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Temps de lecture estimé : 8 mn
09/01/23
Résumé:  Une jeune fille livre sans complexe sa première fois.
Critères:  fh hplusag jeunes vacances plage pied caresses cunnilingu pénétratio init -initiatiq -diffage
Auteur : Laura06      Envoi mini-message
Innocence Perdue

À l’adolescence, j’adorais nager dans l’eau écumante et puissante de l’Atlantique. Les hautes vagues semblaient attaquer mon corps dans une succession d’assauts sensuels qui me faisaient oublier tous mes soucis.


À Hossegor, je me sentais libre. L’océan, le vent, le soleil caressaient mon corps comme des amants attentifs, soucieux, désireux de combler tous mes désirs. Sur cette côte, il y avait quelque chose de sexuel, une sauvagerie qui me plongeait dans un certain trouble, dans une certaine envie, dans un certain désir.


Je voyais les surfeurs dompter les vagues comme des matadors. Ils étaient jeunes, beaux, musclés, leurs planches brillaient de mille feux sous le soleil intense de l’été. J’admirais ces jeunes hommes qui semblaient braver la mort dans des vagues démesurées. Sur la plage, je m’amusais à observer les corps à moitié dénudés des vacanciers sous les parasols multicolores.


À l’époque, j’aurais voulu déménager à Hossegor, vivre d’amour, de plage, de soleil. Me laisser bercer et émouvoir par le ressac de l’océan… vivre une vie sans pression, sans limite. Mais voilà à tout juste 18 ans, après ces vacances, je devais rejoindre Paris pour débuter mes études supérieures.


Après avoir nagé pendant un bon quart d’heure, je me dirigeais vers la plage en nageant. Je fis la planche pour me reposer, avant de poser mon pied sur le sable sous l’eau. Au moment de marcher dans l’eau peu profonde, une fulgurante douleur transperça mon pied, comme si on m’avait planté un couteau.


J’adorais nager dans ce petit recoin de la plage, près des rochers. Mais j’aurais dû me méfier des vives qui se cachent sous le sable. Ces petits poissons dotés d’une épine acérée sur leur nageoire dorsale adorent piquer les nageurs qui osent leur marcher dessus. Je connaissais très bien la faune de la région et j’aurais dû faire attention.



J’adore Isabelle, ma meilleure amie, mais son côté madame je sais tout m’énerve parfois. Notre amitié remonte à la maternelle. Nous avons grandi ensemble, nous partageons nos joies, nos peines, nos doutes.


Tant bien que mal, j’essayais de me rapprocher de ma serviette et je me suis assise près de Marc, le père d’Isabelle. Foudroyée par la douleur, je gémissais entre mes dents.


Malgré une atroce douleur, je ne pouvais m’empêcher de frissonner en voyant les yeux verts de cet homme se poser sur moi. Ces yeux d’émeraude contrastaient merveilleusement bien avec la peau hâlée de son visage. Son corps musclé m’inspirait bien des…


Honte à moi d’avouer qu’à cette époque, je fantasmais depuis plusieurs années déjà sur cet homme de 40 ans aux traits virils de baroudeurs, à la barbe de trois jours, aux cheveux bruns légèrement bouclés, au sourire coquin et à l’expression intelligente. Il était capable de charmer, de séduire n’importe quelle femme par un simple regard, et sous son charme, du haut de mes 18 printemps, je l’étais.



Le beau brun passa son bras autour de mes épaules, puis nous avançâmes entre les serviettes vers le bungalow qu’il avait loué. Le soleil qui brûlait ma peau, le bruit des vagues qui s’écrasaient contre les rochers, le bruit des enfants qui jouaient et la douleur lancinante du venin, je perdais mes sens.



Dès que nous eûmes franchi la porte de la maisonnette, Marc me déposa sur son lit et s’éclipsa pour aller chercher le nécessaire pour soulager mon pied.


Grelottante à l’idée de passer un instant seule avec lui, je détaillais sa chambre. Elle était plongée dans une pénombre sensuelle, seuls les rayons du soleil éclairaient la pièce. Décorée avec goût, les meubles mexicains aux couleurs pastel donnaient un petit côté exotique qui me plaisait bien. Sur l’instant, j’ai émis un doux rêve… Je me voyais vivre avec lui, dans ce petit village mexicain, sur la côte de la Baja California…


Mon rêve prit fin quand Marc posa la compresse froide sur mon pied endolori. Assis à côté de moi, il massa délicatement, précautionneusement, mon pied. Pendant son massage, je le surpris, à plusieurs reprises, en train de regarder ma poitrine cachée par mon petit bikini bleu. Sa voix, son torse bronzé et puissant tout près de moi, sa douce odeur d’océan et de sable chamboulaient mes sens. Pour cacher le trouble qui se manifestait dans mon bas ventre, je lui souriais bêtement.


Nos regards se croisèrent une nouvelle fois. Nous communiquions sans avoir besoin de nous parler. Nos yeux, vitrines de nos âmes, exprimaient ce désir terrible, cette envie folle. Même si je savais au fond de moi que cela était mal, je le voulais, le désirais. Je voulais que cet homme me fasse devenir femme. Mais comment pouvais-je lui faire comprendre ? Comment devais-je me comporter ?


Au fil des secondes, des minutes, je me sentais de plus en plus bouleversée, troublée par sa présence. Dans mon ventre virevoltaient des milliers de papillons. Mes sens étaient en éveils. Je palpitais, je me languissais d’un geste, d’une action de sa part. Totalement séduite, perturbée par cet Appolon, je fus trahie par mon émoi en lâchant un gémissement.



Nos regards se fixèrent une nouvelle fois, mon regard fut appuyé, comme pour lui envoyer un signe, une invitation. Lentement, Marc se pencha, nos lèvres se frôlèrent, se touchèrent presque, puis finirent par s’unir.


Délicatement, il entreprit le haut de mon maillot. Avec une dextérité affolante, les deux petits liens noués derrière mon cou ne furent qu’une simple banalité pour lui. Le haut de mon bikini baissé sur mon ventre doré par le soleil, il contempla ma frêle poitrine.



Il se pencha sur ma poitrine. Il se mit à sucer tour à tour mes tétons durcis par le plaisir. Sa main se posa sur mon sein libre, pour en dessiner le galbe, pour toucher la tendresse et le moelleux de ma peau, pour en définir la fermeté. Tremblante sous la tension charnelle de son étreinte, en proie à une sorte de transe sexuelle, à la limite de l’évanouissement, face au plaisir indescriptible que je prenais, je n’avais plus qu’une seule envie…



Il était en train de me faire vivre la plus douce des tortures… il malaxait copieusement ma sensible poitrine gonflée par l’excitation. Mais j’en voulais plus, je désirais sa main chaude et puissante sur ma vulve en fusion, je le voulais également en moi !


Il comprit et exauça mon vœu. Il commença par décrire des petits cercles torrides sur la culotte de mon bikini. Lentement, ses mains glissèrent sur mes hanches, ses doigts se faufilèrent sur les fines cordelettes tressées de la culotte de mon bikini bleu échancré et tirèrent dessus. Les deux fragiles nœuds capitulèrent. Délicatement, il abaissa la fine barrière d’étoffe et libéra ma juvénile vulve imberbe.


Il se mit à me caresser, faisant glisser ses doigts entre mes délicates et fines lèvres afin de sentir la chair tendre de mon intimité offerte à son vice. Sa caresse sur mes lèvres et mon clitoris en feu m’envoya au septième ciel, je me mordis la main pour ne pas crier mon plaisir et mon excitation.


Monsieur Garnier se pencha entre mes cuisses. Il se mit à me lécher comme il aurait léché une crème glacée, goûtant au moindre recoin de mon intimité, à mes fines lèvres souples, à mon clitoris. Sa bouche couvrait entièrement mon sexe. Sa langue vint s’abattre, avec une fougue somptueuse, sur mon clitoris, soulevant mes fines lèvres, pressant au millimètre l’endroit parfait. Je me tordais de plaisir, il m’envoyait des décharges électriques sur la moindre parcelle de mon anatomie.


Au bord de l’extase, mon beau brun retira son short, révélant son énorme pénis en érection. À ce moment je n’avais plus qu’une envie, qu’un désir : sentir cette imposante queue s’enfoncer en moi…


Soudain, je le sentis s’agenouiller, son sexe contre mon intimité, prêt à m’investir. Moment de panique ? Moment de stress ? Moment de peur ? J’ai resserré mes cuisses.



En guise de réponse, j’ai replacé son sexe contre ma vulve. J’étais prête à m’offrir, à me donner. Lentement, son gland écarta mes petites lèvres, je le sentais s’approprier mon intimité. Il buta contre mon hymen, Marc me fixa et donna un petit coup de reins sec qui rompit la fine barrière de ma virginité.


Marc resta immobile, le temps que mon corps accepte cette intrusion phallique. Doucement, sensuellement, il reprit sa progression. Je sentais mon vagin s’ouvrir sous la poussée de son mandrin, je le sentais m’investir. Je sentais chaque millimètre de sa verge glisser en moi. Mon corps était ébranlé de sensations, mon esprit était embué d’émotion. Je gémissais de plaisir, je savourais le délicieux contact de son membre.


Avec beaucoup de tendresse, il se mit à aller et venir en moi. Mon vagin acceptait de mieux en mieux la volumineuse érection de mon amant, je sentais ma sève sucrée couler sur son membre. Il sortait presque entièrement de mon intimité pour mieux y revenir. Marc me faisait l’amour…


Agrippé à mes seins soyeux, il accéléra le rythme et la fréquence de ses coups de reins. La combinaison du pétrissage de ma poitrine et de son investiture profonde dans mon intimité moite m’octroyait un plaisir incroyable, gigantesque, démentiel. Un plaisir interdit par la morale, mais un plaisir phénoménal.


Ma respiration était anarchique, désordonnée par le tsunami émotionnel que je ressentais. Je gémissais sans cesse, je m’abreuvais de ce plaisir inconnu. J’exultais dans de profonds râles de satisfaction. Je me nourrissais de cette douce, surprenante, envahissante et torride chaleur qui irradiait mon corps et mon esprit.


Marc alterna son rythme, mélangeant lenteur et rapidité, douceur et rugosité. Totalement offerte, mon amant appuya encore ma découverte du plaisir profond. Il se retira presque entièrement, ne laissant en moi que son épais champignon, resta immobile une petite dizaine de secondes, puis replanta la totalité de sa verge au tréfonds de mon puits en une seule poussée énergique. Il réitéra sa manœuvre démoniaque trois ou quatre fois avant de m’asséner une dernière pénétration profonde.


Il ne se retenait plus, je sentais son souffle se faire de plus en plus haletant, je sentais son incroyable sexe grossir encore et encore en moi. Mes tempes bourdonnaient, ma vue se brouillait. Nous étions au bord de l’explosion. Nous implosions dans cette étreinte passionnelle.


Sa cadence devint frénétique, me prenant comme une vraie femme. Mon corps fut pris de spasmes torrides, mon vagin se contractait fortement sur son sexe. À bout de souffle, sans me préoccuper des conséquences, sous les effets euphorisants de notre moment, je le sentis se déverser en moi. Recevoir son nectar, en plusieurs jets puissants, était fabuleux, excitant…


J’étais transportée dans un monde parallèle, dans une autre dimension. Je savourais, je me délectais de mon plaisir. Marc resta en moi encore quelques secondes, puis se retira, laissant en moi un immense vide.


Nos corps nus, en sueurs, étaient les témoins de notre amour naissant. J’étais devenue femme, j’étais devenue sa femme.