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Temps de lecture estimé : 16 mn
03/01/23
Présentation:  J’avais entendu dire que les maladies infantiles étaient beaucoup plus virulentes chez les adultes. Enfin… C’est ce qui se disait. Foutaise !
Résumé:  Le médecin est parti. Je n’aime pas ce type. Bon, c’est un toubib correct mais je n’aime pas ce type. Surtout que cette dindasse de Chloé fait celle qui ne sait pas que ce mec la drague. Tu parles !
Critères:  f fh noculotte ffontaine fsodo délire humour -humour
Auteur : Juliette G      Envoi mini-message
Une fièvre de cheval

Je vais très bien, quoi !



Le médecin est parti. Je n’aime pas ce type. Bon, c’est un toubib correct, mais je n’aime pas ce type. Surtout que cette dindasse de Chloé fait celle qui ne sait pas que ce mec la drague. Tu parles ! Elle fait l’innocente, devinant aisément que ce guignol la sauterait tout debout dans un champ de mines, et sous les bombes.


Tiens ! En parlant de bombe…


Ma bombasse de Chloé ne va pas tarder à me rejoindre. Je l’entends aller et venir. Nerveuse et inquiète, elle doit tenter de se calmer avant de venir me retrouver. Ses pieds nus font doucement craquer le vieux parquet de chêne, quand elle se décide à revenir dans notre chambre. Il a dû fantasmer sur ses pieds nus, l’autre disciple de ce bon Hippocrate. Elle a de très beaux pieds ma chérie. Je les masse de temps en temps. Parfois, je les déguste. J’adore poser ma bouche sur ses mignons petons. Chloé aussi aime ces petits jeux, très érotiques pour nous. Elle aime s’exciter avec mes pieds, tout autant que moi j’aime m’occuper des siens. Il faudra que j’écrive un truc sur le sujet un jour…


Il est beau mec, ce toubib. Il aimerait certainement lui aussi jouer avec les pieds de Chloé. Le scélérat ! C’est sûr ! Il est beau ce bon docteur Saul, et ça, ça me saoule encore plus.


Chloé est inquiète. Chloé, sa propre tête sous le bras, s’inquiéterait encore pour la mienne.



Mais non… Je vais très bien !



Chloé est partie.


Elle est partie avec ma voiture. Et merde ! Chloé conduit comme un manche, mais heureusement trop rarement pour être un danger de la route. Tu vas voir qu’elle va me bigorner ma bagnole. Et merde… J’adore cette voiture. Elle est toute neuve en plus. Pourvu que cette bombasse ne me l’abîme pas. Déjà qu’elle n’est pas fichue de faire un créneau… Pourvu que ma chérie ne plante pas le Stepway…


C’est sûr que je ne pète pas le feu. J’ai froid et je transpire comme un homard dans l’eau bouillante. Il ne manquerait plus que je vire couleur écrevisse. Pourquoi écrevisse ? Couleur homard c’était bien déjà, non ? Pfff… Une écrevisse, un homard. Une vache et un canasson. Quel zoo ! Quelle ménagerie ! Ma chambre va-t-elle se transformer en aquarium ? Ou en prairie ? Une fièvre de cheval qu’elle a dit, ma chère et tendre. Tu parles ! Je vais très bien moi. J’ai juste un peu chaud.


Bon, allez, je vais écrire un peu. Pourquoi pas un truc sur les chevaux ? Et avec un mec. J’ai toujours voulu jouer un personnage homme. Et pourquoi pas tenter de pondre du récit grave sexe ? Ouais… Pourquoi pas ? Alors au boulot…


Une histoire… Un mec. Un cheval. Un fermier ? Un couple d’agriculteurs d’un certain âge bien coquin qui se partagerait une jeune femme. Bof… Une amie citadine du couple venue respirer l’air campagnard, et qui finiraitàpoil dans la paille ? Une employée de ferme ? Une jolie petite cochonne soumise à ce couple ? C’est cool une cochonne dans une ferme non ? Il y aurait des chevaux… Des vaches…


Ou un pêcheur breton ? Pour les homards et les écrevisses. La femme du pêcheur le tromperait avec le poissonnier du bourg. Il pourrait y avoir un maquereau et quelques prostituées. Des morues et de la moule en pagaille. Ça ajouterait des crustacés aux poiscailles…



Du coup, pourquoi ne pas écrire toute nue ? Ça m’inspirera peut-être ! Et ça plaira à Chloé quand elle reviendra… ! Allez zou ! À poil, ma grande…




I am a poor lonesome cowboy…



Fanch Lambig tira doucement sur les rennes de Chouchen. Le superbe étalon gris ralentit aussitôt son allure, avant de se mettre au pas et de s’immobiliser. Chouchen était une bête magnifique. Robe grise, crinière et queue de crins noirs épais et fournis, chanfrein et paturons noirs. L’homme des plaines avait trouvé le cheval chez un concessionnaire indien. Un sioux nommé Tom Hawak. La devise de la petite société de ce vieux roublard des pistes était simple, comme très représentative de la rapacité de l’indien. « Un Sioux est un Sioux ». L’étalon était alors dans un piteux état, cabossé, pneus lisses et pare-brise avant explosé.


Fanch Lambig avait acheté Chouchen pour quelques poignées d’euros. Le cowboy s’y connaissait assez en chevaux, pour savoir que cette bête deviendrait une monture exceptionnelle. Une fois qu’il s’en serait occupé lui-même. Les chevaux, les pandas et les bigorneaux n’avaient aucun secret pour l’homme de la pampa qu’il était.


Après avoir longuement observé l’horizon, le cavalier lança sa jambe droite, descendit de monture et claqua doucement la portière conducteur de la selle.



L’homme et l’animal étaient proches de l’épuisement et une pause était plus que nécessaire.



Fanch Lambig avait traversé une partie du pays sous un soleil de plomb. C’était sans compter sur les convois de migrants et d’aventuriers de tous bords. L’ouest de ce pays était subitement devenu la destination de tous ceux qui désiraient une vie nouvelle. De l’intellectuel au bouseux, en passant par toute une gamme d’aventuriers plus ou moins nocifs pour ce monde devenu fou.





Fanch Lambig



Fanch Lambig, orphelin très jeune, ne l’était toutefois pas resté très longtemps. Il avait vite retrouvé une mère.


Le gosse âgé de quatre ans avait été recueilli par un groupe d’Indiens. Des Comanches. Ils étaient tombés sur le chariot après l’attaque. Ils étaient arrivés trop tard. Le méfait était certainement l’œuvre de pawnees renégats. Un drame commun de la plaine. Un chariot attaqué et des morts. Et le môme abandonné aux chacals et aux loups. Le bambin laissé en pâture aux corbeaux et aux vautours. Une proie pour les fourmis. Les rouges qui mordent. Un colis pour l’enfer. Bref, le morpion était mal. Très mal. Il y avait également les bandits de grand chemin. Mais bon… Très mal qu’il était le chiard.



Histan Bull, chef incontesté de la tribu, avait parlé.



Rat lubrique, n’était jamais d’accord avec qui que ce soit. Personne dans le clan comanche n’appréciait ce guerrier râleur et hâbleur. Mais l’autorité d’Histan Bull, grand sachem incontesté, était incontestable.


Le groupe avait donc fouillé le chariot sans rien trouver d’intéressant, hormis des enjoliveurs en bon état, un rétroviseur fêlé et un étrange galurin noir. Puis ils avaient embarqué le gosse.



Décidément, le grand sachem était intarissable.


Le soleil de midi se couchait sur la prairie. Castor Ama, chef de guerre du groupe d’Indiens et bras droit du grand sachem, leva son arc et tira une flèche en l’air. La détonation sèche troua le silence de la plaine. L’air sentait la poudre.



Alors, Histan Bull parla encore.



Une nouvelle expression était née de la bouche du sachem. Une idée qui ferait date.



Il avait dit.



Castor Ama approuvait toujours son chef. Tout petit déjà, à la maternelle, il approuvait toujours sa maîtresse. Une blanche volée à des colons nommée Barbara Gourd. Castor Ama avait alors été surnommé « flageolet ». Un surnom comanche que l’on pouvait traduire par « Lèche-cul ». Et quand on savait que les flageolets faisaient péter, on comprenait que c’était une très grande insulte. Hugh.




Pocahontas



Le petit orphelin avait donc été élevé par une Indienne. Une femme qui vivait seule dans une prairie sauvage. Pocahontas, la dernière des Mohicans. C’était elle qui avait appelé le morveux, Fanch. Un nom très ancien chez les Mohicans. « Cabane du pêcheur ». Un nom approprié. Le petit orphelin adorait se rendre à la rivière et pêcher des heures, nu sous son grand chapeau noir. Le galurin trouvé dans les pauvres restes du chariot dévasté par l’attaque. Plus tard, en âge de raison, Fanch choisissait lui-même son autre nom. Lambig. Nom qui signifiait « Je marche seul dans les cailloux ». « Caaailloouux » avec l’accent Mohican. Du sud-ouest. Un nom du sud-ouest du Canada.


C’était Pocahontas qui avait élevé l’enfant. Elle l’avait chéri en Bonne Mère, seule dans cette prairie oubliée du monde. Quand elle avait accepté de s’occuper du petit orphelin, Pocahontas était une jeune femme sauvage au tempérament de feu. Naturelle et sincère, elle éduqua donc l’enfant sans rien lui cacher du monde cruel, dans lequel ils vivaient. C’était pour Pocahontas la meilleure façon pour faire de Fanch un homme. Un vrai. Un homme bon et ouvert d’esprit. Cette femme sacrifia bien des choses pour garder Fanch auprès d’elle. Jamais elle ne quitta la prairie où ils vivaient heureux.


Toujours, Pocahontas répondait aux questions de son fils. Jamais elle ne lui cachait rien. Puis, un jour, la belle sauvageonne fut confrontée à un vrai dilemme.



Fanch avait bien grandi depuis que Pocahontas l’avait recueilli. Presque dix-sept années étaient passées. Des lunes et des lunes. Et des lunes encore. De longues et merveilleuses années. Oui, décidément, Fanch avait bien grandi. Une femme comme Pocahontas, si entière, si naturelle, ne pouvait se résoudre à abandonner Fanch dans son ignorance. Pourtant, par le grand Manitou, la belle Mohicane trouvait sa situation bien difficile.



Pocahontas, plus jeune, avait été avide des plaisirs de la vie. La belle Indienne avait toujours ses propres besoins. Il arrivait alors que, certaines nuits passées sous les étoiles, la belle Indienne se soulage de ses fardeaux de mère adoptive, attentive et aimante, pour redevenir la femme au tempérament de feu qu’elle avait été jadis. C’était ce qu’elle avait décidé de faire cette nuit. Quand la lune rousse éclairerait la nuit, elle tenterait de satisfaire la curiosité de son fils adoptif. Hugh !


Alors, cette nuit-là, alors que la lune rousse…


Fanch s’émerveilla des beautés de la nature et de la vie. Il resta tranquillement dans le noir de la cabane, quand Pocahontas quitta la cahute de rondins, pour aller s’installer sur l’herbe de la prairie. Alors, il écouta en souriant la leçon de vie que Pocahontas lui donnait du dehors. Il écouta cette femme sauvage et passionnée, jouir en furie indomptable et insatiable. La belle Mohicane se donna bien du plaisir. Cette nuit-là, Fanch, devenu un jeune homme attentif et studieux, apprenait encore d’elle.


Fanch entendait crier Pocahontas. Il l’écoutait attendri, hurler en mohican. Par la porte de la masure laissée ouverte, Fanch distinguait à peine le superbe corps nu. Pourtant, il comprenait subitement tant de choses sur la nature humaine.


Pocahontas était totalement a-dreuz. Toute dans le lagenn, toute en distribil, la belle Mohicanne jouissait de ses propres caresses, exprimant ses plaisirs dans sa langue maternelle.



Pocahontas. C’était elle qui lui avait appris la vie.


C’était elle. Hugh.




Le cowboy



Fanch Lambig était bel homme. Un teint mat de par sa mère andalouse. Une chevelure de nuit, qu’il tenait de sa mère andalouse. Des yeux sombres légués par sa mère andalouse. Très grand et bien bâti, une corpulence tenue de sa mère andalouse. Et des attributs virils hors norme, hérités de sa… De son père Suédois. Des couilles de bison et une bite de grizzly.


L’homme avait la réputation d’être un excellent tireur. Revolvers et carabines. Il détestait les méchants et ne perdait aucune occasion pour aider les gentils. Toujours vêtu de noir. Chemise, ou boléro, comme pantalons de toile et bottes, beaucoup surnommaient Fanch Lambig, « Sombre héros ». Sobriquet n’ayant aucun rapport avec la coiffure qu’il portait. Le seul souvenir qu’il avait hérité… De sa mère andalouse. Un sombrero noir. Olé.


À vol d’oiseau, il faudrait deux petites heures de marche pour rallier Braistmaim.





Un jour la p’tite Huguette. Hugh !



Braistmaime tenait plus du patelin que de la ville et il faudrait faire avec. Fanch n’était là que de passage. Un court passage. En passant par la rue principale, Fanch Lambig en avait appris bien assez sur l’endroit. Un bistrot, un hôtel qui faisait certainement bordel, un magasin général et des écuries. Au bout de la rue, une enseigne indiquait qu’un garagiste officiait en la place. « Joe pro du pot ».


Le cowboy avait donc déposé Chouchen au garage. Une bonne révision générale s’imposait. Fanch prenait grand soin de son étalon gris.


Puis, Fanch s’était ensuite dirigé vers le bistrot.



Fanch buvait sa bière, les yeux sur la jeune femme.



Pour être jolie, cette Miranda était jolie. De lourds cheveux d’or, qu’elle avait hérité de son père tchécoslovaque, et de grands yeux lavande qu’elle tenait de sa mère allemande. Une frimousse agréable, un nez mutin et une bouche sensuelle, qu’elle tenait de son arrière-grand-mère batave.



Les yeux sur le large décolleté de la robe rose bonbon, Fanch avala une gorgée de bière chaude et fadasse. Les seins de Miranda se gonflaient sous sa respiration, comme à l’étroit dans leur bonbonnière.


La bonbonnière, elle, fixait un point précis sous le ceinturon et les colts du cowboy.



La chambrette était proprette et des odeurs de roses flottaient dans la pièce. Rose comme la robe.



Sans sa robe rose, la p’tite Huguette tenait toutes ses promesses. Un corps rose menu et svelte. Sur une fille plus épaisse, ses gros nichons auraient fait de beaux melons. Sur elle, ses nibards devenaient des pastèques. Mais roses comme la robe. Pas vertes.


Fanch avait regardé sa grosse queue aller et venir dans la petite chatte rose. Comme la robe. Puis il avait fait changer de position à la si jolie Huguette.





Missy-Pussy



Fanch n’avait pas été aussi excité depuis ses dernières nuits passées avec Missy. La belle Missy, dite Missy-Pussy. Une prostituée unijambiste d’Albuquerque, qui jouait du biniou en virtuose. Fanch, lui, ne payait jamais. Fanch était le porte-cornemuse préféré de la jolie rousse. Son sonneur écossais. Missy-Pussy ne se lassait pas de souffler dans son superbe instrument.



Putain ! C’était beau l’amour…




L’point d’Graff… Graferden… Gaff… G




Le brave cowboy avait délaissé le petit téton rose qu’il titillait des doigts. Rose comme la robe. Le téton. Oui, les doigts aussi. Et la robe sur la chaise aussi. Son autre main se concentrant sur l’autre mamelon, tout aussi rose que son petit frère. Et que la robe aussi.


Fanch s’était retiré du ventre de sa maîtresse et fouillait le sexe ouvert et mouillé de la jolie Huguette.



À peine les doigts du cowboy dans sa fente béante, mouillée et rose, la douce Huguette se cambrait et ruait des quatre fers comme une jument rétive.



Huguette, l’air totalement effaré, hurla presque en aspergeant les doigts du cowboy.



Des giclées expulsées en longues saccades dures. Des jets puissants arrosant le drap. Blanc, le drap. Pas rose.



La chatte rose comme la robe. Rose sombre, l’œillet serré.



Charmante, cette Huguette. Et gourmande ! Après l’avoir fait gicler comme un citron sur du poisson pané en lui torturant le point G, Fanch lui avait collé son chibre de grizzly dans l’oignon. Et le moins qu’on pouvait dire, c’est que citron et oignon étaient un mélange détonnant. La petite Huguette tâtait de la sodomie en affamée de la rondelle. Une perle rose, cette petite. Oui. Vraiment ! Rose comme sa robe.


Huguette l’attendrait au bistrot. Ensuite, il lui avait promis un cinoche. La grande classe. La bonbonnière – les nichons en bataille – l’avait sucé comme une reine pour le remercier de ses bons soins. L’Huguette avait souri quand il lui avait dit qu’il lui remettrait une secousse un peu plus tard. La très grande classe !




Embuscade



À peine dans la rue principale, un coup de feu claquait et Fanch sentait son sombrero quitter son crâne. L’œil de fennec du cowboy avait pourtant déjà repéré sa cible. Un homme à demi caché derrière un Stepway rouge fusion, parfaitement garé en épi devant le bistrot. Des vaches meuglaient dans la vaste prairie qui bordait la ville. Ces connes de vaches allaient alerter les Comanches.


Un gros hanneton vint à passer, et une pie, dédaigneuse, ne le happa pas. Dommage. Quel beau morceau que la pie ne happa pas !



Fanch dégaina son colt et tira sans viser. L’autre, plus loin, glapit et s’écroula comme un sac de grains vidé.


Pourquoi avait-il été attaqué ? Qui était cet agresseur ? Un pistolero à la solde de l’un de ses ennemis ?



Fanch Lambig regardait le cadavre déjà décomposé de l’inconnu qui lui avait tiré dessus. Le tomahawk mohican, lancé avec maestria par le sombre héros, n’avait pas manqué sa cible. Le cadavre avait un petit trou rond et sanglant au milieu du front.



Huguette, affolée, s’était précipitée dans les bras du sombre héros.



Le regard de Fanch Lambig délaissa la bonbonnière rose, pour suivre des yeux une femme qui marchait dans la rue poussiéreuse, encombrée de buissons de chaparral. Une squaw à la démarche de reine du bal. Brune et très belle. Des yeux d’un noir profond. Une fille certainement farouche au corps de guerrière des plaines.



La somptueuse bombe sexuelle lança un sourire au cowboy, avant d’ouvrir la portière du superbe Stepway rouge fusion flambant neuf.



Fanch en avait terminé de ce patelin de fous. Il passerait chez Joe récupérer son étalon, puis quitterait au plus vite cette ville de dingues.



Le sombre héros n’espérait plus qu’une chose. Que Joe, le pro du pot, accepte les cartes bancaires.





Chloé




Chloé, penchée sur moi, me caresse doucement les épaules. Apparemment, je me suis assoupie sur mon bureau. Je devais être un tantinet fatiguée.



Chloé m’a dorlotée. Pouponnée. Choyée. Câjolée. Chloé s’inquiète toujours de trop. Je vais parfaitement bien.




Drôle de vie dans le l’Ma… Chu… Sett…