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n° 21444Fiche technique21250 caractères21250
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Temps de lecture estimé : 13 mn
16/01/23
Résumé:  Une femme est sous le contrôle des désirs de son amant.
Critères:  fh ffh couple couplus cadeau sauna caférestau toilettes amour fsoumise hdomine massage caresses fellation pénétratio yeuxbandés init -couple
Auteur : Uneplumedansunebulle      Envoi mini-message
Le sauna



La discussion partait mal. Sur une incompréhension, en plus ! Paul clôt le débat, mais reste sur son idée. Cet échange aura au moins eu le mérite de clarifier certains sujets. Il n’est d’ailleurs pas ouvert à l’échangisme, mais il aimerait découvrir le plaisir de se savoir regardé, de déclencher des envies, de s’alimenter du regard, des gémissements, et des actes des autres. Ce qu’il aimerait aussi, c’est qu’elle se rende compte à quel point elle est belle et sensuelle. Qu’elle prenne conscience du plaisir qu’elle procure. Mais Virginie n’est pas prête pour cela. Par contre, il la sent désireuse de se retrouver dans une situation où elle se sentirait regardée, désirée à son insu, ou presque…


Donc, il lui sert un verre de vin, et ils s’installent confortablement l’un contre l’autre. Pendant ce week-end ils vont profiter ensemble. Déjà leurs corps se rapprochent. Leurs mains retrouvent la douceur de leurs peaux, leurs corps se réveillent sous l’effet des caresses. Ce qu’elle ne sait pas encore, c’est que ce soir elle ne jouira pas. Ni ce soir ni demain. Ils vont faire l’amour, il va la caresser, l’amener le plus loin possible. Virginie se rendra compte à un moment qu’il désamorce tous ces moments-là, où, sous l’effet de ses caresses, elle pourrait s’abandonner. Alors, lorsqu’elle lui posera la question, le corps chargé de cette énergie, de cette envie, le souffle court, Paul lui glissera délicieusement ses intentions, au creux de l’oreille. Il s’imagine déjà le moment où elle va comprendre, il veut voir son regard, mélange de déception et défi…


Le moment attendu est là. Il se délecte et prend plaisir à voir son expression. Elle le toise, joue de ses charmes pour faire infléchir la volonté de Paul. Maintenant elle sait qu’elle n’est pas autorisée à prendre du plaisir, les caresses de Paul vont être plus prononcées. Ce n’est plus à lui de gérer son excitation, c’est à elle de se retenir. Il pousse ses caresses, met du temps lorsqu’elle lui demande d’arrêter. Il sent ses mains pousser son visage pour décoller sa langue de son clitoris lorsqu’elle est trop présente. Il va chercher ses dernières résistances pour la pousser au bord de l’orgasme, glisse ses doigts en elle et recherche ses délicates zones qui lui font tant d’effet. Dans son regard joueur, Virginie lit toute l’envie qu’elle est en train de faire monter en lui.


Au creux de l’oreille, il lui souffle ce qu’il va lui faire, ce qu’elle va subir. Elle sait que lorsqu’il prendra du plaisir, elle sera à la limite du sien, sans avoir le droit d’en profiter. La situation l’excite beaucoup. Lui aussi se contrôle pour faire durer le plaisir… sous ses doigts, la pointe de ses seins devient sensible, réceptive au moindre souffle, à la moindre sollicitation de sa langue… elle se cambre sous l’effet des caresses, cherchant le contact, cherchant la caresse qui la délivrera… c’est dans cet état qu’il lui demande de se mettre à genoux au milieu de la pièce. Il lui tend un foulard avec lequel elle doit se bander les yeux.



En même temps, il lui attache les mains dans le dos avec un deuxième foulard. Elle est belle ainsi offerte. Il corrige sa position, lui écartant un peu plus les genoux pour qu’elle lui offre le spectacle de son sexe offert, ouvert par l’excitation. Il a envie d’elle. Il monte le son de la musique pour la désorienter un peu plus. Il laisse ses mains se promener sur son corps, sur ses lèvres, sa langue et descend ses doigts mouillés sur le bout de ses seins… Elle est réactive. Il s’éloigne pour la regarder, profiter de la vision de ses courbes. Ses mains écartent encore ses cuisses. Elle est dans une position indécente. Positionné près d’elle, il lui caresse le dos, descend le long de sa colonne pour lui saisir les fesses sans ménagement. Son pouce vient jouer avec son anus… le caresser délicatement, pendant que son autre main vient se placer sur son sexe… enfin presque… il écarte ses doigts afin de juste effleurer ses lèvres, sans prendre le risque de caresser son clitoris…



Mais il n’en fait rien, juste des paroles pendant que son pouce s’aventure en elle.


Virginie est belle, il s’écarte à nouveau pour la regarder. Il a envie de lui donner du plaisir. S’il ne s’était pas donné comme objectif de tenir le programme, ils s’abandonneraient ensemble. Il s’allongerait la tête entre ses jambes, lui guiderait le bassin jusqu’à sa bouche et dans cette position, avec ses lèvres, il la mangerait, la goûterait, l’explorait avec sa langue, avec ses doigts. Elle prendrait du plaisir dans sa bouche, les fesses prises par ses doigts, le sexe rempli par sa langue. Mais ce n’est pas le programme… une autre fois.


Alors, il lui raconte son envie. Et elle, elle veut lui donner du plaisir comme cela… il passe sa main entre ses jambes et glisse sur son sexe humide. Un râle de plaisir s’échappe de la bouche de Virginie. Paul en profite pour y glisser ses doigts, et lui faire goûter son plaisir… dans un baiser fougueux, ils partagent cette envie… La main de Paul glisse sur son menton. Il approche son sexe de son visage. Son membre se frotte à ses joues avant de venir titiller ses lèvres.



Il sent sa langue venir le caresser… humm le plaisir monte en lui. Ses caresses du bout de la langue sur le bout de son sexe lui procurent beaucoup de sensations. Il lui parle, lui dit que sa langue est délicieuse. Sur une pression du bassin, il la pénètre doucement, mais profondément sans lâcher son menton. Le visage plaqué contre son bassin il reste ainsi profondément en elle. Il aime cette sensation. Doucement il répète ce mouvement, ses caresses entre le bout de sa langue et le fond de sa gorge. Son plaisir monte… alors avec plus de vigueur il la pénètre sans ménagement, utilisant sa bouche comme son sexe, lui laissant juste le temps pour reprendre son souffle.


Il pose ses mains de chaque côté de sa bouche pour bien guider son sexe en elle. Elle s’applique a bien serrer son membre entre ses lèvres. Sa langue vient le caresser au passage… elle sait qu’il ne va pas tarder à exploser en elle. Dans un râle puisant, Virginie accueille en elle le plaisir de Paul…


Doucement il l’aide à se relever. Avant de la détacher, il embrasse avec passion cette bouche qui vient de lui donner tant de plaisir.


Une fois débarrassée de ses entraves, elle vient se lover contre lui. La serrant dans ses bras… il la sent excitée… alors il la serre encore plus fort. Déjà il pense à demain et sourit à l’idée de la suite du programme.



Après un réveil plein de caresses, les deux amoureux se préparent pour le déjeuner. Paul guide Virginie dans le choix de sa tenue, décontractée, qui la met en valeur. Une petite jupe et un chemisier laissant deviner la naissance de ses seins.


Sur le pas de la porte, avant de sortir, il la prend dans ses bras, l’embrasse sensuellement puis remonte délicatement sa jupe sur ses hanches, s’assurant qu’elle soit nue dessous. À genoux devant elle, il promène ses mains sur sa peau nue, dégage ses lèvres pour déposer des baisers sur son clitoris, attisant le feu de sa langue. Elle pose ses mains dans ses cheveux, lève une jambe afin de lui faciliter le passage.


Elle sent le plaisir montrer rapidement, les souvenirs de la veille réveillent ses envies. Elle plaque fort son amant contre sa vulve pour mieux sentir cette langue au fond d’elle. Il sent son plaisir monter et couler sur sa langue. Il se relève et l’embrasse pendant qu’elle ouvre son pantalon et constate avec plaisir qu’il est nu sous l’étoffe. Son sexe jaillit. Elle s’empresse de le guider en elle. C’est dans cette position inconfortable qu’ils atterrissent sur le palier. Le temps de fermer la porte et il se trouve en elle, en levrette, les mains accrochées à la rambarde, cambrée, la jupe relevée.


À chaque étage, elle s’offre à lui, ainsi cambrée, contre le mur, ou les mains en appui sur les escaliers, les jambes écartées. Lui l’attrape par les hanches et lui assène des coups de reins puissants et profonds. Ce petit jeu risqué les amuse et les excite profondément. Elle aurait voulu qu’ils habitent au vingtième étage, il est heureux de ce troisième sans ascenseur, mais dont la cage d’escalier est si chaleureuse.


Une fois dans la rue, réajustés, main dans la main, Virginie sent l’effet de ce petit jeu, l’humidité de son envie entre ses cuisses, à chaque pas. Elle a envie de lui, cela se voit sur son visage. Paul a un sourire coquin. Au gré de la balade, il profite de la moindre occasion pour la titiller, glisser ses doigts entre les boutons de son chemisier pour caresser le bout de ses seins.


Le choix du restaurant est guidé par une situation géographique favorable. Un coin de terrasse, une table bordée d’arbustes, exposée au soleil d’automne, légèrement à l’écart. Ils pourront voir sans trop être vus. Il pourra lui parler sans retenue, glisser ses mains sur elle, la pousser dans ses retranchements, lui murmurer des choses à l’oreille qui la feront rougir de plaisir.


Pendant qu’ils apprécient le petit verre de vin blanc frais, Paul sort un paquet que Virginie s’empresse d’ouvrir. Gênée et surprise par ce cadeau, elle le cache précipitamment. Avec un plaisir non dissimulé, et content de ce premier effet, Paul lui explique qu’elle doit enfiler le string maintenant et ici. Elle est surprise par cette demande. Elle s’attendait plus à l’enlever que devoir en mettre un. Les sens en alerte, elle se tortille non sans mal, pour faire passer ses jambes, le faire vite remonter sans être vue dans cette position, et ensuite le glisser sans faire remonter la jupe. Un exercice compliqué. Amusé, il contemple la scène en sirotant son verre, l’air détaché. Une fois en place, heureuse de son exploit, soulagée, elle est à la limite d’avaler d’un trait le contenu de son verre. Pour continuer à jouer, il lui demande d’aller aux toilettes et d’en profiter pour ajuster correctement le sous-vêtement. Elle le fusille du regard, à l’aller et au retour.


Ils savourent les plats, qui s’avèrent être à la hauteur du lieu, confortablement installés, chauffés par le soleil. C’est ce moment-là qu’il choisit pour actionner la télécommande du string. Celui-ci se met à vibrer délicatement. Surprise, elle lâche un cri de surprise, avant de comprendre ce qui se passe. Il vient doucement la rassurer à l’oreille.



Tout en déposant des baisers dans son cou, il actionne les vibrations. Son clitoris, sensibilisé par le manque entretenu depuis la veille, ne met pas longtemps à diffuser des vagues de plaisir dans tout son corps.


Lorsque le serveur arrive avec les cafés elle est au bord de l’orgasme… il temporise encore une fois… elle le sent… ils ne peuvent pas se jeter l’un sur l’autre, comme tout à l’heure dans la cage d’escalier. Pourtant elle en a envie. Avec le café, il lui offre un nouveau paquet.


Cette fois-ci, elle ouvre plus discrètement. Elle a peur de se retrouver dans une situation délicate, le parquet est plus conséquent.


Elle le regarde, interrogative. Il lui explique que c’est un bijou qui va venir embellir ses fesses. Oui, elle avait bien reconnu un plug anal. Il fait doucement vibrer le string pendant qu’elle prend le bijou dans sa main et le porte à sa bouche. La froideur du métal la fait frissonner. Il pousse délicatement le jouet entre ses lèvres. Sa langue vient au contact, il lui demande de le lécher. Elle joue avec sa langue, ses lèvres, ses doigts et le jouet. Le string vibre doucement et accompagne les mouvements de son bassin. Une main posée sur son pantalon, elle le caresse à travers le tissu. Il a envie d’elle. Leurs bouches se rejoignent pour un baiser mélangé avec le jouet.



Une fois l’addition réglée, il la rejoint aux toilettes. Ils reprennent leur baiser plus fougueusement. Le bijou vient se mêler à ce baiser. Elle joue avec sa langue, il pénètre sa bouche, caresse ses lèvres. Le bijou est à bonne température, correctement humidifié. Les yeux dans les yeux, il le glisse délicatement entre les lobes de ses fesses. Elle peut lire dans ses yeux le plaisir que lui procure cette pénétration par procuration. Elle lui glisse à l’oreille :



Il la veut.


Ils sortent précipitamment du restaurant, profitent de la balade pour trouver des lieux isolés. Elle sent son envie. Elle sent qu’il la veut. Elle subit le plug, les caresses et les vibrations sur son clitoris. Elle a envie qu’il lui fasse l’amour, elle veut sentir la puissance de son envie.


C’est alors qu’il lui annonce qu’ils doivent se dépêcher. Ils sont attendus. Elle panique !


Arrivés à l’heure au rendez-vous, ils sont guidés dans une petite salle. Un thé les y attend. L’hôtesse leur demande de se dévêtir, de rester en sous-vêtements et de s’installer sur les tables de massage. Une fois l’hôtesse sortie, il l’aide à se déshabiller. Il profite de ses seins nus pour les caresser et coller son corps contre le sien. Elle s’installe docilement sur la table à plat ventre. Virginie est consciente que le bijou brille entre ses fesses, mais Paul la rassure. La serviette sera son rempart. La température est excellente, une musique douce couvre les bruits ambiants, et ils se laissent aller dans un regard amoureux. Elle se relâche doucement, ses envies reviennent doucement. Il la caresse de ses mains chaudes. Elle ondule sous cet effet.


Les masseurs entrent dans la pièce sans que l’on puisse les voir clairement. D’une voie douce, leur hôtesse annonce le programme. Pour commencer, un message thaïlandais plutôt vigoureux pour détendre les muscles, puis un massage détente. Monsieur sera massé par l’homme et madame par l’hôtesse. Pour Paul, ce sera une séance de pierres chaudes et pour Virginie un message détente du dos, des jambes et du fessier. L’hôtesse précise que le massage sera effectué alors que le masseur homme aura quitté les lieux, car elle devra manipuler sans sous-vêtement.


À l’annonce du programme, Paul regarde Virginie avec un sourire mélangé de plaisir et de défi. Elle rougit, prise entre l’envie et le jugement de la masseuse lorsqu’elle va découvrir le bijou planté en elle. Pour l’aider à se détendre, il attrape sa main. Main dans la main, elle se sent capable de passer le cap. En même temps, il active la vibration, douce, avec de légères variantes. Son clitoris va aussi être massé, il va s’en assurer.


Alors que les masseurs s’affairent délicatement, mais fermement sur leurs corps, Virginie se détend, et profite de la chaleur qui envahit son bas-ventre. Paul joue avec la télécommande, en synchronisant le massage aux caresses de son clitoris. Il la regarde, elle a le souffle court, la bouche entrouverte, les yeux qui se ferment régulièrement. Elle n’a pas pris de plaisir depuis qu’il a mis son corps et son esprit sous tension. Elle est dans un état d’excitation profonde, de bien-être.


Le masseur quitte les lieux après avoir mis en place les pierres chaudes. Pendant ce temps, la masseuse prépare une huile chaude. Paul profite de ce laps de temps pour augmenter la vibration. Virginie subit maintenant des caresses qui la porteraient à l’orgasme en d’autres circonstances. Il aime cette idée. Il la regarde se concentrer pour ne pas jouir. Il est très excité. Elle s’abandonne. La masseuse replie la serviette sur son bassin, verse l’huile chaude sur ses épaules et délicatement commence un massage tout en douceur. Virginie se laisse transcender par les caresses sur son dos et les vibrations dans son bas ventre. Le temps est comme suspendu.


La masseuse vient recouvrir le haut de son corps avec la serviette, dégageant ses fesses. Elle commence un long massage des jambes et remontant vers les cuisses. Couvert d’huile chaude, le corps de Virginie brille. Sous l’effet du massage son bassin ondule. À moins que ce ne soit sous l’effet des vibrations. Paul regarde la scène. Il pense que la masseuse a vu le bijou briller entre les fesses. Elle s’applique et remonte le long des cuisses de Virginie, vers sa croupe. Ses mains lui malaxent les cuisses et le bas des fesses. Elle voit maintenant parfaitement le bijou, juste tenu par le string. Son massage se porte plus sur cette partie charnue. Elle vient d’abord faire couler de l’huile avant de reprendre un massage délicat. De temps en temps, on devine le bruit de ses ongles venir cogner le bijou. Paul imagine le plaisir que cela doit procurer à Virginie. Il devine une onde de plaisir remonter le long de la colonne vertébrale de son amante.


La masseuse s’applique sur les fesses, et le haut des cuisses. Il voit disparaître ses mains sous ce corps, imaginant alors ses doigts effleurer ce sexe, le bassin soulevé comme pour laisser un passage aux caresses.


Pour lui, le plaisir monte. Son imagination lui laisse deviner que la masseuse est en train de prendre du plaisir, elle aussi, ainsi, à provoquer sa cliente. En l’effleurant, elle sent qu’elle lui donne du plaisir. Elle vient jouer avec le bijou qu’elle cogne sans vergogne, de façon répétée et rythmée. Le bassin de Virginie suit les caresses de la masseuse, sa respiration suit le rythme des cognements contre le bijou. Ses fesses sont humides, brillantes, luisantes, glissantes, et chauffées par le massage.


La masseuse remonte ses mains le long des cuisses jusqu’entre les fesses de sa cliente qui se contorsionne. Parfois on entend le cognement de ses doigts contre le bijou, parfois Paul imagine les doigts de la masseuse glisser en Virginie. Il la soupçonne d’avoir légèrement écarté le string, car le bruit des vibrations est différent.


Son amante est accrochée à la table de massage, les ongles plantés dans le cuir. Soumise à un plaisir qu’elle n’assume pas, elle lutte pour ne pas exploser et se livrer à cette femme qui joue d’elle. Elle cherche le soutien de son amant, dont le regard, à la fois amusé et excité, la rassure. Elle va craquer sous les caresses de cette femme. Ils le sentent tous les trois. Il attend ce moment sans bouger.


La masseuse fait couler un dernier filet d’huile entre les fesses de Virginie. Une main posée à plat sur le bassin la maintient en place pendant que l’autre étale sans retenue l’huile entre ses fesses, appuyant sur le bijou, et glissant entre ses chairs. L’amante tente de se dégager de cette emprise ; une main la mobilise et l’autre lui procure du plaisir. Elle renonce et s’abandonne, ses yeux dans les yeux de son homme.


La masseuse recouvre alors ce corps encore tremblant d’une serviette et sort sans dire un mot.


Il se lève et la prend sans ses bras. Le corps de Virginie est un mélange d’huile et de plaisir. Il l’embrasse tendrement. Elle sent contre elle le plaisir accumulé dans son sexe. Elle sent son envie. Elle sait que l’expérience qu’ils viennent de vivre lui a beaucoup plu. Elle se love contre lui. Il l’enlace.


Après s’être rhabillés, ils quittent le salon de beauté. De la masseuse, elle ne connaît que le son de sa voix et la douceur de ses caresses. La nuit tombe sur la ville. Elle est sur un petit nuage. Elle songe que Paul est chargé d’envie et qu’elle va pouvoir en jouer. Il ne va pas prendre du plaisir tout de suite. Elle va jouer de lui à son tour. Lui au contraire voudrait jouir dans sa bouche, là, au détour d’une ruelle déserte.