubli en téléphonant à mon époux. Je discute avec lui durant de longues minutes, toujours sous le regard de divers hommes, certains n’hésitant pas à me scruter de la tête aux pieds, mais sans plus.
Puis, ceci fait, je raccroche. Norbert me regarde, l’air amusé :
Impérieux, il prend ma main :
Norbert gonfle ostensiblement le torse :
Nous tournons dans le marché. Je sens des regards posés sur moi, ces gugusses n’ont jamais vu une femme ou quoi ? Je préfère les oublier, faisant quelques emplettes ci et là, aidée par mon traducteur attitré qui visiblement connaît mieux le grec qu’il ne me l’avait dit. En tout cas, il sait se débrouiller sur un marché, même si parfois, il bascule en allemand pour compléter son discours.
Soudain, un homme ayant la cinquantaine s’adresse à nous :
Et il s’éloigne en se mettant à rire. Je n’ai rien compris à la conversation. Me prenant par le bras pour m’entraîner plus loin, Norbert me traduit succinctement :
Soudain, je réalise et je rougis. Je me colle presque à Norbert en murmurant :
Cependant, nous ne sommes pas rentrés tout de suite, Norbert s’étant arrêté en cours de route pour me faire subir quelques outrages que j’ai acceptés de bon cœur. Cet homme sait si bien si prendre à sa façon…
Norbert et moi sommes rentrés juste à temps pour le repas du midi. J’ai néanmoins déposé dans la cuisine nos quelques achats sur le marché. D’après ce que j’ai compris, ils ne moisiront pas.
Puis les cinq couples se sont retrouvés à table. Comme je suis l’élément nouveau, je suis souvent questionnée. Je réponds sans problème, même si parfois la question est assez indiscrète, mais je sais pertinemment que je ne suis pas dans un couvent, loin s’en faut !
Me resservant en calamars, je réponds :
Me faisant face, Yolande demande :
Un peu étonnée, Amandine questionne :
Se léchant presque les babines, Amandine demande :
Je me mets à rire sèchement :
Toute cette histoire pas très ancienne fait remonter en moi des choses gênantes et troublantes. Chassant ces pensées, je soupire :
Rognant une aile de poulet, Amandine s’amuse :
Arrêtant de se lécher les doigts, Amandine grimace un peu :
Norbert passe son bras sur mes épaules :
Aussitôt, les femmes se mettent à rire, Norbert est dubitatif :
Un homme qui avoue qu’il ne comprend pas, c’est bien. De ce fait, Norbert gagne quelques points de plus dans mon Hit-Parade. Curieusement, c’est Cécile qui lui explique :
Une fois de plus, les femmes se mettent à rire de bon cœur, l’expression fort perplexe de Norbert aidant beaucoup à cette hilarité.
La sieste finie (elle fut aussi torride qu’à notre arrivée, je ne vous la décris pas), comme hier, nous les femmes, nous nous apprêtons à descendre toutes nues vers la plage. Tandis que nous sommes toujours dans la vaste pièce où nous avons déjeuné, en train d’être copieusement zieutées par les hommes, serviette en main, Yolande se place à mes côtés :
Puis ma voisine se tourne vers Charles :
C’est ainsi que toutes les cinq, serviettes en main, nous sommes parties vers la crique, sous l’œil grivois des hommes restés sur place. Comme hier, main dans la main, Cécile et Betty nous suivent sur la pente, enlacées toutes les deux, sans se soucier de leur entourage. Chemin faisant, je regarde mieux les alentours. Je constate qu’il n’y a guère la place pour stationner des véhicules (peut-être trois, en serrant), sans parler du chemin qui est assez chaotique pour des roues normales.
Après avoir déposé nos serviettes sur le sable, nous nous retrouvons toutes les cinq dans l’eau. Un peu à l’écart, Betty et Cécile se dévorent mutuellement à coups des gros baisers. Détournant le regard, je demande à mes deux voisines :
Amandine ajoute alors sans complexe :
Puis elle éclate de rire ! Un peu étonnée, je regarde Yolande qui me répond muettement quelque chose comme « t’inquiète pas ». Hier, j’ai bien vu qu’Amandine ne détestait pas du tout que son compagnon s’occupe d’elle à fond, et le bonhomme avait de la ressource et de la résistance pour l’exaucer dans ses petits délires sexuels.
Tandis que les deux lesbiennes se sentent toujours seules au monde, Amandine, Yolande et moi parlons d’un peu de tout. Fatalement, la conversation tombe sur mes antécédents en matière de libertinage.
Mes seins flottant à la surface de l’eau, je me mets à rire :
À cette évocation, Amandine est songeuse :
M’immergeant jusqu’au cou, j’insiste :
Faisant toujours des ronds dans l’eau, Yolande ajoute :
Amandine proteste :
Yolande s’immobilise, toujours immergée jusqu’au cou :
Voulant visiblement changer la direction de la conversation, Yolande me demande :
Amandine se met à rire :
La blonde poupée Barbie aux grands yeux bleus insinue :
Amandine se remet à rire joyeusement :
Yolande nous coupe :
En effet, les cinq hommes s’avancent vers la plage.
Comme hier, les hommes ne sont pas venus les mains vides, apportant des boissons, de la nourriture, avec un barbecue et diverses autres petites choses. Comme hier, j’ai vite compris que l’idée générale est de goûter puis de dîner sur place.
Illico, les couples se reforment, y compris chez les lesbiennes, qui se sont installées l’une à côté de l’autre. Avides, les hommes font des mamours à leurs compagnes qui, elles-mêmes, se font parfois des câlineries.
Comme je suis son nouveau jouet, Norbert s’occupe bien de moi. J’aime être le centre d’intérêt d’un homme qui n’a d’yeux que pour moi. Je reconnais que mon nouvel amant n’est pas un manchot, et qu’il connaît fort bien sa géographie féminine. J’ai bien fait de le choisir comme vainqueur. Je me demande même si je ne vais pas le ranger dans la catégorie restreinte de mes amants réguliers. L’avenir me dira quoi…
Petit répit lors du goûter composé surtout de fruits, la pastèque étant à l’honneur, mais je sens bien que c’est vécu comme une formalité à expédier au plus vite afin de retourner faire des cajoleries en tout genre, et goûter bien d’autres saveurs…
Comme prévu, après le goûter, la plage vire à l’orgie. Est-ce un rituel ? Les autres couples s’affairent déjà sans se préoccuper des voisins, exception faite du quatuor mené par nos lesbiennes.
Allongée et accoudée, je suis en train de sucer Norbert qui est agenouillé devant moi. Je m’applique avec soin comme je sais si bien le faire, sans oublier que mes consœurs ne sont pas mauvaises dans cet exercice, ce qui pousse à l’émulation. C’est alors que je repense au fait que je ne serai pas étonnée de bientôt participer à un concours de sucette. Par forcément aujourd’hui…
Tandis que je le suce avec concentration et volupté, Norbert me repousse :
Il m’allonge sur la serviette, puis posément, il se vautre sur mon corps ainsi offert, désireux de s’introduire en moi. J’écarte au mieux les jambes pour lui faciliter la tâche. Ayant tout introduit en moi, il soupire d’aise :
Amusée, je m’exclame :
Tandis qu’il commence à me ramoner, je soupire :
Le reste de l’après-midi se déroule comme hier : alternance entre plage pour faire des grosses cochonneries, et mer pour se requinquer en faisant des petites cochonneries. Et Norbert sait très bien faire varier les plaisirs. Je sens d’ailleurs qu’il a poussé le curseur un crantage au-dessus par rapport à hier. Cependant, j’ai comme l’impression qu’il se réserve pour ce soir. Encore heureux qu’il soit résistant et endurant, il me l’a déjà prouvé.
Le soir arrive vite avec le repas, une pause afin de continuer ensuite cette alternance plage et mer jusqu’à assez tard dans la nuit. Une fois de plus, je ne vais pas tout détailler, ce serait trop répétitif !
Comme j’ai un peu de temps libre tandis que Norbert se douche, vêtue d’une nuisette légère, je téléphone à Sylvain (mon mari, pour ceux qui auraient oublié) pour lui relater comment s’est passée la journée dominicale. Il m’écoute avec attention, me posant parfois quelques questions. Mon exposé fini, il me dit :
Curieuse, je demande :
En coupant la communication, je suis songeuse. Mon mari serait bien capable de rester sage, tandis que je joue les garces à deux mille kilomètres de chez nous. Quoique je l’imagine bien en train d’imaginer les futures turpitudes que je vais devoir subir, moi qui suis une pauvre femme sans défense. À cette idée, je me mets à rire en sourdine.
Mon regard tombe sur le rosebud qui trône sur la table de chevet. Je l’ai porté toute la journée ou presque. Ça fait du bien quand on le porte, mais ça fait aussi du bien quand on le retire. Norbert fait une certaine fixette sur son sperme dans mon cul et le fait de le conserver le plus longtemps possible. Mais ce n’est pas une marotte dangereuse et risquée, contrairement à ce que certains tarés peuvent demander, voire exiger.
Assise sur le lit, livre en main, j’attends que mon Seigneur et Maître daigne sortir de la douche. Il sort nu, deux minutes plus tard :
Je le contemple de la tête aux pieds, il est bien foutu comme bonhomme, et très décoré, si je puis m’exprimer ainsi. Intriguée, je demande :
Serviette sur son épaule, il me dévisage :
Ah ces hommes et leurs lubies parfois étranges ou puériles ! Ou les deux à la fois ! Je vais dans la salle de bain. Quand j’en ressors quelques minutes plus tard, je constate avec étonnement que Bernard est présent dans la chambre en train de discuter avec Norbert vêtu d’un peignoir. Habillé d’un short et d’un T-shirt, celui-ci ne se gêne pas pour me reluquer abondamment. Il faut dire que ma nuisette ne cache pas grand-chose…
Innocemment, je demande :
Sans me quitter des yeux, Bernard esquisse un geste fataliste :
Il reste philosophe :
OK, j’ai compris…
Quand il m’a gagnée, Norbert a eu aussi le droit de me partager. Visiblement, il ne s’en prive pas. Bernard est bel homme, il semble avoir des manières policées, mais parfois, un gentleman à la ville peut se révéler être le pire des cochons dans l’intimité.
Délicatement, les deux hommes m’entraînent vers le lit puis ils me couchent sur le côté, avec un homme devant et l’autre derrière. Ils commencent à me caresser sur tout le corps avec leurs mains et leurs lèvres. Très vite, ma nuisette est ôtée, les deux hommes s’en donnent à cœur joie pour me câliner, me patiner, me cajoler !
Ah ? Et en plus, c’était largement prémédité ? Très vite, tout le monde se retrouve nu, nos habits jonchant sur le sol, ce qui facilite grandement les contacts…
Les mains et les lèvres se déchaînent sur mon épiderme. Pour ma part, je flatte les deux verges qui me sont offertes. Celle de Bernard n’est pas mal, mais je ne juge pas un homme sur son sexe, si beau soit-il. Je verrais bientôt comment celui-ci sait se servir de son cinquième membre.
Ça risque d’arriver plus vite que prévu, car toujours plaqué contre mon dos et de côté, Norbert annonce tout fébrile :
Comme de coutume, après une bonne lubrification, Norbert prend le chemin de mon cul, mais cette fois-ci avec une lenteur exaspérante. Ce vicieux est plaqué contre mon dos, un sein en main. Pour supporter cette intrusion, je me masturbe du bout des doigts, le tout sous l’œil très intéressé de Bernard. Un à un, les anneaux de mon rectum baigné de vaseline sont traversés. Puis quand sa verge est arrivée tout au fond, c’est avec une satisfaction évidente que Norbert recommence son lent pistonnage.
Sentant bien sa verge coulisser dans mon tube intime, je soupire :
Bernard est admiratif :
Bernard soulève ma jambe, vient se plaquer face à moi, puis il s’introduit facilement dans ma chatte que je continue à branler malgré le peu d’espace disponible.
Ce n’est pas la première fois que j’ai droit à deux hommes en moi. J’ai plusieurs fois fait des trios, des quatuors et j’en passe. Tandis qu’il se positionne au mieux, Bernard me demande :
Norbert intervient :
Je rétorque en souriant :
L’instant d’après, les deux hommes me pistonnent en parfaite synchronisation, tandis que je m’oublie petit à petit :
Ce que je répète en boucle une dizaine de fois, si ce n’est pas une quinzaine. Amusés par mon minimum syndical, les hommes s’en donnent à cœur joie, à la fois dans les va-et-vient et dans les agaceries sur mes seins, mon cou, enveloppés de mes gros mots à répétition !
Je commence à voir des tas d’étoiles devant mes yeux :
Oui, mon vocabulaire est limité, j’ai dit que je faisais le minimum syndical, mais les mouvements que je fais pour que ces deux salauds soient encore plus en moi parlent d’eux-mêmes. Nos corps emmêlés, ces bites plantées en moi, nos sueurs mélangées me font décoller petit à petit.
J’explose une fois, deux fois, trois fois, je ne compte plus. Norbert est un petit vicieux et Bernard est loin d’être un saint. À eux deux, ils forment une belle équipe de jouisseurs patentés ! Tels des explorateurs infatigables, ils s’offrent la visite de toutes mes portes, sans oublier d’autres facéties. Vers la fin, je ne sais plus qui je suce, qui m’encule, qui me coïte et qui je branle. Peu à peu, je suis couverte de sueur et de sperme, tandis que mes sens s’exacerbent de façon inouïe, étant devenue le jouet consentant des folles turpitudes de ces deux hommes qui me désirent si ardemment.
Puis arrive l’heure de l’épuisement pour tout le monde. C’est ainsi que je m’endors entre deux hommes, le rosebud remis en place dans mon intimité…
Je sens que le réveil va être épique !
Que me réserve la journée de demain, lundi ? Trois hommes ? Plus ?