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n° 21445Fiche technique26516 caractères26516
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Temps de lecture estimé : 16 mn
17/01/23
Résumé:  Deux étudiants profitent d’une marche de trois jours. Découverte de l’exhib et du CFNM lors d’une pause universitaire.
Critères:  h fh jeunes copains bain campagne voir exhib hmast -voyeur -exhib
Auteur : AlfMen07      Envoi mini-message
Découverte à deux à la rivière

Cette histoire s’est passée lorsque j’avais vingt et un ans, soit une année avant mon précédent récit « Plaisir à trois autour de la piscine ». Je venais de terminer ma première année d’Université en lettre et je passais mon été entre mon job d’étudiant, quelques révisions et surtout les fêtes entre amis. Je m’appelle Alfred et je suis assez sportif. Ma vie sexuelle me plaisait bien, mais elle restait relativement banale, entendez par-là des aventures très sympathiques, des moments forts à deux, mais sans réelle folie.


Lors de mes révisions, je passais beaucoup de temps avec une jeune Italienne qui s’appelait Diana. Nous avions des cours en commun et nous nous voyions à la bibliothèque presque tous les deux jours. Elle ne voulait pas rentrer auprès de sa famille tant qu’elle n’avait pas terminé ses travaux, et aussi, mais je ne l’ai appris que plus tard, pour ne pas revoir son ex. Diana ne correspondait pas franchement à mon type de femme, des seins plus grands que ceux que j’affectionne, pas sportive du tout, elle adorait la mode et surtout elle parlait beaucoup et n’écoutait pas toujours les réponses ou ce que les autres souhaitaient… C’était cependant une bonne camarade de cours prête à aider, à partager ce qu’elle trouvait et elle était toujours de bonne humeur. Je la voyais justement comme une bonne copine et je ne m’étais jamais imaginé faire quelque chose avec elle.


Au milieu de nos révisions, lors d’une pause, Diana m’a dit qu’elle regrettait de ne pas assez bien connaître la région. Elle avait un peu marre des révisions et de son travail, elle aurait bien aimé s’évader un peu de son quotidien. N’habitant pas très loin et ayant grandi dans le coin, je lui parlai de ruines qui se trouvent à quelques kilomètres dans la campagne et de la rivière qui coule à côté. Je lui expliquai les nombreuses promenades à faire à cet endroit, les possibilités de camping sauvage et le fait que cela était assez facile de se repérer malgré tout. Elle semblait très intéressée et me demanda si je pouvais l’accompagner pour une marche de trois jours dans la région. Je fus un peu surpris par sa proposition, mais je me dis que c’était une bonne idée et que cela me ferait aussi une escapade bien méritée. Nous avons fixé une date et le matériel à emporter.


Quelques jours plus tard, elle est venue me chercher à mon appartement, nous avons embarqué les affaires dans sa petite voiture et nous sommes partis. Le trajet en voiture n’était pas très long, mais cela me faisait bizarre de me retrouver avec elle en dehors des études. Elle semblait plus délurée et parlait encore plus. Je la regardais pendant qu’elle conduisait et le spectacle était très agréable, elle avait un petit top montrant ses épaules et large sous les bras. Je n’en étais pas certain, mais je ne distinguais pas de soutien-gorge. Ses shorts n’étaient pas très longs, dévoilant ainsi ses longues jambes bien bronzées.


Pour le premier jour, nous avions prévu de marcher jusque vers les ruines d’une place forte avancée, qui surplombait la région et contrôlait le passage de la rivière avant la descente en direction de la ville. Nous pouvions voir autant en aval qu’en amont et l’endroit était très bien choisi par les seigneurs de l’époque. Nous avons continué encore un peu après les ruines pour installer notre tente pour la nuit, choisissant un endroit peu fréquenté près de la rivière. Nous avons établi la tente légèrement en hauteur afin d’éviter une éventuelle crue en cas d’orage. Nous étions environ à 200 m de la rivière et nous pouvions voir les berges probablement sur 1 km avec une vue dégagée sur la plaine à cet endroit. Après nous être installés, nous profitions d’un moment de repos et nous buvions une limonade bien méritée.


Diana s’est soudainement mise à rire gentiment tout en regardant intensément en direction de la rivière. Après quelques instants, elle m’a montré deux hommes qui s’y baignaient nus. Je lui ai répondu qu’en effet plusieurs promeneurs ne prenaient pas de maillot de bain et qu’il était fréquent de voir des personnes nues. Intérieurement, j’étais malgré tout un peu jaloux qu’il n’y ait pas de femme parmi eux. Nous nous sommes dit qu’il fallait aussi aller nous rafraîchir après cette marche. Diana est alors rentrée dans la tente pour se changer et en est ressortie avec un sublime bikini. Si le bas était assez classique, le haut était très échancré et m’offrait ainsi une très jolie vue. Je suis aussi allé dans la tente pour me changer et en suis ressorti avec un short.


Durant le court trajet jusqu’à la rivière, Diana m’a dit qu’elle regrettait de ne pas être descendue à la rivière plus tôt, vu que les deux hommes nus étaient déjà repartis. Nous avons trouvé un endroit sans trop de cailloux et y avons installé nos linges. Nous sommes allés une fois dans l’eau et nous profitions un peu du soleil ensuite sur les linges. Tout en parlant, Diana m’a demandé pourquoi je n’allais pas nu dans la rivière comme les deux hommes. Elle me surprit et je ne sus pas vraiment répondre immédiatement. Je n’étais pas habitué à me mettre nu devant une femme qui n’était pas ma copine, encore moins en public, et je ressentais un brin d’excitation malgré tout. Elle a ensuite changé de discussion et la suite de la journée s’est passée très agréablement. Nous avons mangé tout en discutant de nos cours ainsi que de nos vies respectives.


Le lendemain, nous avons pris notre petit-déjeuner puis nous avons plié bagage pour reprendre notre route. La marche fut assez longue et nous avons atteint notre but en fin d’après-midi. Nous avons de nouveau pu installer la tente non loin de la rivière et nous nous sommes changés, séparément, dans le but d’aller nous baigner. Nous étions dans un endroit isolé et personne ne se trouvait aux alentours. Elle m’a alors lancé :



Je ne savais pas trop quoi répondre. D’un côté, j’avais envie et, d’un autre, je n’osais pas vraiment. Diana s’est tournée vers la rivière et m’a dit :



Là, elle m’a atteint un peu dans ma fierté. Elle n’avait pas tout tort et je me suis d’ailleurs demandé si ce n’était pas à cause de ma retenue que ma vie sexuelle manquait de folie, que cela m’avait peut-être empêché de connaître les bonnes personnes ou d’inciter au vice mes conquêtes. Bref, sans réfléchir trop longtemps, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai descendu mon short. Vu qu’elle se dirigeait vers la rivière sans se retourner, elle ne pouvait rien voir. Je suis allé la rejoindre dans l’eau en y entrant rapidement afin de cacher un début d’érection dû à l’excitation du moment.



Elle s’est approchée de moi et me détaillait, enfin, la partie qui émergeait, car elle avait de la peine à voir ce qui était sous l’eau. Il m’a semblé qu’elle faisait un peu aller ses mains comme pour essayer de me toucher, mais sans vraiment oser non plus. Après quelques minutes à nager et à parler, il a bien fallu sortir de l’eau et je faisais un peu moins le malin. D’autant plus que Diana s’était arrangée pour rester à mes côtés et être ainsi aux premières loges. Elle fixait mon entrejambe et souriait tendrement. Elle levait à peine la tête pour regarder les éventuels obstacles et nous nous sommes installés sur les linges pour nous sécher. Je me suis mis sur le ventre et elle m’a imité. Pendant que nous étions allongés, nous avons repris la conversation et elle m’a confié que cela l’excitait de voir un copain d’université nu devant elle, habillée, qu’elle aimait cette situation. Lorsque je me suis retourné, ce fut difficile de cacher mon érection due à cette discussion et aussi à son décolleté.


J’étais embarrassé, car je ne savais pas quelle serait sa réaction. Elle me regardait et, très timidement, elle m’a demandé si je pouvais me masturber devant elle. Bien que cela m’ait surpris, l’excitation du moment était telle que je ne me suis pas fait prier. J’ai pris ma verge et j’ai commencé à faire des va-et-vient. Toujours en fixant mon membre tendu, elle s’est assise et elle a pris un peu d’assurance :



Je me suis exécuté et il n’a pas fallu très longtemps pour que je sois au bord de l’explosion. Je l’ai avertie, mais elle m’a simplement répondu « continue ». Mon sperme a giclé sur sa poitrine, ses cheveux ainsi que le bas de son visage. Elle souriait et a juste pris son linge pour s’essuyer. Elle s’est levée, a déposé un bisou sur ma joue et m’a demandé si nous pouvions retourner à la tente vu qu’elle commençait à avoir faim. J’ai remis mon short et nous avons regagné notre campement.


Le repas s’est passé normalement et nous n’avons pas discuté de ce qui s’était passé à la rivière. Après une soirée tranquille à parler un peu de tout, nous nous sommes dit que nous devrions prendre des forces pour la marche du lendemain. Elle est entrée dans la tente afin de se changer et elle m’a ensuite invité à la rejoindre. Elle portait un t-shirt et, je suppose, uniquement une culotte dessous. Je m’attendais à ce qu’elle sorte pour que je puisse me changer, mais Diana m’a simplement dit que je pouvais me changer devant elle. Je n’avais pas beaucoup de vêtements et je me suis vite retrouvé nu. Toujours avec son petit air timide, elle me regardait et m’a demandé très gentiment si cela ne me faisait rien de dormir nu à côté d’elle. Au fond de moi, je l’espérais presque et je me suis alors allongé nu dans mon sac de couchage. Elle a ensuite mis le sien proche du mien et nous nous sommes vite endormis.


Le lendemain matin, j’ai été réveillé par le bruit de la fermeture éclair de mon sac. J’ai à peine eu le temps de voir Diana se faufiler contre moi et blottir son dos contre mon torse. Évidemment, mon sexe se retrouva contre ses fesses, plutôt contre sa culotte… Cependant, j’ai vite été pris d’une érection et j’essayais de reculer mon bassin pour ne pas la toucher avec ma queue. Très difficile, car elle faisait exprès de m’en empêcher, avec un large sourire sur son visage. Avec un petit air mutin, elle me dit simplement :



Nous sommes sortis et elle s’est blottie derrière moi. D’abord en me serrant simplement avec ses bras contre mon torse, puis en descendant ses mains vers mon sexe toujours en érection. Elle m’a branlé d’abord tout doucement, puis de plus en plus vite tout en me mordillant l’oreille. Je sentais aussi ses seins dans mon dos à travers son t-shirt et j’aimais beaucoup cette sensation. Après un moment de plaisir, durant lequel elle jouait avec ma respiration pour accélérer ou ralentir le rythme, elle m’a susurré de tout laisser aller. Ma jouissance fut énorme et j’ai pris un pied d’enfer ce matin-là.


Nous avons ensuite pris le petit-déjeuner et nous avons plié nos affaires. Durant tout ce temps, je suis resté nu, m’amusant même à compter le nombre de fois où Diana me regardait plutôt que de s’activer. Après un moment, je dus me résoudre à me rhabiller, ne souhaitant pas marcher nu, et nous sommes partis pour la petite marche qui restait. Nous avions été prudents et nous avions fait en sorte de prévoir un petit trajet pour le dernier jour.


Nous sommes donc arrivés assez rapidement proches du lieu où nous étions parqués. Ne souhaitant pas partir tout de suite, nous nous sommes dit que nous pouvions encore nous baigner une fois. En regardant autour de nous, nous avons pu apercevoir quelques personnes nues, certaines en maillots de bain et d’autres habillés. Diana m’a regardé d’un air un peu anxieux, elle m’a demandé timidement si j’acceptais de tenir le linge pendant qu’elle se changeait, vu qu’il n’y avait ni tente ni endroit pour se cacher. J’ai accepté et elle a pu se changer discrètement. J’essayais de ne pas regarder, mais ce n’était pas l’envie qui manquait. Elle m’a ensuite regardé et m’a demandé si je souhaitais aussi de l’aide ou si j’osais y aller de nouveau nu. Voyant que les premières personnes étaient assez loin, je me suis dit que je pouvais prendre le risque d’y aller nu et cela m’éviterait aussi de ramener un vêtement mouillé. Je me suis déshabillé et je suis allé dans l’eau assez rapidement.


Diana m’a suivi et s’est enlacée à moi dans l’eau. J’essayais de ne pas être en érection, mais ce n’était pas facile, d’autant plus qu’elle laissait facilement balader ses mains contre moi. Profitant d’un moment de répit, j’ai lancé le mouvement de sortie et je suis allé regagner mon linge. Je me suis allongé sur le ventre et Diana est arrivée. Vu qu’elle souhaitait prendre le soleil un moment, elle a pris le bas de son maillot pour le ramener entre ses fesses. Ce string improvisé m’a permis de voir ses fesses toutes blanches, ce qui contrastait avec le bronzage de son corps. Plus je la regardais, plus mon sexe grossissait. Pour ne rien arranger, deux jeunes femmes d’environ vingt-cinq ans sont arrivées vers nous et nous ont demandé si elles pouvaient s’installer près de nous. Avant même que j’aie pu ouvrir la bouche, Diana leur a répondu que tout était OK pour nous, tant qu’elles acceptaient un mec nu à côté. Elles ont rigolé et ont commencé à enlever leurs vêtements pour rester en string et soutien-gorge. Des discussions, j’ai pu apprendre qu’il s’agissait de Céline, une blonde, et de Valérie, une brune.


Les trois femmes souhaitaient alors aller à l’eau et je leur ai dit que je les attendais ici… Je voulais surtout éviter de me montrer en érection en voyant ces trois jolis derrières.


Diana devait suspecter cela et elle a souri. Contre toute attente, elle a regardé les deux autres filles et leur a demandé :



Valérie semblait plus timide, mais a acquiescé de la tête. Diana m’a alors regardé et m’a dit en rigolant qu’elles attendaient le spectacle. Je me suis retourné et ma queue s’est dressée directement. Céline et Valérie regardaient avec envie alors que Diana a pris ma verge en main et a commencé à me branler. Tout en me fixant dans les yeux, elle a alors dit aux deux autres femmes qu’elle m’aidait afin que je puisse venir dans l’eau, que cela irait plus vite que d’attendre la fin de mon érection. Je n’ai en effet pas été très long à venir et j’ai éjaculé sur mon ventre. Diana a pris un peu de sperme sur son doigt pour le goûter et m’a dit que j’étais maintenant en état de me baigner avec elles.


Après cette baignade beaucoup plus calme, nous nous sommes tous rhabillés. Diana et moi avons marché jusqu’à la voiture. Durant le trajet du retour, je me demandais pourquoi elle se jouait un peu de moi tout en ne se déshabillant pas. De son côté, elle s’est vite mise à parler et elle m’a dit avoir beaucoup apprécié cette escapade et découvrir mon corps nu. Que cela lui plaisait et qu’elle aimait ce petit pouvoir qu’elle avait sur moi. Elle s’est arrêtée devant chez moi pour me déposer et, au moment où j’allais partir, elle m’a embrassé tendrement sur la bouche. Elle m’a demandé ensuite si je pouvais passer chez elle le lendemain soir. J’ai répondu par l’affirmative et suis rentré dans mon studio.


J’ai eu beaucoup de peine à m’endormir, réfléchissant à tous ces moments, au fait que j’avais vaincu un peu ma timidité et surtout à la réaction de Diana qui souhaitait profiter de ces instants avec moi, sans toutefois aller plus loin, du moins apparemment. Je me suis branlé frénétiquement en repensant à tout ce qu’elle m’avait fait et surtout en me demandant ce qui allait m’attendre le lendemain.


Arrivé enfin au moment tant attendu, je suis arrivé chez elle, habillé d’un polo assez ample et d’un pantalon en lin. J’avais apporté une bouteille de vin et des chocolats. Elle est venue m’accueillir à la porte de son appartement vêtue d’une jupe lui arrivant vers les genoux, d’un t-shirt blanc pas suffisamment transparent. Elle ne semblait pas porter de soutien-gorge à première vue. L’appartement était assez grand vu qu’elle le partageait avec ses deux colocataires, absentes ce soir-là. À peine fus-je assis qu’elle me demanda si je voulais passer la soirée nu, comme lors de notre week-end. Elle m’expliqua alors qu’elle avait découvert la pratique du CFNM sur internet et que c’était la première fois qu’un mec acceptait de s’y plier ou ne lui demandait pas de se déshabiller en même temps.


Je lui ai simplement répondu qu’elle devrait elle-même me retirer mes vêtements si elle souhaitait me voir nu. Elle a souri et s’est approchée de moi. Elle m’a d’abord embrassé, tendrement, et a retiré mon polo. Elle s’est mise à genoux pour défaire ma ceinture et descendre mon pantalon, mes chaussures ayant déjà été retirées à l’entrée. Elle regardait mon caleçon déformé par mon érection et l’a saisi des deux côtés pour le tirer vers le bas. Mon sexe libéré pointait fièrement vers son visage et elle a déposé un bisou à son extrémité. Elle s’est relevée et m’a conduit à travers tout l’appartement pour me faire une visite des lieux. Nous nous sommes ensuite dirigés vers le salon où nous avons pris l’apéritif. Mon sexe s’était calmé et était revenu à une taille normale.


Nous avons ensuite dîné à la table de la cuisine et je l’ai aidé à faire la vaisselle tout en restant nu. Elle me regardait souvent et appréciait vraiment ma nudité. À un moment donné, son sourire et sa posture avec son derrière en arrière ont déclenché un début d’érection. Dès qu’elle l’a vue, elle a stoppé la vaisselle et s’est mise contre moi pour me toucher le sexe, effleurant mon sexe avec ses doigts. Petit à petit, elle s’est mise à le serrer un peu plus. J’appréciais fortement, cela va sans dire. Elle s’est ensuite mise à genoux et a commencé une fellation. Tout d’abord en léchant mon gland tout en continuant le va-et-vient avec sa main. Elle a ensuite pris mon gland dans sa bouche et a peu à peu gobé mon sexe tout en jouant avec mes boules. Après dix minutes, je ne tenais plus et je lui ai dit que j’allais éjaculer. Elle a à peine eu le temps de reculer qu’un flot de sperme a jailli sur son visage et son t-shirt. Elle a pris une serviette pour s’essuyer le visage et a nettoyé mon pénis, alternant entre coups de langue et serviette. Voyant l’état de son t-shirt, elle a rigolé et m’a dit qu’elle devrait se changer. Elle s’est mise à marcher en direction de sa chambre et a retiré son haut tout en marche, me confirmant qu’elle n’avait rien dessous. Elle s’est retournée en rigolant afin de me présenter ses seins, couverts uniquement de ses doigts. La vue était vraiment magnifique, j’en restai bouche bée.


Diana est bien restée cinq minutes dans sa chambre et est ensuite réapparue dans une nouvelle tenue. Une jupe beaucoup plus courte et une simple brassière en haut. Elle est directement venue m’embrasser goulûment, me provoquant presque une nouvelle érection. Nous nous sommes alors dirigés vers le salon pour voir un film. Elle avait choisi le film Wild things que nous avons regardé côte à côte. Elle s’amusait à regarder les effets de Neve Campbell et de Denise Richards dans les scènes sexy sur mon sexe. J’ai cependant réussi à ne pas être trop excité vu le bel orgasme que Diana m’avait provoqué avant. À la fin du film, lorsque Kevin Bacon est nu dans la douche, elle a souri et m’a dit qu’elle avait mieux à côté d’elle, tout en touchant mon sexe en même temps. Je durcissais à nouveau et elle a mis son doigt sur ma queue. Elle effleurait le bout jusqu’à ce que mon sexe soit complètement gonflé. Elle s’est levée et m’a tendu la main pour m’indiquer de la suivre. Nous nous sommes dirigés vers sa chambre et elle m’a embrassé.


Après un long et doux baiser, elle m’a poussé sur le bord du lit pour que je m’asseye et elle a retiré gentiment sa brassière, me montrant ses seins. Je voyais enfin sa poitrine pour la première fois, assez volumineuse – probablement un bonnet D –, ferme et en forme de pamplemousse. Ils sont légèrement remontants et je craquais rien qu’en les observant. Je pris d’abord son sein gauche avec ma main, l’effleurant uniquement sur les bords. Je passai à son sein droit et j’approchai ensuite ma langue. Je lui titillai alors les côtés de ses mamelons évitant de toucher les tétons. Je déposai aussi des baisers entre ses deux monts et les repris en main avant de continuer avec ma langue. Après quelques minutes, la sentant enfin prête, je m’approchai de son téton droit et je le léchai assidûment, alternant avec ma main pour le pincer très subtilement. Elle ne put pas résister et elle atteint un premier orgasme. Ses genoux tremblants, elle vint s’asseoir sur moi. Sa jupe, très courte, permit à mon sexe de toucher directement son intimité très humide. J’en fus surpris, je pensais d’abord sentir une culotte. Elle rigolait et me dit qu’elle n’avait pas remis de culotte après s’être changée. Elle se demandait justement quand je le verrais et elle appréciait cette discrète exhibition. Elle arborait une légère toison, style ticket de métro, mais parfaitement épilé sur les côtés et les lèvres.


Pris dans l’excitation du moment, elle poussa mon dos pour me coucher et fit entrer directement ma verge dans son antre. J’appréciais vraiment ce moment et nous n’avons pas mis longtemps pour atteindre un orgasme commun. Nous tirâmes ensuite les draps et nous endormîmes l’un contre l’autre peu de temps après. À mon réveil, le lendemain matin, j’étais seul dans le lit et j’entendais du bruit dans la cuisine. Je me suis levé et ai vu Diana en train de préparer du café, habillée d’un long t-shirt. Je lui demandai si une de ses colocs était présente et elle me répondit par la négative. Je lui conseillai alors d’essayer de se mettre nue aussi, comme je l’étais. Elle hésita et enleva rapidement ensuite son haut. Je découvris enfin – visuellement s’entend – son entrejambe. Une fine toison brune surplombait son sexe. J’admirai ses lèvres bien visibles et je n’attendais plus que de voir son antre entrouvert. Elle le comprit et elle s’assit, jambes écartées, afin que je puisse mieux contempler son sexe. À mon tour de m’agenouiller et je me mis à entrouvrir un peu plus ses lèvres avec ma langue, à goûter à sa chatte et surtout à titiller son clitoris. Plus j’accélérais le rythme, plus elle bougeait sur sa chaise jusqu’à une intense jouissance. Je la levai à ce moment-là pour l’asseoir sur la table et je pus alors la pénétrer avec mon sexe. Elle se coucha sur la table afin que j’accède plus facilement à ses seins avec mes mains. Je les malaxai tendrement tout en continuant la fouille de son sexe avec mon pénis. Je la sentis peu à peu se raidir, me serrer de plus en plus fort avec ses jambes et cela accentua encore mon excitation. Nous avons joui ensemble sur la table.


Après nous être sommairement essuyés, nous avons pu prendre nus notre café à la cuisine, parlant de notre escapade ainsi que de la soirée. Après quelques instants, nous avons entendu un bruit de porte et nous étions alors inquiets. Sans avoir le temps de faire quoi que ce soit, sa coloc, Sophie, était à côté de nous, vêtue d’un t-shirt blanc. Elle nous a dit être rentrée hier soir très tard et avoir été surprise de trouver autant d’affaires d’homme dans l’appartement. Elle nous avait vus dormir dans le lit et avait alors rejoint sa chambre. Ce matin, elle avait voulu aller aux toilettes lorsque nous faisions l’amour dans la cuisine et n’avait pas osé, mais qu’elle ne tenait plus maintenant et qu’elle avait bien dû se montrer ! Elle se dirigea alors vers la salle de bains.


Diana rigola franchement et moi aussi. Sophie revint alors vers nous en nous demandant si elle pouvait aussi prendre un café. Nous étions toujours nus et cela me faisait bizarre. Nous parlions de tout et de rien, faisant connaissance, lorsque je m’aperçus que le t-shirt de Sophie était légèrement transparent, laissant entrevoir ses tétons. Cela me provoqua un début d’érection qu’elle ne pouvait heureusement pas voir, mais Diana, oui… Je me demandais où cette relation allait m’amener.