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n° 21426Fiche technique57012 caractères57012
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Temps de lecture estimé : 31 mn
11/01/23
Présentation:  Ma compagne possède une remorque et elle est toute contente quand elle s’en sert. Juste pour du bricolage. C’est cependant ce qui m’a décidé à écrire ce texte délirant, qui est, bien entendu, une pure fiction.
Résumé:  Claire découvre le potentiel érotique de sa remorque et l’explore jusqu’au bout du bout. Un pur délire !
Critères:  fh ff 2couples grp inconnu collègues jardin parking amour voir préservati pénétratio fdanus fsodo attache délire -humour -occasion
Auteur : Cormobin            Envoi mini-message
J'ai une remorque et j'aime ça.

Je suis remorcophile et j’aime ça !


Je m’appelle Claire, dans la quarantaine rayonnante, et on peut dire que je suis une femme épanouie. Dans le sens où, tant professionnellement que personnellement, je fais un peu ce que je veux. C’est une liberté extraordinaire.


J’ai hérité d’une petite maison avec un petit terrain non loin de Toulouse. A la campagne, tout en n’étant pas très loin du Capitole. C’est un bien qui appartenait à mon grand-oncle, décédé alors qu’il allait être centenaire. Il y a vécu quasiment toute sa vie, se contentant de maintenir cette maison tout juste en état. Comme j’étais la seule héritière, sans qu’il ait fait un testament, c’est devenu ma propriété.


Je ne connaissais pas trop ce bien. J’y étais venue quand j’étais enfant. J’en avais peu de souvenirs. L’estimation du bien était faible, je pensais que c’était petit, et j’envisageais de le vendre. J’ai tout de même visité, et je suis tombé sous le charme. Une fois retapée, cette maison pourrait offrir des espaces sympas. Mais il allait falloir faire pas mal de travaux.


Et puis, à y bien regarder, ce n’était pas si petit que ça. Je pourrais aménager rapidement une ou deux pièces, pour y faire du télétravail et éviter ainsi les embouteillages de la rocade toulousaine.


Mon père était bricoleur, et j’avais appris à ses côtés. Mais il fallait que je m’équipe. Premiers travaux à faire : évacuer tout un tas de trucs qui traînaient. Pour la première fois de ma vie, je me suis mise en quête d’une remorque. Je n’avais aucune idée de prix, et je suis allée chez Norvélo, pour ne pas faire de la pub à cette enseigne.


Me voilà donc, en tenue de travail, tailleur, talons, maquillée, faisant le tour des matériels disponibles. Mon choix s’est arrêté sur un modèle pour 500 kg, 2,49 m de longueur. Le vendeur s’est montré attentif à mes attentes. Le fait que j’ai été obligée de me pencher n’a sans doute pas nui à l’intérêt qu’il me portait. J’avoue que je suis assez fière de mes décolletés, sans être aguicheuse, enfin, quand je suis au travail. Ma situation de direction me permet de m’habiller comme je veux, sans vulgarité.


Quand il m’a expliqué comment manœuvrer le timon, et faire les branchements, j’ai senti qu’il avait besoin de se concentrer pour ne pas lorgner sur mes seins. Après tout, il aurait eu tort de s’en priver ! Comme il fallait faire un peu d’aménagement, bâche, rampe, réhausseurs, plaque d’immatriculation, etc., il a été convenu que je passerai la chercher le samedi. Coup de chance, ma voiture avait une attache. Je l’avais achetée dans mon garage habituel, un véhicule d’occasion, avec attache, dont je ne m’étais jamais servie.


Quand je suis arrivée, j’ai bien vu que mon rendez-vous avait été préparé. « Mon » vendeur n’était pas tout seul. Désolée pour lui et ses collègues, j’étais en tenue de bricolage, jean, vieux sweat, c’était du pratico-pratique. On a refait le tour de tous les équipements, comment attacher la remorque, les branchements électriques, et ils m’ont offert quelques sandows.


Jusque-là, rien d’anormal. Il y a bien eu quelques allusions pas très fines lors de l’attache de la remorque : « surtout, tenez la bien, etc. », j’ai fait comme si je ne comprenais pas.


Bizarrement, ça a commencé dès que j’ai roulé. Je me suis sentie comme un peu euphorique. Peut-être le fait d’avoir réussi quelques marches arrière du premier coup sur le parking, j’étais toute fière de rouler avec ma remorque. Sans doute aussi le fait d’avoir franchi une étape dans ma montée en compétence de bricoleuse autonome. Avec la remorque, j’allais pouvoir évacuer pas mal de cochonneries et ensuite, approvisionner mes matériaux. En fait d’être euphorique, j’étais tout excitée. Carrément !


En roulant, je me suis aperçue que cet état d’excitation ne faisait que croître. Je ne comprenais pas. J’ai d’abord eu l’impression de mouiller, puis la certitude. Ça peut m’arriver de temps en temps d’avoir de tels états d’excitation, sans raison, ou alors un échange de regard, ou bien un plaisir tout autre que sexuel, une chanson, une histoire. Le plus souvent, je suis chez moi, je sais comment me soulager, me faire un grand plaisir, avec ou sans mes jouets. Si je n’ai pas d’homme sous la main.


Je pensais donc que c’était ce qui se passait. J’arrive donc chez moi, je me gare, je me dis que j’ai tout le temps de dételer ma remorque flambant neuve. J’arrive dans ma cuisine, petit verre d’eau, je me dirige vers ma chambre. Je me mets à l’aise, et je m’aperçois alors que je ne suis pas seulement excitée, mais totalement trempée, à un point tel que je mets ma culotte dans la panière à linge sale. Je me glisse sous les draps, pour ne pas avoir froid. Et là, plus rien. Plus d’excitation, plus d’envie. Pas de frustration, j’étais plutôt en forme, mais rien. Inutile de se forcer, je me rhabille, et je me dis que c’est le moment de ranger ma remorque. Je m’en rapproche, et là, de nouveau, cette sensation agréable entre mes cuisses. Je touche la remorque, je regarde si le timon est toujours en place, et là, je le sens, sans pouvoir me tromper, je mouille. Je mouille vraiment. C’est vraiment très bizarre. Je ne vais pas remonter dans ma chambre. Comme j’ai besoin de matériaux, je vais plutôt aller me fournir chez Casto-Merlin, la grande surface de bricolage la plus proche de chez moi.


Quand j’étais jeune, on m’avait dit que le rayon bricolage du BHV était un endroit de drague connu et reconnu. Je ne sais pas, je n’y suis jamais allée, mais ce que je peux dire, c’est que Casto-Merlin, c’est très bien. Le rayon matériaux en particulier. J’y étais donc, avec ma remorque, et il y avait un charmant quadra, un peu comme moi, avec lui aussi sa remorque, qui me lançait quelques œillades. Au début, je faisais comme si je ne le voyais pas. Pas compliqué, j’avais du placo et des sacs de sable et de chaux à choisir.


Quand j’ai dû mettre tous mes achats dans ma remorque, j’ai vu le quadra se rapprocher.



Je n’allais tout de même pas jouer la timide, même si je me sentais parfaitement capable de faire tout toute seule. Mais vu l’état dans lequel j’étais, j’avais déjà une petite idée derrière la tête.


Nous continuons à remplir ma remorque. Puis je l’aide à remplir la sienne. Je sais que j’aurais pu remplir la mienne sans lui, et je vois bien qu’il pourrait aussi faire de même avec la sienne. J’attends la suite.



Nous nous mettons en route. Mon plan est bien clair dans ma tête. Je ne veux surtout pas d’un coup de main, qui permettrait à cet homme, au demeurant bien sous tous rapports a priori, de savoir où j’habite. Mais un coup « tout court », j’avoue que ça me permettrait d’étancher ma soif, manière de dire, que ça calmerait mon entrecuisse qui coule à tout va !


Je connais bien la route que je vais prendre. À un endroit, il y a un délaissé, je vais l’emprunter et je tenterai ma chance, directement. Grâce à la DDE qui n’a jamais été capable de déclasser correctement cet ancien bout de route, je vais voir ce que cet homme peut m’apporter.


Quand j’arrive à proximité de cette ancienne chaussée, je mets mes warnings. Petit coup d’œil dans le rétro, il a fait de même. Je quitte la route, je m’engage dans le délaissé, et à peine quelques dizaines de mètres, je m’arrête. Le coin est invisible de la route. Je descends, et je m’approche de ma remorque. Je fais mine de vérifier que tout est bien attaché. Je vérifie aussi que mon excitation est au sommet.


L’autre conducteur s’approche.



Et je me lance :



Il me regarde, mi-amusé, mi-surpris, avec un petit sourire.



Et je baisse mon pantalon, ma culotte, et je me tiens aux bords de ma remorque. Je tourne la tête. Il est derrière moi, j’aperçois son sexe, qui semble correspondre à mes goûts. J’attends qu’il enfile la capote, et je le regarde dans les yeux.



Je le sens passer son sexe contre moi, contre mes fesses, il cherche l’entrée. Il la trouve, mais ce n’était pas difficile. Il s’introduit en moi.



Et je l’entends dire :



Alors là, ça ne va pas. Je passe une main derrière moi, j’attrape son sexe, et je le sors.



J’attrape sa queue, je me retourne, et hop, directement dans ma chatte. Il me lime doucement, en silence. Je me retourne, avec un sourire. Malgré la position, je pense qu’il voit que je souris.



Ah, je sens qu’il y va un peu plus. Et surtout, il ne débande pas.



Il accélère.



Ah, c’est mieux, encore mieux, j’avais peur qu’il ne supporte pas que je prenne les commandes, pendant qu’il me tient les hanches, mais ça n’a pas l’air de le gêner. Je l’encourage.



Un coup. Il est un peu timide.



Ah oui, c’est bien, je sens le plaisir monter.



Je sens le plaisir monter très, très haut, je jouis, je m’entends crier, puis plus rien, un trou noir. Et tout d’un coup, bing, une baffe. J’ouvre un œil et je vois une main prête à m’en mettre une autre. Je lève la tête, prête à crier, et j’aperçois le visage de mon baiseur, à 30 cm du mien, et je me dis, que fait-il là, alors qu’il doit être en train de me baiser. Son visage est décomposé, il a l’air très perturbé, du coup, je ne crie pas, et je lui demande :



Je le vois se détendre.



Je finis de me redresser. Il est drôle. Le pantalon sur les chevilles. Sa queue n’est plus à la verticale, toujours encapotée. J’éclate de rire. Il sourit.



J’attrape sa queue, j’enlève la capote



Sa queue se raidit.



Je continue, il se raidit de plus en plus. Je sens qu’il va bientôt jouir. Avec ma main gauche, j’attrape ses couilles, que je caresse avec la pulpe de mes doigts. Je me décale un peu, je ne veux pas en prendre sur moi, et je le regarde dans les yeux.



Il jouit. De longs jets. Je le branle bien encore.



Je ne réponds pas. J’ai un peu de sperme sur la main, je m’essuie dans l’herbe. Je reste comme ça, les fesses et la chatte à l’air. J’aime bien.




Louise, c’est mon amie. On a fait nos études ensemble, il y a bien longtemps, et les aléas personnels et professionnels nous ont ramenées dans la même ville. Nous nous dépannons souvent, depuis des tampons lorsqu’on a mal regardé le calendrier, jusqu’aux bons coups Tinder, quand on en a fait le tour. Nous partageons pas mal de choses aussi, et il nous arrive de partir en vacances ensemble.


Nous dînons ensemble au moins une fois par semaine. C’est l’occasion de nous raconter nos bons moments ou nos galères. Nous n’avons pas de secret l’une pour l’autre. Une belle camaraderie. Même davantage, une vraie et profonde amitié.


Ce soir-là, je lui raconte mes pérégrinations avec ma remorque. Elle se marre franchement, mais retrouve son sérieux.



Le rugby est un des rares sujets qui nous divise. Louise n’y a jamais rien compris, alors que je suis tombée dedans quand j’étais petite, en accompagnant mon père et mes frères. Ma mère est toujours fan aussi.


Louise reprend la parole :



Et je poursuis :



J’ai cru que Louise n’arriverait pas à reprendre son souffle. Elle a failli tomber de sa chaise, tellement elle riait. Les autres convives se sont arrêtés de manger pour nous raconter. J’ai juste pu leur glisser :



Et là, j’ai retrouvé « ma » Louise :




Vraiment, le rayon matériaux de Casto-Merlin est une caverne d’Ali Baba. Il suffit de passer d’un coin à un autre pour avoir de nouveaux projets dans la tête. Je suis là, avec Louise, j’ai garé ma voiture et ma remorque. Comme je l’ai dit à Louise, je suis excitée, avec la remorque. J’ai déjà fait mes achats, ma remorque est un peu chargée. Soudain, je l’aperçois :



Je m’approche de lui :



Il se renfrogne un peu en voyant Louise, pourtant charmante.



Petit sourire, pas trop aguicheur, mais je veux qu’il soit en confiance.



Je file à ma voiture, avec Louise.



Je le vois arriver. Petit signal avec les warnings et nous voilà repartis. Ma remorque est chargée, et je dis à Louise :



Je prends le même chemin, le même délaissé. Il n’y a personne, parfait. Tiens, si on recommence, faudra sans doute que je choisisse un autre endroit.



Je le vois frémir. Il recule un peu.



Aujourd’hui, je suis en robe. J’enlève ma culotte, elle est trempée, et je me dirige vers l’arrière de la voiture, près de l’attache de la remorque et je dis à Louise :



Je me cramponne à la pièce métallique. Louise enroule un tendeur autour de mes poignets et le passe dans le timon.



Je me retourne vers mon baiseur :



Il s’approche. Il hésite.



Je sens qu’il me relève la robe. Il me fait une bise sur chacune de mes fesses.



Je ne me retourne pas, mais je sens qu’il me sourit. Louise a fait le tour de la remorque, elle est en face de moi. Elle nous regarde bizarrement. Je lui fais un clin d’œil, elle me répond de la même façon.


Je sens sa queue contre mes fesses. Il s’y faufile, cherche ma fente. J’ai un dernier moment de lucidité :



Il s’arrête un peu. Je sens qu’il est à l’orée de mon vagin.



Louise fait le tour de la voiture.



Louise revient à sa place, en face de moi.



Il y va. Il fait ses allers et retours. C’est très agréable. Mon excitation monte doucement. Soudain, une fessée. Je vois Louise s’inquiéter, chercher mon regard. Je suis trop excitée pour parler à Louise. Seul mon baiseur m’intéresse.



Quelques coups (de bite) plus tard, je lui dis :



Bizarrement, il ne me fesse pas.



Je regarde Louise. Elle a l’air assez intéressée. Je ne l’ai jamais vu comme ça. J’ai une idée :



Louise enlève son haut, et son soutif. Aussitôt, je sens que les coups reprennent, comme j’aime.



Et enfin, je sens mes fesses vibrer et rougir.



Je sens le plaisir monter, monter. L’explosion arrive :



Je crie. Je m’entends crier, ça monte toujours. Puis le noir. J’ai l’impression que ça dure. Je perds la notion du temps. Puis je réouvre les yeux. Un bruit m’a ramené à la réalité. Je me rends compte que je crie toujours. C’est ce bruit qui m’a réveillé. Mon cri, ma voix. Il me baise toujours. Je tourne un peu la tête. Louise est à côté de moi. C’est elle qui lui parle :



Je me rends compte que j’ai arrêté de crier. J’ai repris conscience.



Il sort. J’ai les mains toujours attachées au timon, les coudes posés dessus. Louise s’est un peu écartée. Elle sourit. Je lui parle :



Même si ma proposition paraît déplacée, Louise me répond normalement :



Louise n’hésite pas. Je la sens s’approcher de moi. Lui s’est un peu reculé.



Je me remets en position, les coudes bien à plat sur le timon :



Je sens sa queue se frotter contre mes fesses. Il se positionne :



Je le sens avancer. Tranquillement. Mon anneau s’ouvre.



Il me reprend par les hanches. Puis il me lime vigoureusement. De plus en plus. Il me fesse.



Il reprend mes hanches à deux mains. C’est fort. Je cherche Louise. Elle n’est plus en face. Je tourne un peu la tête, elle est à côté de moi. Elle regarde mes fesses, et la queue qui les pénètre. Elle a un regard que je ne lui connais pas. Elle a les seins à l’air.


Il me lime de plus en plus fort :



Et il râle. Je le sens s’enfoncer un peu plus loin. Je sens les giclées dans mon cul, malgré la capote. C’est bon. Je regarde Louise. Elle a un sourire béat.


Mon baiseur se retire, s’éloigne un peu. Un grand sourire. Béat lui aussi.



Je souris.



Il s’en va. Je cherche Louise. Elle est là, les yeux bizarres :



Elle baisse sa culotte, je m’approche. Je regarde, je ne vois rien.



Je descends ma main dans sa culotte. Sa chatte est trempée. Douce, mais trempée.



Elle ne dit rien, mais descend sa culotte et l’enlève.



Elle s’appuie aux garde-corps. Les deux coudes sur le bord. Je me colle à elle. Elle a les seins à l’air, toute débraillée, et maintenant, ma main sur sa chatte. Je remonte un peu, au-dessus des lèvres.



Je descends, et je rentre un doigt. C’est humide, chaud. Je l’enfonce doucement. Je regarde Louise. Elle se mord la lèvre inférieure.



Je la doigte un peu, puis je sors, je retrouve le clito, je le branle.



Je caresse le clito, puis je redescends. Vu comme elle est mouillée, j’y mets deux doigts. Je le lui dis.



J’y vais, je m’enfonce, je sors, j’entre, je sors, j’entre. J’y mets trois doigts.



Je la sens vibrer un peu plus, elle se cale encore un peu plus contre la remorque. Malgré la position, elle écarte un peu plus les cuisses.



Je m’exécute. J’accélère, ça fait floc floc. Elle se crispe. Elle se mord encore la lèvre.



Je sors mes doigts, et je mets mon majeur sur le clito. J’y vais fort.



Puis elle râle, elle crie. Elle lâche une main qui était sur la remorque, puis attrape mon poignet. Elle manque de s’affaler, elle arrête de crier, puis elle se relâche. Elle me regarde. Elle sourit.



Et on éclate de rire toutes les deux.



La semaine s’est bien passée. Notre dîner avec Louise a eu lieu, nous avons très rapidement évoqué notre aventure sexuelle. Il en est ressorti deux choses. D’une part, pas la peine d’en parler, ce n’est que sexuel. D’autre part, une envie de recommencer ou de continuer, ou de faire autre chose du même genre, dès que possible.


Nous voilà donc en chemin pour Casto-Merlin. Même lieu, même heure, a-t-on dit. Petit doute tout de même, mon baiseur sera-t-il là ? Un truc dont on a perdu l’habitude, avec nos outils de communication moderne, qui nous permettent de maintenir en permanence le contact. Là, comme je ne connais pas le nom du monsieur, pas moyen d’avoir une confirmation.


Sur le trajet, Louise a l’air un peu embêtée :



Nous arrivons devant la cour des matériaux. Encore une fois, mais ai-je besoin de le répéter, le trajet avec la remorque m’a mis dans tous mes états. Je me gare, et nous descendons. Nous arrivons, et je retrouve sans difficulté mon baiseur :



Il sourit :



Je ne réponds pas et j’enchaîne :



Il se tourne et fait un petit mouvement de la tête



J’aperçois en effet un beau mec et une belle nana, sans doute un peu plus jeunes que nous deux, avec Louise. Je me dirige résolument vers eux. Louise reste un peu en arrière :



C’est la femme qui me répond, avec un peu de gêne :



J’y vais directement :



Et je me tourne vers lui.



J’interviens tout de suite.



J’y vais franc-jeu, pour éviter tout malentendu, et ne pas aller plus loin au cas où ça ne le ferait pas. Mais je suis surprise, elle a l’air de se détendre, et de sourire.



Je retourne vers mes comparses :



Et je sors, Louise m’accompagne. Une fois dans la voiture, je demande à Louise :



Cette grange est assez proche de chez moi, isolée, et je sais qu’au pire, si on m’aperçoit, les voisins penseront que c’est pour des matériaux, donc aucun souci. Quelques kilomètres de route, je suis de nouveau excitée.



Nous arrivons. Trois voitures avec remorques. Nous descendons. Mon baiseur est là. Le couple légèrement en retrait. Je me positionne comme cheffe de cérémonie.



Petits signes de tête. Je me sens obligée de poursuivre :



Je me tourne vers Louise :



Je ne regarde même pas le couple. Je mets mes mains sur le timon, Louise m’attache. Je me tourne vers mon baiseur.



Il semble un peu gêné.



Il s’approche de moi. Je regarde droit devant moi. Il soulève ma robe, me la rabat jusque sur mes épaules. Je sens la fraîcheur sur mes fesses, c’est bon.



Et il s’y engouffre. C’est la troisième fois. On dirait que nos corps se connaissent. Je n’ai plus besoin de le guider. Louise s’est mise en face de moi. Elle regarde tantôt moi, tantôt lui. Je vois à son regard qu’elle est déjà bien excitée. Je sens un mouvement à mes côtés, sans doute le couple qui s’est rapproché. Je ne dis rien, je me détends. C’est bon. Sa queue a bien pris possession de ma chatte. Il accélère un peu, il amplifie les mouvements. C’est très bon, très réussi. Je sens le plaisir monter. Il commence à me fesser. Je murmure quelques « oui », ou des « oui, comme ça ». Je relève une dernière fois la tête. Louise a un regard quasi extatique. Je me concentre sur mon plaisir, ça monte, ça monte, je commence à crier, je crie, je crie, puis comme les fois précédentes, le trou noir, mes cris qui semblent me réveiller, et la descente. Il s’arrête, et m’interroge :



Je regarde Louise.



Louise arrive. Elle a les yeux dans le vague. Elle ne parle pas. Je suis libérée, je me retourne vers lui. Je le regarde dans les yeux, et j’enlève ma robe. Je suis nue. Il peut voir mes seins.



Il est là, devant moi, la queue bien dressée, encapotée.



Je me tourne vers Louise :



Louise semble ailleurs :



Elle s’accroche. Je passe derrière elle, et sans discuter, je soulève sa robe. Je descends légèrement sa culotte et je lui demande :



Mon majeur s’introduit entre ses fesses et cherche l’entrée. Il la trouve. C’est chaud et humide. Très humide.



Louise ne dit rien. Je poursuis donc :



Louise ne se démonte pas :



Il me regarde. Il ne semble pas conscient de ma nudité :



Il sourit.



Un vrai gentleman. Ni une, ni deux, il déchire la petite enveloppe, escamote l’ancienne capote, met la nouvelle et se prépare.



Louise est bien cramponnée à la remorque. Elle tend bien ses fesses à l’arrière. Lui, un vrai gentleman, il ne dit rien sur la petite ficelle qu’il a certainement aperçue.



Il y va. Avec ardeur. Je me tourne vers le couple. Je ne saurai décrire leur attitude. Naturelle ? Stupéfaite ? Intéressée ? Excitée ? C’est elle qui parle. Je n’ai pas encore entendu la voix de son conjoint.

C’est très surprenant.

Oui, en effet, je suis moi-même très surprise. Excitant aussi peut-être ?

Je ne sais pas…



Elle se tourne vers son conjoint.



J’interviens.



Elle ne dit rien, mais elle avance sa main, et cherche son sexe. Elle se tourne vers moi.



Le chou ne répond pas, il entraîne sa compagne de l’autre côté, face à Louise. Elle est en robe, elle aussi. Je le vois passer les mains sous la robe, descendre et glisser quelque chose dans sa poche. Il s’approche d’elle, se colle à ses fesses, et vu les mouvements, je pense qu’il s’est introduit en elle. Elle se tient à la remorque, mais je la sens crispée. Je m’approche d’elle. Je suis toujours nue, mais en fait, parfaitement à l’aise, alors que ma copine vient de commencer à se faire sodomiser.



Son homme s’est quasiment arrêté. Il reste fiché en elle, mais sans bouger.



Je me décale, et je lui dis.



Et sans plus attendre, je mets mes deux mains contre leurs sexes. D’un doigt, je titille un clito, de l’autre main, j’attrape la peau des couilles, et je tire légèrement. Je sens très vite que mes caresses sur le clito sont bien accueillies, et l’homme adopte un rythme soutenu, mais maîtrisé. Elle est toujours un peu inquiète.



Je regarde Louise, elle a l’air bien, le regard un peu dans le vague. Je vois qu’elle se retourne vers mon baiseur, enfin, vers son baiseur. Elle lui dit quelque chose. Je n’entends pas, mais je vois qu’il commence à la fesser, et qu’elle sourit.


Mon couple a l’air bien. Je sens la fille se détendre, enfin, se tendre. Elle offre de plus en plus sa croupe à la levrette. Comme je suis très proche d’elle, j’entends sa respiration accélérer. Elle se rapproche de l’orgasme.


Je vois Louise prendre du plaisir, elle ouvre sa bouche. Ses yeux sont dans le vague. Je me lance, et je dis à mes partenaires :



Tous les deux me répondent, en haletant.



Je poursuis.



Je sens que la fille monte encore, j’appuie un peu plus sur son clito, je la regarde comme je peux, elle ouvre la bouche, elle ferme les yeux, elle va jouir. Petit regard à Louise, elle est prête elle aussi. Alors, je sors ma botte secrète, et je dis :



J’accélère encore sur le clito, je lâche la peau des couilles, et je les attrape, je les caresse. Ils jouissent tous les deux, en même temps. Louise crie elle aussi. Je regarde mon baiseur. Il me regarde en souriant. Il n’a pas encore joui. Je sens qu’il va me dire quelque chose. Je lis sur ses lèvres « je peux ? ». Je lui dis « oui », et il jouit à son tour.


Je lâche mon couple. Elle se tourne vers moi.



Je le regarde.



Je devrais ouvrir un cabinet de sexologie. Ou de thérapie de couple. Je cherche ma robe, je la trouve, je l’enfile. J’ai peut-être un peu de sperme sur les doigts, mais ce n’est pas grave, même si c’est la première fois que je touche un sperme qui ne m’est pas destiné.


Je reviens. Ils sont tous accoudés à ma remorque. Personne ne parle.



Ils ont tous l’air d’être d’accord.



Et c’est comme ça que j’ai créé le site www.jaimemaremorque.org et la boîte jaimemaremorque@gmail.com, où vous pouvez m’écrire, anonymement, pour que j’organise des rencontres. J’ai déjà beaucoup de demandes, et de témoignages.


Cela marche si bien que j’envisage d’ouvrir une activité d’autoentrepreneur ! Mais la priorité reste tout de même de retaper ma petite bicoque. J’ai fini par faire connaissance avec mon baiseur. Excellent baiseur, et excellent bricoleur !