Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21435Fiche technique12563 caractères12563
2172
Temps de lecture estimé : 8 mn
14/01/23
Présentation:  L’adultère sert de piment dans un couple.
Résumé:  Elle passe l’après-midi avec un mec et la soirée avec son mec.
Critères:  fh couple collègues hotel noculotte fellation -extraconj -candaul
Auteur : Et go !
Adultère entre adultes consentants

L’ amant est ravi. Une nouvelle fois, le petit coq fiérot vient de passer un superbe après-midi avec une femme qu’il a baisée à sa convenance, et qui lui a semblé ravie et satisfaite de sa prestation. Il faut dire qu’il lui a fait étalage de toute sa connaissance du Kama Sutra : pendant deux heures, il l’a caressée, pincée, pétrie, léchouillée, léchée, sucée, mordillée, a pénétré plusieurs fois dans son corps, dans diverses positions, par plusieurs entrées, sans frapper, mais en cognant gaillardement son ventre contre des fesses très accueillantes…


Et pourtant, au début du repas, l’affaire n’était pas dans le sac et la dame pas encore sur les draps. Ça faisait plusieurs mois qu’il tentait de détourner du droit chemin conjugal cette belle collègue quadragénaire, au corps rebondissant de rondeurs. D’apparence réservée, même si elle n’avait pas toujours détourné son regard du sien, elle avait, par contre, toujours évité habilement ses mains frôleuses et son ventre, qu’il avait tenté, à plusieurs reprises, de plaquer contre ses fesses afin de lui signifier la fermeté et la vigueur de ses intentions.


Après avoir essuyé plusieurs refus, sous divers prétextes plus ou moins valides à son goût, il avait réussi à lui arracher un repas « strictement professionnel, entre collègues amis ». À table, quand il avait, dès l’apéritif, lancé sa jambe à la conquête des mollets de la dame, celle-ci avait retiré sa jambe hors de portée. Son second assaut avait reçu la même réponse, accompagné d’un « Voyons… ». La troisième tentative avait provoqué la même fuite, mais elle avait murmuré « Ce n’est pas bien, ce que tu fais… Je suis mariée, tu sais, et j’aime mon mari… ». Lors de son assaut suivant, elle baissa les yeux en rougissant, mais sans retirer sa jambe de la scène de crime et lors de la cinquième attaque, elle le laissa lui caresser la jambe, puis accepta que sa main se pose sur sa cuisse, et ponctua même sa remontée vers l’amont de son entrejambe par une profonde expiration, les yeux clos…


L’affaire s’était engagée donc sur de bons rails et, sans commettre d’impairs ni d’erreurs, en habitué de tels détournements d’épouses soi-disant fidèles, il sut l’aiguiller vers une chambre anonyme de l’anonyme hôtel voisin. Elle protesta un peu de sa vertu, prétendit qu’en dehors de son mari, il était le premier homme à l’embrasser, à la caresser, à la déshabiller, puis ne dit plus rien, se contentant de faire ce qu’il lui demandait, de faire et d’exhaler moult soupirs, de pousser quelques « Non… » plaintifs puis, à la grande satisfaction de l’homme, au fur et à mesure de sa progression sur et dans son corps d’ex-femme vertueuse, de nombreux « Oui ! » accompagnés de petits, puis de plus grands cris, très exaltants pour tout mâle qui se respecte.


En sortant de la chambre, il passa un bras possessif autour de la taille de sa maîtresse et, en sortant de l’hôtel, dans le but d’assurer un autre rendez-vous, il tenta de l’embrasser, mais il fut surpris qu’elle lui refusât ses lèvres et qu’à la place du baiser attendu, elle lui dise :



La femme adultère dépose un petit baiser sur les lèvres de l’amant, puis prend son temps pour lui répondre :



Décontenancé par le petit rôle de camarade de jeux qu’on lui a fait jouer, hagard, humilié par l’évidente ingratitude de sa maîtresse, l’amant la voit se diriger vers une berline noire, garée à une vingtaine de mètres de lui, s’asseoir à côté du conducteur, se jeter dans ses bras et l’embrasser avec passion un long moment. Il voit les mains du mari, qu’il a pourtant allègrement « trompé » pendant l’après-midi, ceindre le corps de la femme adultère, puis se glisser sous son manteau et, sans cesser de l’embrasser, la peloter fiévreusement, avec une avidité digne d’un puceau boutonneux.



Quand la femme adultère entre dans la voiture, le mari l’accueille par un regard amoureux, la prend dans ses bras et, clouant ses yeux dans ceux de son épouse, il prend sa bouche, en même temps qu’il ouvre quelques boutons du haut de sa robe, glisse une main dans la brèche et empaume l’un de ses si beaux nichons qu’il découvre nus…



Les caresses de son mari lui arrachent un soupir. L’épouse infidèle pose une main sur celle de son mari afin de la retenir. Celui-ci ouvre sa braguette, en sort son sexe, se saisit de sa main libre et le lui fourre dedans. Tout en reprenant son souffle, rougissante, encore pleine du plaisir de son dernier  amant, elle ne se dérobe pas, saisit son sexe, le caresse adroitement, flattée par cet hommage à sa beauté et à son libertinage. Il profite de son frisson pour insérer ma main entre ses cuisses, atteindre son pubis, et caresser son sexe encore suintant de la concupiscence de son  amant, lui arrachant un soupir. Son sexe lui fait mal, tant il est gonflé et dur, et il a grande hâte de goûter au sexe de sa femme, qu’il sent brûlant et en attente du sien, mais elle l’arrête en lui disant, en souriant :



Après un très long quart d’heure de conduite troublée par de bouillants échanges de regards, qu’il adresse à ses seins, qu’elle adresse à sa braguette, ils sont chez eux. La porte est vite franchie par le couple fébrile qui se rue dans leur chambre.


La femme adultère est déposée par son mari sur le lit conjugal, comme un gâteau qu’il s’apprête à déguster, avec grand appétit…

Il a l’air d’être dans les meilleures dispositions : la fin de ma soirée va être animée

Son regard se trouble de désir, ses lèvres s’emparent à nouveau des miennes, sa main m’enlace pour me presser contre lui… il bande dur… ouaouh… il s’empare d’un sein, le masse vigoureusement, en pince le tétin. Mais alors que je commence à ronronner, je le sens faire machine arrière et me dire :



Afin de titiller son désir de moi, je fais mine d’hésiter un petit peu, puis feins de céder à contrecœur, alors que mon sexe a une énorme envie de son désir de moi, de son érection qui, avant de me combler, me flatte. Et nus tous les deux, sa main gambadant sur mon corps, me malaxant un sein ou s’aventurant sur et dans mon sexe, j’éprouve quelques difficultés à parler, mais, le ventre et le cul encore pleins de mon récent adultère (mais pas la bouche… j’ai tout avalé ! ), ravie de mon retour à la lubrique sexualité conjugale, j’entreprends de lui raconter :




  • — À peine étions-nous à table qu’il a commencé par me faire du pied. Au début, pour tester son envie de moi, j’ai feint de lui résister, puis, progressivement, je lui ai cédé. Vers la fin du repas, ses mains ont parachevé l’occupation du territoire conquis et se sont glissées sous ma robe. Là, j’ai dit stop (je n’allais pas me faire trousser en public ! ) et il m’a proposé d’aller à l’hôtel voisin, ce que j’ai accepté en minaudant. À peine entrés dans la chambre, il m’a poussée contre le mur et ses doigts se sont attardés dans ma fente, à la recherche de mon clitoris en érection, qu’ils ont facilement trouvé et qu’il a caressé jusqu’à me provoquer un premier orgasme, que je lui ai signifié par un petit cri, avant qu’il ne pousse plus loin et qu’il ne s’aventure dans l’oasis qui commençait à s’inonder. Puis son doigt a exploré consciencieusement ma chatte et je ne me suis plus retenue, j’ai collé ma tête sur son épaule pour déposer mes cris dans son oreille…






  • — Sans attendre davantage, il a dégrafé sa ceinture, descendu son pantalon et son slip ; il m’a adossée contre le mur, descendu ma culotte, ses mains ont soulevé mes fesses, et il m’a pénétrée avec vigueur et fermeté. Après m’avoir ramonée quelques minutes, il m’a dit à l’oreille : « Petite cochonne, tu cachais bien ton jeu, mais je vois bien que tu aimes ma queue ».

Puis il a retiré son sexe de mon vagin et m’a poussée vers le lit, en me doigtant à nouveau, pressant son sexe contre mon ventre nu. Ma chatte frissonnait de l’envie d’accueillir à nouveau son sexe. Je me suis allongée sur lit et ai écarté les jambes pour l’inviter à revenir en moi, sur moi, mais il les a relevées sur ses épaules et a introduit à nouveau son sexe dans mon vagin maintenant bien lubrifié et, les jambes repliées sur ma poitrine, sans cesser de gémir, devenue aussi vulgaire que lui, je lui ai dit : « Viens, défonce-moi… »

Emportée par les vagues de plaisir, j’ai ahané au rythme de ses coups de boutoir. Mais je voyais bien qu’il faisait des efforts pour se retenir, alors j’ai mis fin à sa souffrance : j’ai poussé un cri, un seul, rauque, sauvage, et j’ai fait semblant de jouir. Surpris par ce cri, il n’a pas pu se retenir davantage et a conclu vigoureusement son assaut en inondant mon vagin de son foutre.

Après un petit temps de repos, nous avons remis le couvert et, avant de nous quitter, à sa demande, je l’ai sucé, mais tout ça, je te le raconterai une autre fois…

Maintenant, mon chéri, j’ai très envie de sentir ton corps s’appuyer contre mon corps, tes lèvres et tes mains caresser mon corps, ton sexe entrer dans mon sexe…

Baise-moi !