Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21401Fiche technique25237 caractères25237
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Temps de lecture estimé : 15 mn
05/01/23
Présentation:  Deux fantasmes réalisés dans la même journée
Résumé:  Je rencontre enfin ma femme avec qui j’échange sur un site coquin depuis des semaines. Je ne m’attendais pas à vivre deux fantasmes dans la même journée…
Critères:  fh ffh candaul massage fellation anulingus fdanus fsodo hdanus coprolalie -totalsexe
Auteur : Ben.miles            Envoi mini-message
Églantine

Chapitre 1



Je suis dans ma chambre d’hôtel, depuis quelques minutes, mais le temps semble interminable, je ressens un mélange de fébrilité et d’excitation extrême comme jamais.


Cela fait des jours que nous nous écrivons, d’abord de tout et de rien, je t’avais dit tout de suite que j’étais très coquin, mais je voulais que ça vienne doucement, comme pour faire monter l’excitation virtuelle. Celle dont je connais la puissance quand on l’emmène loin.


Alors suis-je timide et apeuré de te rencontrer ? Non, pas le moins du monde. Je me demande juste si je saurai emmener aussi loin mon énergie sexuelle en vrai qu’avec mes mots ? Oserai-je ? Aimeras-tu ?


Plus le temps d’y penser, j’entends frapper…


Je vais ouvrir et je te découvre devant la porte, cheveux en arrière, rouge à lèvres, robe moulante bras nus, talon haut et sourire bienveillant…


Tu fais deux pas dans la chambre, mon cœur palpite, je peux te faire la bise, je peux te regarder, je peux attraper tes cheveux…


Je te plaque contre la porte de la chambre à peine refermée, en tenant tes hanches… mon visage est à quelques centimètres du tien, je ne veux pas t’embrasser, je veux te provoquer, sentir ton désir grimper comme une décharge d’adrénaline… Tu me regardes en souriant encore plus, tu croises ta jambe contre la mienne puis tu relèves tes bras au-dessus de ta tête et soupires…


La vue de tes bras nus, de tes aisselles à peine épilées, me rend fou, je me jette sur toi, je t’embrasse le cou, le menton, la bouche, je redescends sur ton cou sur ton sein, je lèche tes aisselles sauvagement, mes mains serrent tes poignets, tu as réveillé la bête qui sommeille en moi…


J’attrape une de tes fesses et te retourne d’un coup, tes seins plaqués contre le mur. La cambrure de tes fesses montre que tu as envie de la même chose que moi. Je m’accroupis pour pouvoir serrer tes chevilles et embrasser tes mollets… je suis presque à tes pieds, à vos pieds… Je sais que je vais vous posséder, mais en même temps je me prosterne, allongé derrière vous. Je remonte ma bouche le long de vos chaussures, le long de vos chevilles, de vos mollets, derrière tes genoux. Je relève les yeux pour regarder sous votre jupe courte, je vois le dessin de vos fesses qui m’électrisent… Ma bouche et mes mains le long de vos cuisses remontent votre robe et je découvre le plus beau des spectacles : vos fesses douces, belles, dans leur porte-jarretelles blanc, sans culotte.


Je pose mes ongles sur vos fesses puis les agrippe, je les écarte et je découvre que vous avez mis un rosebud, un petit diamant brille entre vos fesses.


Je ne peux résister à plonger mon visage entre vos fesses, je vous sens brûlante, trempée d’excitation. Je lèche votre chatte incandescente et commence à vous mettre des fessées. Vous gémissez, moi aussi, sans dire un mot, vous appuyez sur mes cheveux pour enfoncer ma tête dans vos fesses.


Une de mes mains se glisse entre ma bouche et votre cul et retire tout doucement votre jouet. Le spectacle a quelques millimètres de mes yeux, celui de voir votre anus se dilater sous votre plaisir est intenable…



Ce que je te demande de répéter plus fort…



Mon caleçon prêt à exploser, je te demande de m’implorer, de me supplier, pendant que j’enlève mon jean et mon boxer, toujours à genoux derrière toi. Ma queue est enfin libre de son érection maximum.


Je pose mes mains sur les tiennes, tes fesses sont désormais un spectacle uniquement pornographique de tes trous fous d’envie. Je plonge ma langue d’une traite dans ton cul et t’arrache un cri de jouissance. Le plaisir subversif est sans doute encore plus fort pour moi que pour toi. Ma langue te pénètre, te baise comme elle ne l’a jamais fait.


Te replies une jambe, tu cries, tu hurles… Ma bouche étouffée te demande si tu aimes ça, je te dis que j’adore, que je ne peux plus m’arrêter…



Tu me le cries, et tant pis pour les voisins des chambres à côté…


Tes jambes se plient, ma langue est un sexe, une queue, une bite, elle est ressortie au maximum, je te sens trembler…

Pourtant tu te redresses, tu te retournes et tu t’accroupis, tu me regardes dans les yeux. Je vois toujours ta bienveillance, je vois ton plaisir et je vois aussi la domination dans tes yeux. Tu m’embrasses à pleine bouche et mélanges nos salives…


Sans me dire un mot, je te regarde et je comprends :



Sur le sol de la chambre, je m’allonge sur le dos et m’exécute pour notre plaisir à tous les deux :



Vous vous accroupissez sur moi. Je sens votre clito sur ma langue, je tiens vos fesses au-dessus de mon torse. Ma langue glisse sur votre clito et le long de votre chatte, vous la faites rentrer… je suis à votre merci.



D’un geste, vous avancez votre bassin et ma langue rentre dans votre anus, encore plus ouvert que tout à l’heure. D’un cri vous vous écrasez littéralement sur mon visage, j’ai ma bouche entière sur votre cul, mon nez dans votre chatte et vous ondulez du bassin comme si j’étais votre sex-toy vivant…



Mes cris étouffés vous invitent à continuer, pendant de longues secondes, minutes ou heures, je ne sais plus. Tu te mets à trembler comme une feuille et exploses sur ma bouche dans une jouissance incontrôlable… je tiens tes fesses, tes hanches, ton dos… ta chatte se contracte et explose sur mon visage…


Presque sans reprendre tes esprits, tu tournes la tête et regardes ma queue prête à exploser.


D’un mouvement de bassin, tu te retournes, ta jambe passe par-dessus moi et tu te recules. Tu es à quatre pattes, mais au-dessus de ma tête. Je te vois à l’envers ton visage au-dessus du mien.


Ma bouche est ouverte de plaisir, tes yeux sont presque révulsés.



Tu m’embrasses à pleine bouche, tu baves dans ma bouche, tu lèches, suces, aspires ma langue sans limites… j’adore ça, je perds les pédales, mon bassin ondule… c’est trop bon !



Ton corps se déplace vers l’avant, tu embrasses mon cou, mon torse, tes seins passent sur mon visage, tu continues vers mon ventre puis mon nombril…


Dans une continuité absolue, je sens ta bouche aspirer mon gland au bord de la rupture pour l’avaler d’une traite. Ta bouche continue à engloutir ma queue en même temps que ta chatte se retrouve sur mon visage. D’un seul mouvement, tu es passée de mon cou à ma queue, avalée entièrement, le bout de ton nez appuyant sur mes testicules…


Tu commences tes va-et-vient et tout ton corps se frotte sur le mien. Tes seins contre mon torse, ta chatte sur mon nez et ma bouche, ta bouche qui me suce comme jamais.



Une de tes mains part en arrière, tu te mets une fessée beaucoup plus forte que les miennes du début et tes doigts se fraient un chemin dans ma bouche.


Je les lèche, bave dessus et les aspire. Tu les ressors de ma bouche et en enfonces deux dans ton cul… je vois cela à cinq centimètres de mon visage, c’est fou !



Tes doigts ressortent et se réintroduisent dans ma bouche… ta bouche ressort de ma queue pour se déchaîner de mots plus vulgaires les uns que les autres :



Ta main me caresse d’une vitesse incroyable… et dans une explosion inouïe, je libère toute mon excitation… sur ton visage sur tes seins, sur mon ventre… j’éjacule une quantité incroyable, tes doigts caressent mes testicules…


Tes doigts ne quittent pas ma bouche, je les emprisonne. Tu retournes ton visage vers moi, je tremble, tu vois mon visage déformé de plaisir, pour remettre ma queue dans ta bouche, au fond encore et encore.


Presque évanouie, tu te remets dans le même sens que moi et viens t’allonger sur moi…


Heureux, mais ayant peur de n’avoir pensé qu’à mon plaisir, je me reprends dans une énième décharge de plaisir :



Un moment de silence me fait comprendre que tu vas me dire quelque chose d’important :





Chapitre 2



Une fois l’émotion extrême passée, je te serre dans mes bras et décide d’essayer de te rendre cette journée aussi belle que tu me l’as rendue.


Tu te serres encore plus fort dans mes bras, prête à me grimper dessus, mais je te fais comprendre que nous allons sortir pour profiter. Il est à peine midi et il fait beau à Paris ce week-end.


Quelques caresses sur mon torse plus tard, et moi sur tes fesses, nous nous levons et prenons notre temps pour nous préparer. Je te regarde prendre ta douche, sans t’y rejoindre pour ne pas définitivement flinguer la journée… Tes caresses sous la douche, tes fesses écartées sous mon regard n’y changent rien, je résiste même si tu vois ma queue se redresser jusqu’à l’extrême.


Nous finissons par sortir de l’hôtel et, sans aucune demande de ta part, à part celle de te serrer à mon bras, je finis par t’emmener déjeuner dans un petit restaurant du coin aux saveurs italiennes. Je te demande de me raconter ta vie, ton métier, tes « travaux » sur le sexe et je t’écoute avec attention et je te sens passionné par les gens qui viennent à toi et que tu arrives à aider. Quand tu en parles, il est impossible de discerner si tu aimes aider ces personnes de façon presque professionnelle ou si tu combles toi-même un appétit sexuel sans fond.


Je te demande alors si ça t’arrive souvent de piéger des innocents comme moi et tu me réponds que quand tu as décelé mon double penchant pour les mots crus et les fesses, tu n’as pas pu résister…


Je te réponds que tu es une fine analyste puisque ce double penchant était inscrit sur la première ligne de mon annonce du site échangiste que nous fréquentons !


Quelques clics sur mon téléphone, que tu as à peine remarqués, et nous repartons du restaurant pour une longue balade dans les rues de paris, toi en robe légère et transparente faisant apparaître le dessin d’un string rouge, et moi en bermuda polo, tenue que ne je quitte que rarement l’été.


Après une bonne heure de marche dans les beaux quartiers, tu me fais remarquer qu’à ce rythme-là, il te faudra un massage ce soir. Presque à cet instant, comme par magie d’une histoire qu’on ne voit que dans les films, je te fais entrer dans une boutique et découvre au sein d’un accueil luxueux que nous sommes entrés dans un spa qui semble occuper tout l’espace de cet immeuble parisien.


Enchantés par la surprise, tes yeux s’illuminent et me remercient de cette attention que tu n’as jamais vécue lors d’un premier rendez-vous.


Après m’être présenté et nous être vus guider vers une grande pièce à l’ambiance tamisée, nous découvrons une pièce immense dotée de deux tables de massages, d’un jacuzzi, d’un futon, et tous le confort lié au luxe avec placard, douche, machine à café… un cocon de sensualité et de confort.


Une masseuse nous dit de nous déshabiller et de rester en sous-vêtement. Nous le faisons et restons collés l’un à l’autre, moi en boxer et toi en string rouge, tes seins étant déjà libres sous ta robe.


Au bout de quelques secondes, deux masseuses entrent dans la pièce et, avec une extrême bienveillance, nous proposent de nous allonger sur les deux tables. La première est blonde, petite, timide et très jolie, la seconde est une brune plus grande plus filiforme et avec des yeux en amande. Lorsque cette dernière se rapproche de toi, tu me regardes et regardes la petite blonde avec une toute petite moue que les deux masseuses perçoivent dans l’instant. Avec un grand sourire, la brune prend vos mains dans les siennes et vous invite à passer un moment hors du temps. Puis elle se dirige vers moi et la blonde fait le chemin en sens inverse.


Le début du massage en duo est bien évidemment un délice, la pièce est à bonne température. Le massage débute par les cheveux et le haut du dos, puis se poursuit par la descente vers le bas du dos.


Dans la pénombre, je te regarde avec mes yeux à demi ouverts et devine que le rythme est le même pour toi. La vue de cette plantureuse demoiselle presque allongée sur ton dos et rapprochant son visage de ton string rouge à chaque mouvement me donne quelques vertiges.


Je me dis que je ne peux pas tout sexualiser dans la vie même si cette journée semble être exactement la bonne pour cela.


C’est à cet instant que choisit ma masseuse pour attraper mon boxer par les deux côtés pour le baisser délicatement. En un instant, je me rends compte qu’elle ne compte pas l’arrêter au début de mes fesses pour me masser le bas du dos, mais mon caleçon glisse bien le long de mes jambes pour s’extraire de mes chevilles et me laisser totalement nu. Mon premier réflexe est d’ouvrir les yeux pour savoir si tu subis le même traitement que moi, ce qui n’est pas le cas. « Ta » masseuse est toujours en train d’appuyer sur ton dos et t’arrache quelques soupirs.


Je me vois alors prodiguer ce que je préfère, un massage qui part de mes chevilles et remonte en plusieurs temps le long de mes mollets et de l’arrière de mes cuisses, moi qui cours beaucoup, cela me fait toujours un bien fou… mes yeux se referment doucement et je me laisse envahir par le plaisir qui monte à mesure que ses mains se rapprochent de mes fesses.


À l’instant où les deux pouces remontent le long de mes fesses et les écartent légèrement, je ne peux retenir un soupir de plaisir et un mouvement du bassin vers l’arrière qui invitent ma servante du jour à continuer. Celle-ci insiste et accentue son massage de la base de mes cuisses en haut de mes fesses et en passant partout, ce qui me fait perdre tout sens des réalités. Mes cuisses sont massées, mes fesses également, mes testicules sont malaxés, mon périnée est sollicité et mon anus est caressé, je suis au paradis.


Lorsque celle-ci se penche sur moi, je sens une de ses mains qui tourne ma tête vers toi et elle me susurre à l’oreille d’ouvrir les yeux. Ayant presque oublié ta présence, j’ouvre les yeux et t’aperçois toujours sur le dos, mais une jambe repliée sur le côté, celle de mon côté, avec la masseuse toujours blonde et nettement moins timide, la bouche entre tes cuisses, le visage enfoui entre tes fesses. Tu portes toujours le string rouge que je devine sur le côté et ses deux mains sur tes fesses pour les écarter, il n’y a plus de doute, elle te fait un cunnilingus que tu as l’air d’adorer…


Mon univers devient parallèle, mes sens sont en émoi, et je me demande si c’est trop beau pour être vrai, que ça n’arrive jamais et que je devrais dire quelque chose.


Plaquée contre mon dos, ma masseuse me tient fort comme pour m’empêcher de chavirer, puis elle fait glisser ses seins, sa bouche le long de mon dos, jusqu’à mes fesses, qu’elle embrasse. Elle finit par me lécher l’anus et les testicules pendant de longues secondes… Au bord de l’extase, les yeux rivés sur toi, elle s’arrête et vient me murmurer à l’oreille :



Elle me fait me relever, m’asseoir sur la table, tournée vers toi, pose sa main sur mon épaule, mon torse, et s’éclipse doucement de la pièce…


Je n’ai presque pas eu le temps de regarder ton visage, dans ce trop-plein d’émotions, de surprise extrême.


Tu mords tes lèvres, ta bouche à demi ouverte, tes bras enserrent les côtés de la table de massage, pas de doute, toi aussi tu m’as oublié… la blonde, elle, s’est libérée de sa veste réglementaire de massage et arbore des seins de taille importante dans un soutien-gorge de dentelle blanche.


Elle me regarde d’un air encore plus bienveillant qu’au début, ce qui devient troublant. Cette fois, elle décide de faire glisser ton string le long de tes cuisses. Celui-ci s’arrête au milieu puisque tes jambes sont écartées, ce qui rend la scène encore plus érotique.


D’un mouvement de bras, notre muse m’invite à m’approcher d’elle pour profiter du spectacle d’encore plus près. Je me place derrière elle debout et regarde d’en haut ses lèvres du haut glissées entre tes lèvres du bas. Elle écarte tes fesses pour que je voie toute intimité, ta raie luisante, ton anus ouvert. Ses yeux se lèvent, regardent les miens, et sa langue vient se poser sur ton trou du cul. Dans un cri de plaisir, je devine ton orgasme proche, j’ai envie de le partager.


Après quelques instants ou le temps flotte dans l’air, je fais un mouvement de recul pour profiter de ce qui nous arrive : tu es sur le ventre, nue, presque accroupie, une créature sortie d’un rêve érotique est littéralement en train de dévorer ton anus, et moi le sexe tendu comme jamais, je profite de ce spectacle dans un univers de chaleur, de parfum de vanille et de lumière tamisée.


Si le paradis existe, il n’arrive pas à la cheville de cette scène !


Faisant le tour de la table, je viens à ta hauteur, m’accroupis et pose la main sur ton bras, tu ouvres les yeux et me souris instantanément, sans aucune surprise. Tu avances ta bouche pour que je puisse t’embrasser à pleine bouche, pour que je mette mes mains entre tes joues… Est-ce du sexe, de l’amour, de la baise ? Les trois en même temps, et c’est incroyable !


Je suis prêt à exploser, mais je ressens le plaisir à travers toi, je veux que tu en profites, que ce soit ton moment, je n’ose plus bouger…


J’attendrais tes deux mots le temps qu’il faudra… qu’ils mettent trente minutes à venir ou qu’ils ne viennent jamais. Au bout de quelques minutes d’un orgasme ravageur qui n’a pourtant pas freiné la langue de notre hôtesse, tu me regardes et me dis :



Je reviens alors derrière toi et je constate que sa langue est toujours dans ton cul, que tes cuisses sont trempées de ta jouissance et que cette fois-ci la petite blonde n’est plus vêtue que d’un string-ficelle tendu par ses doigts qui fouillent sa chatte de petite salope.


Elle glisse ses mains sous tes hanches et te fait remonter tes fesses pour que tu nous offres une levrette la plus pornographique possible, les jambes écartées, les reins cambrés au maximum, et ta tête enfouie dans la table de massage.


D’un mouvement acrobatique, je monte sur la table, te chevauchant pour pouvoir te prendre, enfin…


Mes cuisses écartées entre tes jambes, je m’apprête à entrer en toi lorsque je sens sa main se saisir de ma queue et la faire pivoter tout doucement pour la diriger vers toi. Cette tension extrême, douloureuse de plaisir, va enfin pouvoir satisfaire ta chatte, et réciproquement.


Ne pouvant rater une miette du spectacle, je regarde les doigts de la demoiselle me guider et poser mon gland sur… ton anus… tu pousses tes fesses en arrière, elle pousse ma queue en avant, et sans que j’aie eu le temps de réaliser, je me retrouve au fond de ton cul, mes testicules s’écrasant contre ta chatte. Je gémis, tu cries, et notre entremetteuse jusque-là muette commence à gémir, à émettre des « oui », des « c’est bon », des « baise-la ».


Un mot de ta part, une réponse au dernier « baise-la », où tu gémis un « défoncez-moi », fait basculer notre scène érotique saphique dans une débauche encore plus inattendue…


La blonde se redresse, se retrouvant à hauteur de mon dos, elle pose ses mains sur mes fesses et, en poussant le plus possible, se met à franchir les limites de la perversion verbale :



Je ne peux pas imaginer de jouissances plus grandes, de plaisirs plus extrêmes, de perversions plus avancées, lorsque notre muse redescend d’un étage et se réaccroupit. Une sensation encore plus forte s’empare de moi lorsque je te sens te contracter et je sens contre ma queue une présence délicieuse. Je comprends que cette sensation est celle des doigts de la masseuse qui entrent dans ta chatte et que je sens à travers toi.


Tu hurles, moi aussi, elle aussi, ton corps se contracte, tu vas jouir à nouveau, moi aussi, nous le crions ensemble.


C’est le moment que choisit notre nymphe pour me porter le coup de grâce puisque je sens cette fois-ci que ce sont mes fesses qui sont sollicitées, d’abord par une main posée dessus et puis par sa langue qui vient fouiller mon cul, au rythme de mes va-et-vient dans ton cul.


Je t’encule, elle te pénètre, elle me lèche le cul, c’en est trop, mes muscles se tendent, mes abdos se contractent, tu cries dans un dernier spasme.



Et l’explosion m’envahit. J’éjacule sans aucune retenue en toi, par des saccades qui me font vaciller, tu trembles partout, ton orgasme est extatique, je ne peux plus m’arrêter de jouir, toi non plus, elle non plus….


Après de longues secondes, de tremblements de nos trois corps, nous nous écroulons sur la table, tous les deux, notre muse par terre, à nos pieds… Même si elle trouve la force de se relever, de venir nous enlacer, nous ne pouvons plus bouger. Nous savons que nous venons de vivre érotisme, sexualité et pornographie comme on ne le vit qu’une seule fois dans une vie.