Jean-Claude vu par Jean.

Nous sommes un couple de jeunes retraités, étant d’anciens fonctionnaires, et comme il faut bien occuper nos temps libres nous avons choisi de faire des activités diverses et variées, et nous avons chacun les nôtres. Pour moi, Jean, les après-midis, le lundi cours photo, le jeudi tarot belote avec le club des anciens, et le reste du temps gestion du club des pécheurs à la ligne dont je suis le président et le bricolage de notre maison. Pour mon épouse, Sophie, le lundi après-midi club café-tricot et aussi plusieurs cours de gym, du stretching je crois, son bénévolat au secours populaire et sa passion pour les fleurs. Nos seules activités communes sont le vendredi matin les courses au LIDL voisin et le mercredi après-midi nos 10 à 20 km de marche avec le club des joyeux marcheurs de notre canton et quelques fois le dimanche après-midi.

Donc ce lundi là je rentre des cours photo vers 18 h et je m’installe devant la télé. Je suis étonné de ne pas voir Sophie car normalement avec son club café-tricot elle est déjà rentrée. Bon, les femmes ça papote toujours un peu. Je regarde « c’est dans l’air » quand j’entends la porte et mon épouse me lance dans le couloir.

• — Bonsoir mon chéri, je vais prendre une douche.

C’est vrai qu’en cette fin de soirée d’été la chaleur est là, mais c’est bien la première fois qu’elle en prend une le soir ou quand il fait vraiment trop chaud. Au bout d’un moment elle revient habillée d’un short et d’un tee-shirt, ses seins pointent au travers.

• — Qu’est-ce qu’il t’arrive ? le tricot était trop difficile, la maille endroit avait des problèmes avec la maille envers ? je lui lance en rigolant.
• — Non, mais dans le café la clim était en panne et, comme je vais chez le coiffeur demain matin, j’en ai profité pour me laver les cheveux.

Le repas se passe bien, mais je trouve mon épouse très silencieuse, pas bien dans son assiette, différente que d’habitude. Je la questionne, tout va bien ma chérie ? des problèmes ? « non », qu’elle me répond, « un petit coup fatigue peut-être ». La soirée se passe bien devant le téléfilm policier et quand nous sommes sur le point d’aller se coucher.

• — Je n’ai pas été au café-tricot cet après-midi, me dit-elle en se levant.
• — Ah bon !
• — Oui ! j’ai passé l’après-midi avec un ami.
• — Une amie ?
• — Non, avec un ami.
• — Et vous avez-fait quoi ? je lui demande.
• — A ton point de vue, que peut-on faire un homme avec une femme ?
• — Hein ! quoi ? avec qui ? mais pourquoi ?
• — Parce-que j’en avais envie et lui aussi.
• — Et c’est qui ? Je le connais, cet ami ?
• — Oui, un ami de trente ans.
• — Qui ?
• — Jean-Claude.
• — Jean-Claude ?

Effectivement c’est vraiment un ami d’au moins trente ans. On a fait beaucoup de sorties et repas avec notre cercle d’amis, il est chasseur et avec les pécheurs nous avions beaucoup d’activités communes. D’autre part il faisait partie du comité des fêtes de notre commune nous nous sommes bien amusés ensemble, nous étions de tous ses bals ou festivités. Nous nous sommes perdus de vue au décès de son épouse, il y a vingt ans quand il a demandé sa mutation pour Lyon. Il est revenu vivre dans la commune avec une nouvelle copine, il y a dix ans environ.

Depuis son retour on se voit tous les mercredis à la marche avec sa copine, il discute souvent avec Sophie, elle l’avait bien aidée au décès de sa femme, étant contrôleur des impôts. Il est joyeux et très sympa, un bon ami.

Un jour sa copine n’est pas venue, elle était partie le week-end chez son fils nous dit-il. Et les semaines suivantes non plus. On ne l’a pas revue. Il a avoué à Sophie qu’elle était partie définitivement. Et mon épouse m’avait bien fait rire quand elle m’a dit que Jean-Claude s’était inscrit sur des sites de rencontres et que toutes les femmes qu’il avait contactées n’avaient rien à voir avec les photos qu’elles avaient mises sur le site. Bref il n’avait rien à se mettre sous la dent ou dans le lit.

• — Et comme il ne trouve rien, tu fais les bouche-trous ?
• — Exactement, me dit-elle en souriant, juste le temps qu’il retrouve quelqu’un.
• — Et il baise bien ? il t’a bien fourrée ? T’as pris ton pied, j’espère.
• — Ne sois pas scabreux, tu sais que je t’aime, mon amour.

Sophie s’en va se coucher et me laisse seul devant la télé. J’ai pris un bon coup, ma Sophie se fait baiser par un amant qui est un copain aussi ! Jamais je n’aurais imaginé cela. C’est vrai qu’elle est encore une très belle femme, sa gym et ses activités sportives l’ont bien conservée. Quarante ans de mariage se sont écoulés, nous faisions l’amour assez régulièrement je crois, elle aimait bien cela, la levrette couchée sur le côté était sa position préférée. Était, car depuis deux ou trois ans j’ai des problèmes de cœur, une pile et d’autres traitements. Je ne bande plus, plus aucune libido, bref plus rien, calme plat. J’ai eu du mal à en parler à mon toubib, ma fierté d’homme peut-être. Pas possible les médicaments, me dit-il, type viagra ou autre, le cœur n’y résisterait pas, la seule solution serait des piqûres dans le pénis avant le rapport, alors là non, pas question de piqûre, j’ai horreur des piqûres. J’ai essayé les sites porno, ça fait de l’effet sur le coup mais au lit, crac débandade. Je me suis résolu avec Sophie de ne faire que des préliminaires, caresse sur les seins, le minou, doigter et c’est tout. Je vois bien que pour mon épouse ce n’est pas satisfaisant, mais Sophie me dit que cela lui suffit. Elle n’a jamais été active dans nos débats, elle attendait que je fasse le boulot.

Je la rejoins au lit, elle lit un dernier livre de Musso, je lui tourne le dos, bon c’est bête, je me retourne, et passe ma main sur la cuisse. Sa nuisette est bien relevée, je remonte sur son pubis crépu.

• — Il t’a fait du bien, j’espère ?

Elle me regarde et sourit. C’est bizarre je sens une excitation dans mon corps et je crois bien même un semblant de bandaison. Je caresse sa cuisse, elle ne dit rien, et remonte sur son bouton, et insère mon doigt dans son vagin.

• — Arrête, ne va pas trop loin, il doit rester des traces de JC (Jean-Claude) me dit-elle en souriant.
• — Quoi ! il ne met pas de capote ?
• — Tu crois qu’il peut me mettre enceinte ? ça m’étonnerait.

Je suis baba, je les revois en train de baiser, ça y est, je bande. Je lui caresse les seins, elle pose son livre et éteint sa veilleuse. C’est vrai qu’elle préfère l’amour dans le noir ou la pénombre. Je la retourne et je l’enfile, pas difficile elle mouille, elle est trempée. Je lui fais l’amour mais ce n’est pas moi, dans ma tête c’est JC qui la baise. Après quelques va-et-vient et mes années d’abstinence (forcées) je lâche toute ma purée. C’est bon quand même ! merci JC je me dis.

• — Eh bien cela te fait de l’effet d’être cocu ! j’aurais dû commencer avant.
• — Que comptez-vous faire maintenant ? Tu veux me quitter ?
• — Ça va pas ? JC est un coureur, un bon baiseur aussi, mais pas un mari. On a décidé de se voir les après-midis où tu n’es pas là, le lundi ou le jeudi, et tu sais bien que je t’aime.
• — Il te fait du bien ? tu prends ton pied ? tu as du plaisir ? des orgasmes ? ça fait bizarre, ce sont des mots que je n’en ai jamais prononcés.
• — Arrête ! allez, on dort !

Elle se met en chien du fusil, je me colle à elle, ma main sur le ventre. J’ai du mal à m’endormir, ça tourne dans ma tête. Comment peut-on être excité d’être cocu ? car c’est bien de cela qu’il s’agit. Pendant que je lui faisais l’amour c’est l’image d’elle et de JC que je voyais. Elle a eu des orgasmes, j’espère, JC est un grand gaillard, plus grand et costaud que moi. Demain, pendant qu’elle sera à son cours de gym, je regarderai sur internet. Et là je tombe sur un site porno amateur, il y a plusieurs catégories de vidéos dont une, trio, que je m’empresse de regarder. Des femmes avec deux ou trois hommes ! Donc je ne suis pas un cas, ça me rassure. On voit le mari prendre du plaisir à regarder sa femme se faire baiser.

C’est vrai en y pensant que, n’étant pas grand danseur, j’avais plaisir de voir ma femme danser avec les amis, la valse avec sa petite jupette qui volait et laissait apercevoir sa petite culotte. Je suis aux anges, tiens déjà avec JC ? et la fois quand après son premier accouchement elle a eu droit à des séances de kiné, je suis allé dans les toilettes me branler en y pensant ? et à la plage quand elle faisait seins nus ? et au camping l’été avec juste un grand tee-shirt et son string (c’était sa période string qu’elle a arrêté depuis).

Je revois JC à la marche le mercredi suivant, son attitude est exactement la même que d’habitude. En marchant je le regarde, « mon salaud » je pense, « tu es bien un enfoiré ». Les jours suivants (les après-midis de baise), je n’ai pas la tête à moi, toujours cette vision de Sophie et JC dans leurs ébats. Quand elle revient, elle ne passe plus à la douche, son sexe est encore poisseux du sperme de son amant, ça me met en transe et même une fois je lui ai fait l’amour deux fois de suite. Un soir elle m’annonce que ça y est, JC a enfin trouvé une copine et que c’est fini entre eux, sauf les jours d’absence de sa copine, bouche-trou encore !

Un samedi soir elle me dit que JC l’a conviée au restaurant pour lui présenter sa copine, je ne rentrerai pas trop tard, pas de plan à trois ! Elle s’habille chic, elle est vraiment belle ! et en partant elle sort de son sac une clé USB, me la tend.

• — J’ai hésité, regarde la clé si tu veux, c’est le cadeau offert par JC, je te préviens… c’est… spécial, me dit-elle en me faisant un bisou sur le front.

Et elle s’en va. Je reste là comme un con avec la clé dans la main, je la pose vers la télé. Je me sers un whisky et regarde la télé, seul sur mon fauteuil, match de foot ce soir, PSG contre l’OM, première mi-temps rien de concret. A la pose je me décide, le cœur battant, à regarder cette fameuse clé. Je l’insère dans la télé et apparait une vidéo « Sophie 12 août ».

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Sophie 12 août.

La vidéo commence. Dring, la sonnette de la porte, JC l’ouvre et apparaît Sophie.

• — Oh, Sophie tu es sublime ! j’espère que le dessous et aussi joli que le dessus.
• — Ne sois pas impatient !

C’est vrai qu’elle est belle dans cette jupe fleurie et son corsage blanc. JC la prend dans les bras et l’embrasse sur la bouche. Il l’entraîne vers le divan, le café est sur la petite table. Elle s’assoit, lui se met à coté la main sur sa cuisse, et remonte vers sa culotte. Il remonte sur son entrejambe.

• — Oh, tu as mis ton ensemble blanc en dentelle, enlève ta jupe.

Elle se lève et retire sa jupe et défait son corsage. Elle est resplendissante, je n’avais jamais vu son ensemble, il est en nylon transparent qui ne cache rien de ses appâts en dessous. JC ne peut s’empêcher de lui malaxer les seins.

• — Du calme, on boit le café, ne sois pas trop pressé.

JC seulement vêtu d’un short et d’un tee-shirt enlève le haut. Il n’est pas mal pour son âge, je me dis, pas de bidon comme moi. Il se penche vers mon épouse et dégrafe le soutien-gorge, ses lourds seins tombent et sont maintenant à l’air. Il enlève son short et, seulement vêtus de sous-vêtements, ils boivent leur café. JC repose sa tasse et Sophie aussi. Il retire à présent son slip laissant apparaitre un sexe gros et costaud (quelle bête !), mon épouse sourit et le prend en main, soupèse ses bourses. Elle le caresse et lui fait un baiser sur le gland, elle l’engloutit maintenant et le pompe, elle me l’avait fait au début du mariage mais plus depuis longtemps. JC la repousse et la met sur le dos, il lui retire sa culotte et écarte ses cuisses.

• — Oh ! que c’est beau !

Il caresse son minou, fouille dans sa toison et enfonce un doigt dans son intimité.

• — Tu es toute mouillée !

La caméra s’approche de son puits d’amour, le clito en gros plan, JC approche son visage et sa bouche est sur son sexe, la langue fait des va-et-vient, tourne autour des grandes lèvres et donne des petits coups sur le clito, on voit bien que Sophie apprécie, ses mouvements de bassin et ses « oh ! » l’attestent. La langue pénètre son sexe et les mains emprisonnent les seins, les mamelons malaxés entre le pouce et l’index. Ça y est ! Sophie se cabre, elle explose dans un orgasme puissant. Je bande. JC arrête, son sexe est droit, il bande aussi.

• — Viens, baise-moi ! dit mon épouse. (Elle ne l’avait jamais dit, d’ailleurs tous nos ébats étaient très silencieux).

JC se met à genoux, prend la taille de ma femme, l’attire et approche son sexe. Il donne des petits coups à l’entrée du vagin, il s’amuse. Sophie est impatiente et lui demande de la remplir. Son gros sexe s’enfonce lentement et arrivé au fond, il lui prodigue des va-et-vient toujours aussi lentement. Ses mains sont sur sa taille, Sophie fait des petits cris, elle apprécie, elle met ses mains sur le derrière de JC et le bloque, elle demande qu’il reste au fond de sa matrice, elle arrive à son nouvel orgasme. Son amant s’arrête et lui caresse les seins et le ventre.

Elle a joui mais pas JC. Après un petit moment il lui demande de se retourner. Elle s’exécute. Il lui écarte les cuisses et positionne son sexe et à nouveau l’emmanche. Son pouce tourne autour de son anus en même temps qu’il la baise, Sophie pousse encore des soupirs. JC accélère le mouvement et en criant s’immobilise, ça y est, il éjacule dans mon épouse. Il continue un court instant et se retire, la caméra s’avance et je vois le sexe béant rempli de sperme qui s’écoule. JC met le doigt dessus et fait des tours autour de son clito (il est énorme, tout rouge).

• — Bien mon salaud, tu m’as encore bien baisée. Puis se tournant vers la caméra envoie un baiser en ma direction. Tu as apprécié mon chéri ? me lance-t-elle en souriant.

Elle prend du sperme avec son doigt et le met dans sa bouche, elle me regarde encore.

Le film s’arrête et reprend sur la terrasse de la maison. Sur la petite table se dresse trois verres et une bouteille de champagne. Pourquoi trois verres ? Évidemment je n’ai pas percuté, les mouvements de caméra sont dus à une ou un caméraman. La caméra se fige, la table est dans l’objectif. JC et Sophie sont nus, JC sert les flûtes et demande au cameraman de venir, il s’avance, et oh stupeur c’est un jeune homme noir qui se présente.

• — Félix ne reste pas comme cela, enlève ton short et viens t’asseoir.

Sophie pousse un oh de surprise en voyant son sexe.

• — Tu t’es déjà tapé un black ? demande JC.
• — Non, répond Sophie en s’esclaffant.
• — Tu veux essayer ? tu vas voir, Félix va te faire découvrir d’autres horizons.
• — Euh ! t’as vu son sexe ? il va m’exploser !

Félix s’approche, se met derrière mon épouse et plaque ses mains sur les seins. Il lui caresse les épaules.

• — Tu vas goûter et après tu ne pourras pas dire que ce ne sera pas exceptionnel.
• — Laissez-moi déguster mon verre et après on verra, lui répond-t-elle en lui caressant le sexe.

Le film reprend, on voit JC apporter des matelas de plage et les disposer au sol. Il prend Sophie par la main et lui demande de se mettre dessus. Félix se dirige aussi vers le matelas, ils sont debout, le black se colle à elle, il l’embrasse, il lui caresse les fesses et le ventre, j’aperçois que son pouce est entré en elle, toujours leurs bouches rivées ensemble, il la couche sur le matelas, JC reprend la caméra, maintenant couché au côté de mon épouse. Félix lui caresse les seins, le gauche avec ma main et l’autre avec sa bouche. La caméra fait des gros plans sur eux.

• — Si tu as peur, viens sur moi, tu agiras comme tu veux, dit Félix.

Mon épouse se retourne et vient au-dessus de son amant, elle est à genoux, le sexe du noir est maintenant en gros plan, celui de Sophie aussi, elle le prend dans la main et le passe et repasse entre ses lèvres, elle s’arrête le gland un peu inséré. Sophie commence sa descente en poussant des « ah ! oh ! » en s’esclaffant. Le sexe tout entier est maintenant entré et durant les va-et-vient, Sophie hurle, « c’est trop bon » ! Son amant la plaque contre lui, on voit nettement son petit trou, la caméra fait encore des gros plans sur leurs sexes emmanchés et aussi le visage de mon épouse. La caméra se fige et prend comme objectif les sexes. La main de JC apparaît avec un tube de vaseline ( ? ) et en badigeonne l’anus, il présente son sexe à l’entrée et après quelques poussées s’introduit dedans. Il l’encule ! Elle n’avait jamais voulu cela, « c’est sale, pas bien », me disait- elle ! et je n’ai jamais insisté. Sophie nous fait une double, elle hurle ! après quelques instants JC se retire, son sexe dégoulinant de sperme, Sophie s’active encore et s’immobilise, elle soupire, Félix aussi a déchargé. JC a repris la caméra et reprend ses gros plans. Sophie est assise sur son amant.

• — Mes salauds, quel pied ! je n’ai jamais connu cela, merci. Puis elle s’adresse à Félix, tu bandes encore ? je la sens encore !

Elle bouge son bassin en faisant des ronds, la caméra est sur son visage, ses seins ballottent, elle ferme les yeux et pousse des soupirs, ça y est un autre orgasme se pointe. La caméra est sur son dos, elle se retire, le sperme coule de son sexe. Elle se retourne et se met sur le dos, les cuisses écartées, les deux hommes sont sur le côté, ils lui écartent un peu plus. JC lui nettoie le sexe avec un sopalin tandis que Félix lui caresse le ventre.

• — Merci les amis, je n’en peux plus, je ne sens plus mon sexe ni mon cul, JC t’es gonflé ce n’était pas prévu mais cela est une découverte pour moi, il faudra reprendre calmement pour que j’apprécie encore plus.
• — Pas avec moi, lui répond JC mais plutôt avec Félix.

La dernière scène se passe dans la douche où l’on voit Félix savonner mon épouse, ils rigolent, il la retourne, lui demande de se pencher un peu et il l’encule, les mains sur les seins il la pistonne, elle pousse encore des cris qui sont étouffés par le bruit de l’eau qui coule.

Le film s’achève sur le visage de mon épouse, elle m’envoie des baisers, « je t’aime ».

Mon slip est trempé, j’ai déchargé. Merci Jean-Claude.

Jean-Claude vu par Sophie

Quand Jean-Claude m’a demandé de baiser avec lui j’ai souri, cela faisait quelque temps que je le voyais arriver avec ses gros sabots, déjà la semaine dernière, à la marche, il me l’avait sous-entendu et j’ai fait semblant de ne pas comprendre. C’est parce qu’avec JC ce ne serait pas la première fois. Il a été mon premier et seul amant il y a bien longtemps, presque vingt ans, c’était après le décès de son épouse, il avait fait appel à moi pour l’aider, étant contrôleur des impôts, dans les démarches administratives.

Et là, il m’a bien baisée dans tous les sens du terme, le joli cœur m’avait émue dans sa peine, il pleurait sur son compte, qu’il n’avait plus fait l’amour depuis longtemps avec la maladie de sa femme. Il m’a sautée sur le coin de la table par surprise, je me suis laissé faire, prise au dépourvu. JC m’a réveillée sur le plan sexuel endormi en quinze ans de mariage. Notre liaison n’a pas duré longtemps car il est parti pour sa mutation professionnelle.

Baisée dans tous les sens car le joli coco m’a complètement eue, il n’était pas ce qu’il m’avait dit, il avait une maîtresse et il était, comme on disait à l’époque, un casanova, un coureur de jupons, il courait auprès sur la gent féminine, maintenant il aurait affaire à la justice comme harceleur, mais il m’a donné des orgasmes que je n’avais plus depuis un certain temps pris dans les habitudes de notre rapport hebdomadaire.

Cela m’a réveillée. Tromper mon mari ? oui ! mais cela lui enlève quoi ? rien ! je ne me sentais pas culpabilisée et quand l’occasion s’est reproduite cela ne m’a pas posé de problèmes particuliers. Carpe diem (profite du temps présent) est ma devise.

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Au revoir Jean-Claude et bonjour Félix !